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Innerweltlichkeit oder Nichtinnerweltlichkeit: das ist dort die Frage!: Xuan Ding (1832-1879) und dessen Yeyu qiudeng luSheng, Yang 16 March 2018 (has links)
Die späte Qing-Zeit (ca. die 2. Hälfte des 19. Jhs.) ist eine Periode rasches sozialen Wandels. Obwohl sich viele Chinesen der Reformbewegung widmeten, gab es im Gegensatz dazu nicht wenig niedrigrangige Literaten (xiaceng wenren 下層文人), die die Vorliebe für Weltabgewandtheit hatten und kein oder wenig Interesse an der modernen Welt zeigten. Xuan Ding 宣鼎 (1832–1879) war einer davon. Sein Yeyu qiudeng lu 夜雨秋燈錄 ist nicht lediglich eine Sammlung von zhiguai 志怪 (Aufzeichnungen von Anomalien), sondern eher ein „Medium für den Selbst-Ausdruck“. Das Werk widerspiegelt die Ambivalenz niedrigrangiger Literaten während der Epoche.
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La narration et ses structures en égyptien de tradition :approche philologique et narratologique des textes royaux de la XXVe dynastieDelhove, Arnaud 20 April 2017 (has links)
Ce travail porte sur la question de la verbalisation du récit dans sa structure formelle, par une approche philologique et narratologique, dans les textes royaux de la XXVe dynastie (dynastie couchite – 8e/7e s. avant notre ère), rédigés en égyptien de tradition. L’étude se fonde sur un corpus composé de 11 textes ayant comme caractéristiques d’être couchites, royaux, en égyptien de tradition, comportant des parties narratives, et suffisamment conservés. Parmi ceux-ci, l’on trouve la Stèle de la Victoire de Piânkhy (Caire JE 48862 ;JE 47086-47089) et la Stèle du Songe de Tanoutamon (Caire JE 48863). En outre, un corpus secondaire de 9 textes a été constitué dans une perspective synchronique et diachronique, avec par exemple les Annales d’Osorkon, ou encore les Annales de l’an 1-2 d’Irike-Amannote (Kawa IX), souverain de Couch postérieur à la XXVe dynastie. Pour répondre à la question de la structure formelle du récit, nous procédons en deux temps :d’abord par une étude des marqueurs narratifs (comme les auxiliaires séquentiels) ;puis par celle des structures et macrostructures du texte, en lien avec les séquences narratives ;enfin, par l’examen de facteurs influençant la verbalisation du récit. Dans la première partie, nous précisons dans une série de chapitres les formes et emplois des marqueurs narratifs (auxiliaires séquentiels, śpr pw ỉr.n⸗f, infinitifs narratifs, śḏm.ỉn⸗f, particules, dates, etc.). Pour chacun de ces marqueurs, nous faisons d’abord le point sur leurs formes et emplois en égyptien classique, néo-égyptien et égyptien de tradition, d’après les grandes synthèses grammaticales, avant de procéder à un examen systématique de leurs occurrences dans notre double corpus. En outre, précédant cette analyse, nous traitons de la situation linguistique à la XXVe dynastie (notamment la diglossie), et des caractéristiques de l’égyptien de tradition. Nous examinons également pour notre corpus principal la question de l’opposition des formes śḏm⸗f et śḏm.n⸗f. La seconde partie, qui s’appuie sur les marqueurs étudiés dans la première, traite des différents niveaux dans la structure générale du texte et du récit. Nous envisageons donc là les niveaux supérieurs à la proposition. Après des éléments théoriques sur la narration et sur la mise en récit de l’histoire, nous étudions le niveau séquentiel dans les récits du corpus, et mettons en évidence les structures épisodiques que l’on peut y trouver. Ensuite, nous examinons les éléments non-narratifs, descriptifs et dialogaux, et la façon dont ils intègrent ou sont intégrés dans les parties narratives. En nous appuyant sur les données de ces deux chapitres, nous envisageons alors les structures d’ordre supérieur à la séquence, pour remonter jusqu’au texte dans son ensemble. Enfin, pour montrer le lien entre la première et la deuxième partie, nous présentons la façon dont les marqueurs narratifs se spécialisent dans certains rôles dans la narration et la structuration du récit, et comment ils se hiérarchisent. Ce travail apporte donc une série de données sur la langue littéraire de la XXVe dynastie et ses caractéristiques, ainsi que sur la façon dont les rédacteurs recourent aux moyens linguistiques de l’égyptien de tradition pour organiser formellement leurs textes et transmettre, via le récit, l’histoire qu’ils voulaient communiquer. