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L'enseignement de l'histoire et la fonction identitaire : étude des procédés de formation de l'identité collective

Provost, Chantal January 2006 (has links) (PDF)
Au Québec, la formation d'un identitaire collectif est soumise à de multiples enjeux: identités plurielles et multiplication des espaces identitaires, culte du passé et mémoire collective, question nationale et fragilisation des récits nationaux, etc. Dans ce contexte, les nouveaux programmes d'histoire au secondaire ont pour objectif, entre autres choses, de développer une conscience citoyenne en s'appuyant sur un enseignement de l'histoire orienté vers une démarche historique. Les concepteurs des nouveaux programmes croient en effet que la figure de la citoyenneté apparaît comme la plus rassembleuse pour construire un projet collectif fécond. Il y a alors lieu de se demander si les grandes orientations de la présente réforme ont une résonance dans les classes d'histoire nationale du Québec. D'une part, quels rapports entretiennent les enseignants d'histoire avec la fonction identitaire de l'histoire scolaire, et d'autre part, quelles sont les implications possibles de telles conceptions sur la constitution de repères collectifs des jeunes. Ce mémoire, qui fait appel à un cadre théorique multidisciplinaire, vise donc à analyser si des pratiques pédagogiques et didactiques données peuvent avoir les impacts souhaités sur la formation d'une telle conscience citoyenne chez des élèves de quatrième secondaire. De nature exploratoire, cette recherche se veut à la fois théorique et empirique. À partir d'une démarche quantitative, elle porte sur l'examen des pratiques de quelques enseignants du Québec et sur les conceptions des élèves de leur identité collective. Les résultats obtenus révèlent que les enseignants préconisant une démarche d'enseignement et d'apprentissage rationnel favorisent la consolidation d'un profil plus civique de l'identitaire collectif chez les jeunes. Par contre, le parcours identitaire des jeunes durant une année scolaire nous indique la progression de deux pôles d'identité; un pôle primordial et un pôle civique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Identité/citoyenneté, Histoire scolaire, Histoire nationale, Didactique, Enseignement secondaire, Jeunes.
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L’écologie, réponse à la crise de sens? : le défi philosophique de la crise écologique selon la perspective de Hans Jonas

Fyfle, Steve 08 1900 (has links)
La plupart des philosophes s’entendent aujourd’hui pour affirmer qu’il y a une crise de sens en Occident. J.-F. Mattéi l’a démontré sans équivoque dans son ouvrage intitulé La crise de sens (2006). Selon lui, la crise se traduirait par cinq aspects: crise spirituelle, crise religieuse, crise de l’art, crise économique et finalement, crise de la culture. À notre avis, cela est exact, mais incomplet, car Mattéi néglige d’évoquer la crise la plus importante : la crise écologique. L’argument qui nous amène à en postuler la plus haute importance est simple : s’il n’y a plus d’environnement favorable au maintien de la vie humaine, c’est la fin de l’humanité. L’aspect environnemental de la crise ne peut donc pas être occulté de la réflexion concernant son ensemble, car pour nous, elle est l’occasion d’un questionnement philosophique appelé à répondre à cette crise. Dans un livre intitulé Écologie, éthique et création (1994), Dominique Jacquemin nous oriente en ce sens en y posant les trois questions suivantes : 1. Est-il possible de qualifier éthiquement ce à quoi nous convie aujourd’hui la préoccupation écologique? 2. Quel rapport au monde et à l’avenir la préoccupation écologique est-elle à même d’instaurer? 