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Le rôle historique et social des interprètes juifs auprès de l’Armée d’Afrique en Algérie (1830-1870) / The historic and social role of the Jewish interpreters with the French army in Algeria (1830-1870)Dufourmont, Sabrina 18 November 2010 (has links)
Avec la conquête de l’Algérie, l’armée française s’est retrouvée confronter à un besoin important en interprètes, besoin qu’elle n’avait pas réellement anticipé. En effet, le corps des interprètes initialement constitué pour l’expédition d’Alger le 5 juillet 1830 s’est rapidement trouvé insuffisant. Il a donc fallu pallier au problème de la langue, en pleine phase de conquête. Pour cela, les autorités françaises ont eu recours aux membres de la communauté juive, une communauté avec laquelle elles avaient déjà tissé des liens commerciaux et/ou diplomatiques de longue date. En plus de connaître le pays, sa population, ses coutumes et sa mentalité, les juifs maîtrisent en effet plusieurs langues. Le rôle de l’interprète a pris une dimension nouvelle en Algérie. Pour la première fois, un interprète occupe une place indispensable et centrale dans une action militaire. L’étude des dossiers des interprètes juifs a permis de constater qu’ils avaient participé à plusieurs négociations, de plus ou moins grande importance, à l’instar d’Amram Darmon et de Juda ben Duran avec l’émir Abd el-Kader. Ce rôle historique a eu des conséquences sociales : relations ambigües avec l’armée française, bouleversement dans le rapport à la communauté musulmane, interrogation sur la naturalisation… Cette thèse a mis en lumière le rôle qu’ils ont joué, souvent de manière indirecte, dans le processus qui a abouti au décret Crémieux qui octroie la citoyenneté française à la communauté juive d’Algérie en 1870, et a permis de mieux comprendre l’attachement de cette communauté à la France. / With the conquest of Algeria, the French army met to confront with a need mattering in interpreters, a need which it had not really anticipated. Indeed, the body of interpreters initially established for the expedition of Algiers July 5th 1830 was quickly insufficient. It was thus necessary to mitigate the problem of language, in full phase of conquest. For that purpose, the French authorities had appeal to the members of Jewish community, the community with which they had already weaved the long time commercial and diplomatic links. Besides knowing the country, its population, its customs and its mentality, the Jews indeed master several languages. The role of the interpreter took a new dimension in Algeria. For the first time, an interpreter occupies a central and indispensable place in a military action. The study of the files of the Jewish interpreters allowed to notice that they had participated in several negotiations, of more or less importance, following the example of Amram Darmon and of Juda ben Duran with the emir Abd el-Kader. This historic role had social consequences such as ambiguous relations with the French army, turnover in the report of the relationship with the Moslim community, the question on the naturalization… This thesis revealed the role which they played, often in an indirect way, in the process which ended in the decree Crémieux which grants the French citizenship to the Jewish community of Algeria in 1870, and has allowed to understand better the attachment of this community in France.