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Des Pharaons kouchites aux Pharaons saïtes : identités, enjeux et pouvoir dans l’Egypte du VIIe siècle av. J.-C. / From the Kushite Pharaohs to the Saite Pharaohs : identities, issues and power in Egypt during the seventh century BCHourdin, Jeremy 23 January 2016 (has links)
Les études relatives à l'histoire de la première moitié du VIIe siècle av. J.-C. en Égypte sont encore relativement peu nombreuses. De ce fait, si les grandes lignes historiques sont chronologiquement assez bien établies, les étapes et les différents enjeux le sont quant à eux beaucoup moins.Cette période est marquée en Égypte par un important changement : les pharaons kouchites (de la XXVe dynastie, appelés aussi 'pharaons noirs' ou 'éthiopiens'), qui dominaient alors le pays depuis la fin du VIIIe siècle av. J-C., sont évincés par une nouvelle lignée de souverains d'origine libyenne (la XXVIe dynastie dite saïte), aidée par les invasions répétées de l'Égypte par l'Assyrie. Cette période de transition, d'environ une vingtaine d'années (entre les règnes de Taharqa, 690-664 av. J.-C., et de Psammétique Ier, 664-610 av. J.-C.), constitue ce sujet de recherche doctorale. L'objectif principal est donc d'éclairer de façon plus précise cette époque de transition en identifiant les acteurs principaux (souverains, clergé et dignitaires locaux) mais également les changements politiques, sociaux et culturels qui ont eu lieu. Une nouvelle étude qui prenne en compte les identités de chacun des protagonistes et leurs rapports avec le pouvoir est nécessaire. Il conviendra donc de définir le pouvoir pharaonique (sa nature et son expression notamment), les continuités et les modifications qui se sont opérées avec ce changement dynastique.Pour que cette étude puisse être la plus complète possible, ce sujet nécessite donc un réexamen de la documentation déjà connue par des recherches antérieures mais également la mise en lumière de documents mal connus ou encore ignorés. / The first half of the VIIth century BC have been marked in Egypt by an important transition. The Kushite pharaohs (the Nubian 25th dynasty, also named “black Pharaohs”) who dominated the country since the end of the eighth century, were ousted by a northern dynasty of Libyan origin (the 26th or Saite dynasty), in the context of the Assyrian invasions. This period of transition, between the reigns of the Kushite Taharqa (690-664) and the Saite Psamtik I (664-610) is the subject of this doctoral research.During the last few decades, the historical studies about the 25th and 26th dynasties have clarified the main events that marked Egypt and Nubia during this transitional period. If the more important historical events are relatively well known, the stages of the historical changes and the evolution of the pharaonic expression have been less studied.The main objective of this work is to clarify them by identifying the main protagonists (kings, clergy and local dignitaries) but also the political, social and cultural changes. The reign of the king Taharqa, thanks to the important and numerous documents (historical records and monuments) from Egypt and Nubia, constitute an important part of this research. The study of the textual and monumental expressions of Taharqa’s power (especially in Thebes in Egypt, or Kawa and Gebel Barkal in Nubia) and its evolutions in the context of the Assyrian wars, highlight the issues of this historical period. These informations can be completed by the documentation of the Kushite king Tanutamun and the saite Psamtik I.