3. Quelles sont les possibilités pour que la démarche écologique devienne un lieu éthique à même d’instaurer un rapport homme-nature dans le présent et l’avenir? Ainsi, le questionnement que soulève la crise écologique amène à réfléchir sur le sens et la finalité de la vie humaine et sur la conception même de l’être humain dans son rapport au monde. Le propos de ce mémoire est de répondre à ces dernières questions en nous inspirant des principes éthiques mis en avant dans Le Principe Responsabilité (1990) de Hans Jonas, et cela, dans le but d’en faire ressortir sa pertinence face au défi environnemental actuel. En d’autres termes, nous tâcherons de répondre à la question suivante : Pour la société actuelle et son prolongement, quels sont les aspects les plus pertinents de la thèse de Hans Jonas (1903 – 1993) dans son Principe Responsabilité (1990) concernant la résolution de la crise de sens? À cette fin, le mémoire comporte deux chapitres dont le premier, qui forme le cœur du mémoire, comporte trois parties principales liées aux trois questions posées précédemment. Le deuxième et dernier chapitre comporte premièrement une analyse critique du Principe responsabilité et par la suite son appréciation critique. Méthodologiquement, nous entendons éclairer la nécessité de la responsabilité éthique face à la crise écologique en mettant l’accent sur les thèmes de l’altérité et de la solidarité. C’est de cette manière que nous espérons montrer que la crise écologique actuelle ouvre des avenues possibles à la résolution, au moins partielle, de la crise de sens à laquelle nous sommes actuellement confrontés. / Most philosophers agree today that there is a crisis of meaning in the Western world. J.-F. Mattei, for example, in La crise de sens (2006), unequivocally demonstrates this. According to him, this crisis has five dimensions: spiritual, religious, artistic, economic, and finally, cultural. This is true in my view, although incomplete, because Mattéi does not address the most important crisis: the ecological crisis. The argument that leads me to postulate the utmost importance of this ecological crisis is simple: if the environment is no longer able to sustain human life, humans cease to exist. The environmental aspect of the crisis can thus not be subtracted from a reflection on the overall crisis since, in my view, it offers an opportunity for a philosophical questioning to address this crisis. In the book entitled Écologie, éthique et création (1994), Dominique Jacquemin orients us in this direction by raising the following three questions : 1. Is it possible to frame our ecological concerns in ethical terms? 2. How can ecological concerns affect our relationship with the world and with the future? 3. How can the present ecological reflection establish an ethically viable link between man and nature, both now and in the future? The questions raised by the environmental crisis thus lead us to think about the meaning and the finality of human life and also about the concept of human beings in their relationship to the world. The purpose of this memoir is to address these questions by finding inspiration in the ethical principles outlined in The Imperative of Responsibility (1979, English 1984) by Hans Jonas (1903 – 1993), in order to bring out their relevance for the current environmental challenge. In other words, I will answer the following question: In today's society and for the future, what are the most important aspects in Hans Jonas' book on “The Imperative of Responsibility” with regards to the resolution of the crisis of meaning? To accomplish this, the memoir is divided in two chapters. The first is the body of the memoir which contains three main parts related to the three questions raised above. The second and final chapter contains an initial critical analysis of The Imperative of Responsibility followed by an appreciation by Hans Jonas. Methodologically, I intend to shed light on the need for ethical responsibility in face of the ecological crisis by focusing on the themes of otherness and solidarity. In this way, I hope to show that the ecological crisis opens up possible avenues for the resolution, at least in part, of the crisis in meaning we are now facing.
