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L'empirisme modal / Modal empiricism

Ruyant, Quentin 29 September 2017 (has links)
L'objet de cette thèse est de proposer une position originale dans le débat sur le réalisme scientifique, l'empirisme modal, et d'en démontrer la fructuosité quand il s'agit de tirer des enseignements du contenu cognitif des théories scientifiques. L'empirisme modal est une position empiriste, suivant laquelle le but de la science n'est pas de produire des théories vraies, mais des théories empiriquement adéquate. Cependant, il propose d'adopter un cadre plus large que les versions traditionnelles d'empirisme pour penser l'expérience, en incorporant un engagement envers les modalités naturelles, ou l'idée qu'il y a du possible dans la nature, et des contraintes sur les possibles. Nos théories sont empiriquement adéquates si elles délimitent correctement l'étendue des expériences possibles. Cette position s'appuie sur une conception située et pragmatique des modalités naturelles et de la confrontation empirique. Nous prétendons qu'elle est à même de rendre justice au succès empirique des sciences, sans pour autant faire face au problème du changement théorique qui mine le réalisme scientifique. Nous expliquons comment les contraintes de nécessité sur les phénomènes peuvent être connues à l'issue d'une induction, et en quoi cette façon de voir s'accorde avec la pratique scientifique. Enfin, nous affirmons qu'un engagement envers les modalités naturelles offre une richesse interprétative à même de renouveler, dans un cadre pragmatiste, plus ouvert que le réalisme, certaines questions métaphysiques tout en les ramenant à l'expérience. / The aim of this thesis dissertation is to propose a novel position in the debate on scientific realism, modal empiricism, and to show its fruitfulness when it comes to interpreting the cognitive content of scientific theories. Modal empiricism is an empiricist position, according to which the aim of science is to produce empirically adequate theories rather than true theories. However, it suggests adopting a broader comprehension of experience than traditional versions of empiricism, through a commitment to natural modalities. Following modal empiricism, there are possibilities in nature, and constraints on what is possible, and a theory is empirically adequate if it correctly delimits the range of possible experiences. The position rests on a situated and pragmatic conception of natural modalities and of empirical confrontation. We claim that it can do justice to the empirical success of science, while not falling prey to the problem of theory change that undermines scientific realism. We explain how constraints of necessity on phenomena can be known by induction, and how this modal epistemology fits with scientific practice. Finally, we claim that a commitment to natural modalities allows for a rich interpretation of the cognitive content of theories. Modal empiricism could renew some metaphysical debates within a pragmatist framework, by tying them to experience and not being constrained by realist prejudices.
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Vers une approche empirique du sadisme sexuel

Turcotte, Yvan, January 2007 (has links)
Thèse (Ph.D.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2007. / Titre de l'écran-titre (visionné le 27 févr. 2008). In ProQuest dissertations and theses. Publié aussi en version papier.
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L’explication scientifique au sein de l’empirisme constructif de Bas van Fraassen

Cashman-Kadri, Samuel 23 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2015-2016 / Ce mémoire de philosophie des sciences est centré autour de la notion d'explication scientifique. Plus précisément, il sera question d'exposer la théorie pragmatique de l'explication proposée par Bas van Fraassen afin de montrer ses rapports avec la théorie de l'empirisme constructif défendue par le même auteur. Dans un premier temps, afin de bien comprendre les enjeux épistémiques liés à la notion d'explication scientifique et de comprendre le contexte dans lequel van Fraassen développe ses idées, trois des modèles de l'explication scientifique les plus influents en philosophie des sciences contemporaine, soit le modèle déductif-nomologique hempélien, le modèle unificationniste de Philip Kitcher et le modèle causal mécanique de Wesley Salmon seront exposés. Par la suite, une brève présentation des notions les plus importantes de l'empirisme constructif sera effectuée. Finalement, après avoir présenté la théorie pragmatique de l'explication telle que défendue par van Fraassen, je soutiendrai la thèse que ce modèle de l'explication, tout en étant compréhensible et défendable indépendamment de l'empirisme constructif, est entièrement fidèle à l'esprit général de cette théorie antiréaliste de la science.
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Si c'est vrai, qu'est-ce que ça change ?William James :fabrique des savoirs, fabrique philosophique

