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Les dynamiques urbaines post-socialistes en Europe centrale et orientale : continuités et discontinuités dans l'évolution morphologique et fonctionnelle / The post-socialist urban dynamics in Central and Eastern Europe : continuities and discontinuities in the morphological and functional evolution

Sandu, Alexandra 20 March 2019 (has links)
Les villes d’Europe centrale et orientale suscitent l’intérêt des chercheurs, car leur évolution a suivi des trajectoires particulières vu leur histoire complexe. Mais le plus souvent leurs transformations sont recensées à partir des changements politiques et socio-économiques et non pas du point de vue de l’évolution morphologique et fonctionnelle. Cette thèse propose une démarche d’analyse quantitative à la fois des changements morphologiques des villes d’Europe centrale et orientale avant et après l’effondrement de communisme, ainsi que des changements fonctionnels dans la période post-socialiste, les deux doublées par une analyse exploratoire de la capacité de résilience spatiale et socio-économique des villes à court et à long terme. Par conséquent, cette thèse vise à ajouter la dimension spatiale à l’analyse socio-économique et politique de la ville post-socialiste de l’Europe centrale et orientale, en questionnant les similarités et les dissimilarités qui les caractérisent. Nos résultats montrent un territoire d’Europe centrale et orientale assez hétérogène, avec des fractures ouest-est au niveau régional (dans l’ensemble du territoire), mais également au niveau national. La ville d’Europe centrale et orientale s’esquisse dans un modelé urbain conciliant l’héritage du passé, y compris l’héritage socialiste, avec les nouvelles demandes de l’économie de marché, ce qui se traduit spatialement par l’émergence d’une ville qui se rapproche du modèle de la ville d’Europe de l’Ouest, tout en restant différente. / Cities in Central and Eastern Europe are a subject of interest for researchers, as their evolution has followed particular trajectories in view of their complex history. However, often, the transformations of the cities of Central and Eastern European countries are analysed by taking into account only the political and socio-economic changes and not from the point of view of morphological and functional evolution. Thus, this thesis proposes a quantitative approach in what concerns the analysis of both the morphological changes of the cities of Central and Eastern Europe before and after the collapse of communism as well as the functional changes of the post-socialist period, both doubled by an exploratory analysis of spatial and socio-economic capacity of resilience of cities in the short and long term. Therefore, this thesis aims to add the spatial dimension to the socio-economic and political analysis of the post-socialist city of Central and Eastern Europe, by questioning the similarities and dissimilarities that characterize them. Our results show a rather heterogeneous territory of Central and Eastern Europe, with West-East fractures at the regional level, as well as at the national level. The city of Central and Eastern Europe is outlined as an urban model that seeks to reconcile the legacy of the past, including the socialist legacy, with the new demands of the market economy, which spatially translates into the emergence of a similar city, but in the same time different from that of Western Europe, which he seeks to match, fact that proves its complex context of evolution.
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La France et la Hongrie (1989-2004) / France and Hungary (1989-2004)

Pichonnier, Christopher 23 June 2017 (has links)
Les relations entre la France et la Hongrie ont été, au fil de l’histoire, placées à la fois sous le signe de la complexité et celui de l’ambiguïté, souvent marquées par une certaine distance et parfois empreintes de ressentiments. Au cours de l'époque de l'époque moderne, l'occupation turque, puis la longue association de la Hongrie aux Habsbourgs ont contribué à dresser, entre les deux pays, des barrières, et à freiner le développement de liens plus conséquents. De manière similaire, au cours du XXe siècle, alors que beaucoup de facteurs géographiques, culturels ou humains auraient du conduire la France à nouer avec la Hongrie les mêmes rapports de confiance et d'amitié qu'avec les autres capitales d'Europe centre-orientale, les deux Guerres mondiales – et les périodes révisionnistes et communistes qui les ont suivis en Hongrie –, mais aussi la profonde blessure infligée aux Hongrois par le traité du Trianon, ont constamment rejeté les deux États dans des camps opposés et contribué à créer, dans un pays dont l'intelligentsia était pourtant historiquement prompte à « tourner son regard vers Paris », le mythe d'un « amour sans retour » envers la France. Longtemps considérée comme une zone d'influence germanique exclusive, la Hongrie