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Préservation et Usage. Le dualisme de la fin chez Aristote / Preservation and Use. The dualism of the end in Aristotle

Dos Santos, Nélio Gilberto 16 December 2019 (has links)
Selon Aristote, la cause finale est double, suivant ce qu’il indique en cinq endroits stratégiques du corpus : à propos de la relation causale entre la finalité et la matière, dans Physique II ; par rapport à la finalité de la reproduction animale, dans De Anima II ; et un peu plus loin, dans cette même ouvrage, le dualisme est affirmé pour éclairer la manière dont l’âme est fin pour le corps ; dans l’Éthique à Eudème, où il s’agit de préciser la façon dont le dieu est fin pour la sagesse pratique ; enfin, concernant la causalité téléologique du Premier Moteur, dans Métaphysique Λ. Ce dualisme téléologique, formulé dans les occurrences du De Anima II à travers l’expression technique τὸ οὗ et τὸ ᾧ, ayant été développée dans une étude qui ne nous est pas parvenue, est fréquemment comprise en fonction de la finalité de la production technique et traduite par « le but visé » et « le bénéficiaire ». Toutefois, cette tentative d’éclaircir cette expression laconique pose des problèmes assez importants, dont celui de sa pertinence pour l’approche des phénomènes naturels qu’elle est censée expliquer. Cette étude cherche à restituer ce dualisme de la fin au centre de la compréhension aristotélicienne de la téléologie. L’examen des occurrences, ainsi que l’étude des thèmes majeurs de la finalité dans la philosophie de la nature d’Aristote, nous conduisent à mettre en avant deux notions qui permettent expliciter ce à quoi fait référence le dualisme téléologique : la notion d’usage, χρῆσις, et celle de préservation, σωτηρία. / According to Aristotle, the final cause is twofold, as it indicates in five strategic places of the corpus: concerning the causal relation between finality and matter, in Physics II; with respect to the purpose of animal reproduction, in De Anima II; and a little further on, in this same work, this dualism is affirmed to enlighten the way in which the soul is end for the body; in Eudemian Ethics, where is it to specify the way in which the god is an end for practical wisdom; finally, concerning the teleological causality of the Prime Mover, in Metaphysics Λ. This teleological dualism, formulated in the occurrences of De Anima II through the technical expression τὸ οὗ and τὸ ᾧ, having been developed in a study that has not survived to our times, is frequently understood in terms of purpose in technical production and translated by "purpose" and "beneficiary". However, this attempt to clarify this laconic expression raises quite significant problems, including that of its relevance for the approach of the natural phenomena that it is supposed to explain. This study attempts to restore this dualism of the end at the centre of Aristotelian understanding of teleology. The examination of occurrences, as well as the study of the major themes of finality in Aristotle's philosophy of nature, lead us to put forward two notions that make explicit what the teleological dualism refers to: the notion of usage, χρῆσις, and that of preservation, σωτηρία.
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Le Rôle de la volonté dans l’acte de la recherche de la vérité chez Thomas d’Aquin

Raymond, Martin 08 1900 (has links)
Dans la philosophie de Thomas d’Aquin, les puissances principales de l’âme, l’intelligence et la volonté, interagissent dans les activités humaines. Une des activités les plus importantes est identifiée par le docteur comme étant la recherche de la vérité. Cette recherche s’inscrit dans la finalité ultime de l’homme. La vérité, en tant que bien de l’intelligence, est voulue par la volonté qui est un appétit rationnel. Ainsi, selon le Dominicain « la volonté veut que l’intelligence intellige ». Puisque la vérité n’est pas le seul bien proposé au libre arbitre, la volonté doit choisir de poursuivre cette fin au détriment d’autres biens concurrents. Elle doit pour se faire perfectionner les puissances de l’âme par le biais d’habitus et de vertus en plus d’éviter les vices qui conduisent à l’erreur. La recherche de la vérité est, selon Thomas d’Aquin, un acte moral. / According to the philosophy of Thomas Aquinas, the main powers of the soul, the intellect and the will, interact in human activities. One of the most important activities is identified by the doctor as the search for truth. This research is part of the ultimate purpose of man. The truth, which is the good of the intelligence, is willed by the will which is a rational appetite. Thus, according to the Dominican “the will wants that the intelligence thinks.” Because the truth is not the only good proposed to the free will, the will must choose to pursue it to the detriment of other competing goods. To achieve this goal, the will must perfect the powers of the soul through habitus and virtues while avoiding the vices that lead to errors. The search for truth is, according to Thomas Aquinas, a moral act.