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Les officiers français : constitution et devenir de leurs collections africaines issues de la conquête coloniale / The french officers : constitution and future of their African objects collected during the colonial conquestBanguiam Kodjalbaye, Olivier 19 May 2016 (has links)
Consacrée aux collections africaines des officiers coloniaux français, cette recherche soulève la question de l’exploration et de la conquête de l’Afrique à la fin du XIXè siècle et au début du XXè siècle. Parmi les explorateurs envoyés par les pays européens pour coloniser les populations africaines figurent des hommes de couches sociales et de professions différentes. On peut citer, par exemple, les missionnaires, les administrateurs, les militaires. Il est privilégié ici l’étude de l’action coloniale des officiers français engagés dans une série de régions (Mali, Sénégal, Congo, Tchad, République Centrafricaine…). Lors des missions d’exploration, ces hommes y découvraient un éventail d’objets (armes, instruments de musique, objets d’utilité quotidienne, objets rituels…) qu’ils collectaient sous l’incitation des instructions reçues en France avant leur départ. Il convient d’étudier les provenances géographiques et les conditions d’acquisition de ces objets afin de dégager la particularité des collections rassemblées par les officiers. Au terme de leurs périples, ceux-ci rapportaient en France ces collections qu’ils offraient aux musées comme le Musée de l’Homme et le Musée de l’Armée. Aujourd’hui, le Musée du Quai Branly conserve de précieux dossiers sur ces militaires (Archinard, Brazza, Marchand, Tilho…) ainsi que les traces de leurs dons. Après avoir répertorié environ 1500 objets dont l’histoire est indissociable à celle de la colonisation de l’Afrique, on déduit que ces oeuvres constituent un véritable héritage colonial permettant d’analyser la vision européenne et la perception des militaires français par rapport à la culture matérielle africaine. Par ailleurs, l’étude de cet acquis colonial peut révéler le degré de civilisation des populations locales qui avaient fabriqué et utilisé les articles concernés à la fin du XIXè siècle et au début du XXè siècle / This research concerns the French officers contribution during the colonization of Africa and the quality of the african objects that they collected. It aims to study the exploration and the conquest of Africa at the end of the 19th century and the beginning of the 20th century. During this period, European countries sent in the different parts of the continent many explorers to colonize the population. Those explorers had different social classes and jobs. Among them, there were, for example, religious persons, administrators and soldiers. It is the colonial action of the French officers in the different countries of Africa (Mali, Senegal, Congo, Chad, Central Africa Republic…) that is studing. During the exploration travel, the colonial officers discovered in those countries different kinds of objects. According of the instructions they received in France before their travel, they collected the local objects as the arms, the royal objects, the music objects, the cooking objects, the objects of the traditional ceremony. It’s interesting to study where the objects provided and the conditions of the collect. It’s a best way to know the particularities of the result of the officers discoveries. At the end of the journey in Africa, the officers brought to France the result of the collect and offered the objects to the French museums as the Musée de l’Homme, the Musée de l’Armée. Today, the Musée du Quai Branly is conserving the documents about the exploration travels of many officers (Archinard, Brazza, Marchand, Tilho, Lenfant…) and some of the objects they had collected for studying the customs of the African populations. We interroged about 1500 objects they had collected. The history of those objects is associated to the Africa colonization history. Nowadays, those objects constitute a colonial heritage and permit to analyze the European vision and the military perception about the African material culture and to know the degree of the civilization of the African populations who made and used those objects in Africa at the end of the 19th century and the beginning of the 20th.