ne représenta ainsi jamais réellement un partenaire privilégié pour la France à l'est du continent et les relations entre les deux pays demeurèrent très largement irrégulières et dissymétriques. Dans ces conditions, les bouleversements des années 1989-1990, tout en offrant l'occasion de redessiner un nouveau paysage européen tourné vers l'avenir, ont autorisé la possibilité d'un nouveau départ des rapports entre les deux États. En se plaçant dans la lignée des recherches réalisées sur les relations entre la France et la Hongrie au cours du XXe siècle, ce travail offre une première analyse du resserrement global des liens entre les deux États dans un contexte nouveau. En partant du constat que les relations franco-hongroises changent de dimension à partir de 1989 – une transformation qui est exposée et analysée – ce travail cherche à comprendre si cette mutation représente la marque d’une modification de la nature réelle de la politique française en Hongrie, alors même que celle-ci n’avait été jusqu’alors traitée que comme une périphérie globalisée dans le cadre d’une « politique de l’Est » très large, et d'autre part si la période marque la fin des absences de Marianne en Hongrie et de plus de « 300 ans d’amour impossible » entre les deux pays. Au crépuscule de la guerre froide et à l'aube de l'élargissement de l'UE, face à l'ampleur des rattrapages à effectuer et à la pesanteur des stéréotypes à surpasser, les années 1989-2004 marquent-elles la fin des relations ambiguës et asymétriques entre la France et la Hongrie et le commencement d'une nouvelle ère des relations franco-hongroises ? Le travail se décompose en quatre parties : une mise en perspective générale du sujet et une première analyse de l'idée de « nouveau départ », une étude de l'évolution des relations culturelles entre les deux États, un développement sur le renforcement des liens économiques bilatéraux, et enfin une étude des relations entre les deux pays à la lumière de la question de l'élargissement euroatlantique. / Throughout history, relations between France and Hungary have been complex and ambiguous, often characterized by a certain distance and sometimes marked by a genuine resentment. During the early modern period, the Turkish occupation and the long association of Hungary to the Habsburg Empire certainly contributed to building barriers between the two states and thus to slowing down the development of stronger ties. In a similar manner, during the 20th century, even though many factors  – geographical, cultural, as well as societal – should have led France to develop a similar relationship of confidence and friendship with Hungary as those it had with other central European capitals, the two World Wars – and the revisionist and communist periods that followed in Hungary – as well as the deep “injury” inflicted on the Hungarians by the Treaty of Trianon have constantly pushed both states into opposing camps. In a country where the intelligentsia was historically quick to “look towards Paris”, these factors and events contributed to creating the myth of an “impossible love” between the two countries. Considered for a very long time as a German zone of influence, Hungary never really represented a favored partner for France in the eastern part of the continent, and the relations between the countries remained largely irregular and asymmetrical. Under these conditions, the major upheavals of the years 1989-1990, while offering an opportunity to redesign a new Europe, also allowed a chance for a new start in French-Hungarian relations. This thesis provides the first analysis of the overall strengthening of French-Hungarian relations in this new historical context. Starting with the observation that French-Hungarian relations undergo a change of dimension from 1989 – a transformation that will be discussed and analyzed – our work tries to understand on the one hand whether this mutation represents a modification of the real nature of French foreign policy towards Hungary, given that the country was mostly treated until then as part of the global periphery; and, on the other hand, whether this period marks the end of an absent France in Hungary. At the twilight of the Cold War and the dawn of the EU's enlargement, does the period from 1989 to 2004 mark the end of an ambiguous and asymmetrical relationship between France and Hungary and the start of a new era for French-Hungarian relations? The thesis is divided into four main parts : the first part provides a general overview of the topic and tests the idea of a “new beginning” of French-Hungarian relations. The second part delivers an analysis of the evolution of cultural relations between the two countries from 1989 to 2004. The third part is dedicated to the strengthening of economic ties between the two states. Finally, the last part studies the evolution of the relations between the two countries throughout the process of the EU and NATO's enlargement.
