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Philosopher selon Thompson M. Clarke ou la paradoxale équivocité de l'ordinarité : la question de l'emprise de l'expérience et du langage sur les conditions de la connaissance et du scepticisme / Philosophizing according to Thompson M. Clarke, or the paradoxical equivocalness of ordinarity : the question of the influence of experience and language on the conditions of understanding and of skepticism

Cormier, Stéphane 06 July 2012 (has links)
Notre étude s'attache à reconnaitre en Thompson Clarke, le précurseur d'un contextualisme épistémique puissant qui rend compte de l'applicabilité conceptuelle et ce que prétendent signifier les philosophes. En effet, Clarke examine les définitions épistémologiques traditionnelles à propos de la nature des concepts, du philosopher, de l'ordinarité et du scepticisme. En étudiant la nature de l'épistémologie traditionnelle, il ambitionne de substituer à la méthode austinienne, sa propre méthode d'examen des présupposés concernant la nature de l'expérience et du langage. Il défend ainsi une philosophie de la connaissance programmatique qui nous interroge sur ce que nous faisons avec nos concepts en matière de connaissance. Elle peut être réalisée à partir de l'examen du legs du scepticisme, à savoir : un nouvel éclairage apporté à la nature et aux procédures du scénario sceptique montre manifestement que la prétendue objectivité attribuée à l'ordinarité n'est que superficielle ou relative. L'idée clarkienne de relative non-objectivité n'est en aucune mesure identifiable ou réductible à un relativisme ou à un subjectivisme épistémique. Selon Clarke, il n'existe pas de traits internes à l'expérience. Il suggère simplement que l'existence des objets nous est confirmée à partir de traits caractéristiques que nous discernons, reconnaissons et identifions comme tels. Ces traits qui caractérisent les objets nous permettent d'établir l'applicabilité des concepts. Or, l'ordinarité n'a pas proprement de traits qui la restreindraient à être de telle ou telle manière, comme le prétendent les philosophes et les sceptiques. Cette prétention relève d'un rêve d'une complétude intégrale de la concevabilité de la structure de l'ordinarité partagé implicitement par les épistémologues et leurs détracteurs, les sceptiques. Le rêve et la veille ne sont pas deux expériences au sein d'un genre qu'il suffirait d'identifier. Tout comme le rêve n'a pas de traits caractéristiques qui viendraient déterminer son application ou sa non-application, l'ordinarité n'a pas de traits en propre qui nous permettent fondamentalement de déterminer et de fixer, ni une limite à celle-ci, ni une frontière absolue entre le philosophique et le non philosophique. Pour ces raisons, selon Clarke, nous ne savons pas foncièrement, ni ce qu'est un concept, ni pourquoi les concepts et leurs applications, comme ceux de Plain et de Philosophical, sont susceptibles d'être sensible au contexte. / Our study focuses on the recognition that Thompson Clarke was the precursor of a powerful epistemic contextualism which gives an account of conceptual applicability and what philosophers claim to mean. Clarke examines the traditional epistemological definitions pertaining to the nature of concepts, of philosophizing, of ordinarity and of skepticism. By studying the nature of traditional epistemology, his ambition is to substitute his own method for examining presuppositions with regard to the nature of experience and of language for that of Austin. He thus defends a philosophy of programmed understanding which makes us look at what we do with our concepts regarding understanding. It can be achieved by an examination of the legacy of skepticism, i.e. a new light thrown on the nature and the procedures of the skeptic’s scenario manifestly show that the so-called objectivity attributed to ordinarity is only superficial or relative. The Clarkian idea of relative non-objectivity is in no way identifiable with, or merely reduced to, epistemic relativism or to epistemic subjectivism. According to Clarke, experience has no internal features. He simply suggests that the existence of objects is confirmed by characteristic features that we discern, recognize and identify as such. These features which characterize objects enable us to establish the applicability of the concepts. However, ordinarity does not strictly have features which would restrict it from being thus or thus as philosophers and skeptics claim. This claim belongs to a dream of a completedness of the conceivability of the structure of ordinarity shared implicitly by the epistemologists and their detractors, the skeptics. The states of dreaming and waking are not two experiences of a type which it suffices to identify. Just as the dream does not have characteristic features which will determine its application or its non-application, ordinarity does not have features of its own which fundamentally enable us to determine and to fix either a limit to it, or an absolute boundary between the philosophical and the non philosophical. For these reasons, according to Clarke, we don’t really know what a concept is, nor why concepts and their applications, such as those of the Plain and of the Philosophical, are likely to be context-sensitive.
