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Ideologiese grondslae en ontwikkeling van die blanke fascistiese bewegings in Suid-Afrika, 1945-1995 (Afrikaans)

Visser, Myda Marista 02 August 2006 (has links)
Please read the abstract in the section 07 back of this document / Dissertation (MA (Cultural History))--University of Pretoria, 2007. / Historical and Heritage Studies / unrestricted
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La politique culturelle de la France dans sa zone d'occupation en Autriche (Tyrol et Voralberg) et à Vienne entre 1945 et 1955

Dussault, Éric January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La montée du fascisme en Italie, perçue par les journaux français

Pelletier, François 08 1900 (has links)
L’apparition et la montée du fascisme en Italie sont des faits marquants du XXe siècle et plus précisément de l’entre-deux-guerres. Ce nouveau phénomène social a rapidement attiré l’attention de la communauté internationale. Il vient frapper les mentalités européennes dans le contexte de sociétés déjà polarisées par divers courants idéologiques. La Première Guerre mondiale a fait place à de fondamentales divergences d’opinions sur ce que devait être le futur, autant social qu’économique, des sociétés industrielles. S’étant imposé en Italie, le fascisme représente un de ses mouvements. Ce travail s’intéresse à la manière dont la société française a perçu la montée du fascisme italien. Pour ce faire, il retrace l’approche de plusieurs journaux français de 1919 à 1926 à l’égard de l’expérience italienne. L’analyse des grands journaux Le Temps, L'Humanité, Le Figaro et L'Action française permet un survol de l’opinion politique en France. La problématique avancée dans ce travail nous aide à en apprendre plus, non seulement sur l’apparition d’un phénomène majeur du siècle précédent, mais aussi, plus précisément, sur le regard porté sur lui par les grands courants politiques français. On a pu déceler plusieurs thèmes de prédilection abordés par la presse française. Premièrement, celle-ci a tenté de définir le fascisme, son origine et sa composition ainsi que le phénomène de la violence qui touchait la péninsule. Puis, le fascisme ayant accédé au pouvoir, elle a réfléchi sur le coup de force et ses répercussions. Finalement, elle a analysé la politique intérieure et extérieure du nouveau régime. Il en ressort une perspective unique grâce à l'analyse de quatre organes majeurs qui représentent et façonnent l'opinion publique en France. Notre analyse montre que le fascisme est un sujet préoccupant pour les contemporains par son caractère nouveau. Tous les journaux ont suivi l'évolution de ce mouvement avec attention. Les réactions en témoignent: ce fut, entre autres, l'exemple frappant d'une répression brutale pour les uns et l'émergence d'une idéologie susceptible de mettre fin à la terreur du bolchevisme pour les autres. Ce fut aussi un terrain d'affrontement idéologique. / The emergence and rise of fascism in Italy is a striking moment of the XXth century and more specifically of the interwar period. This new social phenomenon quickly attracted the attention of the international community. It influenced European mentalities greatly in the context of societies already polarised by different ideological trends. The First World War was followed by a period of divergent opinions on what should be the social and economic future of industrial societies. Fascism represents one of those movements that managed to impose itself in Italy This thesis examines the manner in which French society perceived the rise of Italian fascism. To that end, it retraces the narrative presented by major French newspapers from 1919 to 1926 when faced with the Italian experience. The analysis of the dailies Le Temps, L'Humanité, Le Figaro and L'Action française provides an overview of political opinion in France. The inquiry conducted in this dissertation allows us to learn more not only on the emergence of a major phenomenon of the past century but also, and more precisely, about the reaction to it by the main political trends in France. Several themes were taken up by the French press. First, it tried to identify fascism, its origins and composition and the phenomenon of violence that emerged in Italy. Then, once fascism was in power, it reflected on the seizure of power, followed by an analysis of both interior and foreign policy of the new regime. A unique perspective comes out of this study thanks to the analysis of four of the major organs that represent and help create public opinion. It shows that fascism, as a typically new phenomenon, was a subject of preoccupation for contemporaries. All of the dailies followed its evolution closely. It was, for some, the example of a brutal repression, among other things, and, for others, the emergence of a new ideology capable of ending the terror of bolshevism. It was also an issue for ideological confrontation.
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L’analyse psychologique des dirigeants étrangers par le diplomate : André François-Poncet et les dirigeants nazis / Psychological analysis of foreign leaders by the diplomat : André François-Poncet et les dirigeants nazis

