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La question de l'histoire chez Husserl

Graham, Pierre 12 1900 (has links)
Ce présent mémoire porte sur la conception historique de la phénoménologie dans le dernier ouvrage de Husserl, La crise des sciences européennes et la phénoménologie transcendantale (1937). Le chapitre 1 avance, qu’il n’y a pas, du point de vue de ses motifs internes, de « tournant historique » de la phénoménologie. Le projet d’une théorie transcendantale de l’histoire doit se comprendre comme étant l’aboutissement nécessaire de la pensée husserlienne. Le chapitre 2 s’intéresse à la manière par laquelle la phénoménologie serait censée renouveler l’identité collective de l’Europe et résoudre la séparation entre la pensée et l'action. La phénoménologie, à partir d’une critique de l’objectivisme des sciences, serait la réalisation du telos de la pensée moderne. Cependant, l’exigence d’authenticité de Husserl s’avère insuffisante pour parvenir à une juste compréhension des implications de la responsabilité. Bien que cette visée humaniste soit d’un intérêt évident, elle s’avère trop rudimentaire. / This thesis is concerned with Husserl’s historical understanding of phenomenology in his last work, The Crisis of European Sciences and Transcendental Phenomenology (1937). In chapter 1, we examine David Carr’s account of the historical turn of Husserlian phenomenology. The idea of the historical turn of phenomenology is inaccurate. The transcendental theory of history represents the necessary outcome of Husserl’s philosophy. In chapter 2, we examine the manner by which Husserlian phenomenology is supposed to re-establish European cultural identity. Husserl, through his criticism of the objectivistic prejudice of modern science, claims that phenomenology represents the teleological accomplishment of philosophy. We finally examine Husserl’s attempt to reunite the Modern schism between thought and action. We conclude that Husserl’s main ethical principle, the notion of authenticity, is in itself insufficient to explain the implications of responsibility.
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Temps et métaphysique. Confrontation systématique entre Bergson et Kant / Time and metaphysics. Systematic confrontation between Bergson and Kant

