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Causes de l'échec d'apprentissage du français par des étudiants chinois en France : étude multifactorielle qualitative et quantitative à partir d'entretiens et de questionnaires

Wang, Jinjing 30 November 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse s'inscrit dans le domaine de la didactique du français langue seconde. Elle concerne les causes de la réussite ou de l'échec de l'apprentissage du français par des étudiants chinois en France. Plus précisément, elle prend appui sur la perception de la réussite ou de l'échec d'apprentissage parmi ce public dont l'effectif ne cesse de croître et au sein duquel de nombreux individus éprouvent de grandes difficultés à apprendre la langue du pays d'accueil. Afin d'interroger les causes des sentiments de réussite ou d'échec dans l'apprentissage, trois hypothèses sont posées : le sentiment de réussite ou d'échec est conditionné par l'adaptation à la nouvelle culture d'apprentissage/enseignement ; certains traits de personnalité favorisent l'apprentissage de la langue ; la motivation des apprenants a des conséquences sur leur investissement et sur leur utilisation de stratégies dans l'apprentissage du français. Cette étude tend à montrer que le sentiment de réussite ou d'échec d'apprentissage résulte d'un cumul d'expériences émotionnellement positives ou négatives. Elle fait apparaître certains des facteurs qui facilitent ou empêchent l'apprentissage du français par des étudiants chinois en France. Par exemple, l'adaptation à la culture d'enseignement française favoriserait l'apprentissage et induirait chez l'apprenant un sentiment de réussite. Parmi les facteurs qui seraient susceptibles d'engendrer un sentiment d'échec, l'introversion empêcherait l'acquisition de compétences dans le domaine de l'expression orale et l'absence de contacts réguliers avec le français dans la vie quotidienne affaiblirait la motivation d'apprentissage.
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Le français langue seconde comme langue de scolarisation. Théorisation, description et analyse d’interactions didactiques en classe d'accueil. / French as a second language and as a schooling language. Theorization, description and didactic interactions analysis

Le Ferrec, Laurence 06 December 2011 (has links)
La recherche envisage le français langue seconde comme langue de scolarisation à partir d’une réflexion sur la situation d’enseignement/apprentissage du français par des élèves allophones scolarisés dans le système éducatif français en classe d’accueil de collège. La notion de langue de scolarisation, utilisée à l’origine à propos de l’enseignement scolaire dans les pays de français langue seconde, est mise au cœur de l’étude et fait l’objet d’une analyse didactique et linguistique s’attachant à en identifier les composantes. A partir d’une réflexion sur les usages de la langue à l’école, la recherche tente de délimiter le champ d’application de la langue de scolarisation et suggère un recentrage sur les discours d’enseignement dont elle propose une description. Ces discours s’apparentent à des discours spécialisés que mettent en œuvre les différentes disciplines scolaires et qui nécessitent un traitement didactique spécifique pour faciliter l’intégration des élèves allophones en classe francophone. L’étude empirique porte sur un corpus d’interactions didactiques enregistrées en classe d’accueil de collège et transcrites. Elle mobilise les outils et méthodes de la linguistique des interactions verbales et s’attache à montrer les modalités de transmission des connaissances en s’intéressant aux formes d’énonciation des savoirs et à leur construction collaborative, en relation avec les supports écrits utilisés comme auxiliaires du discours de l’enseignant. La recherche se veut conjointement une contribution à l’étude des discours de transmission de connaissances et à la réflexion méthodologique de la didactique du français langue seconde dans le système éducatif français. / This research examines French as a schooling language for pupils with a different mother tongue, by focusing on the way it is taught in the French educational system by students who attend French "collèges" (the first four years of secondary education) in what are known as "classes d’accueil", i. e. special classes where these students are taught French as a foreign (or second) language. The concept of a schooling language, originally used about school teaching in countries where French was not the mother tongue, is central to this study and is analyzed in both didactical and linguistic terms in order to identify and define its components. Starting with a reevaluation of the way language is used in school, this research tries to map out the field in which the schooling language is applied and suggests focusing on the teaching discourses which are then described. They are akin to specialized discourses on the various school subjects but require a specific didactic treatment, in order to facilitate the integration of classes d’accueil pupils into regular classes for French-speaking pupils. The empirical study analyses a corpus of didactical interactions recorded in "classes d’accueil" and later transcribed. It uses the tools and methodologies usually pertaining to the linguistics of verbal interaction and strives to show how knowledge is transmitted through both formal enunciation of knowledge and its co-construction, in relation with the written material used to help the teacher’s discourse. This research has a twofold aim: to contribute to the study of knowledge transmission discourses and to the methodology of French as a second language within the French system of education.