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Intégration des villes d'Europe centrale et orientale dans l'économie-monde depuis 1989 : une entrée par les réseaux internationaux de commerce, de transport aérien et de firmes / Integration of Central and Eastern European cities into the world-economy since 1989 : in the light of trade, air traffic and firm networks

Zdanowska, Natalia 31 October 2018 (has links)
Plus d’un quart de siècle après la chute du Mur de Berlin, la radicalité des changements politiques et économiques, caractérisés par l’intégration dans l’économie-monde et l’Union européenne, ainsi que par la récente montée du nationalisme, continue à poser des questions quant au devenir de l’espace centre-est européen. Ce contexte amène à appréhender dans ce travail l’effet de ces bouleversements au prisme des villes et de leurs évolutions. Trois forces majeures ayant guidé les transformations en Europe centrale et orientale sont examinées depuis 1989 : l’européanisation, la mondialisation et le changement endogène – relevant des traces du passé. Les dynamiques respectives de ces trois forces sont évaluées au moyen d’une approche interurbaine. Les échanges économiques entre villes centre-est européennes et celles du reste du monde sont examinés au travers de réseaux transnationaux et mondialisés – de transport aérien et de firmes. Ces échanges sont confrontés aux réseaux commerciaux entre pays. Cette thèse contribue à montrer que l’intégration à l’économie-monde s’est accompagnée d’un renforcement des logiques de polarisation divisant l’espace centre-est européen entre le Nord-Ouest et le Sud-Est. Cette intégration en cours, ou plutôt ces différentes « intégrations », ne se sont toutefois pas opérées uniquement au profit des métropoles. En effet, malgré une prédominance de l’européanisation, les liens de l’époque communiste constituent une force économique majeure pour certaines petites et moyennes villes – à l’image de l’entre-deux historique de l’espace centre-est européen. / A quarter of century after the fall of the Berlin Wall, radical political and economic changes, integration into the world economy and the European Union, and the recent reinforcement of nationalism are still persistent subjects of debate with regards to the future of Central and Eastern Europe. This thesis examines three major transformative forces in Central and Eastern Europe since 1989 at city-level: europeanisation, globalization and endogenous changes – related to path dependence effects. The dynamics of these three forces are analyzed by looking at the evolution of economic exchanges of CEE cities with other worldwide cities in the context of transnational and globalized networks – air traffic and firms. They are confronted with trade networks at country level. This dissertation illustrates that integration into the world-economy has deepened polarization in Central and Eastern Europe between the Nord-West and the South-West. This integration process or different types of integration are not only a matter for big cities and metropolises. In spite of the predominance of europeanisation, links from the communist period continue to be a major economic force, especially for small and medium-sized cities, reflecting the historical in-between situation of Central and Eastern Europe. / Ćwierć wieku później, radykalne zmiany polityczne i gospodarcze po upadku Muru Berlińskiego, integracja z gospodarką światową, przystąpienie do Unii Europejskiej oraz nasilające się tendencje nacjonalistyczne są wciąż bieżącymi tematami w dyskusji o przyszłości Europy Środkowo-Wschodniej. W tym kontekście, dysertacja proponuje analizę zmian systemowych, które dokonały się w regionie na poziomie miast. Przedmiotem badania są trzy procesy towarzyszące transformacjom po 1989: europeizacja, globalizacja oraz przemiany w regionie uwarunkowane relacjami z przeszłości. Dynamika wymienionych trzech procesów zostanie zbadana w odniesieniu do wymian ekonomicznych między miastami Europy Środkowo-Wschodniej a innymi miastami Europy i świata w sferze międzynarodowych powiązań lotniczych i firmowych, porównanych z siecią handlową ukształtowaną między państwami regionu. Wnioski badawcze wykazują, że w rezultacie integracji z gospodarką światową pogłębia się polaryzacja przestrzeni Europy Środkowo-Wschodniej w układzie północny zachód i południowy wschód. Różnorodność typów integracji odnosi się nie tylko do metropolii i dużych miast. Wobec dominującej siły europeizacji, powiązania z miastami z czasów komunistycznych są nadal ważnym aspektem funkcjonowania miast małych i średnich, ilustrując zarazem historyczną sytuację entre-deux Europy Środkowo-Wschodniej.