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EMPEIRIA. La querelle de l'expérience (Aristote, Platon, Isocrate) / EMPEIRIA. The quarrel of experience (Aristotle, Plato, Isocrates)

Ribas, Marie-Noëlle 20 November 2015 (has links)
Cette thèse de doctorat étudie la manière dont Aristote, Platon et Isocrate font du recours à la notion d’empeiria et de la promotion d’une certaine conception de l’expérience, le moyen de se défendre contre l’accusation d’inexpérience qui les vise et de polémiquer entre eux sur la question de l’excellence, dans les domaines théorique, technique et pratique. Cet examen permet d’éclairer sous un jour nouveau la question de l’empirisme antique, en considérant, d’une part, la critique que Platon et Aristote adressent à une certaine conception empirico-sophistique des savoirs et de la pratique, en reconsidérant de l’autre, le supposé empirisme d’Aristote. Si la notion d’empirisme n’a pas d’équivalent en grec, Platon fait de la notion d’empeiria, désignant une forme de pratique non-technique ignorant les causes, un instrument polémique permettant de souligner le défaut de technicité des différentes techniques, que les sophistes se font forts de transmettre. En mettant l’accent sur « l’expérience de la vérité », Platon remet en question l’empirisme de ceux qui ignorent la valeur théorique et pratique de la connaissance des réalités intelligibles. Aristote poursuit la réflexion, en reconsidérant le rôle positif, cognitif et pratique, de l’empeiria comme connaissance acquise à partir de la sensation. Aristote poursuit la critique d’un certain empirisme, dont se rendent coupables tous ceux qui échouent à s’élever à la connaissance de l’universel, tout en déplorant le défaut d’empeiria de ceux dont le savoir est purement théorique. Si comme Platon, Aristote n’est pas un empiriste, parce qu’il refuse de faire de la sensation le principe de la connaissance et le critère du vrai, son rationalisme diffère de celui de Platon, par le rôle reconnue à la sensation et l’expérience dans les domaines théorique, technique et pratique. Cette étude entend révéler l’urgence de distinctions en philosophie de la connaissance dans le cadre des études anciennes, comme la distinction entre le rationalisme logique de Platon et le rationalisme empirique d’Aristote, par exemple, permettant de mesurer l’originalité des doctrines antiques sur des problèmes aussi fondamentaux que l’origine et le principe de la connaissance et de l’action bonne. / This dissertation investigates how Aristotle, Plato and Isocrates use the notion of empeiria and promote a certain conception of experience, in order to defend themselves from the charge of inexperience made against them, and also in order to debate about the question of excellence in the theoretical, technical and practical fields. This study sheds some new lights on ancient empiricism, by investigating, on one hand, Plato’s and Aristotle’s criticism against an empiricist sophistic approach of knowledge and action, and, on the other hand, the so-called Aristotelian empiricism. Although the concept of ‘empiricism’ has no equivalent in Greek, Plato uses the notion of empeiria to designate a non-technical form of action, in order to underlie a lack of technicality and to question the value of what some sophists claim to teach under the name of technai. While insisting on a philosophical kind of experience of truth, Plato criticizes what appears to be the empiricism of those who ignore the theoretical and practical value of the knowledge of intelligible realities. Aristotle goes beyond this stance by re-evaluating positively the role of empeiria, both in its cognitive and practical aspects, as a specific kind of knowledge, derived from sense-perception. He still criticizes the empiricism of those who fail to reach a certain kind of knowledge, namely the knowledge of universals, but also adds a criticism against those who lack the knowledge of particulars acquired through sense-perception and experience.If Aristotle is no more an empiricist than Plato, since he does not recognize sense-perception as the principle of knowledge and as the criterion of the truth, his rationalism is quite different from Plato’s, because of the important role he gives to sense-perception and experience in all areas. This study intends to break through in the direction of some distinctions in ancient philosophy, such as the distinction between Plato’s logical rationalism and Aristotle’s empirical rationalism, which would enable us to re-evaluate the originality of the Ancients on some fundamental issues like the problem of the origin and principle of knowledge and of good action.