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Acquisition de la polysémie du verbe "prendre" par des apprenants du français L2 / Acquisition of the polysemy of the verb "prendre" by french as a second language learners

Redmond, Leslie 24 May 2017 (has links)
Cette thèse se consacre aux enjeux de la polysémie verbale pour l’acquisition des langues secondes. Nous nous intéressons plus particulièrement à la polysémie du verbe prendre. Cette thèse poursuit deux objectifs complémentaires. D’une part, notre premier objectif est de décrire la polysémie du verbe prendre au moyen d’une analyse en sémantique lexicale dans une approche cognitive. D’autre part, notre second objectif est d’évaluer l’incidence de la polysémie du verbe prendre sur les connaissances qu’ont les apprenants de ce verbe et d’isoler les différentes acceptions de prendre mises au jour par notre analyse sémantique, qui s’avèrent problématiques pour les apprenants du français L2. Par ailleurs, nous cherchons également à savoir si les problèmes liés à la polysémie chez les anglophones peuvent être liés à l’influence translangagière.L’analyse sémantique du verbe prendre porte sur l’ensemble des acceptions prédicatives du verbe. Notre corpus d’analyse provient de données lexicales issues de plusieurs dictionnaires de référence. Afin de délimiter le corpus d’acceptions soumis à l’analyse sémantique, nous avons effectué une analyse syntaxique permettant de départager les différents emplois du verbe prendre : les constructions à verbe support, les locutions verbales et les acceptions prédicatives. Puis, nous proposons une analyse sémantique monosémique des acceptions prédicatives du verbe prendre qui s’articule autour d’un noyau de sens tripartite qui ne correspond à aucune des acceptions spécifiques du verbe, mais qui est présent dans l’ensemble de ces acceptions. Chacune des parties du noyau de sens peut faire l’objet d’un fenêtrage de l’attention, qui nous permet de mettre au jour les différents sens du verbe. Nous avons également émis des hypothèses sur les différences entre le verbe prendre et ses équivalents en anglais. Pour atteindre le second objectif de notre travail, nous avons mené une expérimentation auprès de 191 apprenants du français langue seconde. Tous les participants ont complété trois tâches expérimentales : un test de closure afin de mesurer leur niveau de compétence langagière en français, une tâche de production écrite et une tâche de jugement d’acceptabilité. Les résultats des analyses de régression logistique et multinomiale montrent non seulement que l’analyse sémantique que nous avons proposée permet de prédire la connaissance des différentes acceptions du verbe par les apprenants du français L2, mais aussi que les apprenants anglophones et allophones ont un comportement différent par rapport aux types d’acceptions du verbe prendre, comportement que nous avons pu expliquer par l’influence translangagière chez les participants anglophones. / The present dissertation focuses on the acquisition of highly polysemous verbs by French as a second language learners. I am particularly interested in the polysemy of the verb prendre. This dissertation has two complementary objectives. On the one hand, the first objective is to describe the polysemy of prendre through a lexical semantic analysis within a cognitive framework. On the other hand, the second objective is to evaluate the impact of this polysemy on learners' knowledge of the verb’s different senses in order to isolate those which are the most problematic for French L2 learners. Furthermore, I also investigate whether the problems associated with polysemy for Anglophone learners can be explained through cross-linguistic influence. The semantic analysis of the verb prendre describes all the predicative uses of the verb and is based on lexical data from several dictionnaires. Prior to carrying out the semantic analysis, a battery of syntactic tests was used in order to categorize the different uses of the verb prendre into the following categories: support verb constructions, idiomatic expressions and predicative uses. I propose that the verb prendre has an abstract core meaning which can be divided into three parts. While this abstract core meaning does not correspond to any of the specific senses of the verb, it is present in all of them. I use the cognitive semantic concept of the windowing of attention in order to explain how each of the parts of the core meaning can be windowed in order to obtain the different senses of the verb. Moreover, this analysis allowed me to formulated hypotheses about the differences between the verb prendre and its equivalents in English.In order to meet the second objective of this dissertation, I conducted an experiment on 191 learners of French as a second language. All participants completed three tasks: a cloze test to measure their proficiency level in French, a guided written production task and an acceptability judgement task. The results of the logistic and multinomial regression analyses show not only that the semantic analysis proposed can predict participants’ knowledge of the different senses of the verb, but also that participants whose first language is English behave differently from those whose first language is another language, confirming the presence of cross-linguistic influence for the English-speaking participants.
