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Mémoire et dystopie : l'utilisation politique de la mémoire dans le roman 1984 de George Orwell

Bélanger-Marchand, Frédéric January 2009 (has links) (PDF)
À partir du roman 1984 de George Orwell, nous entendons montrer la relation entre la mémoire et la dystopie afin d'expliciter le lien qui existe entre les facultés mnésiques et leurs incidences sur une oeuvre de fiction à visée politique. Chez Orwell, les récupérations historiques d'événements avérés, les mises en abîmes tirées de la tradition de l'utopie et l'utilisation du langage sont représentatives d'une tendance à voir dans le passé les possibilités d'un à-venir autre. La manipulation des mémoires individuelle et collective par un régime totalitaire devient la voie privilégiée pour asseoir un pouvoir sur le social. Cependant, c'est également la mémoire qui permet à l'individu de s'échapper du cauchemar sociétal en lui inspirant des rêves compensatoires et en lui insufflant le désir d'oeuvrer concrètement au renversement de l'ordre établi. La mémoire permet ainsi l'émergence d'une altérité en fournissant les références d'un passé différent du présent qui alimenteront une critique du totalitarisme et, ultimement, contribueront à l'avènement d'un monde meilleur. La réappropriation d'une mémoire du passé devient, par conséquent, le moteur d'une écriture visant à définir l'horizon possible de l'avenir. Dans ce contexte, le passé s'avère être à la fois un enjeu primordial pour la domination totale et l'essence d'une résistance pour assurer à l'humanité l'espoir et l'avenir de la liberté. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Littérature, Mémoire, Dystopie, Totalitarisme. George Orwell: 1984.
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L'intelligence artificielle comme figure de la dystopie dans Nineteen eighty-four, de George Orwell, le Dépeupleur, de Samuel Beckett, et Neuromancer, de William Gibson

Taillefer, Hélène January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur la figure de l'intelligence artificielle, en ce qu'elle permet d'incarner les craintes et les angoisses mises au jour par la critique sociale véhiculée dans les fictions dystopiques. Il analyse les manifestations d'êtres-machines et de structures de contrôle social créés par l'humanité, et dont la conduite témoigne d'une forme d'intelligence; il montre ainsi en quoi certaines structures sociales se calquent sur les machines pensantes imaginées. S'appuyant sur une approche pluridisciplinaire qui fait notamment appel aux domaines de la cybernétique, de la biologie et de la science politique, cette étude de la dystopie se concentre plus particulièrement sur le corpus littéraire suivant: Nineteen Eighty-Four, de George Orwell, Le Dépeupleur, de Samuel Beckett, et Neuromancer, de William Gibson. Prenant ses racines dans l'utopie, la dystopie a été façonnée au XIXe siècle à partir des craintes et des désillusions liées à une industrialisation qui modifiait radicalement le mode de vie humain. Dans ce type de fictions, les rapports de force entre l'humanité et ses outils -ses créations -basculent, car la technique y permet la transmission d'un ascendant sur l'être humain. Cette emprise se voit exacerbée par la machine pensante, dont l'accession à la vie autorise un niveau d'indépendance et d'initiative inaccessible à ses prédécesseurs. Ce faisant, l'intelligence artificielle permet d'imager le déplacement de point focal qui s'opère quand l'outil devient une fin en soi, de même qu'elle illustre les potentialités asservissantes d'une utilisation inconsidérée de la technique. À l'image de l'être artificiel, les structures machiniques de la dystopie acquièrent suffisamment d'autonomie pour pouvoir, elles aussi, attenter à la souveraineté de l'individu. L'humain, noyé au sein de ces structures qui le submergent, n'est alors plus qu'une composante insignifiante dont la spécificité se fait systématiquement gommer par la machine sociale. En définitive, qu'il s'agisse d'un être ou d'un système, la figure de l'intelligence artificielle apparaît comme un sujet agissant, qui incarne la propension de la dystopie à réduire l'individu à l'état de pion. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Dystopie, Intelligence artificielle, Cybernétique, George Orwell, Samuel Beckett, William Gibson.
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Tři výrazné vývojové trendy v young adult literatuře / Three significant trends in young adult literature