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In the Year of the Tiger: the War for Cochinchina, 1945-1951Waddell, William McFall, III January 2014 (has links)
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Édifier et équiper les bases de l’armée japonaise Transferts de technologie France-Japon 1868-1930 / 日仏技術交流史からみた陸軍の施設計画に関する研究 / A Study of Military Facility Planning from the viewpoint of Technological Transfer from France to JapanMaejima, Michiko 26 May 2014 (has links)
Le Japon possède un riche patrimoine militaire dont il ignore la valeur et les origines. Un regard sur le début du XIXe siècle montre une toute autre organisation des troupes, de type féodal. En fait, le pays adopte très vite le modèle français alors réputé le meilleur : de 1867 à 1919, diverses missions militaires organisent, bâtissent, ordonnent. Cette diplomatie militaire que l’on décortique à partir de sources inédites, est discontinue ; aux Français succèdent les Allemands, les Hollandais. Cependant les officiers du Génie et d’Artillerie, les As de la première Guerre mondiale ont tout particulièrement marqué le Japon. Casernes, mess d’officiers, usines, laboratoires en sont les témoins matériels, comme les premiers traités de construction et d’architecture. Dorénavant, le Ministère de la Guerre dispose d’une reconnaissance de ses plus anciens équipements. Avec cette synthèse, le ministère français de la Défense a une idée de la richesse de ces échanges.L’objet de la recherche est quelque peu tabou au Japon. L’architecture militaire n’a pas très bonne presse auprès du public car l’Archipel a tout perdu dans le dernier conflit mondial et il est toujours très critiqué par les pays d’Extrème Orient pour son occupation militaire.L’évaluation de la qualité architecturale des bâtiments militaires a longtemps été délaissée. Beaucoup de ces constructions publiques ont été détruites. Le peu de mémoire que constituent les restes mérite d’être apprécié à sa juste valeur avec les mêmes critères que pour l’architecture ou le génie civils. Aujourd’hui, l’armée de Terre soutient qu’elle a été formée par l’Allemagne, comme la Marine est persuadée d’avoir été éduquée par la Grande Bretagne. Nous montrons que le Japon a adopté les manières françaises pour son armée de Terre — à un moindre degré pour la Marine — et la France a continué longtemps cette formation par épisodes. Notre argumentaire, textes à l’appui, le certifie. D’autres chercheurs militaires ou non ont pisté antérieurement cette traces encore importantes de la présence française, mais faute de preuves suffisantes, ils n’ont pas pu aboutir aux certitudes que nous tentons d’affirmer. Le transfert de technologie de la France au Japon formalise une évolution constante et réfléchie, un éclectisme particulier qui figure une esthétique franco-japonaise. / Former Japanese Army buildings built from Meiji to Showa era are still found throughout Japan. Nevertheless their heritage value has not been sufficiently evaluated. Furthermore since these architectures face demolition, there are calls for their proper historical assessment which is a necessary step to construct means for their preservation.In this paper, the term “Army Heritage” refers to former military buildings or structures of the Japanese Army that have architectural or technical importance for preservation. The purpose of this research is to evaluate the technological transfer in regard to these heritages from France to Japan, as there is evidence that the Japanese Army invited arranged military missions from France in order to create new systems and facilities.The research is based on studies of original documentations in libraries and archives both in Japan and in France. The author studied remaining military buildings, specifically, an officers’ mess hall of an aviation school in Akeno and an early stage military barrack of the 16th infantry regiment in Shibata. The investigation included dismantling method in Shibata.The author analyzed the results in three categories. 1, The system and organization of designs and plans of military architectures. 2, The prototypes of the architectural planning of military bases, barracks, covered paddock, officers’ mess and hangars. 