Drumm, Thierry 05 September 2014 (has links)
La tentative menée ici consiste à s’adresser au travail de William James (1842-1910) afin d’y chercher des moyens pour répondre à un problème qui nous concerne intensément :celui du décret séparant la connaissance et le changement. James nous rend en effet sensibles à la manière dont les conceptions habituelles avaient constamment maintenu un point de vue qui interdisait en principe qu’une idée puisse faire une différence. Il nous permet également de sentir à quel point ces conceptions ne peuvent qu’être profondément désespérantes. Cinq moments vont se succéder. Dans un premier temps, il s’agira, avec James, de nous connecter à la situation déconnectée, de saisir cette situation dans les dispositifs mêmes qui y creusent un gouffre séparant « la pensée » d’une « réalité » qui lui semble étrangère. Cette « saisie » s’efforce de remédier à l’anesthésie face à des conceptions qui produisent le désespoir et l’indifférence (« Se connecter / Situer »). Dès lors qu’est, au moins partiellement, levée la sidération qu’entraînent les versions rationalistes des connaissances, il devient possible de ré-épaissir ce que James appelle les « trois départements » de l’intelligence, ces modes d’expériences qui nourrissent les pratiques concrètes de connaissance. Pour commencer, c’est « agir » qui n’apparaît plus comme une incongruité quand il est question de connaître. La quête de certitudes indifférentes n’est pas tenable :connaître requiert la culture d’une confiance active et collective capable de rendre vraies des idées non-garanties (« Faire confiance / Agir »). Ensuite, c’est à propos des sensations que l’on s’aperçoit combien rien ne justifie de les vider de toute activité et de toute capacité. Cinq contraintes jamesiennes (épaissir, particulariser, pluraliser, relativiser, machiner) sont convoquées pour explorer les possibilités ouvertes à cet égard par un empirisme radical (« Faire le plein / Sentir »). Mais, les sensations ne se distinguant des conceptions que d’un point de vue pratique, les premières ne retrouvent pas des couleurs sans que les secondes n’en fassent autant. Les conceptions sont libérées de l’obligation qui leur était faite de seulement « copier » une réalité supposément toute faite ;prises concrètement, elles apparaissent comme pouvant désigner ces opérations délicates qui permettent aux mondes de déplier de multiples versions. C’est toute une agitation que de concevoir (« Faire des histoires / Concevoir »). Ces opérations jamesiennes (« se connecter », « faire confiance », « faire le plein », « faire des histoires ») ne visent aucunement la révélation d’une « nature » qui définirait la « pensée », mais, au contraire, elles visent l’activation de possibilités inattendues d’inventer des connaissances significatives, particulières et intéressantes. Il apparaît que ces possibilités – c’est l’hypothèse de James – avaient été tout spécialement limitées par l’omission des expériences concrètes de relation. Cette omission s’était accompagnée de la constitution tout à fait effective d’une pensée « privée » (« privée » à plus d’un titre). Il s’agit alors de relayer encore cette autre opération jamesienne – qui irriguait toutes les autres mais qui exige pour finir une attention spécifique –, celle qui consiste à restaurer les expériences de relation et à intensifier l’importance des « marges » et des « radicelles » (« S’associer / Agirpâtir »). / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La science et l'espace public de la conception scientifique du monde au "Vivre ensemble" chez Otto Neurath

