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La construction médiatique de l’identité nationale en période de crise : une étude de la presse quotidienne grecque lors de la guerre du Kosovo

Syrmopoulou, Maria 16 January 2009 (has links)
Cette thèse traite de la manière dont les médias et, en particulier, la presse écrite, construit l’identité nationale en période de crise. La problématique est circonscrite dans un espace et temps précis, à savoir la guerre du Kosovo (mars-juin 1999). Pourquoi insister sur l’identité nationale (grecque) dans un contexte de nationalismes (balkaniques)? Parce que nous sommes habitués à considérer les nations comme des centres ethniques fixés une fois pour toutes et capables de voyager immuables dans le Temps. On oublie ainsi que les nations se définissent à partir d’un enjeu circonscrit dans un temps et un espace précis. Et c’est cet enjeu que crée le cadre de l’interaction des acteurs sociaux. Ainsi, plus qu’une liste de critères identitaires, pour la plupart culturels, c’est l’interaction entre Nous et les Autres qui définit notre identité. Insister sur le contenu substantiel de la nation crée souvent des « identités meurtrières » (A. Maalouf) ; en revanche, considérer l’identité comme un fait social et politique pourrait ouvrir de nouvelles perspectives de co-existence pour les communautés nationales. Pourquoi nous intéresser à la presse écrite? Il y a deux raisons à cela. La première : la crise du Kosovo fut un événement hautement médiatisé. Or, « si l’image nous a fait vivre une guerre en direct, ou a prétendu le faire, l’écrit nous a permis de discuter du bien-fondé des différentes positions en présence » (M. Lits, R. Amossy). Du coup, le rôle de la presse dans la formation de l’opinion publique est considérable. La deuxième raison de notre intérêt tient au caractère politique de la presse, surtout dans un pays marqué par un bipartisme rigide dont les journaux quotidiens sont le miroir idéologique. En fait, la presse quotidienne grecque n’est pas un agent neutre qui rapporte tout simplement les faits. Elle re-construit les événements à travers son prisme idéologique et parle des Autres, des acteurs occidentaux et balkaniques qui sont impliqués dans la guerre du Kosovo en véhiculant des stéréotypes et des représentations collectives. Mais, en parlant des Autres, la presse parle également de la Grèce. En cela, elle soutient le processus identitaire grec que la crise du Kosovo déclenche.
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Le philhellénisme de Marcus Tullius Cicéron et de Quintus Tullius Cicéron : réalités, motifs et impacts

Blouin, Geneviève January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire tente de faire le point sur les impacts d'une tendance étonnante de la société romaine de l'époque républicaine: le philhellénisme, c'est-à-dire le sentiment favorable manifesté envers les Grecs, pourtant vaincus par Rome, et leur culture. Pour réaliser cet objectif, le terme de philhellène doit d'abord être défini. Ensuite, l'étude d'une source abondante, la Correspondance de Marcus Cicéron, permet une étude de cas pouvant jeter un certain éclairage sur les motivations des philhellènes et leurs impacts sur le monde grec. Le premier chapitre aborde les principaux philhellènes connus. II tente de cerner dans quelle mesure ils ont pu influer sur l'hellénisme en général et les Hellènes en particulier. Le second chapitre étudie les manifestations de philhellénisme de Marcus Tullius Cicéron et en dégage les impacts connus. Le dernier chapitre tente la même démarche au sujet du jeune frère de l'orateur, Quintus. La mise en parallèle des actions des deux frères avec les tendances générales du philhellénisme de leur époque permet finalement de remarquer que Marcus a posé les jalons d'une culture proprement gréco-romaine, profitable tant aux occidentaux qu'aux orientaux, tandis que Quintus a plutôt vogué sur la vague du courant culturel, tout en laissant aux Grecs un souvenir favorable. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Cicéron, Philhellénisme, Hellénisme, Rome, Grèce.
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La Mètis d'Hermès

Côté, Valérie January 2008 (has links) (PDF)
Il ne fait aucun doute, en lisant l'Hymne homérique à Hermès, que ce fils de Zeus est une divinité à mètis. Méditant des ruses profondes, l'oeil perçant et l'esprit ingénieux, ami de la nuit noire, Prince des Brigands, ravageur et impudent, le rusé fils de Maïa ne laisse pas de doute sur la nature de ses dons extraordinaires. Hermès est la divinité à mètis par excellence. Cette intelligence rusée, qu'on définit comme un avantage sur la force, s'exerçant dans les situations incertaines et ambiguës, est pourtant trop souvent mise de côté dans les études le concernant. On s'intéresse plutôt au Psychopompe, au Berger, au dieu des passages, au Messager, à l'inventeur de la lyre, de l'écriture, à ses liens avec les autres divinités, parfois en s'appuyant très largement sur l'Hymne à Hermès, mais toujours en négligeant l'aspect du dieu qui en ressort le plus: sa mètis. Dans la continuité des recherches déjà entreprises par M. Detienne et J-P. Vernant, cette étude vise donc à combler les lacunes dans la connaissance concernant le dieu Hermès, principalement au niveau de cette qualité qu'elle estime être à la base de son identité. À partir de témoignages mythologiques, historiques et philosophiques, concernant autant Hermès que la mètis, elle analyse la mètis particulière à Hermès, pour trouver ce qu'on pourrait appeler sa « mètis protectrice ». L'analyse des fonctions d'Hermès et des usages qu'il fait de ses dons semble en effet pointer en direction d'une divinité à caractère principalement protecteur. Une orientation qui se serait répercutée jusque dans les fonctions plus tardives du dieu. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Grèce, Études classiques, Divinité, Mythologie, Ruse.
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Temps et communication : trois moments historiques