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La formation à la littératie scolaire en L2 : une analyse sociolinguistique et didactique des dispositifs d’accueil linguistique pour collégiens allophones nouvellement arrivés en France et aux États-Unis / Teaching academic literacy in L2 : a sociolinguistic and didactic analysis of six language programs for middle school second-language learners in France and in the United States

Terrasi, Robert 16 July 2016 (has links)
Certaines études, et notamment PISA 2009, soulignent qu’il existe un écart important en France dans les compétences en lecture entre les élèves allophones et les élèves francophones, et que ces derniers réussissent mieux. Cette thèse postule que pour toute réussite éventuelle à l’école, des compétences solides en lecture, et au niveau exigé pour la classe de référence, sont indispensables. Ce postulat est encore plus valable pour les élèves inscrits dans une école secondaire, le public visé par ce travail.Cette étude, basée sur une démarche qualitative, examine six dispositifs d’accueil linguistique pour collégiens allophones nouvellement arrivés en France et aux États-Unis, en vue d’éclairer et de comparer les pratiques de formation à la littéracie scolaire en L2 employées dans les structures éducatives de ces deux états. Bien que la littératie comprenne habituellement des compétences en lecture et à l’écrit, ce travail se concentre sur la première de ces deux compétences (sur la lecture). Cette thèse fournit une lecture à la fois sociolinguistique et didactique des dispositifs étudiés. D’abord, elle examine les textes législatifs, en vigueur en France et aux États-Unis, concernant la prise en charge des élèves allophones nouvellement arrivés dans ces deux pays. Cette analyse a pour but de déterminer si ces textes stipulent des compétences en lecture à développer dans les dispositifs d’accueil linguistique et celles qui devraient être acquises avant que ces élèves ne sortent définitivement des structures éducatives adaptées et intègrent une classe ordinaire. La thèse examine ensuite les notions de littératie et de littératie scolaire, et met en avant des compétences nécessaires en lecture pour une réussite éventuelle à l’école. En dernier lieu, elle souligne des pratiques didactiques, mises en avant par des travaux scientifiques réalisés en contexte nord-américain, pour le développement de la lecture en L2, et vérifie de quelle manière elles sont prises en considération dans les six dispositifs d’accueil linguistique examinés dans cette étude. Au terme de cette thèse, il a été démontré que ces pratiques sont plutôt bien intégrées dans les structures éducatives américaines, et moins bien dans les structures françaises. Cette thèse révèle également que les enseignants principaux, intervenant dans les dispositifs d’accueil américains, disposent de toute une panoplie d’outils pédagogiques pour les aider dans leur travail, matériaux dont ne bénéficient pas les enseignants intervenant dans les dispositifs correspondants en France. / Studies, and notably PISA 2009, have highlighted that foreign students enrolled in French schools significantly lag behind their French counterparts in terms of reading proficiency. This study postulates that grade-level reading proficiency is a pre-requisite to achieving in school and to having fair access to the curriculum. This is even more the case for adolescent second language learners enrolled at the secondary level, the student population on which this study is focused.Based on a qualitative paradigm, this work analyzes six language programs designed for second-language learner newcomers enrolled at the middle school level in France and in the United States. The study reveals and compares the practices used in these six programs for the teaching of academic literacy in L2. Literacy most generally comprises skills in both reading and writing. The focus of this study, however, is on academic reading. The programs have been analyzed from both a sociolinguistic and language-teaching perspective. First, the study examines the legislation in place in France and the United States, regarding the schooling of second language learners in these two countries. This section determines if these texts stipulate the reading skills that need to be developed and achieved by these students during their stay in, and before exiting, the language programs. It then examines the notions of literacy and academic literacy, and endeavors to determine the reading skills necessary for potential success in a mainstream middle school classroom. Lastly, the study examines the best practices, cited in the literature, for the teaching of academic reading to adolescent second language learners. It then investigates if, and how, these practices are incorporated into the six different language programs. Upon conclusion, results of the study revealed that these practices are relatively well incorporated in the American programs but, overall, are not widely used in the programs observed in France. The results also reveal that the teachers of French as a second language working in these programs significantly lack, compared to their American counterparts, research-based teaching materials and models, as well as means of assessment.