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L'essenza e la forma : la presenza di Aristotele nella "Wesenslogik" di Hegel / L'essence et la forme : la présence d'Aristote dans la " Wesenslogik" de Hegel / Essence and form : the presence of Aristotle in Hegel's "Wesenslogik"

Giacone, Alessia 24 March 2017 (has links)
Le but de cette étude est de fonder la parenté entre l'essence hégélienne, le Wesen, et le ti en einai aristotélicien; parenté qu'on croit être non seulement littérale, mais plus proprement spéculative. En effet, le Wesen comme le ti en einai rappellent un sens de passé, mais de passé hors du temps, qui est même spéculatif et théorétique. En particulier, on essaiera de relire certains moments de la Science de la logique en utilisant comme pierre de touche les Leçons sur l'histoire de la philosophie que Hegel a dédiées à Aristote. Déjà la bipartition de la logique objective en « Logique de l'être» et « Logique de l'essence» est une reprise d'Aristote: la science, en allant en profondeur, recherche au-delà de l'être (to on) et, une fois découverte l'essence (ti en einai), élève cette dernière à son objet. Le chemin logique qui va de l'être à l'essence pense éminemment cette vérité. La démonstration de la parenté entre Wesen et ti en einai aurait un double mérite : tout d'abord, celui de clarifier des passages très importants de la Doctrine de l'essence en dissolvant, en parallèle, les ambiguïtés dont le corpus aristotélicien reste susceptible; d'autre part, celui de lire correctement l'imparfait en de la formule monnayée par Aristote; un imparfait, d'après moi, qui ne peut qu'être métaphysique et concerner, donc, ce qui est nécessaire, immuable, hors du temps précisément en tant qu'il légitime le temps, c'est-à-dire qu'il fonde ontologiquement le temps en lui donnant sa vérité. Le travail se compose de quatre chapitres, qui sont quatre moments d'enquête bien distincts : Le premier chapitre, après quelques remarques méthodologiques, offrira une première interprétation générale de l'essence en tant que dynamis, en axant le parallèle sur les concepts aristotéliciens d'essence, d'acte et de but, qu'on utilisera ici comme un laboratoire conceptuel pour l'intégralité de notre travail.Le deuxième chapitre porte sur le sich erinnert de l'être dans l'essence, c'est-à-dire le passage à un niveau différent d'argumentation logique, à partir de son lien d'un côté avec l'anamnesis platonicienne, de l'autre avec le tien einai aristotélicien.Le troisième chapitre problématise le rôle de la Reflexion en tant que processualité immanente de l'essence, en reconsidérant l'équilibre complexe entre être et essence, respectivement, comme proteron pros hemas et proteron te physei, qui correspondent à leur tour aux expressions aristotéliciennes ti esti et tien einai.Le quatrième chapitre aborde le problème de la Wirklichkeit qui clôt la Doctrine de l'essence, en l'interprétant, selon l'indication hégélienne, comme energeia et entelecheia. / The aim of this research is to prove the relationship between the Hegelian concept of Wesen and Aristotle's ti en einai from a not merely lexical point of view. I will specially attempt the reading of some fundamental moments of the Science of logic using the Lectures on the history of philosophy that Hegel dedicates to the Stagirite. Both signifiers, Wesen and ti en einai, refer to a sense of past, but timelessly past (zeitlos), which is pregnantly speculative. Hegel structures the division of the Objective Logic in two books, "Being" and ''Essence", on the mode( of the Aristotelian episteme. True science, meaning the one that goes deeply, looks beyond Being (to on) and, once found its Essence (ti en einai), puts this fast one as its abject. The logical journey from Being to Essence thinks highly this truth. I am convinced that founding such a relationship between the above-mentioned terms has a twofold contribution: On the one hand, which one of clarifying some key-moments of the Doctrine of Essence, so disambiguating expressions, or "formulas" that the Stagirite frequently uses as synonyms (i.e. essence, act, purpose and form); On the other hand, which one of reading, and correctly understanding, the past tense en in the middle of the Aristotelian formula; a past tense definitely metaphysical, which refers to what is necessary, unchangeable, out of time just because it is what time needs most of all and what legitimates time. The dissertation articulates into four chapters, corresponding to four distinct moments of investigation: Chapter I starts with some methodological remarks, and then provides my first general interpretation of the Hegelian Essence as dynamis. I will found this kind of reading on the Aristotelian concepts of essence, act and purpose. The analysis focuses on Aristotle's Metaphysics and approaches a germinal connection between Wesen, An-sich, ousia, dynamis.Chapter Il concems the recollection (sich erinnert) of Being in Essence, that is, switching to a different Ievel of logical argumentation, its connection on one side with Platonic anamnesis, on the other one with the Aristotelian ti en einai. Both anà and en refer to a past