Stupková, Kateřina January 2018 (has links)
The aim of this diploma thesis called Three significant trends in young adult literature is to analyse this literary category in the Czech Republic; to describe the publishing houses focusing on this type of literature and to determine, if there are any trends - and if so to describe them. The first chapter states different definitions of so called YA literature and its understanding abroad and in the Czech Republic among the publishers. In the next chapter I characterise the main trends in YA literature that already exist and also those that could emerge, according to literary agents and publishers. In the next part of this thesis I describe three chosen genres: urban fantasy, fairy tale retellings and dystopian novels and I analyse four series determined as typical for respective genres: The Bone Season by Samantha Shannon, The Lunar Chronicles by Marissa Meyer, The Hunger Games by Suzanne Collins and Divergent by Veronica Roth. Each analysis is followed by the description of media response to the chosen series. The thesis also includes the interviews with editors from chosen publishing houses focusing on YA literature: Tereza Pecáková from CooBoo, Jakub Šedivý from Fragment, Lucie Kučová from Egmont and Eva Sedláčková and Jiří Štěpán from Host. This practical part is preceded by a theoretical...
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Estado e resistência: Deleuze, Guattari e a distopia do real / État et résistance: Deleuze, Guattari et la dystopie du réel

Guerrezi, Evânio Márlon 24 July 2015 (has links)
Made available in DSpace on 2017-07-10T18:26:14Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Evanio Marlon Guerrezi.pdf: 5887443 bytes, checksum: f837a8e5aa74237fe7e0d21a3f4a8a0a (MD5) Previous issue date: 2015-07-24 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / Ce travail a le but d exploiter un trait singulier des écrits de Gilles Deleuze et Félix Guattari. Notre hypothèse envisage que la philosophie politique des auteurs, surtout dans les deux tomes de Capitalisme et Schizophrénie, L Anti- dipe et Mille Plateaux, peut être considérée une philosophie politique dystopique. Et cela car nous observons que leurs considérations sur la notion d État, aussi bien que les narrations de la dystopie comme genre littéraire et cinématographique, nous montrent que l État possède, depuis toujours, le germe de ce que nous appelons, tout au long de la recherche, d État Terminal. Les dystopies, au moins celles de caractère autoritaire, élaborent la description d une formation sociale où la variété des modes de vie entrent en processus d extension, en fonction des coordonnées étatales. Le même souci de Deleuze et Guattari. Les États de supercontrôle conditionnent l existence de leurs membres et repoussent ou cooptent n importe quelle forme de résistance aux codes de contrôle qu ils inventent. Au long de la recherche nous avons essayé de tracer un parallèle entre les descriptions de quelques uvres dystopiques et la théorisation concernant l État et sa possibilité de résistance en Deleuze et Guattari. Il s agit là d une problématisation qui se trouve distante des philosophies politiques plus classiques, et qui est marquée par le ton de suspicion et préoccupation en relation à la notion d État. Nous soulignons que cette notion même est abordée de manière particulière par les deux philosophes en question, et ne se résume pas à l apparat juridique qui s établit en acte et conceptuellement avec l État moderne, mais comme une forme de production et reproduction qui agit dans les plus divers niveaux. Il y a de l État au Congrès, dans la Constitution et dans la réglementation du marché mondial, ainsi que chez l ouvrier d usine dans son ambition de remplacer le chef ou chez l étudiant universitaire qui trouve dans la vie académique une condition de confort. Pour traiter de cette problématique, nous nous sommes dédier avec plus d emphase aux deux tomes de Capitalisme et Schizophréni. Dans L Anti- dipe nous nous sommes concentrés notamment sur les notions de machines désirantes et socius, d une fois que les formations sociales, bien que les modes marginaux qui résistent à elles, sont pensées moyennant ces concepts. Dans Mille Plateaux nous nous dédions à la théorie