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L'innéité des facultés de l'esprit : Repenser l'innéité comme condition du développement / The innateness of the faculties of the mind : Rethinking innateness as a developmental condition

Reynaud, Valentine 08 December 2011 (has links)
Dans ce travail, nous proposons d’interroger la notion d’innéité des facultés de l’esprit, dans l’histoire de la philosophie et dans le débat contemporain. Nous commençons par montrer que toute hypothèse concernant l’innéité des facultés de l’esprit – qu’elle soit innéiste ou empiriste – pose un problème explicatif que nous nommons le « problème de la tautologie ». C’est en dévoilant les présupposés épistémologiques de chaque hypothèse que nous révélons la présence de ce problème au sein du débat classique sur les idées innées, mais aussi au cœur du débat contemporain amorcé par les travaux en linguistique de Noam Chomsky. L’identification d’une faculté innée spécifique ou d’une capacité générale semble toujours découler de choix métaphysiques ou épistémologiques a priori. En ce sens elle n’est jamais justifiée de façon satisfaisante. C’est pourquoi, une position intermédiaire (constructiviste) apparaît plus convaincante. En outre, l’analyse des différentes définitions de l’innéité souligne la nécessité de renoncer non pas à la notion même d’innéité certains philosophes contemporains le pensent, mais à l’attribution d’un contenu a priori à l’innéité. Nous pensons que l’innéité est un terme épistémique auquel il est seulement possible d’attribuer de façon a priori un statut formel. L’innéité doit donc être redéfinie comme une condition du développement. Le terme condition permet en effet, d’une part, de souligner le statut épistémique de l’innéité qui est un terme relatif à une explication, celle du développement ; d’autre part, d’insister sur le fait que l’innéité n’est pas dénuée de consistance ontologique. Le développement cognitif n’aurait tout simplement pas lieu sans elle. Nous défendons ainsi l’idée qu’il est possible de minimiser le « problème de la tautologie » par une redéfinition de la notion d’innéité et par l’élaboration d’une méthodologie propre à établir l’innéité de certaines facultés de l’esprit sans la présupposer et qui prend en compte le développement cognitif. Pour finir, nous appliquons la méthodologie proposée à l’exemple de la faculté de langage et nous essayons de défendre une hypothèse précise concernant son innéité. / In this work, we examine the notion of innateness of faculties of mind, in the history of philosophy as well as in the contemporary debate. Firstly, we show that any hypothesis on innateness of faculties of mind – whether innatist or empiricist – raises an explanatory problem that we called “the tautology problem”. Identifying epistemological presuppositions of each hypothesis leads us to reveal the presence of this problem within both the classical debate on innate ideas and the contemporary debate on innate mind structure initiated by Chomsky’s linguistic work. Assumptions on domain-specific innate faculty or general capacity always seem to follow from a priori metaphysical or epistemological options. If so, they are not satisfactory justified. The constructivist position appears to be an intermediary relevant way, with conditions to be defined. Furthermore, analysis of different definitions of innateness reveals the necessity to renounce to attribute an a priori content to innateness (and not to renounce to the concept of innateness as some contemporary philosophers argue). We think that innateness is an epistemic term to which it is only possible to attribute a priori a formal status. We claim then that innateness must be redefined as condition of development because the term condition underlines on the one side the epistemic status of innateness, which is an explanatory-dependent term; on the other side its propensity to have an ontological plausibility: cognitive development does not occur without something innate. Thus, we advance that it is possible to minimize “the tautology problem” by redefining innateness and by elaborating a methodology capable of establishing innateness of some faculties of mind without presupposing, taking into account cognitive development. To conclude, we apply the advanced methodology to the example of the faculty of language and try to defend an assumption about its innateness.

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