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Apprentissage du vocabulaire des émotions par l’entremise des émojis auprès des élèves allophones du 2e cycle du primaire

Ammar, Mariem 10 1900 (has links)
Ce n’est que récemment que la didactique des langues commence à considérer explicitement le volet affectif dans l’apprentissage d’une langue seconde. Or, l’intégration des élèves allophones au sein de la société québécoise nécessite la prise en conscience de l’enjeu identitaire que pourrait provoquer l’apprentissage d’une langue autre que sa langue maternelle. En effet, les élèves allophones ont besoin d’exprimer leurs émotions qui touchent à des évènements de la vie quotidienne. Dans ce contexte, le recours aux émojis semble constituer un moyen propice à l’acquisition du vocabulaire des émotions. Ce mémoire avait donc pour objectif d’explorer d’une part, les perceptions des élèves allophones du 2e cycle du primaire quant à l’apprentissage du vocabulaire des émotions par l’entremise des émojis et d’autre part, la possibilité selon laquelle l’utilisation des émojis permet l’émergence d’épisodes de négociation de sens, l’une des conditions majeures à la création d’une interaction significative auprès des élèves. Ainsi, dans un premier temps, des enregistrements vocaux réalisés auprès de trois groupes d’élèves (n = 7) ont été transcrits pour rejoindre les notes prises lors de l’observation des trois tâches. Dans un deuxième temps, des entrevues effectuées auprès de l’enseignante et de ses élèves (n=9) ont permis de révéler ce que pensent les participants du recours aux trois dispositifs de recherche assignés à cette étude, à savoir les émojis et l’album jeunesse Migrants. Les résultats de cette étude montrent que le recours aux émojis incite les élèves à s’impliquer dans des épisodes de négociation de sens pour vérifier les propos de l’interlocuteur, lui demander des informations supplémentaires et s’assurer d’une compréhension adéquate du message voulant être transmis. De plus, ce mode d’enseignement rarement évoqué dans les recherches empiriques les plus récentes favorise l’enrichissement du vocabulaire des émotions grâce aux diverses opportunités d’apprentissage de nouveaux mots à l’oral et à l’écrit. / It is only recently that language didactics has begun to explicitly consider the affective component in second language learning. However, the integration of allophone students into the Quebec society requires an awareness of the identity issue the second language learning may cause. Allophone students need to express their emotions about everyday events. In this context, the use of emojis seems to be an appropriate way to acquire the vocabulary of emotions. The objective of this dissertation was therefore to explore on the one hand, the perceptions of allophone students in the 2nd cycle of primary school regarding the learning of emotional vocabulary through the use of emojis and, on the other hand, the possibility that the use of emojis allows the participation of students in episodes of negotiation of meaning which is considered as one of the major conditions for the creation of a meaningful interaction. Thus, in the first instance, voice recordings made with three groups of students (n = 7) were transcribed to join the notes taken during the observation of the three tasks. Second, interviews with the teacher and her students (n=9) revealed what the participants thought about the use of the two research devices assigned to this study, namely the emojis and the children's album named Migrants. The results of this study show that the use of emojis encourages students to participate in episodes of negotiation of meaning in order to verify what the speaker is saying, to ask for additional informations, and to ensure adequate understanding of the message intended to be conveyed. In addition, this mode of teaching, rarely mentioned in the most recent empirical research, promotes the enrichment of the vocabulary of emotions through the various opportunities to learn new words in oral and written form.