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La défense du territoire en Iran nord-oriental (Khorassan-Transoxiane) IXe-XIe siècle / Defence of the territory in north-east Iran (Khorassan-Transoxiana) in the 9th-11th centuriesRhoné, Camille 17 May 2013 (has links)
La défense du territoire dans l’Iran nord-oriental des IXe-XIe siècles est abordée à la fois comme pratique - à travers l'étude des fortifications et de la mobilisation de combattants-, et comme motif rhétorique. Elle apparaît d'abord dans les textes comme un outil de légitimation politique pour les émirs et sultans qui s'emparent d'un pouvoir indépendant au Khorassan et/ou en Transoxiane. Ces derniers justifient leur pouvoir à l'égard du califat et. des populations locales -élites et .gens du commun- en invoquant leur, rôle de défenseurs du Dâr al-islam face à l'Ennemi turk. La conjugaison de la doctrine du jihad et de l’épopée opposant Iran et Turan permet d'ériger le Turk en incarnation de l'Ennemi. Cette construction rhétorique repose a priori sur l'idée d'une frontière unique, longiligne et hermétique faisant face aux steppes du nord- est. Or, une analyse plus serrée des processus et des pratiques de mise en défense, à travers les données archéologiques et textuelles, révèle que cette construction dissimule trois éléments : en premier lieu, les relations avec les Turks sont souvent faites de cohabitation. Ensuite, la priorité est souvent accordée à la protection des échanges et du fonctionnement de l'économie, plutôt qu'au jihad. Enfin, contrairement à leur image idéale de héros protecteur, les dirigeants sultaniens partagent la pratique défensive avec le reste de la population, y compris avec des combattants ne faisant pas partie des armées étatiques. Dans un contexte où les tensions politiques, sociales et territoriales sont récurrentes, la défense est surtout dirigée contre des coreligionnaires musulmans, à toutes les échelles spatiales, en dépit du discours unificateur des émirs. / Defence of territory in north-east Iran in the 9th-11 th centuries is broached both as a practice –through a study of fortifications and of fighters' mobilization-, and as a rhetorical object. It first appears in texts as a tool of political legitimation for emirs and sultans who seize independent power in Khorassan and/or Transoxiana. They justify their own power in the eyes of the caliph and of local populations -élites and ordinary people- by putting forward their role as defenders of Dar al-islam from the turkish Enemy. The union of jihad doctrine and of the epic in which Iran and Türan are face-to-face permits to make Turks the incarnation of the Enemy. This rhetorical construction is based on the idea of a one, slender and tight frontier facing the steppes of north-east. But a thorough analysis of process and practices of defending the territory, through archeological and textual sources, shows that this construction conceals three elements : first, relations with turkish people are often made of cohabitation. Second, usually priority goes to protecting exchanges and keeping economy in working order, rather than to performing jihad. Third, in spite of their idealized image of protecting heroes, emirs and sultans have to share the practice of defence with the entire population, including fighters who do not belong to state armies. In a context where political, social and territorial tensions are recurrent, defence is directed above all against muslim co-religionisrs, at every spatial scale, in spite of the unifying propaganda of emirs.
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Logiques migratoires sur les hautes terres centrales de Madagascar : le cas des Zanakantitra de Ramainandro, depuis le début du XIXème siècle / Logical migration on the highlands of Madagascar : the case of the Ramainandro’s Zanakantitra since the early nineteenth centuryRafidimalala, Isabelle Odette 11 December 2014 (has links)
L'intensité de la mobilité à l'intérieur du pays merina est illustrée par la première réforme agraire d'Andrianampoinimerina pour assurer les délimitations du royaume et en organiser l'expansion. Des territoires, les lohombitany, sont attribués à certains groupes pour récompenser la fidélité et les services rendus au souverain.Les Ramainandro, faisant partie des Merina, constituent ainsi l'objet par excellence d'une étude sur les apports des migrations. Leur regroupement à l'ouest de l'Ankaratra, suite à l'acquisition d'un lohombitany sous Radama I, leur octroya un statut social distinct, se manifestant par l'émergence de l'intelligentsia et des religieux chrétiens.Deux grandes raisons expliquent leur ascension: d'une part, le rôle catalyseur des missionnaires chrétiens qui ont fait de Ramainandro son terrain de prédilection et d'autre part, la reconnaissance française suite au soutien d'une fraction du groupe qui lutta contre l'insurrection des Menalamba au début de la colonisation.Actuellement, ils continuent de se déplacer un peu partout, sans rompre avec le territoire qui leur a été attribué, conservant leur identité d'une manière remarquable. L'attachement au tombeau ancestral et aux terres ancestrales constitue une preuve irréfutable de l'appartenance territoriale et l'identité du groupe. En outre, les membres du groupe ont constitué une généalogie profonde justifiant leur droit au lohombitany. De puissants réseaux d'associations sont formés pour revendiquer le statut de Ramainandro.L'étude généalogique, l'analyse biographique ainsi que les récits de vie permettent de découvrir le portrait des Ramainandro, comme groupe appartenant anciennement à l'Ambodirano et l'Imerina. / The degree of mobility within the Merina region is showed by the first agrarian reform leaded by the King Andrianampoinimerina in order to ensure the limits of the kingdom and organize its expansion in the 18th century. Territories, called lohombitany are at that time allotted to some groups by way of reward for the loyalty and service towards the