Moysan-Lapointe, Héloïse January 2012 (has links)
Le mémoire vise à dégager le lien entre la connaissance scientifique et les interactions politiques décrit par Otto Neurath à travers son oeuvre. Pour ce faire, il est nécessaire de présenter l'empirisme logique de Neurath dans certaines de ses spécificités, puis d'évaluer comment cette approche épistémique est indissociable de questions politiques et sociales. Après avoir explorés [i.e. exploré] certaines caractéristiques du modèle épistémique formulé par Neurath, on s'intéressera plus spécifiquement à la question de l'unité de la science, à travers laquelle on peut saisir plusieurs des préoccupations fondamentales de Neurath comme l'articulation de la connaissance à l'action, les limites de la connaissance relatives aux limites du langage et les limites de la connaissance relatives aux limites pratiques de l'action. Dans un deuxième temps, on pourra comprendre comment cette conception de la science et de la connaissance est élaborée dans la perspective d'une utilisation démocratique de la connaissance. L'intérêt de Neurath est de considérer l'utilité de la science dans l'espace public non seulement quant à l'apport d'informations qu'elle permet, mais aussi des outils discursifs utiles à un processus décisionnel rationnel, démocratique et transparent. Il faudra cependant considérer les limites de tels outils en rappelant les questions relatives aux limites de la science, les liens entre ces limites, la forme de pluralisme politique impliquée, et le caractère lui-même politique de l'activité scientifique. On pourra finalement évaluer le potentiel politique du langage empirique proposé par Neurath comme part constituante de la délibération démocratique. Si le verdict est positif, on pourra alors admettre la valeur éthique de la normativité épistémique pragmatiste proposée par Neurath.
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La querelle analogie-anomalie : Cratès de Mallos était-il anomaliste?

Gagnon, Philippe 09 1900 (has links)
Ce mémoire portera sur un aspect négligé de la querelle analogie-anomalie, la position des soi-disant anomalistes. On s'appliquera en effet à confronter le portrait de l'anomaliste présenté par Varron dans son De Lingua Latina, qui passe souvent pour être Cratès de Mallos, à ce que nous connaissons du grammairien à travers les scholies homériques. En un premier temps seront résumés et analysés les livres 8 à 10 du De Lingua Latina, seul témoignage positif au sujet de la querelle. Au deuxième chapitre seront examinés puis rejetées les sources grecques que la critique moderne a jugées perninentes à la reconstruction de la querelle. Une attention particulière sera accordée à l'école empiriste, à laquelle on a voulu associer la supposée école anomaliste. L'attaque de la grammaire par Sextus Empiricus (Adversus Mathematicos I) sera aussi abordée en détail et ce traité antigrammatical sera mis en parallèle avec le livre 8 du De Lingua Latina. Au troisième chapitre la querelle sera enfin remise dans son contexte original, celui des éditions alexandrines et pergaméennes des auteurs classiques, en particulier Homère. Après une historique du développement de la diorthose (correction des manuscrits d'Homère) de Zénodote à Aristarque, un survol des leçons qui sont attribuées à Cratès montrera le désaccord entre les deux protagonistes de la querelle sur la pratique de l'analogie dans l'édition d'un nouveau texte de la poésie homérique. L'apparition d'anomalies grammaticales dans les leçons de Cratès s'explique par la théorie littéraire euphoniste dont il était partisan. / In this thesis a neglected aspect of the analogist-anomalist controversy will be addressed, that is, the position of the so-called anomalists. Namely, we will compare the anomalist sketched by Varro in his De Lingua Latina, who is often taken to be Crates of Mallos, to what we know of this grammarian through the Homeric scholia. First, books 8-10 of the De Lingua Latina, the only positive evidence about the quarrel, will be summarized and analyzed. In the second chapter we will examine and reject the Greek sources which some modern scholars have thought to be useful for the reconstruction of the controversy. Special attention will be paid to the empirical school, to which some have tried to associate the alleged anomalist school. Sextus Empiricus' attack on grammar (Adversus Mathematicos I) will also be addressed in detail. In the third chapter, the controversy will finally be contextualized in its original context, that of the Alexandrian and Pergamene editions of classical authors, especially Homer. After sketching the development of diorthosis (the «correction» of Homer's manuscripts) from Zenodotus to Aristarchus, a survey of the readings attributed to Crates will show the disagreement between the two opponents of the quarrel about the practice of analogy in the editing of a new text of the Iliad and the Odyssey. The appearance of grammatical anomalies in the readings of Crates will be explained by the literary theory of euphony, of which he was a proponent.
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Sur la transformation spinoziste de l'idée de transcendantal dans la première philosophie de G. Deleuze / On the Spinozist transformation of the idea of transcendental in G. Deleuze's early philosophy