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Caractéristiques des langues et apprentissage de la lecture en langue première et en français langue seconde : perspective évolutive et comparative entre l'arabe et le portugais

Besse, Anne-Sophie 11 December 2007 (has links) (PDF)
Cette recherche interlangue a pour premier objectif d'analyser l'évolution des connaissances graphophonologiques, grapho-morphologiques et grapho-syntaxiques, implicites et explicites et la contribution de ces connaissances à la lecture en arabe vocalisé et en portugais langue première. Les résultats indiquent que les élèves de langue arabe se focalisent davantage sur la structure morpho- dérivationnelle en racine/schème que sur le marquage flexionnel, alors que les élèves de langue portugaise développent, non seulement une sensibilité phonologique à la rime et à la syllabe mais aussi de meilleures connaissances grapho-morpho-flexionnelles que grapho-morpho-dérivationnelles. Par ailleurs, si les connaissances morphologiques jouent un rôle sur la reconnaissance des mots écrits quelle que soit la langue, on remarque que ce sont celles les plus écontextualisées qui interviennent en arabe. La contribution des connaissances grapho-morpho-dérivationnelles à la compréhension de phrases en arabe souligne là encore l'importance de la morphologie dans cette langue écrite. Enfin, la compréhension en lecture apparaît plus dépendante des processus d'automatisation en portugais, du fait de l'opacité relative de son orthographe. Le deuxième objectif de ce travail est d'étudier le rôle des acquisitions de la lecture en langue première (arabe vs. portugais) sur l'apprentissage de la lecture en français langue seconde. Les comparaisons ont permis de conclure que le statut privilégié de la morphologie en arabe peut inciter les apprenants à porter attention à la structure interne des mots français pour les lire. En revanche, les similitudes entre le portugais et le français facilitent le développement de la sensibilité graphophonologique et amplifient la symétrie entre les habiletés de lecture de mots en L1 et en L2. Les profils de compréhension en français L2 et leur évolution sont également très différents entre arabophones et lusophones.
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Enseignement des expressions figées métaphoriques françaises à des apprenants vietnamiens

Le, Thi Hoa January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La politesse dans la communication interculturelle : les stratégies de politesse utilisées par les coréens apprenant le français comme langue seconde lors des situations de demande

Bae, Jin Ah 02 1900 (has links)
La présente recherche a pour objectif d’examiner les stratégies de politesse utilisées par des apprenants coréens qui apprennent le français comme langue seconde lors des situations de demande et de mettre en évidence le rôle de la L1 et de la culture d’origine des apprenants quant à leurs choix des stratégies de politesse en français. Trois groupes de répondants ont participé à la recherche : 30 locuteurs natifs coréens qui habitent à Séoul, en Corée, 30 étudiants coréens apprenant le français comme langue seconde à Montréal, au Canada, et 30 locuteurs natifs francophones habitant Montréal. Les données recueillies auprès des locuteurs natifs ont servi de bases de données reflétant respectivement les normes de la L1 et celles de la langue cible. Pour la collecte de données, nous avons utilisé quatre outils : le Discourse Completion Test (DCT) écrit, des échelles d’évaluation des variables contextuelles, un Questionnaire à choix multiples (QCM) ainsi qu’une entrevue semi-structurée. Les réponses obtenues au DCT écrit ont été analysées à l’aide du schéma de codage élaboré dans le cadre du Cross-Cultural Speech Act Realization Project (CCSARP) (Blum-Kulka, House, & Kasper, 1989). Les résultats de notre recherche ont démontré que les apprenants coréens ont estimé les variables contextuelles, comme l’intimité et le pouvoir social ressentis vis-à-vis de l’interlocuteur dans les situations de demande de façon similaire aux locuteurs natifs