sovereign. The Ramainandro, part of the Merina tribe are an excellent topic for a study about the contribution of migration. Their grouping in the west of the Ankaratra massif, due to the acquisition of a lohombitany under Radama I, conferred them a distinct status, confirmed by the emergence of the Christian intelligentsia and monks. Two main reasons can explain the exceptional rise of this tribe: on one hand, the catalyst role of the Christian missionary who chose Ramainandro as one of its favorite field; on the second hand, the French recognition resulting from the support given by a fraction of the group which helped to weaken the anti-French insurrection of the Menalamba, on the beginning of colonization. Currently, they continue to migrate without breaking with the territory assigned to them, retaining their identity in a remarkable way. The attachment to ancestral shrine and ancestral lands is an irrefutable proof of territorial belonging and group identity. In addition, the group carried out a detailed genealogy in order to justify their right to the lohombitany in question. Moreover, powerful networks of associations are founded to claim the status of Ramainandro. The genealogical study, biographical and life stories help to discover the portrait of Ramainandro tribe as formerly belonging to the groups of Ambodirano and Imerina
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Formation et premiers développements de la commanderie de Dunhuang sous les Han occidentaux (IIème et Ier siècle av. J.-C.) / First steps to office of the Western Han commandery of Dunhuang (2nd – 1st century BCE)Bertrand, Arnaud 20 December 2017 (has links)
Cette thèse concerne l’histoire, l’archéologie et la géographie historique de la Chine ancienne. Elle porte sur les formations des commanderies impériales formées aux frontières de la dynastie des Han occidentaux (206 av. J.-C. – 9 apr. J.-C.). À la charnière des IIe et Ier siècles av. J.-C., le maintien des territoires conquis passait par une stratégie impériale complexe allant d’une phase d’occupation militaire jusqu’à la mise en place d’une politique migratoire de populations civiles issues du centre de l’empire. En nous concentrant sur Dunhuang (province du Gansu), la plus lointaine des commanderies formées aux marches occidentales du territoire, nous suivons localement ces stratégies d’acquisition et d’occupation. L’analyse se fonde sur les missions de terrain menées par l’auteur, sur la relecture des Histoires dynastiques, la prise en compte des données matérielles issues des fouilles et prospections archéologiques et l’exploitation de sources épigraphiques inédites. Par le biais d’une nouvelle méthodologie, nous parvenons à individualiser son développement au sein d’un territoire situé au carrefour commercial et diplomatique avec les royaumes et cultures centre-asiatiques. De la mise à jour de sa cartographie antique et de sa chronologie, il résulte une révision complète des premières phases de développements des principaux centres administratifs militaires et civils de Dunhuang. / This dissertation centers on the history, archeology and historical geography of Early China. It examines the steps of establishment of the imperial commanderies founded in the vicinity of the Western Han dynasty boundaries (206 BCE – 9 AD). At the turn of the second and the first centuries BCE, the imperial strategical efforts made to stabilize of newly conquered territories passed through a complex system. Starting from the military occupation il lead to the migration of populations from the center of the empire. Focusing on Dunhuang (Gansu Province) – the westernmost commandery established with the Empire borders – we follow at regional scale those strategies of conquest and occupation. In addition of various fieldwork performed by the author, this research is based on a different approach of the Dynastic Histories, the use of archaeological data and the exploitation of untrodden epigraphic material. By using a new methodology, we have managed to individualize its development within a territory located at the crossroads of commercial and diplomatic highways with the Central-Asian kingdoms and cultures. As a result of its cartography and chronology being put up to date, we have obtained a complete revision of the first steps of organization of the main military and civilian centers of Dunhuang.
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Analýza stavebních aktivit císařů flavijské dynastie na území římských provincií / The Analysis of Construction Activities of the Flavian Dynasty Emperors in the Territory of the Roman ProvincesRychtarová Vavřincová, Veronika January 2018 (has links)
This diploma thesis deals with the issue of The Analysis of Construction Activities of the Flavian Dynasty Emperors in the Territory of the Roman Provinces. The Emperors are Vespasian, Titus and Domitian. The time of their rule is second half of the 1. century AD. It is about their lives and impact of the roman provinces territory. All three Emperors are known for their architecture boom in Rome and Italy, but in Roman Provinces it is about Territory expansion. Each Emperor of Flavian dynasty have a big interest in this Era and this leads to architecture construction, where was only barbaricum before it. Key words: Archaeology, Classical Archaeology, Roman Empire, Roman Provinces, Flavian Dynasty, Architecture
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La fin de la Ve dynastie au regard des archives d’Abousir : aspects cultuels et économiques / The End of the Fifth Dynasty through the Abusir archivesCiavatti, Aurore 27 November 2018 (has links)