Mazeron, Armel 01 December 2018 (has links)
Temps et métaphysique. Confrontation systématique entre Bergson et Kant.Bergson désigne Kant comme son adversaire principal pour des raisons essentiellement métaphysiques. Si la théorie kantienne de l’idéalité du temps était vraie, elle empêcherait la réalisation d’une métaphysique telle que Bergson la conçoit. Aussi ce dernier récuse-t-il la thèse centrale de l’Esthétique transcendantale et lui oppose l’affirmation de la réalité substantielle de la durée. Du point de vue de Bergson, Kant affirme l’idéalité du temps parce qu’il le spatialise. En retrouvant la différence de nature entre durée et espace, Bergson rend possible la coïncidence intuitive avec l’absolu et permet à la métaphysique de redevenir, après le criticisme, une connaissance de la réalité en soi. Ce sont donc deux théories du temps antagonistes qui engendrent deux métaphysiques opposées : chez Kant, le temps est une forme homogène et infinie susceptible d’accueillir la totalité des phénomènes et permettant de fonder la science physique dans le temps tout en légitimant le suprasensible hors du temps, tandis que chez Bergson la durée est hétérogène et finie, elle unit de façon immanente la forme et la matière, elle est une création continue d’imprévisible nouveauté qui manifeste la réalité spirituelle dans le sensible. A partir de cette opposition, la question est de savoir si l’esprit humain est circonscrit dans les limites des formes a priori de la sensibilité ou bien, au contraire, s’il est capable d’accéder partiellement à l’absolu en plongeant intuitivement dans sa durée profonde. La primauté de la question du temps est telle chez Bergson et Kant qu’elle détermine l’ensemble de leurs philosophies respectives. Elle constitue le centre névralgique à partir duquel se définit le statut de la métaphysique, et d’où s’articulent l’ensemble de leurs énoncés philosophiques. L’étude des relations entre Bergson et Kant requiert de ce fait une méthode de confrontation systématique qui, partant de la racine philosophique qu’est la question du temps, étudie l’ensemble des oppositions et des points de rencontre entre eux. En outre, pour étudier précisément la manière dont Bergson comprend Kant, il faut allier la méthode herméneutique et la contextualisation historique. Bergson lit Kant à travers le prisme du criticisme français auquel ses maîtres et ses adversaires adhèrent. Cette tradition est ici étudiée et mise en regard de la philosophie bergsonienne. La première partie de ce travail de thèse clarifie le statut de la métaphysique en fonction de la nature du temps. Affirmer l’idéalité ou la réalité du temps a pour effet de changer le statut de la connaissance métaphysique. En séparant le phénomène et le noumène, Kant dresse un voile entre la connaissance et le suprasensible là où, au contraire, l’intuition bergsonienne de la durée permet d’accéder à la réalité en soi et de retrouver la puissance créatrice de l’esprit. La deuxième partie propose une confrontation de l’ensemble de la Critique de la raison pure avec la philosophie de Bergson. Si la théorie du temps a des effets systématiques, alors les thèses de l’Esthétique transcendantale fondent la totalité de l’Analytique et de la Dialectique. Leur refus par Bergson change non seulement la compréhension de l’espace et de la durée, mais aussi le statut de l’ensemble des facultés de l’esprit humain, des principes de la science et celui des énoncés métaphysiques. La troisième partie étudie le rapport de Bergson avec la Critique de la raison pratique, la Critique de la faculté de juger et avec les textes religieux, anthropologiques et politiques de Kant. Après la séparation du sensible et du suprasensible résultant de l’idéalité du temps, Kant cherche à les relier à l’aide du symbolisme analogique. Le continuisme bergsonien permet de faire l’économie de cette solution et de retrouver dans la philosophie pratique, dans l’art et dans le vivant l’expression de l’élan spirituel et créateur de la durée. / Time and metaphysics. Systematic confrontation between Bergson and Kant. Bergson refers to Kant as his principal opponent essentially for metaphysical reasons. If the Kantian theory of the ideality of time were true, it would prevent the realisation of metaphysics as Bergson conceives it; so he rejects the central thesis of the Transcendental aesthetics. He opposes affirmation of substantial reality of duration. From Bergson’s point of view, Kant affirms the ideality of time because he spatializes it. By finding the difference of nature between duration and space, Bergson makes possible intuitive coincidence with the absolute and allows metaphysics to become again, after criticism, a knowledge of reality in itself. It is thus two antagonistic theories of time that engender two opposite metaphysics: for Kant, time is a homogeneous and infinite form susceptible to receive all phenomena and allowing the foundation of physical science inside time while legitimating the suprasensible out of time; for Bergson, duration is heterogeneous and finite. It immanently unites form and matter, it is a continuous creation of unpredictable novelty that manifests spiritual reality in the sensible. From this opposition, the question is whether human mind is circumscribed with the limits of a priori forms of sensibility, or, on the contrary, if it is able to partially access to the absolute by dipping intuitively into deep duration. The primacy of the question of time is such in Bergson and Kant that determines all of their respective philosophies, it is their nerve center from which the status of metaphysics is defined, and from which all of their philosophical statements are articulated. The study of relation between Bergson and Kant therefore requires a method of systematic confrontation that, starting from the philosophical root that is the question of time, studies all oppositions and meeting points between them. Moreover, to study precisely how Bergson understands Kant, it is necessary to combine hermeneutical method and historical contextualization. Bergson reads Kant through the prism of French criticism to which his masters and his opponents adhere. This tradition is studied here and compared to Bergsonian philosophy. The first part of this work clarifies the status of metaphysics in term of the nature of time. To assert the ideality or reality of time has the effect of changing the status of metaphysical knowledge. While separating phenomenon and noumenon, Kant draw a veil between knowledge and the suprasensible, where, on the contrary, Bergsonian intuition of duration gives access to reality in itself and to rediscover the creative power of mind. The second part proposes a confrontation of all of the Critique of Pure Reason with Bergson’s philosophy. If the theory of time has systematic effects, then the theses of the Transcendental Aesthetics ground the totality of the Analytics and the Dialectics. Their refusal by Bergson changes not only the comprehension of space and duration, but also the status of all faculties of the human mind, the principle of science, and the metaphysical statements. The third part examines Bergson’s report with the Critique of Practical Reason, the Critique of Judgement, and Kant’s religious, anthropological and political texts. After separation of the sensible and the suprasensible resulting from the ideality of time, Kant seeks to connect them with the help of analogical symbolism. Bergsonian continuism permit to make the economy of this solution and to find in practical philosophy, in art and in biological life, the expression of spiritual and creative impulse of duration.
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Finitude et finalité chez Kant / Finitude and finality by Kant