3, Japanese and French human networks in the old Japanese Army. From these analyses, the author found that French technologies were imported whenever the Japanese Army needed innovative technologies like modern Army or aviation. Additionally, the French networks had been undoubtedly established in the Japanese Army from Meiji to the first period of Showa era. This thesis can serve as an important reference to the remaining “Army Heritages”, therefore the author proposes conservation to the Minister of Defense through this study. / 明治から昭和にかけての旧陸軍建造物は少なくとも数百棟が残存しているが解体の危機に瀕する建物も多く、「陸軍遺産」として遺産学的な評価と保全活用方法が求められている。日本の近代化という観点からは西欧、特にフランスからの技術移転が顕著であり、日欧を横断した歴史的評価が必要である。建築史・技術史的な枠組で陸軍の築造ならびに築城事業の成立と発展を追い、日仏の技術比較の中での特徴解明が求められている。本論文は、陸軍にて日仏関係が続いた明治初期から昭和初期までの建築や土木構造物に焦点を当て、担い手であった工兵組織の成立と築造・築城事業における計画・設計・施工体制を対象とした。幕末から繰り返し派遣された仏軍事顧問団が軍事大国フランス陸軍の兵制、造兵、築造、築城技術をもたらし、翻案に始まり日本で独自の技術に育て上げたのが工兵を含む陸軍技術陣の仕事であった。具体的には仏兵営をモデルとした初期の歩騎兵の築営計画(兵営施設)、高度の土木技術を下敷きとなし仏砲工技術を採用した明治中期の築城計画(要塞)、大正期の陸軍航空部発足にともなって建てられた鉄筋コンクリート造の大規模建造物(格納庫等)や欧風デザインの将校集会所の建築を追い、人的交流、施設計画の決定プロセス、建築計画や構法技術の詳細を明らかにした。研究の方法は、日仏の史料館所蔵の史資料を発掘し突合せると共に、日本国内の遺構(新発田兵舎、明野将校集会所等)の解体調査を含んだ現地調査より建築技術的検証を行った。更に当時の陸軍施設建設を行った施工会社等に残されたデータを収集解析し実際の建設プロセスを復原、各時期に訪日した仏人技術者並びに訪仏した日本人技術者の履歴、図面の読み替えや要素技術の組み替えによる日本への技術導入等といった諸側面に光を当て日仏の密な関係を解明した。本論文の結論は以下の三点に集約される。一、陸軍施設の建築設計から施工体制の解明、二、兵営計画並びに陸軍建築のプロトタイプ解明、三、陸軍における人的ネットワークの解明。以上の三点より明治初期から昭和初期にかけての旧陸軍において、システムを含めフランスからの技術移転が新たな技術の導入が求められる毎に密に行われていたことが判明すると同時に、フランス系のネットワークが連綿と続いていたことが明らかになった。本論文をもって筆者は現存する旧陸軍建築遺産の保存活用方法について防衛省へ提言を行う。
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Prezident Jacques Chirac, vojenská politika a Afrika: kontinuita, vývoj, změna? / President Jacques Chirac, military policy and Africa: continuity, development, change?Lopuchovský, Štěpán January 2012 (has links)
There has been a significant evolution in the French African policy during the presidency of Jacques Chirac. Reasons for this must be searched in the Rwandan Civil War and the genocide of 1994 which showed that Paris did not understand the political evolution in Africa. This fact was only confirmed by two crisis in Ivory Coast in 1999 and 2002. This is why the French launched the RECAMP military program. It was no more thinkable for Paris to be kept alone in a military trap in Africa. Moreover, it was necessary to change state/regime perception. Paris neither could nor wanted to be held responsible for the security of African regimes that were by power. Therefore, France started to depersonalize its African policy. Stability of the African states assured by the Africans, not the security of the African regimes assured by Paris was the goal. This shift enabled the French to have more flexible African policy. Nevertheless, they did not withdraw from Africa. Military interventions were regarded as a source of credibility both for France and for the European Union.
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Waterloo : la bataille de tous les enjeuxCyr, Pascal January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Images et mémoires de la 1re Armée française (1943-2015) / Images and memories of the First French Army (1943-2015)Noique, Jean-Arthur 26 November 2015 (has links)
La 1re Armée française commandée par le général de Lattre de Tassigny souffre d'un déficit mémoriel auprès de la société française alors qu'elle a libéré une grande partie du territoire national. L'association Rhin et Danube porteur naturel de la mémoire de la 1re Armée française a échoué dans la diffusion de celle-ci. La concurrence d'autres mémoires de la Seconde Guerre mondiale, le rôle de l'Etat, de l'Education nationale... ont progressivement fait oublier l'action de l'Armée de Lattre dans la Libération depuis le débarquement de Provence. / The 1st French Army under General de Lattre de Tassigny's command is fading from the collective memory of French society, despite having freed a large portion of France. The “Rhine and Danube” association, the natural guardian of the 1st French Army's legacy, failed to disseminate its story. Competition with other memorable events of the Second World War, the role of the State, the Ministry of Education ... overshadowed the significant contribution of the de Lattre Army to the Liberation of France, from the landing in Provence and onward.