Alcouffe, François 17 April 2015 (has links)
Cette recherche diffère des monographies habituelles en présentant un regard neuf sur les dirigeants nazis, celui d’André François-Poncet ambassadeur de France à Berlin de 1931 à 1938. Elle se prolonge par sa réflexion distanciée lorsqu’il devient ambassadeur de France à Rome de 1938 à 1940 puis captif en Allemagne de 1943 à 1945. Comprendre l’atmosphère de la période est sans doute une des clés de l’histoire allemande de 1933 à 1945. François-Poncet fut de ceux qui la perçurent le mieux et le plus précocement ainsi que la menace nazie. Le plan de l’étude comporte trois parties. D’abord le jugement qu’André François-Poncet portait sur les Allemands face au nazisme, dans un deuxième temps celui qu’il portait sur les cercles du pouvoir et enfin celui qu’il portait sur Hitler. Cette étude a un caractère pluridisciplinaire entre la recherche historique et l’analyse psychologique du phénomène qui a suscité une des historiographies les plus importantes et les plus évolutives qui soient : le nazisme. Elle repose sur l’étude qualitative de la production intellectuelle du diplomate au travers de ses dépêches, de ses écrits ainsi que du fonds André François-Poncet conservé aux Archives nationales. / Different from usual monographs this research deep dives into Nazi leaders’mind from André François-Poncet’ angle, the in Berlin French ambassador from 1931 to 1938. A few years later in Rome again as French ambassador from 1938 to 1940 then in Germany as prisoner from 1943 to 1945 the distance helped him prolong his reflection about Nazism. Atmosphere of the period is probably one of the keys of German 1933-1945 history understanding. François-Poncet was one of those who perceived it as well as the nazi menace the better and the more precociously. This is a three part plan. First François-Poncet’s assessment about Germans, then about the circles of power and ultimately about Hitler himself. This is a multidisciplinary approach involving both historical and psychological analysis about Nazism phenomenon, one of the greatest and evolutive historiography ever. Based on qualitative study of the diplomat’s intellectual output it is carried out from his reports, his written papers and Archives nationales André François-Poncet private fund
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Économie, monnaie et souveraineté