Partene, Elena 25 November 2017 (has links)
La philosophie de Kant a souvent été lue comme une doctrine de l’objectivité visant à fonder la connaissance, telle qu’elle est mise en œuvre par la science. Le présent travail se propose à la fois d’éclairer l’autre aspect de la philosophie kantienne, à savoir le pôle de ce qui résiste au procès d’objectivation, et d’étudier l’articulation qu’entretiennent ces deux aspects, objectivation et inobjectivable, au sein de la philosophie kantienne. Il convient d’abord de revenir sur le sens et la spécificité du geste objectivant kantien en l’inscrivant, d’une part, dans la genèse du concept d’objet à partir de son inauguration scotiste et de sa prolongation cartésienne ; d’autre part, en déployant ses conditions d’émergence au sein de la problématique proprement kantienne. L’inobjectivable, que Kant thématise à partir de la Critique de la Faculté de juger se définit par la figure de l’excès, c'est-à-dire par la disproportion possible du concept et de l’intuition. Ce pôle inobjectivable, dont les caractères propres font écho à ceux qui définissent l’objectivité, contraint à élargir la définition du transcendantal pour y voir ce qui conditionne un sens plus existentiel de l’expérience, consistant en un dysfonctionnement et une disproportion. Cette discordance est attestée, au niveau phénoménologique, par l’expérience phénoménologique du beau et du sublime, liée à la représentabilité ; au niveau génétique, par l’idée d’un objet qui se nie comme objet : le vivant et l’événement historique de la Révolution française. / Kant's philosophy has often been perceived as a doctrine of objectivity, a theory for establishing scientific knowledge. In the present work, we attempt to shed light on the other pole of Kantian philosophy – what cannot be subjected to this objectivation – as well as to examine the interplay between objectivation and the inobjectifiable within Kantian philosophy. We start by examining the meaning and uniqueness of Kant’s objectivation process: first by retracing the concept of object from its Scotist genesis to its Cartesian development; then by detailing its conditions of emergence within Kant’s own philosophy. The inobjectifiable, which Kant begins conceptualising in the Critique of Judgment, is defined by the figure of excess, that is, by the possible disproportion of concept and intuition. This inobjectifiable realm, whose specific characteristics echo those which define objectivity, forces us to widen the notion of the transcendental to refer to what conditions a more existential sense of experience, consisting of dysfunction and disproportion. This discordance is demonstrated, at the phenomenological level, by the phenomenological experience of the beautiful and the sublime, linked to representability; at the genetic level, by the idea of an object that denies itself as object: the living and the historical event of the French revolution.
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Moralidade e felicidade: uma análise da teleologia moral kantiana / La morale et le bonheur: une analyse de la téléologie morale de Kant

Coqueiro, Itanielson Sampaio January 2011 (has links)
COQUEIRO, Itanielson Sampaio. Moralidade e felicidade: uma análise da teleologia moral kantiana. 2011. 141f. – Dissertação (Mestrado) – Universidade Federal do Ceará, Programa de Pós-graduação em Filosofia, Fortaleza (CE), 2011. / Submitted by Márcia Araújo (marcia_m_bezerra@yahoo.com.br) on 2013-11-07T17:33:15Z No. of bitstreams: 1 2011-DIS-ISCOQUEIRO.pdf: 1154397 bytes, checksum: 012bdca7761d8256e5e9e7679b2c4173 (MD5) / Approved for entry into archive by Márcia Araújo(marcia_m_bezerra@yahoo.com.br) on 2013-11-07T17:54:47Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2011-DIS-ISCOQUEIRO.pdf: 1154397 bytes, checksum: 012bdca7761d8256e5e9e7679b2c4173 (MD5) / Made available in DSpace on 2013-11-07T17:54:47Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2011-DIS-ISCOQUEIRO.pdf: 1154397 bytes, checksum: 012bdca7761d8256e5e9e7679b2c4173 (MD5) Previous issue date: 2011 / O presente texto faz uma analisa da teleologia moral kantiana enfatizando a relação existente entre moralidade e felicidade. Destaca-se a importância que tem a felicidade na consecução do Soberano Bem que é, por sua vez, a harmonia existente naquela relação. Além disso, afirma que em tal relação a moralidade tem a primazia sobre a felicidade, não sendo esta, portanto, o bem supremo de todo e qualquer agir humano, como pensara Aristóteles. O presente trabalho está dividido em três momentos. Por tal sistemática, busca-se delimitar o próprio objeto de estudo, com o fito de não se adentrar em problemas, que por si só, são passíveis de trabalhos específicos, como a história e a própria religião. E enfatiza-se a relação Natureza e Liberdade na qual destacamos que a filosofia prática de Kant está alicerçada no chão de sua filosofia teórica. E tal alicerce afirma que a ação humana, ação do sujeito que se pretende valorado enquanto um ser moral, não tem como princípio e fundamento, uma lei de natureza, visto que esta mesma exige o efeito sempre que for dada a causa. No segundo momento, intitulado Moralidade e Liberdade, destaca-se os principais conceitos da filosofia prática de Kant com o objetivo claro de demonstrar que sem liberdade não há moralidade. Já no terceiro capítulo, intitulado Moralidade e Felicidade, analisa-se o télos da moral kantiana. Para isso, percorre-se o caminho que o próprio filósofo fizera em suas obras básicas de ética, Crítica da Razão Prática, Fundamentação da Metafísica dos Costumes, Metafísica dos Costumes especificamente a Introdução e a segunda parte do texto intitulado Doutrina da Virtude e A Religião nos Limites da Simples Razão. Tal caminho nos faz perceber a religião como o fim ao qual a moral nos conduz necessariamente. Agora, abordando as questões metodológicas de nossa pesquisa destaca-se que o presente trabalho fora realizado, neste aspecto específico, em três momentos. Primeiramente realizou-se o estudo sistemático das obras clássicas, do filósofo em questão já citadas, realizando-se anotações, fichamentos e resumos; no segundo momento fez-se a pesquisa bibliográfica acerca da literatura secundária ou dos comentadores do referido filósofo; após tal processo de levantamento e pesquisa bibliográfica adentramos, já no terceiro momento, na construção deste texto dissertativo, que agora vos apresentamos.
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La ligne métaphysique du beau. : esthétique et anthropologie chez K.P Moritz / The Metaphysical Line of Beauty. : aesthetics and anthropology in K. P. Moritz / La linea metafisica del bello. : Estetica e antropologia in K. P. Moritz