that is not truly such: it has no-time significance but clearly a logical-metaphysical one. Logical development is not made up of continuity but rather of breaks and always-new demotions; it recalls some famous words Socrates says to Meno: "And isn't finding knowledge within oneself recollection?" (Meno, 85e-86a). Chapter III, in a direct link with the previous ones, thematizes the role of Reflexion as that immanent process of Essence, rethinking the complex balance of Being and Essence as, respectively, proteron pros hemas and proteron te physei, in turn corresponding to the Aristotelian formulas ti esti and ti en einai. Chapter IV, which takes crosswise the themes of the previous chapters, deals with the problem of Wirklichkeit at the end of the Doctrine of Essence, interpreting it in its twofold meaning of energeia and entelecheia. Despite Hegel, in his Lectures on the history of philosophy, apparently considers entelecheia as the most proper determination of energeia, he actually reveals two distinct senses, which correspond to different ranges of use. Wirklichkeit is then determined both as effectuality and as the determinacy of purpose. If, on the one band, Hegel accomplishes a great ontological building, on the other band he grounds an effectual reality that is only possible, still to submit to the scrutiny of the Subject, Concept, and Idea. / Scopo del presente lavoro di ricerca è fondare la filiazione tra Wesen hegeliano e ti en einai aristotelico da un punto di vista non meramente lessicale, tentando principalmente la lettura di alcuni momenti chiave della Scienza della logica al filtro delle Lezioni sulla storia della filosofia dedicate ad Aristotele. Entrambi i significanti, tanto il Wesen quanto il ti en einai, mettono infatti in gioco un senso di passato, ma passato fuori dal tempo, che è esso stesso teoretico e speculativo. La distinzione della logica oggettiva in logica dell’essere e logica dell’essenza è un calco aristotelico. La vera scienza, la scienza cioè che va in profondità, cerca oltre l’essere (to on) e, trovatane l’essenza (ti en einai) ne fa il suo oggetto. Il cammino che conduce dall’essere all’essenza, o meglio che dall’essere svela l’essenza nella Scienza della logica pensa al massimo grado questa verità. Crediamo che la dimostrazione di una simile filiazione tra i due termini abbia un duplice merito: anzitutto, quello di chiarificare alcuni momenti estremamente importanti della Dottrina dell’essenza disambiguando, nel farlo, alcune espressioni o termini di cui lo Stagirita ha fatto largo uso cadendo spesso nella sinonimia (tra tutti essenza, atto, fine e forma); dall’altro, quello di leggere in modo corretto l’imperfetto en della formula aristotelica – un imperfetto che non può non essere metafisico e riguardare, cioè, ciò che è necessario, immutabile, fuori dal tempo proprio in quanto ciò che più di tutto occorre al tempo, e che perciò stesso lo legittima. Il lavoro si articola in quattro capitoli, che corrispondono a quattro ben distinti momenti di indagine: Il primo capitolo, dopo alcune considerazioni di carattere metodologico, offre una prima generale interpretazione dell’essenza come dynamis, imperniando il parallelo sui concetti aristotelici di essenza, atto e fine. L’analisi è condotta principalmente sul testo della Metafisica. Si approccia una germinale connessione tra Wesen, An-sich, ousia, dynamis. Il secondo capitolo ripensa il sich erinnert dell’essere nell’essenza, vale a dire il passaggio a un diverso livello di argomentazione logica, a partire dal suo legame da un lato con l’anamnesis platonica, dall’altro col ti en einai aristotelico. Sia l’anà che l’en alludono infatti ad un passato che non è veramente tale, che non ha valenza temporale ma chiaramente logico-metafisica. E il procedimento logico, fatto non di continuità ma piuttosto di rotture e di sempre nuove retrocessioni, sembrerebbe richiamare proprio una certa frase di Socrate a Menone: “[m]a ricavar da sé, in sé, la propria scienza, non è appunto ricordare?” (Menone, 85e-86a). Il terzo capitolo, in diretta connessione con il precedente, problematizza il ruolo della Reflexion come processualità immanente dell’essenza, ripensando il complesso equilibrio di essere ed essenza come, rispettivamente, proteron pros hemas e proteron te physei, a sua volta corrispondenti alle espressioni aristoteliche ti esti e ti en einai.Il quarto capitolo, che riprende in modo incrociato le tematiche dei capitoli precedenti, affronta il problema della Wirklichkeit a chiusura della Dottrina dell’essenza, interpretandola nel suo duplice senso di energeia e entelecheia. Malgrado Hegel, nelle Lezioni sulla storia della filosofia, consideri apparentemente l’entelecheia come “la specificazione più propria” dell’energeia, ne emergono due sensi distinti e non propriamente sovrapponibili. La Wirklichkeit si determina quindi tanto come effettualità, quanto come finale determinazione del fine. Se, da un lato, Hegel porta qui a compimento una grandiosa trattazione di ontologia, dall’altro apre le porte all’interpretazione di un reale solo possibile, da sottoporre ancora al vaglio del Soggetto e dell’Idea.