An, Jing 20 June 2013 (has links)
L'idée de transcendantal, selon son inventeur E. Kant, doit être conçue comme la condition pure et préalable de toute expérience possible. Mais, pour G. Deleuze, une telle idée de transcendantal implique deux défauts fondamentaux : d'une part, elle n'est pas susceptible de rendre compte de la singularité de l'expérience réelle et sensible ; d'autre part, elle présuppose illégitimement qu'il existe un rapport de ressemblance entre le transcendantal qui est la condition et l'empirique qui est le conditionné. Ayant l'ambition de renouveler l'idée de transcendantal en dépassant ces deux limites foncières du transcendantalisme kantien, Deleuze élabore son propre empirisme transcendantal qui détermine le principe générateur du sensible singulier comme la différence d'intensité et définit la condition transcendantale non-semblable comme la différence de virtualité. La différence d'intensité et la différence de virtualité sont respectivement les objets des deux parties de l'empirisme transcendantal qui sont l'esthétique impliquante et la dialectique problématique. De plus, la différence d'intensité et la différence de virtualité, toutes les deux sont les multiplicités qui s'opposent à la simplicité de l'essence de la métaphysique traditionnelle. Et la théorie deleuzienne de la multiplicité complètement différenciée et absolument infinie trouve son origine de la philosophie de Spinoza qui se déploie à travers trois moments qui sont la substance en tant que Multiplicité suprême, l'attribut en tant que multiplicité intensive, et le mode existant en tant que multiplicité extensive. / The idea of transcendental, according to its inventor I. Kant, should be conceived as the pure and priori condition of any possible experience. However, for G. Deleuze, such an idea of transcendental involves two fundamental flaws: on the one hand, it cannot explain the singularity of the real and sensible experience; on the other hand, it presupposes illegitimately that there exists a relation of resemblance between the transcendental qua condition and the empirical qua conditioned. Having the ambition of renewing the idea of transcendental by surpassing these two limits of the Kantian transcendentalism, Deleuze elaborates his own transcendental empiricism which determines the generic principal of singular sensible as the difference of intensity and defines the non-ressemblable transcendental condition as the difference of virtuality. The difference of intensity and the difference of virtuality are respectively the objects of the two parts of the transcendental empiricism that are the implicating aesthetics and the problematic dialectics. Furthermore, both the difference of intensity and the difference of virtuality are the multiplicities which oppose to the simplicity of the essence of the traditional metaphysics. And the Deleuzian theory of the completely differentiated and absolutely infinite multiplicity finds its origin in Spinoza's philosophy which extends itself through three moments that are the substance qua supreme Multiplicity, the attribute qua intensive multiplicity, and the existing mode qua extensive multiplicity.
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Le système philosophique de Gilles Deleuze (1953-1970) / Gilles Deleuze’s philosophical system (1953-1970)