Spezzapria, Mario 09 May 2017 (has links)
Identifier dans la pensée de Karl Philipp Moritz (1756-1793) une proposition philosophique homogène et cohérente constitue l’objet de cette thèse : c'est dans la théorie esthétique de Moritz que les structures conceptuelles d’une telle proposition trouvent leur expression paradigmatique et, en partie, leur origine. En quelques mots, l'esthétique moritzienne se pose à la fois une vaste réflexion sur la totalité, et une théorie de la valeur inhérente à chaque individualité, thème déplacé par Moritz à la réflexion sur l’homme. Le cœur de sa pensée esthétique et anthropologique est animé par la question fondamentale : comment un «objet» (qu’il s’agisse d'une œuvre d’art, du caractère et du goût d’un peuple, ou d’un individu singulier) peut-il être pensé dans sa valeur autonome ? Une telle interrogation présuppose non seulement l’expérience d’un manque, un écart, une perte de sens, mais aussi l'effort constant de l'homme pour reproduire cette valeur «objective» (tension pour l’idéalité d'une totalité achevée), alors que la vie humaine est sans cesse dominée par la limitation, la destruction, la douleur et l’échec. En ce qu'elle nous apprend à nous occuper d’une totalité entière et achevée (l'objet artistique), l’esthétique devient un paradigme pour la compréhension de domaines plus vastes (humanité, nature, histoire), et un outil d'appréciation de la vie comme « œuvre d’art ». / In this work l propose to find out in the thought of Karl Philipp Moritz (1756-1793) a homogeneous and coherent philosophical position, whose theoretical structures are paradigmatically exemplified in his aesthetical theory, which - at least in part - constitutes their seminal place. ln short, Moritz’s aesthetics presents itself both as an ample reflexion on totality, and as a theory of the intrinsic value of any individuality, themes that he transposed to the reflexion on man. At the heart of his aesthetical and anthropological thought lies the question: how an "object" (a work of art, or the character or taste of a people, or of a singular individual) can be thought in its autonomous value? Question that presupposes the experience of a lack, a lost of sense, and at the same time the man's constant effort to reproduce this "objective value (a tension for the ideal of a whole completed totality), while human life remains essentially dominated by limitation, destruction, grief and failure. By learning to deal with a whole and complete totality (the artistic object), aesthetics becomes a paradigm for the comprehension of further domains (humanity, nature, history), and an instrument of appreciation of life as a “work of art". / In questo lavoro propongo d'identificare nel pensiero di Karl Philipp Moritz (1756-1793) una posizione filosofica omogenea e coerente, le cui strutture teoretiche si trovano in maniera paradigmatica nella teoria estetica, che - perlomeno in parte - ne è anche il luogo seminale. L'estetica moritziana si presenta allo stesso tempo come un'ampia riflessione sulla totalità e come une teoria del valore intrinseco d'ogni individualità, temi che il nostro autore trasferisce alla riflessione sull'uomo. Al fondo del suo pensiero estetico e antropologico si trova la domanda: come può un "oggetto" (che si tratti di un'opera d'arte, del carattere o del gusto di un popolo, o di un individuo singolare) essere pensato nel suo valore autonomo? Una questione che presuppone l'esperienza di un fallimento, una mancanza di senso e, contemporaneamente, lo sforzo costante da parte dell'uomo di riprodurre tale valore "oggettivo" (una tensione per l'ideale di totalità in sé compiuta), mentre la vita umana rimane essenzialmente dominata dalla finitezza, distruzione, dolore e fallimento. Imparando a occuparsi di una totalità completa e conchiusa in sé (l'oggetto artistico), l'estetica diventa per l'uomo un paradigma per la comprensione di altri domini (umanità, natura, storia), e uno strumento per l'apprezzamento della vita come "opera d'arte".
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La genèse des objets idéaux dans la phénoménologie tardive de Husserl