des lignes, au problème de la segmentarité et à la vigoureuse notion de machine de guerre, qui marchent comme des amplifications et révisions des concepts déjà présentés dans le premier tome. Nous soutenons que, soit dans L Anti- dipe, soit dans Mille Plateaux, Deleuze et Guattari maintiennent la même crainte des auteurs dystopiques: la préoccupation toujours présente de que la forme État devienne quelque chose de simplement négatif, qui entre en processus de destruction de ce qui diffère de ses codes. Plus que ça, nous affirmons que les philosophes nous permettent penser que la dystopie n est pas uniquement une question de fiction, mais qu elle se trouve déjà très bien incarnée dans les corps et formations sociales. Une dystopie du réel qui peut s intensifier et se répandre dans le cas où nous cesserions de présenter des façons de résistance créative. / O objetivo deste trabalho é explorar um traço singular dos escritos de Gilles Deleuze e Félix Guattari. Nossa hipótese é a de que a filosofia política dos autores, sobretudo nos dois tomos de Capitalismo e Esquizofrenia, O Anti-Édipo e Mil Platôs, pode ser considerada uma filosofia política distópica. Isso porque percebemos que suas considerações sobre a noção de Estado, bem como as narrativas da distopia como gênero literário e cinematográfico, nos mostram como o Estado possui, desde sempre, o germe daquilo que chamamos, ao longo da pesquisa, de Estado Terminal. As distopias, ao menos as de cunho autoritário, elaboram a descrição de uma formação social na qual a variedade dos modos de vida entram em processo de extinção, em função das coordenadas estatais. O mesmo receio de Deleuze e Guattari. Os Estados de supercontrole condicionam a existência de seus membros, bem como rechaçam ou cooptam qualquer forma de resistência aos códigos de controle que inventam. Ao longo da pesquisa traçamos um paralelo entre as descrições de algumas obras distópicas e a teorização acerca do Estado e sua possibilidade de resistência em Deleuze e Guattari. Trata-se de uma problematização que se encontra distante das filosofias políticas mais clássicas, e que está marcada pelo tom de suspeita e preocupação em relação à noção de Estado. Evidenciamos que essa mesma noção é abordada de maneira peculiar pelos dois filósofos em questão e não se resume ao aparato jurídico que se estabelece em ato e conceitualmente com o Estado moderno, mas como uma forma de produção e reprodução que atua nos mais diversos níveis. Há Estado no Congresso, na Constituição e na regulamentação do mercado mundial; como há no operário de fábrica em sua ambição de substituir o chefe, ou no estudante universitário que encontra na vida acadêmica uma condição de conforto. Para tratar dessa problemática, nos dedicamos com mais ênfase aos dois tomos de Capitalismo e Esquizofrenia. Em O Anti-Édipo nos ativemos, principalmente, às noções de máquinas desejantes e socius, uma vez que as formações sociais, como também os modos marginais que resistem a elas, são pensadas por meio desses conceitos. Em Mil Platôs nos dedicamos à teoria das linhas, ao problema da segmentaridade e a vigorosa noção de máquina de guerra, que funcionam como ampliações e revisões dos conceitos já apresentados no primeiro tomo. Defendemos que, tanto em O Anti-Édipo, quanto em Mil Platôs, Deleuze e Guattari mantêm o mesmo receio dos autores distópicos: a preocupação sempre presente de que a forma Estado devenha algo puramente negativo, que entre em processo de destruição daquilo que difere de seus códigos. Mais que isso, afirmamos que os filósofos nos permitem pensar que a distopia não é puramente uma questão de ficção, mas que já se encontra muito bem encarnada nos corpos e nas formações sociais. Uma distopia do real que pode se intensificar e expandir caso cessemos de apresentar modos de resistência criativos.
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Esthétique des Ruines et Dystopie dans le roman Anglais postmoderne : une lecture de Riddley Walker, (1980) de Russel Hoban, Cloud Atlas, (2004) de David Mitchell et The Book of Dave (2006) de Will Self. / Aesthethic of Ruins and Dystopia in Postmodern English Novels : a reading of Russel Hoban's Riddley Walker (1980),David Mitchell's Cloud Atlas (2004) and Will Self's The Book of Dave (2006.