Maucourant, Jérôme 08 December 2006 (has links) (PDF)
Nos activités de recherches se déclinent selon une double perspective : l'histoire de la pensée économique et l'économie historique. Ceci implique, si nécessaire, des détours par des disciplines connexes mais tout à fait nécessaires, comme la philosophie, la science politique et, bien sûr, l'histoire proprement dite. A cet égard, le mémoire de synthèse pour cette habilitation à diriger les recherches (HDR) est essentiellement centré autour de recherches en histoire des idées, même si un thème ordonne l'ensemble de nos travaux : la notion d'institution. Celle-ci, selon nous, permet de mieux comprendre la construction et la valeur empirique des catégories économiques. La référence à cette notion est issue des travaux fondateurs des économistes américains dits « institutionnalistes » du début du XXième siècle : plus encore, nous intégrons le travail de Polanyi et de son école dans cette mouvance.<br><br> C'est pourquoi la première partie de notre travail - « une trajectoire de recherche » - est une mise en confrontation, dans le champ de l'histoire économique, entre les thèses institutionnalistes et les thèses néoclassiques, voire néo-institutionnalistes (inspirées notamment par l'œuvre de North). Nous essayons de montrer que les débats portant sur l'histoire économique d'avant la révolution industrielle sont marqués par l'ambivalence de la figure du marché. Cette figure est, en effet, parfois comprise comme le système constitué par les marchés autorégulateurs, ou parfois entendue selon des cadres institutionnels n'autorisant pas de tels mécanismes autorégulateurs, comme en témoigne la problématique polanyienne de la « place de marché » et les travaux plus récents d'A. Guéry sur les marchés d'Ancien Régime. Nous ne faisons qu'illustrer la formule de Commons qui, en 1923, écrivit que le capitalisme avait besoin de fondations légales, ce qui nous contraint à revenir sur la richesse du cadre d'analyse wébérien pour enrichir notre perspective.<br><br> La seconde partie de la présente HDR est un exercice en histoire des idées, qui se distribue selon des axes a priori bien différents, mais tentant tous d'illustrer la problématique institutionnaliste dans ce qu'elle a d'essentiel. <br> Dans un premier chapitre - « instituer, « monnayer et troquer » -, nous nous interrogeons sur la place du troc dans le discours économique parce que celui-ci est la forme matricielle de l'interaction économique ne présupposant pas de cadre institutionnel. L'économie comme science part, en effet, de ce prototype de l'échange rationnel, qu'est le troc, pour y intégrer la monnaie a posteriori, qui fonctionne alors comme une marchandise d'un type singulier. L'hypothèse qui est présentée est inverse : c'est le caractère institutionnel de la monnaie qui est la condition de possibilité de l'économie marchande. Nous nous inscrivons, pour une bonne part, dans la problématique développée, dès 1982, par M. Aglietta et A. Orléan, en essayant d'y introduire des éléments fondamentaux de la problématique institutionnaliste comme Mitchell, le fondateur du NBER, les avait déjà conçus. La présente réflexion s'écarte toutefois de la problématique de la « fable du troc », reprise par nombre d'économistes hétérodoxes et de sociologues à la suite de J-M Servet, grâce à un réexamen critique des assertions typiques des années 1970 et d'une reconsidération de données anthropologiques. La thèse d'une « institution monétaire de la société » est ainsi remise en cause car, considérer la monnaie comme une essence anthropologique revient à l'essentialiser, ce qui est fort peu institutionnaliste. Par ailleurs, il n'est pas sûr que le perspectivisme nietzschéen s'accorde avec la valeur que l'économie comme science, marxiste ou non, accorde à la vérité.<br><br> Dans un deuxième chapitre – « Souveraineté et économie » -, nous essayons de poser la question du rapport entre économie et souveraineté à un moment où le processus actuel de la construction européenne, parce qu'il tend à modifier les institutions politiques et économiques, remet au premier plan une préoccupation fondatrice de l'économie politique, celle du Traicté de l'Œconomie politique de Montchrestien (1615). Cet auteur illustre une conception moderne, profondément politique, de l'économie, en rupture avec l'esprit antique ou médiéval selon lequel l'économie appartient de facto à la stricte sphère domestique et ne peut être l'objet de l'action publique. Montchrestien montre que la richesse des peuples, donc de l'Etat, est fondamentalement instituée par le Prince ; l'économie n'est pas ici une catégorie autonome de pensée ou une dimension émergente des comportements.<br> Mais, la concurrence est au cœur du discours de Montchrestien, les marchés étant la codification politique des flux concurrentiels. Contre une interprétation répandue, nous montrons que, selon Montchrestien, les échanges intérieurs, où les gains issus de l'échange sont possibles, s'opposent aux formes extérieures de l'échange réfractant l'état de nature, où ce que gagne l'un est perdu par l'autre. Il estime même que l'application du droit des gens pourrait rendre le commerce extérieur bénéfique si disparaissent les asymétries de position résultant des politiques des Etats. Toutefois, avec Cantillon, en moins d'un siècle, la question des articulations entre institutions politique et économique se reformule radicalement cependant qu'apparaît dans la théorie économique, en un sens devenu plus familier, une figure devenue majeure : l'entrepreneur. Il n'en demeure pas moins que Cantillon ne pousse pas ses intuitions libérales de l'autoconstitution du social et de l'équilibre économique jusqu'à dénier au politique toute efficacité en économie. <br>Dans le dernier chapitre – « Economie, politique et fascisme » -, contribution à l'histoire des idées institutionnalistes, nous montrons que la portée scientifique de l'apport de Polanyi va bien au delà du concept fort connu d'embeddedness, en exposant les analyses méconnues faites par Polanyi des fascismes et de l'économie des années 1930. La thèse fondamentale de Polanyi est la suivante : la société de marché n'est pas le fruit d'un évolutionnisme qui aurait conduit au meilleur des mondes. Fruit de contingences historiques, comme le furent les actions délibérées des Etats et la volonté d'incarner un projet essentiellement utopique, la société de marché doit être comprise comme une création humaine porteuse de catastrophes dont le nazisme est un exemple. Anticipant la fameuse « querelle des historiens » propre à l'Allemagne des années 1980, Polanyi s'inscrit en faux contre l'explication de la genèse des fascismes par le bolchevisme, thèse déjà développée dans les années 1930 elles-mêmes, et veut redonner toute sa force à ce processus très singulier de la constitution d'une société économique du XIXième siècle.<br>Polanyi met donc en avant le caractère absolument nouveau que constitue le capitalisme concurrentiel du XIXième siècle, tout en insistant sur la nature endogène des processus détruisant les capacités d'autorégulation de ce système inédit. A cet égard, le fascisme est une issue à la société libérale caractérisée par la séparation institutionnelle du politique et de l'économie. Or, dans cette société, les propriétaires du capital ont la capacité de vider de tout pouvoir effectif les institutions politiques investies par les représentants des partis populaires, chose fréquente en cas de crise grave, ce qui rend impossible la reproduction même d'une société complexe qui ne peut faire l'économie d'une régulation politique de ses contradictions. Le fascisme est ainsi une expression toujours possible de la contradiction entre démocratie et capitalisme. Il s'agit donc de redonner à la science économique toute sa place dans l'explication d'un phénomène comme le fascisme et de reconsidérer les acquis problématiques d'une certaine science politique en la matière.<br>En conclusion, nous rappelons que notre intérêt pour les institutions, du point de vue des idées ou des faits, est issu de la problématique de P. Dockès dans La Libération Médiévale, qui se donnait pour objet, en 1979, comme l'école radicale américaine, de penser la détermination sociale de l'économie à l'encontre des thèses technicistes ou économicistes.
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" Mutations géopolitiques et radicalité politique en Roumanie dans le contexte centre-européen au XXe siècle "