Leroux, Alexandre January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La genèse des objets idéaux dans la phénoménologie tardive de Husserl

Leroux, Alexandre January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Préservation et Usage. Le dualisme de la fin chez Aristote / Preservation and Use. The dualism of the end in Aristotle

Dos Santos, Nélio Gilberto 16 December 2019 (has links)
Selon Aristote, la cause finale est double, suivant ce qu’il indique en cinq endroits stratégiques du corpus : à propos de la relation causale entre la finalité et la matière, dans Physique II ; par rapport à la finalité de la reproduction animale, dans De Anima II ; et un peu plus loin, dans cette même ouvrage, le dualisme est affirmé pour éclairer la manière dont l’âme est fin pour le corps ; dans l’Éthique à Eudème, où il s’agit de préciser la façon dont le dieu est fin pour la sagesse pratique ; enfin, concernant la causalité téléologique du Premier Moteur, dans Métaphysique Λ. Ce dualisme téléologique, formulé dans les occurrences du De Anima II à travers l’expression technique τὸ οὗ et τὸ ᾧ, ayant été développée dans une étude qui ne nous est pas parvenue, est fréquemment comprise en fonction de la finalité de la production technique et traduite par « le but visé » et « le bénéficiaire ». Toutefois, cette tentative d’éclaircir cette expression laconique pose des problèmes assez importants, dont celui de sa pertinence pour l’approche des phénomènes naturels qu’elle est censée expliquer. Cette étude cherche à restituer ce dualisme de la fin au centre de la compréhension aristotélicienne de la téléologie. L’examen des occurrences, ainsi que l’étude des thèmes majeurs de la finalité dans la philosophie de la nature d’Aristote, nous conduisent à mettre en avant deux notions qui permettent expliciter ce à quoi fait référence le dualisme téléologique : la notion d’usage, χρῆσις, et celle de préservation, σωτηρία. / According to Aristotle, the final cause is twofold, as it indicates in five strategic places of the corpus: concerning the causal relation between finality and matter, in Physics II; with respect to the purpose of animal reproduction, in De Anima II; and a little further on, in this same work, this dualism is affirmed to enlighten the way in which the soul is end for the body; in Eudemian Ethics, where is it to specify the way in which the god is an end for practical wisdom; finally, concerning the teleological causality of the Prime Mover, in Metaphysics Λ. This teleological dualism, formulated in the occurrences of De Anima II through the technical expression τὸ οὗ and τὸ ᾧ, having been developed in a study that has not survived to our times, is frequently understood in terms of purpose in technical production and translated by "purpose" and "beneficiary". However, this attempt to clarify this laconic expression raises quite significant problems, including that of its relevance for the approach of the natural phenomena that it is supposed to explain. This study attempts to restore this dualism of the end at the centre of Aristotelian understanding of teleology. The examination of occurrences, as well as the study of the major themes of finality in Aristotle's philosophy of nature, lead us to put forward two notions that make explicit what the teleological dualism refers to: the notion of usage, χρῆσις, and that of preservation, σωτηρία.
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Sideshadow views : narrative possibilities in Charles Dickens's late novels

Dzialowski, Louis 08 1900 (has links)
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Explications mécanistes et téléologiques de l'évolution de la forme

Danciu, Anda E. 04 1900 (has links)
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