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Guerres de cabinets, ou, Petite histoire de l'impuissance de la Belgique dans la question nationale en Europe centrale, orientale et balkanique, 1918-1924

Herremans, Bertrand 22 October 2007 (has links)
info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Steppes ou forêts ? : les conditions environnementales de la formation et de l'évolution des chernozems en Europe Centrale / Steppe or woodland ? : ecological conditions of formation and evolution of Chernozems in Central Europe / Step nebo les? Ekologické podmínky vzniku a vývoje černozemí ve Střední Evropě : ekologické podmínky vzniku a vývoje černozemí ve Střední Evropě

Vyslouzilova, Barbora 26 September 2014 (has links)
Le chernozem est un sol emblématique, car il a participé à la naissance de la pédologie par l’intermédiaire des travaux de Dokuchaev (1883). Depuis, la formation des chernozems a suscité de nombreuses questions parmi les pédologues, botanistes et paléo-environnementalistes. Tandis qu’en Europe de l’Est et en Eurasie les chernozems sont décrits comme des sols zonaux, typiques des milieux steppiques continentaux, les zones où on les rencontre en Europe Centrale sont prédisposées par leur climat à la présence de forêts. L’objectif de notre travail vise à enrichir ce débat en reconstituant les conditions environnementales de la pédogénèse de ces sols en Europe Centrale. Le chernozem est un sol le plus souvent développé sur lœss à horizon de surface organique très épais et sombre qui passe directement à un horizon calcaire. La matière organique a subi une lente évolution sous la dépendance de contrastes climatiques. Néanmoins, en Europe Centrale, les facteurs climatiques liés à la présence de chernozems sont à nuancer. Les chernozems sont censés s’être formés sous les conditions climatiques différentes d’aujourd’hui qui ont dominé en Europe Centrale au Tardiglaciaire et au début de l’Holocène. Si des nuances climatiques permettent d’expliquer la différence de répartition des chernozems (« plus sec ») et des luvisols (« plus humide ») à l’échelle régionale, ce n’est plus vrai à l’échelle locale où les limites entre ces sols sont très brutales, alors que les conditions de milieu sont identiques. Une théorie pour expliquer leur persistance considère que ce serait l’ouverture artificielle du milieu, continue depuis le Néolithique, qui aurait bloqué leur évolution vers d’autres types de sols. Cette hypothèse expliquerait leur répartition sous forme d’îlots ou de mosaïque, alternant avec des luvisols et des phaeozems. Nous avons privilégié dans notre questionnement l’étude des archives pédologiques, plus précisément celle des matières organiques, dont certaines ont la capacité de résider dans le sol pendant des milliers d’années. Celles-ci sont d’origine locale et permettent donc de reconstituer l’environnement végétal immédiat lors de la formation du sol. Elles ont été analysées par spectroscopie proche infrarouge qualitative (SPIR-qual). Cet outil représente une approche novatrice dans l’étude des paléo-environnements. Cette approche s’est accompagnée d’une étude pédoanthracologique sur certains paléosols et de l’analyse micromorphologique d’une catena chernozem – luvisol à l’échelle stationnelle. Nous avons montré que certains chernozems ont évolué constamment sous prairie, tandis que d’autres ont une histoire récente forestière, mais ont connu auparavant une évolution sous végétation de prairie. Les études pédoanthracologiques sur des paléochernozems pléistocènes et holocènes ont chaque fois révélé la présence de charbons de bois d’essence forestière. L’analyse micromorphologique de la catena met en évidence un chernozem qui s’est développé à partir d’un luvisol ce qui contraste avec les modèles habituels de dégradation des chernozems en luvisols. Ce travail confirme que la couverture végétale des chernozems peut selon le cas être forestière ou prairiale. Il est certain que des chernozems ont évolué pendant un laps de temps long sous forêt. Ce résultat est en contradiction avec l’hypothèse dominante, qui veut que les chernozems se développent et subsistent exclusivement sous steppe. / Chernozem became the crucial soil for the beginnings of soil science through the work of Dokuchaev from 1883. Since then the genesis of chernozems in Central Europe has raised many questions among soil scientists, botanists and paleo-environmentalists. While in Eastern Europe chernozems have been described as zonal soils, that are typical for continental steppe and forest-steppe areas, there are areas in Central Europe which are predisposed by their climatic characteristics to the presence of woodlands. The goal of this dissertation is to enrich the discussion about the genesis of chernozems by restoring the environmental conditions that were prevalent during the formation of chernozem soils in Central Europe. Chernozems are usually developed on loess with a very thick and dark organic surface which passes directly to a calcareous horizon. The organic matter underwent a polymerization in dependence on climate contrasts. However, in Central Europe, the climatic characteristics of the areas of chernozems are a bit different. These chernozems are supposed to have been formed under the