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Le Rôle de la volonté dans l’acte de la recherche de la vérité chez Thomas d’Aquin

Raymond, Martin 08 1900 (has links)
Dans la philosophie de Thomas d’Aquin, les puissances principales de l’âme, l’intelligence et la volonté, interagissent dans les activités humaines. Une des activités les plus importantes est identifiée par le docteur comme étant la recherche de la vérité. Cette recherche s’inscrit dans la finalité ultime de l’homme. La vérité, en tant que bien de l’intelligence, est voulue par la volonté qui est un appétit rationnel. Ainsi, selon le Dominicain « la volonté veut que l’intelligence intellige ». Puisque la vérité n’est pas le seul bien proposé au libre arbitre, la volonté doit choisir de poursuivre cette fin au détriment d’autres biens concurrents. Elle doit pour se faire perfectionner les puissances de l’âme par le biais d’habitus et de vertus en plus d’éviter les vices qui conduisent à l’erreur. La recherche de la vérité est, selon Thomas d’Aquin, un acte moral. / According to the philosophy of Thomas Aquinas, the main powers of the soul, the intellect and the will, interact in human activities. One of the most important activities is identified by the doctor as the search for truth. This research is part of the ultimate purpose of man. The truth, which is the good of the intelligence, is willed by the will which is a rational appetite. Thus, according to the Dominican “the will wants that the intelligence thinks.” Because the truth is not the only good proposed to the free will, the will must choose to pursue it to the detriment of other competing goods. To achieve this goal, the will must perfect the powers of the soul through habitus and virtues while avoiding the vices that lead to errors. The search for truth is, according to Thomas Aquinas, a moral act.
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La téléologie chez Spinoza

Saucier, Adrien 09 1900 (has links)
Ce mémoire examine le thème des causes finales dans l’Éthique (1677) de Spinoza. À l’aide d’une classification quadripartite des types de discours sur les causes finales, il identifie d’abord en le finalisme théologico-métaphysique la cible philosophique visée par la critique de l’Appendice de la première partie de cet opus magnum. Radicalisant le postulat épistémologique cartésien voulant que la volonté divine ne puisse servir de principe explicatif aux phénomènes naturels, Spinoza rejette complètement l’idée selon laquelle le rapport entre Dieu et sa création puisse être conçu sous le mode de la cause finale et élabore, à l’ombre de cette critique, une conception de la causalité divine selon laquelle la production du monde est le résultat nécessaire de l’essence de Dieu. Ensuite, notre mémoire se penche sur le concept de conatus qui se situe à l’intersection de la philosophie naturelle et de l’ontologie. Nous explorons, selon trois hypothèses convoquées tour à tour pour comprendre son fonctionnement, la possibilité de dynamiques téléologiques dans la nature malgré la critique de l’Appendice. Finalement, la dernière partie de notre mémoire tente de faire la lumière sur l’articulation entre, d’une part, la philosophie naturelle et l’ontologie de Spinoza et, d’autre part, sa philosophie pratique. Nous démontrons ainsi l’utilité de faire appel aux causes finales pour expliquer sa conception de la psychologie humaine et pour rendre compte de la dernière station de son éthique, à savoir la beatitudo. De cette façon, nous entendons reconstruire le rapport qu’entretiennent les différents volets de la philosophie spinoziste avec la question des causes finales. / This paper examines the theme of the final causes in Spinoza’s Ethics (1677). Using a quadripartite classification of the types of discourse on the final causes, we define theological-metaphysical finalism as the main philosophical target of Spinoza’s critics. Radicalizing the epistemological Cartesian postulate according to which the divine will cannot serve as an explanatory principle