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Waterloo : la bataille de tous les enjeuxCyr, Pascal January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Représentations de la guerre et conduite des opérations en 1914-1918 sur le front du nord et nord-est : le rôle du haut commandement français / Representation of war and conduct of operations in 1914-1918 on the French eastern and north-eastern front : the part played by French high commandGué, Christophe 02 December 2016 (has links)
En 1914-1918, les faits apportèrent un démenti cinglant aux prévisions. Au lieu d’une guerre courte, décidée par les seules forces terrestres en une ou deux batailles, les belligérants s’enlisèrent dans une lutte longue et coûteuse que les Alliés finirent par remporter en étranglant l’économie de l’Allemagne et en usant ses forces au moyen d’une succession de batailles partielles. Le cours inattendu que prirent les événements amène à s’interroger sur les représentations de la guerre de cette époque, sur la manière dont elles influencèrent les opérations et réciproquement, ainsi que sur le rôle du haut commandement dans ces relations. Une telle approche des opérations est d’autant plus justifiée que le sujet est méconnu, que la guerre est un domaine où le décalage entre réalité et représentations est très marqué, et que ceci est particulièrement vrai de la Grande Guerre. La question se pose donc de savoir si la difficile évolution des représentations, dans un sens conforme à une conduite des opérations efficace, s’est faite malgré le haut commandement, sous la pression des événements, ou s’il n’y a pas finalement concouru. L’impression prévaut qu’il a longtemps été à leur remorque et qu’il a fallu des échecs retentissants et l’action du pouvoir politique pour qu’il soit renouvelé, avec ses représentations. Cette impression est cependant trompeuse car elle repose sur une confusion entre le haut commandement et le GQG qui n’en était qu’une composante. Mis fréquemment à l’écart par ce dernier, les généraux appartenant au haut commandement contribuèrent à l’évolution de la situation à travers l’action de certains d’entre eux, même s’ils utilisèrent souvent des voies détournées / During WW1, the events bring a severe denial to the previsions. Instead of the short war won by the sole Land forces in one or two battles, the opponents bogged down in a long and costly struggle, which the Allies won eventually in choking the German economy and by the mean of successive battles of attrition.This unexpected course of events raises questions about the representations of war prevailing at this time, about the way they influenced the operations and conversely about the role of the French High Command in those relations. Studying military operations under this point of view is all the more relevant that this topic remains little known and that war is an activity where the discrepancy between reality and representations is most important. This discrepancy increased dramatically within WW1. The question is therefore to know whether the difficult evolution of war representations, in a sense compliant with the efficient conduct of operations occurred despite the High Command, under the pressure of events, or if he did not eventually concur in this evolution. The main impression is that the High Command was constantly trailing behind and that only resounding failures and the resulting decisions of the political authority caused the replacements in the staff required to change the representations. In fact, those impressions are misleading as far as they are based on a confusion between French High Command and French General HQ (GQG), which was only a component of High Command. Often put aside by the GQG, the generals belonging to the high command contributed in the evolution of this situation, through some of them, even if they did it in bypassing hierarchy
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Le développement des outils numériques dans la communication publique des départements ministériels, le cas particulier du ministère de la défense / The development of digital tools in the public communication of the ministry of defenseGermain, Jean-Baptiste 14 December 2018 (has links)
En 1996 le Président de la République Jacques Chirac, suspendait le service national. Supprimant ainsi un vivier non négligeable de ressources que possédaient les armées. Depuis lors le ministère de la Défense à du trouver des moyens pour palier à ce déficit de recrutement, d’image et de compétences. Les armées n’ont eu d’autres choix que celui de communiquer pour attirer et de donner envie à des dizaines de milliers de jeunes de rejoindre les rangs des forces armées. Si le surnom de la « Grande Muette » colle à la peau de l’armée française, cette dernière a entrepris depuis des années des réformes visant à améliorer sa communication publique. Dans cette société ou l’instantanéité est un principe élémentaire, où les outils numériques sont légion, la Défense n’a d’autre choix qu’apprendre à se servir de ces nouvelles passerelles numériques pour faire parler d’elle. Ainsi se servant des nouvelles tendances et ayant analysé le comportement de la classe d’âge concernée (18-30 ans), le ministère de la Défense tente désespérément d’investir les réseaux sociaux afin d’occuper le champ de bataille médiatique pour faire parler de lui et tenter de recruter. / In 1196, the President of the French republic, Jacques Chirac suspends the military service. This action has for consequences to cut definitely the link between French army and the youth. Ever since the French army search a way for recruit young people. The ministry of defense has a bad reputation and suffers of a stereotypical image. For sort out of this deficit of renown the French army decide to use the digital tools for speak at the youth. Nowadays the young people can live without smartphone, internet or Facebook. For that the French ministry of Defense tries to invade the mediatized battlefield.
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