climatic conditions that dominated Central Europe during the Late Glacial and the Early Holocene. The climatic nuances may contribute to the explanation of the differences in distribution of chernozems ("drier") and luvisols ("more humide") at a regional level, but they are no help at a local level with the same environmental conditions where the boundaries between chernozems and luvisols are very sharp. There is a theory about their persistence that considers the agriculture since the Neolithic being the reason for the fact that their progression to other types of soil was blocked. This theory would explain their distribution in the form of mosaic, alternating with luvisols and phaeozems. This study is focused on questioning of the memory of soils and especially of their organic matter. Some soil organic matter has the ability to persist in soils for thousands of years. Such organic matter has a purely local origin. That is why it is possible to reconstruct the vegetation from the period of time of the formation of soils. There is qualitative near infrared spectroscopy (NIRS) applied for the analysis of the soil organic matter. This method is an innovative approach to the studying of the paleoenvironments of chernozems. This approach is accompanied by a anthracological study of some paleosols and of a micromorphological analysis of a catena chernozem - luvisol on a very local scale (300 m). The NIRS analysis has proved that some chernozems developed under grassland. Other chernozems have a recent forest history, but they had also existed under grassland vegetation before. There were found some chernozems with a source of heterogeneous organic material. The charcoals studies of paleochernozems of the Pleistocene and of the Holocene have revealed the presence of woods. The micromorphological analysis of a catena between chernozem and luvisol has shown a chernozem which developed from a luvisol. That contrasts with the usual models of the degradation of chernozems into luvisols. This dissertation confirms that the vegetation cover of chernozems can be both: grassland or woodland. Certainly, chernozems also developed under forest during a period of time. This result is inconsistent with the prevailing hypothesis that claims chernozems develop and preserve exclusively under steppe. / Černozemě se staly díky Dokučajevově dizertaci z roku 1883 významné pro počátky vědy o půdě. Geneze černozemí ve Střední Evropě se dodnes těší velkému zájmu pedologů, botaniků a paleoenvironmentalistů. Zatímco ve Východní Evropě byly popsány jako zonální půdy, které jsou typické pro kontinentální stepi, existují ve Střední Evropě oblasti, jež jsou svými klimatickými vlastnostmi predestinovány pro přítomnost lesních porostů. Předkládaná dizertační práce si klade za cíl přispět k diskuzi o vzniku černozemí tím, že pojednává o environmentálních podmínkách, které byly určující při formování černozemních půd ve Střední Evropě. Černozemě se obvykle vyvíjely na spraši, jsou charakteristické svým mocným povrchovým organickým horizontem, který přímo přechází do horizontu vápenatého. Organický materiál prošel díky meziročním klimatickým rozdílům pomalou polymerizací. Ve Střední Evropě jsou ale klimatické vlastnosti černozemních oblastí odlišné. Zdejší černozemě se patrně formovaly v klimatických podmínkách, které převládaly v pozdní době ledové a raném holocénu. Klimatické nuance sice mohou na regionální úrovni přispět k osvětlení rozdílů v distribuci „suchých“ černozemí a „spíše vlhkých“ hnědozemí, ale rozhodně neřeší problematiku na lokální úrovni, kde při stejných klimatických podmínkách existují ostré přechody mezi černozemí a hnědozemí. Teorie o zachování černozemí praví, že zemědělská činnost v neolitu zabránila jejich přeměnám v další půdy. Tato teorie nabízí uspokojivé vysvětlení k rozmístění černozemních půd ve formě mozaiky, kde černozemě alternují s hnědozeměmi či šedozeměmi. Práce se zaměřuje na otázku paměti půd a jejich organického materiálu. Některý organický materiál může v půdě existovat po tisíce let, je výhradně lokálního původu, a proto je možné z něj určit vegetaci z doby formování půd. Pro analýzu půdního organického materiálu je užívána metoda infračervené spektroskopie (NIRS). Tato metoda představuje inovativní přínos ke studiu paleoenvironmentálních prvků u černozemí. Mimoto práce obsahuje i paleoantrakologickou studii vybraných pohřbených půd a mikromorfologickou analýzu katény černozem – hnědozem na malém území (300m). NIRS prokázala, že některé černozemě vznikaly pod travnatým povrchem. Jiné černozemě mají nedávnou lesní historii, ale původně se nacházely pod travnatou vegetací. Nalezeny byly i černozemě s heterogenním organickým materiálem. Výzkum uhlíku z paleočernozemí z období pleistocénu a holocénu prokázal přítomnost dřevin. Mikromorfologická analýza katény mezi černozemí a hnědozemí demonstruje, že jsou i černozemě vzniklé z hnědozemě, což kontrastuje s obvyklými modely degradace černozemí na hnědozemě. Tato dizertační práce dokazuje, že vegetace pokrývající černozemě může být dřevinné nebo travnaté povahy. Zcela jistě se černozemě vyvíjely také pod lesem. Výsledky dizertace jsou v rozporu s převládající hypotézou o tom, že černozemě vznikají a poté trvale existují výhradně pod stepí.