Krtolica, Igor 10 December 2013 (has links)
Le projet le plus général de Deleuze consiste en ceci : penser les conditions de l’expérience réelle, expérimenter les conditions de la pensée pure. Ce projet ne sera pleinement accompli qu’au début des années 1990, hors du cadre chronologique de notre étude (1953-1970). Nous soutenons la thèse que ce projet général non seulement repose sur un système philosophique précis, mais aussi qu’il se confond avec lui. Ce système se présente chez Deleuze sous différents noms : empirisme transcendantal, philosophie de l’expression, philosophie de la différence et de la répétition, logique du sens ou encore philosophie critique. Sous ces noms, nous croyons que c’est la philosophie comme système de l’expérience qui est en jeu. Deleuze n’oppose pas le système et l’expérience. Si la philosophie de Spinoza a longtemps été lue comme un système sans empirie, celle de Deleuze a surtout été interprétée comme un empirisme sans système. Certaines de ses déclarations nous invitent pourtant à penser autrement : le système n’est pas plus une construction logique abstraite que l’expérience n’est une réalité irréductible au système. La philosophie ne s’oppose donc pas à l’expérience chez Deleuze, elle en pense les conditions systématiques et elle est elle-même une expérience. C’est la genèse et la structure de cette philosophie que nous avons tenté de dégager dans cette recherche. Nous avons cru pouvoir montrer, non pas que le système et l’expérience sont une seule et même chose chez Deleuze, mais que la philosophie prétend atteindre au point où ils passent l’un dans l’autre. / The most general project of Deleuze consists in thinking the conditions of real experience, experimenting the conditions of pure thought. This project will only be eventually accomplished at the beginning of the nineties, that is to say after the period set for of our study (1953-1970). We defend the thesis that this general project is based upon a precise philosophical system, and above all, that it merges with it. This system, in Deleuze’s work, appears under different names: transcendental empiricism, philosophy of expression, philosophy of difference and repetition, logic of sense, or also critical philosophy. Under those names, we believe that philosophy as a system of experience is what is at stake. Indeed, Deleuze doesn’t oppose system and experience. If Spinoza’s philosophy has long been read as a system without an empiric dimension, that of Deleuze has mostly been interpreted as a non systematic empiricism. Yet some of his assertions lead us to think differently: the system is no more an abstract logical construction than experience is a reality irreducible to a system. Deleuze’s philosophy isn’t opposed to experience, it sets its systematic conditions and it is an experience in itself. It is the genesis and the structure of this philosophy that we have tried to expose in this research. Through this work, we believe we’ve managed to show that system and experience are not one and the same thing for Deleuze, but that philosophy claims it reaches the point where they become indiscernible.
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Sur la transformation spinoziste de l'idée de transcendantal dans la première philosophie de G. Deleuze

An, Jing 20 June 2013 (has links) (PDF)
L'idée de transcendantal, selon son inventeur E. Kant, doit être conçue comme la condition pure et préalable de toute expérience possible. Mais, pour G. Deleuze, une telle idée de transcendantal implique deux défauts fondamentaux : d'une part, elle n'est pas susceptible de rendre compte de la singularité de l'expérience réelle et sensible ; d'autre part, elle présuppose illégitimement qu'il existe un rapport de ressemblance entre le transcendantal qui est la condition et l'empirique qui est le conditionné. Ayant l'ambition de renouveler l'idée de transcendantal en dépassant ces deux limites foncières du transcendantalisme kantien, Deleuze élabore son propre empirisme transcendantal qui détermine le principe générateur du sensible singulier comme la différence d'intensité et définit la condition transcendantale non-semblable comme la différence de virtualité. La différence d'intensité et la différence de virtualité sont respectivement les objets des deux parties de l'empirisme transcendantal qui sont l'esthétique impliquante et la dialectique problématique. De plus, la différence d'intensité et la différence de virtualité, toutes les deux sont les multiplicités qui s'opposent à la simplicité de l'essence de la métaphysique traditionnelle. Et la théorie deleuzienne de la multiplicité complètement différenciée et absolument infinie trouve son origine de la philosophie de Spinoza qui se déploie à travers trois moments qui sont la substance en tant que Multiplicité suprême, l'attribut en tant que multiplicité intensive, et le mode existant en tant que multiplicité extensive.
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Palabra y pensamiento en Borges. La reflexión filosófica borgeana a través del análisis de su poética