Au cours du XXe siècle, trois lots d’archives ont été découverts dans des temples funéraires royaux à Abousir. Ces archives, datant pour la majeure partie du règne de Djedkarê-Isesi, forment un témoignage particulièrement précieux pour quiconque veut analyser l’état du pouvoir à cette période. Aussi, afin de réétudier les règnes de la fin de la Ve dynastie, il a été nécessaire de proposer en toute première étape un nouveau catalogue raisonné de cet important corpus papyrologique et d’établir une nouvelle classification typologique. Nous distinguons les décrets royaux, les inventaires de mobilier cultuel, les tableaux de service, les bordereaux de réception, les comptes de distribution et les miscellanées. Cette recension a permis de nouvelles observations, notamment une reconstitution complète des décrets royaux retrouvés dans ces temples. Une étude s’est consacrée ensuite aux règnes de Menkaouhor, Djedkarê et Ounas : les particularités présentées par leur complexes funéraires respectifs ont été examinées, comme la question du comput des années de règne, qui pourrait correspondre à un cycle octaétérique. L’examen de la généalogie royale permet de supposer des successions de règne calmes et non contestées. L’analyse des archives d’Abousir nous renseigne sur le fonctionnement des temples funéraires, les gestes cultuels et les festivités qui y sont réalisés, ainsi que sur la composition de leur personnel. Ces données administratives révèlent un système économique complexe mis en place pour alimenter ces cultes funéraires royaux, qui met en exergue un discours politico-religieux spécifique, à l’origine d’une nouvelle définition de la royauté. / During the 20th century, 3 sets of archives were discovered in royal funerary temples at Abousir. These archives, dating from the reign of Djedkare, are a particularly valuable testimony for anyone who wants to analyze the state of power at this time. Also, in order to re-study the reigns of the end of the Vth dynasty, it was necessary to propose in the very first stage a new typological catalog of this important papyrological corpus. We distinguished royal decrees, inventories of religious furniture, service rulings, receipts, distribution accounts and other variae. This review has led to new observations, including a complete reconstitution of the royal decrees found in these archives. A study was then devoted to the reigns of Menkaouhor, Djedkare and Unas: the specificities presented by their respective funeral complexes were examined, as the question of the comput of ruling years, which could correspond to an octaeteric cycle. The examination of the royal genealogy allows us to suppose calm and undisputed successions. The analysis of the archives of Abousir tells us about the functioning of the funerary temples, the religious gesture and the festivities which are realized there, as well as the composition and organization of the personnel. These administrative data reveal a complex economic system put in place to support these royal funerary cults, which highlights a specific politico-religious discourse which determines a new definition of kingship.
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Batangský incident: Konec tradičního Khamu a počátek expanze dynastie Qing v sichuansko-tibetském pohraničí / The Bathang Incident: The end of thraditional Kham and the beginning of the Qing Dynasty Expansion in Sichuan-Tibetan FrontierVařil, Ondřej January 2016 (has links)
The present paper deals with the event known as the Bathang incident, in the Sichuan- Tibetan border area in 1905, during which there was an uprising against the Chinese imperial administration, leading to the murder of Feng Quan, the Assistant High Commissioner to Tibet, and his retinue. In addition to the secondary literature, the paper utilizes mainly Chinese primary sources, along with travelogues and diaries written by Western missionaries and travellers. The initial portion of the first chapter describes the geographical characteristics of the broader area of Kham. Next follows a summary of the historical and political development of the territory, with an emphasis on the development of relations between Kham, Tibet, the Mongols and China, including the internal development and formation of its specific environment and culture. The second chapter turns to Bathang itself. The first subchapter is dedicated to the exceptional natural conditions in Bathang. The second section provides an overview of the historical development of the Bathang area and its gradual integration, first into the Mongol empire and then into the realm of the Qing dynasty. The introduction of the native chieftains system is also described. The third chapter contains an analysis of Bathang's inner power relations, with...
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Textová analýza dochovaného textu Tajné kroniky Mongolů / Textual Analysis of the Extant Text of The Secret History of the MongolsLaurencio Tacoronte, Ariel January 2013 (has links)
Textual Analysis of the Extant Original of The Secret History of the Mongols Abstract The purpose of the present thesis is to analyze every aspect of textual nature present in the Chinese original of the Secret History of the Mongols. The work consists of four chapters that touch issues such as the Chinese characters used for the transcription, their pronunciation and meaning, as well as invented or wrong characters. A list is presented with all the Mongolian syllables obtainable by means of the Chinese transcription system and with all the characters used for this. Subsequently, graphic aspects such as word division or punctuation are examined. The last chapter approaches the glossing system of the Mongolian text used in this work. On the basis of the analysis of the collected data, some plausible assumptions about historical or linguistic issues are advanced, such as the ethnic identity of the author of the transcript or the author of the glosses, the existence of a Mongolian dialect with own characteristics in the Yuan dynasty environment, or the reason why this transcript was glossed, and whether it was done out of an original written in Uyghur script. Keywords: textual analysis, Mongolian language, The Secret History of the Mongols, Yuan Dynasty
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