for natural phenomena, Spinoza completely rejects the idea that the relationship between God and his creation can be conceived under the mode of the final cause and elaborates, in the shadow of this criticism, a conception of divine causality that presents the production of the world as a necessary result of God’s essence. Then, we briefly look at the concept of conatus, which is at the intersection of natural philosophy and ontology. We explore, according to three hypotheses, the possibility of teleological dynamics in nature. Finaly, the last part of our thesis tries to shed light on the articulation between, on the one hand, Spinoza’s natural philosophy and ontology and, on the other hand, his practical philosophy. We thus demonstrate the usefulness of using the final causes to explain human psychology and to account for the last station of the spinozist ethics, the beatitudo.
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Le concept de finalité dans la critique de la faculté de juger téléologique de Kant

Doyon, Stéphane 22 October 2021 (has links)
Nous avons étudié dans ce travail le statut de la notion de finalité telle qu'elle est décrite par Kant dans l'Analytique de la faculté de juger téléologique de la Critique de la faculté de juger. Nous avons circonscrit la portée de cette notion, nous avons montré ses limites et nous avons défini le rôle que Kant lui assigne au sein de sa philosophie transcendantale. Les liens unissant la finalité logique de la nature avec la finalité objective matérielle ont été soulignés, de même que ceux qui s'établissent entre le mécanisme et la finalité en général. Nous avons fait le point sur diverses interprétations de l'antinomie de la faculté de juger téléologique et nous nous sommes livrés, autant que cela nous fut possible, à une critique des thèses de Kant relatives à la finalité.
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Le personnage entre agir, facticité et fatalité : La garçonnière de Mylène Bouchard

Saint-Yves, Myriam 20 April 2018 (has links)
Mettant en scène deux jeunes adultes vivant un amour impossible, le roman La garçonnière, de Mylène Bouchard, nous paraît marqué par une forte tension entre la prévisibilité d’une histoire d’amour typique suggérée par de nombreuses allusions intertextuelles – notamment à Roméo et Juliette de Shakespeare – et l’impulsion de ses personnages qui refusent de se soumettre à ces schémas bien connus. Notre hypothèse est que le roman représente un rapport problématique des personnages avec leur existence. En effet, par la mise en scène de protagonistes dont la vie semble soumise à des forces extérieures, le roman soulève des questions sur l’incidence de la fatalité sur leur parcours ainsi que sur la finalité de ce dernier. Pour réaliser cette représentation, le texte opère une série de « désamorçages » diégétiques et identitaires, questionnant le statut des personnages au sein du texte, la constitution de leur identité et la téléologie romanesque.
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Le hasard et la finalité dans la nature

Boudreault, Pierre-Luc 18 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2012-2013. / La science moderne et les scientifiques qui la pratiquent tendent à promouvoir une vision déterministe de la nature dans laquelle le hasard et la finalité sont tous deux absents. Dans ce mémoire, nous examinons si cette vision est conforme à la réalité en traitant les questions philosophiques qu'elle soulève, soit celle de l'existence du hasard dans la nature et celle de l'existence de la finalité à la lumière de la philosophie de la nature d'Aristote, de Thomas d'Aquin et de Charles De Koninck. Nous parvenons à l'aide de ces auteurs à la conclusion que le hasard existe dans la nature en raison de l'indétermination de la matière, mais que la finalité y est aussi présente et que c'est même elle qui est la principale cause de ce qui existe et arrive puisque la nature agit essentiellement en vue d'une fin.

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