Diop, Babacar 19 November 2016 (has links)
Les concepts de dystopie et de postmodernisme ont pris une dimension nouvelle depuis une vingtaine d’années environ.Ces concepts, qui ont fait l’objet d’études multiples tant sur le plan littéraire qu’historique, pour ne citer que ces deuxdomaines-là, ont révélé d’autres perspectives qui, de notre point de vue, n’ont pas encore été abordées. Il s’agit parexemple du rapport entre la dystopie et les ruines. A travers cette thèse, nous avons étudié les concepts de dystopie et deruines tel qu’ils apparaissent dans trois oeuvres (Riddley Walker, (1980) de Russel Hoban, Cloud Atlas, (2004) de DavidMitchell et The Book of Dave (2006) de Will Self) à la lumière des évènements contemporains et en rapport avec lepostmodernisme. Ce corpus a permis de souligner des liens entre dystopie et postmodernisme grâce à la valeuresthétique, éthique, poétique et politique des ruines dont l’ubiquité nous a fait considérer les oeuvres dystopiquescomme un portrait du monde où nous vivons. Cette thèse a par ailleurs permis de souligner le comportementautodestructeur de l’homme, en rapport avec la notion de progrès qui est constamment remise sur le métier, devenantplus une illusion qu’une réalité au moyen de scènes de violence dont les principales illustrations restent les deux conflitsmondiaux avec la Shoah et les bombes atomiques larguées sur Hiroshima et Nagasaki ainsi que l’utilisation des armeschimiques. En plus d’être un trait d’union entre dystopie et postmodernisme, les ruines s’érigent en témoin du passésinistre de l’homme vers lequel elles guident les contemplateurs tout en leur rappelant la vanité de leur vie etl’évanescence de toute existence. L’ubiquité des ruines ne cesse de plonger survivants et contemplateurs dans unemélancolie à laquelle s’ajoute le trauma lié à la perte et la menace de répétition du passé. Les ruines deviennent alorsune forme d’expression, un langage pour les dystopies postmodernes et, à travers elles, les disparus prennent la parole.Les traces de ce qui a été sont ainsi devenues des médias par lesquels le silence des ruines devient la parole de ceux quine sont plus, révélant de manière continue la présence du passé. / The concepts of dystopia and postmodernism have taken a new dimension for the past two decades. These conceptshave been explored in multiple studies from both literary and historical viewpoints, to name but these two areas thathave revealed other perspectives, which, to our knowledge, have not yet been addressed. This is the case, for example,of the relationship between dystopia and ruins. The present work explores the concepts of dystopia and ruins as theyappear in the three books (Riddley Walker (1980) by Russell Hoban, Cloud Atlas (2004) by David Mitchell and TheBook of Dave (2006) by Will Self) in the light of contemporary events and in connection with postmodernism. Thiscorpus was used to discover the links between dystopia and postmodernism through the aesthetic, ethical, poetic andpolitical values of ruins, the ubiquity of which brought us to consider the dystopian works as a depiction of the world inwhich we live. The present study has also helped highlight the destructive behavior of Man in relation to the notion ofprogress that is constantly questioned, thus becoming more of an illusion than a reality because of scenes of violencemainly illustrated by the two World Wars with the Shoah and the atomic bombs dropped on Hiroshima and Nagasaki,as well as the use of chemical weapons, commonly called mass destruction weapons. Besides being a bridge betweendystopia and postmodernism, ruins stand as witnesses of Man’s sinister past toward which they direct contemplatorswhile reminding them of the vanity of their lives and the evanescence of any existence. The ubiquity of the ruinsrelentlessly plunges survivors and contemplators into a melancholy supplemented by the trauma associated to thefeeling of loss and the threat of a repetition of the past. The ruin thus becomes a form of expression, a language forpostmodern dystopias and through it, the departed speak. The traces of what has been have thus become media through
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Les représentations fictionnelles de la surveillance. Dystopies contemporaines de la redite a l'innovation / Fictional Representations of Surveillance. Contemporary Dystopias from repetition to innovation