francophones, alors qu’ils ont eu tendance à estimer une plus grande gravité d’imposition de la demande que les deux groupes de locuteurs natifs dans plusieurs situations de demande. Quant aux stratégies de demande, tandis que ce sont les stratégies indirectes qui ont été le plus fréquemment utilisées par les apprenants coréens et les locuteurs natifs francophones, les apprenants coréens ont montré une tendance au transfert pragmatique de la L1, en recourant aux stratégies directes plus fréquemment que les locuteurs natifs francophones. De plus, étant donné que les apprenants coréens ont utilisé beaucoup moins d’atténuateurs que les locuteurs natifs francophones, leurs formules de demande étaient plus directes et moins polies que celles employées par les locuteurs natifs francophones. En ce qui concerne les mouvements de soutien (supportive moves), les apprenants coréens se sont démarqués des deux groupes de locuteurs natifs, en recourant plus fréquemment à certaines catégories de mouvements de soutien que les autres répondants. Les analyses de corrélation entre l’estimation des variables contextuelles et le choix des stratégies de politesse nous ont permis de constater que les apprenants coréens ainsi que les locuteurs natifs francophones ont eu tendance à utiliser davantage d’atténuateurs lorsque le locuteur possède moins de pouvoir social. Les implications des résultats pour l’enseignement et l’apprentissage des aspects de la politesse dans la classe de français langue seconde ont été exposées. / The aim of this study is to investigate request strategies that Korean learners of French use in request situations. The role played by the learners’ first language and their culture of origin in making these choices will also be explored. Three groups of respondents participated in this study: 30 native Korean speakers living in Seoul, Korea, 30 Korean French learners in Montreal, Canada, and 30 French native speakers living in Montreal. Data collected from native speakers of both Korean and French were used to create baseline data reflecting first and second language norms respectively. Four data collecting methods were used: the Discourse Completion Test (DCT); an assessment questionnaire evaluating situational factors such as intimacy, the social power between interlocutors and the degree of imposition of requests; the multiple choice questionnaire (MCQ); and a semi-constructed interview. The responses obtained from the written DCT were analysed using the coding scheme elaborated in the Cross-Cultural Speech Act Realization Project (CCSARP) (Blum-Kulka, House, & Kasper, 1989). The results of the study showed that the Korean French learners estimated situational factors like intimacy and the relative social power that they feel with interlocutors in a manner similar to that of the French native speakers. However, in many situations, the Korean learners of French tended to estimate that a request represented a greater imposition than either group of native speakers. Further, while the Korean French learners frequently used indirect strategies as the French native speakers used them, they showed a tendency towards pragmatic transfer from their first language (L1), using direct strategies more frequently than their native French-speaking counterparts. Moreover, as the Korean French learners used downgraders far less frequently, their semantic formulas were more direct and less polite than the ones used by French native speakers. Concerning supportive moves, the Korean French learners showed a different tendency from the two groups of native speakers, in that they used some categories of supportive moves more frequently. The correlation analysis between the results of the assessment questionnaire about situational factors and the politeness strategies used by respondents revealed that the Korean learners and the French native speakers used more downgraders when they have less social power than the hearer. Finally, the implications of these findings as relates to the pedagogical and didactic aspects of politeness in French as a second language classroom are examined.