Naveira de del Valle, Liliana María 21 April 2005 (has links)
En las letras argentinas, en particular, y aun en el ámbito de la cultura universal, se destaca la figura de Jorge Luis Borges, como poeta y pensador. A través de la lectura de sus obras, es posible descubrir a un narrador inquisitivo que, a la vez que medita sobre el valor de la palabra en la Modernidad, postula una Estética que conduce a la reflexión filosófica.En efecto, la mayoría de sus textos nos remiten, por vía de una Poética, ya sea a lo metafísico -el problema del tiempo y del ser , o a lo teológico -fundado en la cuestión de la Eternidad--.Atentos a tal particularidad de la obra borgeana, es el propósito de esta tesis investigar ese acercamiento a los grandes problemas filosóficos, planteados por el escritor argentino, a partir de la exégesis de su arte poética, es decir, a partir del análisis significativo de la palabra.Sobre la base de las producciones del poeta en las que se incluyen los campos semánticos de Cielo - Infierno, Cuerpo y Alma, Bien y Mal, Fe y Razón, se construye un universo lingüístico semiótico en el cual, una vez delimitados los ámbitos estético y filológico, es posible trascender el análisis puramente lingüístico, a fin de alcanzar las connotaciones filosóficas que operan en la obra del escritor argentino. A partir del examen del papel denotativo - connotativo de la palabra, y la relación entre metáfora y símbolo, concatenadas a su vez con la analogía, pueden asimismo delimitarse los mecanismos con que operan Poesía y Filosofía. Reconocido el influjo filosófico, se establece que dos son las profundas raíces de las que Borges es deudor: nominalista una, neoplatónica la otra. Por lo tanto, en primer término, se evalúa la adhesión a la postura de la desacralidad de la palabra, de fuerte raíz nominalista. Se analiza el influjo de Guillermo de Ockham y el del empirismo inglés (Locke, Berkeley, Hume) respecto del lenguaje.En segundo término, se investiga el uso del nombre como símbolo, bajo el influjo de platonismo y neoplatonismo. Se reúnen los conceptos desarrollados en las secciones precedentes, ahondando la reflexión respecto del ideario platónico y su reelaboración lingüístico semiótica en la obra de Borges. Se delimitan los alcances de una postura filosófica plena, y las limitaciones en el acceso a la reflexión sobre el Ser si se prescinde de una vía iluminativa. Se estudia cómo y hasta dónde una Estética puede conseguir trascendencia. Se propende igualmente a integrar las reflexiones sobre Estética y verdad filosófica, constituidas en relación a una filosofía del lenguaje.A la luz de la exégesis se corroboran las siguientes consideraciones:Las reflexiones filosóficas de Borges están elaboradas en función de un objetivo filológico hermenéutico y/o estético.Filosofía y Literatura se constituyen en un aparato conceptual desde el cual mirar el mundo.La meta de la poética borgeana es remitir a una Metafísica por vía de la palabra. / Jorge Luis Borges, the argentine writer, is greatly recognised in the fields of Literature, as a famous and most excellent poet, as well as in Philosophy, due to his texts about Time, Eternity, Theology. His production includes the reflections about Aesthetics, the value of the poetical word, the exquisite meditations about connotative symbols, metaphors and analogies. Based upon this particularity of the poetical productions, the aim of the present work is to determine strong considerations about the constant mention of the philosophical world in Borges. The exegesis of his poems, stories and pages including elaboration of different semantic fields, (such as the dualism of Body and Soul, Heaven and Hell, Faith and Ration, Goodness and Badness) leads into a philosophical reflection. This particularity is strongly determined by two aspects of the History of Philosophy: the English empirism, which characters are included in Borges's texts providing refutations to Metaphysics; and the influence of Platonism, which is present in a production leading to a world of manifestation of the sacred God.To sum up, we consider that the most important contributions to the exegesis for the study of the production of Borges are:- The philosophical reflections are undoubtedly proof of an hermeneutic objective, in pro of Philology and Aesthetics,- Philosophy and Literature constitute a conceptual basis over which the context world is understood and developed,- The aim of the Poetic elaboration in Borges is a Metaphysical goal constructed upon the intensive dealing with the Beauty which is omnipresent in every word.

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