Jeannin, Hélène 10 December 2010 (has links)
Une quinzaine d'oeuvres provenant de champs artistiques et culturels différents [littérature et cinéma] réunies par un dénominateur commun, seront soumises à notre questionnement : existe-t-il un idéal type de société sous surveillance ? A travers l'usage de la taxinomie et une approche comparatiste, nous dresserons une typologie des images comme éléments clés des représentations. Au système de multiplication de référents symboliques interne à chaque oeuvre s'ajoute celui d'un réseau de correspondances visuelles exogène basé sur un référentiel d'images quasi immuable. Les oeuvres se révèlent riches en sens et en symboles. Les nombreuses images convoquées par l'écrivain par le biais de métaphores ou autres tropes, rejoignent celles du réalisateur. Une étude transversale aboutit à un répertoire de codifications visuelles portant sur des univers imaginaires. On constate ainsi par ce biais un processus incessant de recyclage d'idées et d'histoires, qui se muent en standard et permettent de capturer une audience de plus en plus internationale, tout en forgeant un imaginaire social qui s'instaure par contagion. Les propos servis sont sérieux. L'ensemble dissémine une vision du monde qui obéit le plus souvent au principe de rationalisation, censé de s ' inscrire dans un ordre du contrôle et de la manipulation. Jaillissent des mondes nouveaux, comme porteurs de révélations quasi universelles. Nos auteurs [de science-fiction] s'inscrivent dans une longue tradition [l'utopie]. Mais la pression du genre, des motifs obligés et des conventions, n'entame pas leur capacité au renouveau, et la redite n'est pas un frein à l'innovation. / About fifteen works from different artistic and cultural backgrounds [literature and cinema], and sharing a common denominator, will be submitted to our questioning: is there an ideal type of society under surveillance? Through the use of taxonomy and a comparatist approach, we will draw up a typology of images as key elements of our representations. The system of multiplying symbolic referents inherent in each work completes a network of visual exogenous correspondence based on a relatively steady image referential. Works prove to be rich, both in meaning and symbol. The many images used by the writer, by means of metaphors or other tropes, meet that of a fiction director. A transversal study leads to a directory of visual codifications bearing upon imaginary worlds. This is how we observe an incessant process of recycling ideas and stories, that evolve into standards, thus enabling to capture the eye of an ever more international public, while forging a social imaginary world, settling in by way of contagion. The topics dealt with are serious. As a whole, they disseminate a vision of the world that obeys, most of the time, a rationalization principle that is supposed to be in line with control and manipulation. New worlds arise, bringing out universal eye-openers. Our [science-fiction] authors fall in with a long tradition [utopia]. But the genre, via obligated topics and conventions, do not for as much pressure one to diminish their capacity for renewal, and repetition does not curb their innovation.
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Analýza argumentů Francise Fukuyamy ilustrovaná na současné dystopické kulturní produkci / An Analysis of Francis Fukuyama's Arguments Exemplified on Contemporary Dystopian Cultural Production

Šinaľ, Martin January 2017 (has links)
In this thesis I analyze and problematize Francis Fukuyama's position on posthumanism, largely expressed in his 2002 book Our Posthuman Future. In it he warns against the likely negative outcome of a potential biotechnological revolution, which could enable easy access to interfering with human genome via practices such as genetic modification or human cloning. Fukuyama's major assumption is that all members of society must meet some limited standards of humanity in order to be equal, because if people acquire different levels of artificially altered "human natures," the outcome will be stratification, irrecuperable inequality and perhaps even class warfare. For this reason, Fukuyama calls for a pre-emptive regulation of genetic manipulation so as to avoid a "posthuman future." I contrast this theory with a selection of transhumanist and feminist theorists as well as with examples from fiction, namely the trilogy Lilith's Brood (1987-1989) by Octavia Butler and the novel Never Let Me Go (2005) by Kazuo Ishiguro. Drawing on these sources I conclude that Fukuyama's position is harmfully exclusionary and divisive; and also counter- productive in the sense that in his pursuit of securing freedom and equality he renders potential posthuman subjects fundamentally inferior, thus principally defeating his...
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La Sociétose suivi de L’illusion du média en direct dans Les Sorcières de la République de Chloé Delaume