Sandu, Traian 27 November 2010 (has links) (PDF)
Les petites puissances centre-européennes (re)naissent au lendemain de la Première Guerre mondiale sur la base d'un discours nationaliste quarante-huitard de liberté des peuples à disposer d'eux-mêmes, mais avec un personnel politique marqué par le nationalisme conservateur et affairiste de la Realpolitik bismarckienne et un monde intellectuel déjà sensible à un mix idéologique modernisateur fait de mobilisation nationaliste, d'ingénierie sociale hygiéniste et de préférence ethnique agressive. Dès lors, ces pays apparaissent bien davantage que de simples objets, victimes des deux totalitarismes qui encadrent géographiquement leur espace et chronologiquement leur destin durant le " siècle des extrêmes ". À ce titre, la Roumanie est emblématique, ayant massivement généré entre les deux guerres mondiales le personnel politique autochtone d'un extrémisme de droite avec une forte composante fasciste capable de s'intégrer aux projets impérialistes et génocidaires nazis. Puis, après une phase de stalinisme imposé, elle a élaboré un modèle de national-communisme mêlant volontarisme productiviste stalinien, ultranationalisme mobilisateur recyclant les anciens idéologues fascistes opportunément sortis des prisons, immixtion étatique jusque dans la vie la plus intime de la société et modèle diplomatique hétérodoxe sachant séduire les partenaires occidentaux. Enfin, après 1989, la démocratisation et la transition dans un contexte socioéconomique difficile ont favorisé la continuité d'un populisme aux formes multiples, y compris avec des références explicites au fascisme et au national-communisme - avec reprise du personnel parfois -, malgré l'adoption des institutions et des règles nécessaires aux intégrations de structures euro-atlantiques fort peu regardantes.
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Benedetto Croce (1866-1952), un intellectuel libéral italien face à la guerre, à la paix et au totalitarisme

Scalise, Rosina 19 November 2012 (has links) (PDF)
L'objet de cette thèse est d'étudier d'une part la place que tient la guerre dans l'œuvre de l'historien et philosophe italien Benedetto Croce (1866-1952), à la fois lorsqu'il étudie l'Histoire, notamment celle du XIXe siècle, et lorsqu'il réagit aux événements dont il est le contemporain : guerres d'Ethiopie de 1896 et 1935, de Libye de 1911-1912 et " pacification " dans les années vingt et trente, Première Guerre mondiale, Guerre d'Espagne, Seconde Guerre mondiale. La guerre est-elle parfois légitime ? Est-elle nécessaire à la construction et à l'affermissement de l'état italien ? Ou au contraire est-elle à éviter à tout prix ? Ces questions sont complexes car la guerre n'est pas l'apanage du fascisme, mais a déjà été l'un des caractères importants du régime libéral qui a précédé le fascisme en Italie. Ce travail de recherche porte également sur la pensée et l'action de Benedetto Croce en ce qui concerne le maintien puis la réinstauration de la paix, notamment après les deux guerres mondiales, et son engagement pro-européen. L'étude s'est appuyée sur le croisement entre les œuvres de Benedetto Croce et les documents contenus dans les Archives d'état à Rome, comme les dossiers de la Police Politique fasciste qui a surveillé Croce pendant des décennies à cause de son engagement antifasciste.
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Italienische Literatur im ersten Jahrzehnt des Faschismus : "Stracittà" und "Strapaese /