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Difficultés d’ordre grammatical rencontrées chez les immigrants adultes allophones dans l’apprentissage du français langue seconde

Liang, Xian 06 1900 (has links)
La présente étude vise à identifier et classer les difficultés d’ordre grammatical rencontrées chez les immigrants adultes allophones dans l’apprentissage du français langue seconde. Nous avons d’une part analysé les examens finaux de 98 apprenants inscrits dans les cours de francisation à l’Université de Montréal afin de décrire leurs erreurs grammaticales fréquentes commises. Nous avons décrit les erreurs grammaticales fréquentes produites par les apprenants de chaque niveau de francisation d’une manière précise afin que les apprenants puissent bien éviter l’usage de formes erronées et bien développer des compétences linguistiques en français langue seconde. D’autre part, nous avons collecté les opinions personnelles de cinq professeurs principaux de francisation à l’égard de l’importance de l’enseignement de la grammaire dans les cours de langue seconde, du traitement des erreurs grammaticales, et de la persistance des erreurs à travers différents niveaux, etc. En précisant les points grammaticaux à apprendre de chaque niveau de francisation et en fusionnant les résultats des apprenants et des professeurs, nous pouvons offrir aux apprenants adultes allophones des tableaux simples des points grammaticaux et des erreurs grammaticales correspondantes de chaque niveau. Ces derniers pourraient les exploiter pour favoriser la maîtrise du français langue seconde ainsi leur intégration à la société québécoise. / The current research is to identify and classify grammatical difficulties facing by adult English speaking immigrants in their French as a second language (FSL) study. On one side, we have analyzed exams of 98 students from French learning course in Université de Montréal in order to describe their common grammar mistakes. We have described in detail common grammar mistakes produced by learners of each level of French learning course so that they can effectively prevent themselves from using common errors and develop language skill in studying FSL. On the other side, we have also collected personal opinions of five senior teachers of French as a second language course in terms of the importance of teaching grammar in FSL course, the treatment of grammar errors, and the persistence of errors throughout various level, etc. By specifying grammar points to study in each level of FSL course and merging the results of learners and teachers, we can provide adult English speaking learners simple tables of grammar points and grammar errors corresponding to each level. They could use them to improve their language skills and to better integrate themselves into Quebec society.
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Relations entre morphologie, vocabulaire et compréhension écrite en français langue seconde

Michaud, Gabriel 03 1900 (has links)
La présente étude vise à étayer l’état des connaissances liées aux relations entre les compétences en compréhension écrite, le vocabulaire et les capacités en traitement graphomorphologique d’étudiants collégiaux du français langue seconde de niveau intermédiaire et intermédiaire avancé. Bon nombre de ces étudiants présentent des problèmes de compréhension écrite, problèmes qui sont abordés dans la présente recherche sous l’angle des connaissances lexicales et du traitement graphomorphologique, soit la capacité de coordonner les informations de nature orthographique, phonologique et sémantique au cours de la lecture. Les résultats montrent que les étudiants possèdent de faibles connaissances lexicales, ce qui pourrait expliquer en partie les problèmes de compréhension écrite qu’ils présentent. Par ailleurs, même si les étudiants de niveau intermédiaire avancé affichent une meilleure compétence en compréhension écrite et de meilleures connaissances en vocabulaire que les étudiants de niveau intermédiaire, leurs capacités en matière de traitement graphomorphologique sont de même niveau. Enfin, les liens entre les trois variables semblent plus forts pour les étudiants de niveau intermédiaire que pour ceux de niveau intermédiaire avancé, ce qui pourrait laisser penser que le traitement graphomorphologique jouerait un rôle plus important pour les apprenants moins avancés d’une langue seconde. / The present study seeks to investigate the relationship between reading comprehension, vocabulary, and the graphomorphologic processing abilities of college students studying French as a second language at intermediate and intermediate-advanced levels. Many of these students face written comprehension difficulties which are often addressed from the vantage point of lexical knowledge and graphomorphological processing, the capacity to coordinate information that is orthographic, phonologic, and semantic in nature while reading. The results of the study demonstrate that students possess weak vocabulary, which could explain in part the problems they face with respect to written comprehension. As well, even if students at the intermediate-advanced level demonstrate better levels of written comprehension and a larger vocabulary in comparison to students at the intermediate level, their capacity with respect to graphomorphological processing are the same. The evidence demonstrates that the links between the three variables seem to be stronger for students at the intermediate level than at the intermediate-advanced level, which could imply that graphomorphological processing plays a more important role for less proficient second language learners.

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