Théroux, Alain 05 1900 (has links)
Ce mémoire propose une analyse de la dystopie féministe et mémorielle Les Sorcières de la République de Chloé Delaume, en s'intéressant particulièrement à l’illusion du média en direct que l'autrice y met en scène. Notre but sera de déterminer quel effet cette illusion peut produire dans le format statique d’un récit littéraire imprimé, ainsi que fut notre intention scripturale avec La Sociétose, court roman d’anticipation présenté dans ce mémoire. Seront entre autres convoqués dans la réalisation de ce projet, les philosophes Giorgio Agamben et Tzvetan Todorov, qui guideront notre réflexion, dans le premier cas, sur les intentions critiques de Chloé Delaume, puisque nous posons le postulat que le dispositif encadrant son récit mène à une dénonciation des institutions contemporaines, par la profanation, et que cette critique se veut forte grâce à un direct spectaculaire destiné à servir l'histoire. Dans un second volet réservé aux stratégies langagières, le critique Todorov nous fera voir comment l'enjeu de la parole magique pimente les tribulations croisées des personnages centraux. Notre projet créatif rejoint les Sorcières de Chloé Delaume à maints égards. La Sociétose raconte l'histoire d'une anthropolinguiste mondialement connue pour avoir créé un idiome inclusif, que le gouvernement nomme, sans raison apparente, en 2067, à la tête d'un organisme de haute instance destiné à éradiquer cette langue. Tout au long du récit, cette femme au cheminement contradictoire, fera l'objet d'une série d'émissions spéciales menées en direct dans le contexte de vifs débats linguistiques qui étouffent l'espace public alors que gronde la menace d'opérations subversives. Les deux récits au cœur de notre travail en recherche/création ont cours dans le futur, et à leur manière de « direct littéraire » mettent en scène des voix qui luttent contre leur effacement. / This project offers an analysis of the feminist and memorial dystopia Les Sorcières de la République, a novel by Chloé Delaume focusing on a live media broadcast staged by the author. Our goal will be to determine what effect this illusion can produce in the static format of a book, as was our scriptural intention with La Sociétose, a short anticipatory novel presented in this essay. Among others, the philosophers Giorgio Agamben and Tzvetan Todorov, will guide our reflection, in the first case, on what we supposed to be the critical intentions of Chloé Delaume, towards contemporary institutions, in a goal of denunciation by profanation. In a second section underlining language strategies, the Bulgarian critic Todorov will show us how magic speech intervene in the course of the central characters. Our creative project joins Les Sorcières of Chloé Delaume in many ways. La Sociétose tells the story of an anthropolinguist, Milénia Bernard, known worldwide for having created an inclusive language. For no apparent reason the government appoints Milénia, in 2067, to manage a high-level state organization intended to eradicate this language. Throughout the story, this contradictory character will be the subject of a series of special live programs in the context of fiery linguistic debates while a riot is to be prepared by fanatics. The two stories, La Sociétose an Les Sorcières complete each other in our research and creation work
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Moderní dystopie a současná západní společnost / Modern Dystopia and Contemporary Western Society

Macháček, Jiří January 2016 (has links)
The main purpose of this thesis is to analyze how the contemporary western society is reflected in the modern dystopian works' perspective. Key problems and aspects defining today's western society, e.g. consumerism and the role of science and technology, are specified in the introductory part of the thesis. The next part concerns with dystopian creation. Firstly there is focus on dystopian genre characteristics and its roots and typology. Secondly there is introduced a triad of classical dystopian works' representatives: Brave New World by Aldous Huxley, 1984 by George Orwell and Fahrenheit 451 by Ray Bradbury. Every work is shortly introduced with its synopsis in the beginning and key features of described visions of society follow afterwards. Then the thesis speaks about chosen modern dystopian works' representatives in detail: The Matrix by the Wachowskis, Hunger Games by Suzanne Collins and Divergent by Veronica Roth. After the synopsis summary of each there is an analysis of key features, a comparison with classical dystopias and a search for parallels in the contemporary western society. Questions how modern dystopias reflect modern society and how they correlate with classical dystopias and expert literature concerning contemporary social phenomena are answered in the conclusion of the thesis.
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Zur Intertextualität und Intermedialität in Günter Grass’ Die Rättin : Das Märchen im Zeitalter seiner dystopischen Reinszenierbarkeit

Ley, Lisa Maria January 2021 (has links)
This study focuses on the elements of intertextuality and intermediality in the novel Die Rättin by Günter Grass. It is an attempt to place the text in a context of literary theory and contemporary society as well as in a deeply rooted tradition of storytelling that feeds the author’s inspiration and motivates a continuous dialogue between different works of fiction. It is also a reflection on the impact of different media on the development of art. The study leans on Walter Benjamin’s classic essay The Work of Art in the Age of Mechanical Reproduction and its aim is to show how the postmodern reality shapes a new form of art, which uses cross-referencing between different means of artistic expression to maintain the “aura” of originality despite mass production of stereotypical stories and works of art. Grass incorporates both the underlying art theory and art production itself in his rich narrative of the dying and resurrection of mankind and art. In Die Rättin, his original concepts of intertextuality and intermediality reach mastery. This study highlights the various ways in which Grass spins his narrative around an idea of the “Gesamtkunstwerk” of human creation.

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