Weichmann, Manfred L., January 1991 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät IV, Sprach-und Literaturwissenschaften--Universität Regensburg, 1989. / Bibliogr. p. 281-295. Notes.
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Diktatur und Diaspora : das Bistum Meißen 1932-1951 /

Mitzscherlich, Birgit. January 2005 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--Fakultät für Geschichte, Kunst und Orientwissenschaften--Universität Leipzig, 2004. / Bibliogr. p. [667]-715. Index.
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La montée du fascisme en Italie, perçue par les journaux français

Pelletier, François 08 1900 (has links)
L’apparition et la montée du fascisme en Italie sont des faits marquants du XXe siècle et plus précisément de l’entre-deux-guerres. Ce nouveau phénomène social a rapidement attiré l’attention de la communauté internationale. Il vient frapper les mentalités européennes dans le contexte de sociétés déjà polarisées par divers courants idéologiques. La Première Guerre mondiale a fait place à de fondamentales divergences d’opinions sur ce que devait être le futur, autant social qu’économique, des sociétés industrielles. S’étant imposé en Italie, le fascisme représente un de ses mouvements. Ce travail s’intéresse à la manière dont la société française a perçu la montée du fascisme italien. Pour ce faire, il retrace l’approche de plusieurs journaux français de 1919 à 1926 à l’égard de l’expérience italienne. L’analyse des grands journaux Le Temps, L'Humanité, Le Figaro et L'Action française permet un survol de l’opinion politique en France. La problématique avancée dans ce travail nous aide à en apprendre plus, non seulement sur l’apparition d’un phénomène majeur du siècle précédent, mais aussi, plus précisément, sur le regard porté sur lui par les grands courants politiques français. On a pu déceler plusieurs thèmes de prédilection abordés par la presse française. Premièrement, celle-ci a tenté de définir le fascisme, son origine et sa composition ainsi que le phénomène de la violence qui touchait la péninsule. Puis, le fascisme ayant accédé au pouvoir, elle a réfléchi sur le coup de force et ses répercussions. Finalement, elle a analysé la politique intérieure et extérieure du nouveau régime. Il en ressort une perspective unique grâce à l'analyse de quatre organes majeurs qui représentent et façonnent l'opinion publique en France. Notre analyse montre que le fascisme est un sujet préoccupant pour les contemporains par son caractère nouveau. Tous les journaux ont suivi l'évolution de ce mouvement avec attention. Les réactions en témoignent: ce fut, entre autres, l'exemple frappant d'une répression brutale pour les uns et l'émergence d'une idéologie susceptible de mettre fin à la terreur du bolchevisme pour les autres. Ce fut aussi un terrain d'affrontement idéologique. / The emergence and rise of fascism in Italy is a striking moment of the XXth century and more specifically of the interwar period. This new social phenomenon quickly attracted the attention of the international community. It influenced European mentalities greatly in the context of societies already polarised by different ideological trends. The First World War was followed by a period of divergent opinions on what should be the social and economic future of industrial societies. Fascism represents one of those movements that managed to impose itself in Italy This thesis examines the manner in which French society perceived the rise of Italian fascism. To that end, it retraces the narrative presented by major French newspapers from 1919 to 1926 when faced with the Italian experience. The analysis of the dailies Le Temps, L'Humanité, Le Figaro and L'Action française provides an overview of political opinion in France. The inquiry conducted in this dissertation allows us to learn more not only on the emergence of a major phenomenon of the past century but also, and more precisely, about the reaction to it by the main political trends in France. Several themes were taken up by the French press. First, it tried to identify fascism, its origins and composition and the phenomenon of violence that emerged in Italy. Then, once fascism was in power, it reflected on the seizure of power, followed by an analysis of both interior and foreign policy of the new regime. A unique perspective comes out of this study thanks to the analysis of four of the major organs that represent and help create public opinion. It shows that fascism, as a typically new phenomenon, was a subject of preoccupation for contemporaries. All of the dailies followed its evolution closely. It was, for some, the example of a brutal repression, among other things, and, for others, the emergence of a new ideology capable of ending the terror of bolshevism. It was also an issue for ideological confrontation.

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