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Trois partis verts latino-américains en perspective comparée avec les pays européens. Concurrence avec la gauche et stratégies de démarcation / Three Green Parties from Latin America in Comparative Perspective with Europe. Competiton with Left-wing Parties and Demarcation Strategies

Hanry-Knop, Diana 18 December 2015 (has links)
Le Partido Verde brésilien, le Partido Ecologista chilien et le Proyecto Sur argentin sont des partis politiques appartenant à la mouvance des partis verts ou de tendance écologiste. Ils constituent, dans leurs pays respectifs, des forces politiques nouvelles, qui entendent se distinguer par l’affirmation d’une identité particulière, fondée sur la place centrale accordée à la protection de l’environnement et au développement durable ainsi que sur la volonté de « faire de la politique autrement ». Si les membres de ces partis estiment ainsi se démarquer de la gauche, ils s’en rapprochent néanmoins par les idées qu’ils défendent en matière sociétale, mais aussi en matière économique et sociale. Ils participent ainsi au mouvement plus vaste de recomposition de la gauche et se trouvent en concurrence avec les autres forces de gauche, dont ils partagent l’électorat. Ces trois partis ont émergé, dans un contexte de renouvellement démocratique, en lien avec les acteurs de la société civile. Ils continuent à entretenir des liens étroits avec le monde associatif, syndical et artistique. Leur organisation est fondée sur un modèle basé sur des principes démocratiques tels que le pluralisme, la représentativité, la territorialité. Néanmoins, comme leurs homologues d’Europe occidentale et d’Europe centrale et orientale, ils font face à la difficulté de mettre effectivement ces principes en œuvre dans leur fonctionnement quotidien et sont confrontés à un phénomène de concentration du pouvoir à la tête du parti. Si le Partido Eccologista chilien, le Partido Verde brésilien et le Proyecto Sur argentin ont chacun su occuper un espace jusqu’alors vacant sur la scène politique de leur pays respectif, leurs perspectives d’évolution et de développement demeurent incertaines. / The Partido Verde from Brazil, the Partido Ecologista from Chile and the Proyecto Sur from Argentina are political parties belonging to the movement of green or ecologist parties. They represent, in each country, new political forces which aim at differentiating themselves through a particular identity, built on the focus on sustainable development and the strong will to do politics in a new fashion. Members of those three political parties believe they are apart from left-wing activists. Nevertheless, they do share similar ideas, regarding societal issues, as well as economic and social questions. These parties appeared in a particular context, influenced by democratic renewal, in connection with civil society activists. They continue to keep strong ties with associations, unions, and artistic movements. Their organisation is based on democratic principles such as pluralism, representativeness and territoriality. However, like their European counterparts, they have trouble applying these principles in actual fact. They also face the issue of monopolized power by party leaders. The Partido Verde, the Partido Ecologista and the Proyecto Sur were able to fill a political vacuum in their respective countries, yet their prospects in terms of electoral success remain uncertain.
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Guerres de cabinets, ou, Petite histoire de l'impuissance de la Belgique dans la question nationale en Europe centrale, orientale et balkanique, 1918-1924

Herremans, Bertrand 22 October 2007 (has links)
<p>La thèse aborde les interrogations, les positions de principe, les ambitions et les réalisations bien plus modestes de la diplomatie belge, en interaction avec les milieux politiques et une partie de la société du temps, quant à la question des nationalités en Europe centrale, orientale et balkanique (1918-1924). Les sept pays retenus sont la Pologne, la Tchécoslovaquie, l’Autriche, la Hongrie, la Yougoslavie, la Roumanie et la Bulgarie.<p>Par question des nationalités, il faut entendre trois aspects indissociables :la question de la modification des frontières dans cette partie du Vieux Continent (disparition des empires au profit des Etats précités), celle des territoires disputés entre lesdits Etats et enfin celle des minorités nationales.<p>Pour expliquer les différentes postures de chacun, l’étude envisage une multitude de facteurs de politique intérieure ou extérieure, principalement les peurs du socialisme et du séparatisme, mais aussi la question des rapports des individus (psychologie) et des groupes (cercles de connaissances, partis,…).<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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