Bourque, Benjamin January 2009 (has links) (PDF)
Étude de trois moments historiques qui place au centre la question de la communication, largo sensu, dans une plus large réflexion sur le temps. Premièrement, le rapport au temps chez les Grecs de l'âge archaïque et classique. Deuxièmement, la grande crise du temps de la modernité. Troisièmement, les conflits de la temporalité dans la société actuelle. Détour historique dans la longue durée pour permettre de mieux cerner les enjeux livrés par le temps dans la société de communication. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Temps, Temporalité, Société, Communication, Historicité, Temps réel, Modernité.
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La nécromancie grecque et les influences orientales

Veilleux, François 01 1900 (has links) (PDF)
La nécromancie témoigne d'une croyance des Anciens au pouvoir de consulter les morts et d'obtenir des prophéties. À défaut d'une science moderne empirique et développée, tous les moyens magiques et divinatoires étaient envisageables pour influencer le cours du Destin. Elle était pratiquée dans le monde grec, et certains, tant des Anciens que des auteurs modernes, lui ont prêté une origine orientale. La Mésopotamie, l'Empire perse et l'Égypte étaient, en effet, des lieux où les arts de la magie et de la divination étaient bien développés, et ce, depuis une époque très ancienne. Il semble que la pratique de la nécromancie a pris plusieurs formes à travers les différentes périodes de la Grèce antique. À l'époque archaïque, les morts étaient consultés dans des lieux caverneux, alors qu'à l'époque classique, des spécialistes des morts connaissant des rituels émergèrent dans les cités-États en plein développement. Puis, à l'époque hellénistique, caractérisée par l'ouverture des contacts entre populations grecque et orientales, jusqu'à l'avènement du monde romain, une diversité de nouvelles techniques firent leur apparition chez les Grecs. L'utilisation de crânes, de lampes, de vaisselles, ou encore la réanimation de cadavre sont des méthodes qui semblent avoir été acquises des peuples de l'Orient au cours de cette période. Toutefois, aucune source ne permet de croire que la nécromancie grecque ait une origine orientale. Elle s'est développée dans le monde grec par des conceptions originales et circonstancielles, ne subissant des influences qu'à une époque plus tardive. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Nécromancie, Grèce, Orient, Divination, Magie
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Femmes et féminin chez les historiens grecs anciens (Ve siècle avant J.-C.- IIe siècle après J.-C.)

Proulx, Geneviève January 2008 (has links) (PDF)
Ce travail de recherche a pour sujet l'étude des femmes et du féminin chez les historiens grecs anciens, ou l'analyse de la vision grecque des femmes à travers un genre littéraire précis (l'histoire) au cours de sept siècles allant de l'époque classique (Ve siècle avant J-C.) à l'époque romaine (IIe siècle après J-C.). Notre étude aborde ainsi plusieurs thématiques, notamment l'histoire des femmes dans l'Antiquité, la représentation grecque de l' «autre» (féminin et/ou barbare), l'écriture de l'histoire en Grèce, la construction des genres et des catégories de sexes dans le discours historique. À partir d'un échantillon d'historiens représentatifs de chaque grande période de l' histoire grecque (Hérodote, Thucydide, Xénophon, Polybe, Diodore, Strabon et Plutarque), nous tentons de déterminer comment l'historiographie grecque considérait les femmes et le monde féminin et si ces représentations trahissent une évolution du point de vue à travers le temps. En tenant compte des préjugés qui ont marqué la pensée et les fantasmes des Grecs concernant les femmes, préjugés véhiculés à travers plusieurs types de littératures anciennes, notre analyse tente de découvrir si la vision des historiens, qui se veut objective et «scientifique», s'accorde avec les images traditionnelles du féminin ou si, au contraire, elle propose de nouvelles représentations. Les descriptions des historiens concernant diverses catégories de femmes sont donc présentées de façon thématique, pour évaluer la place et l'importance que leur accordent les historiens dans leur récit. Aussi, nous étudions les représentations d'un point de vue chronologique, pour déterminer comment les textes historiques se font le reflet de la situation des femmes grecques et romaines qui change et évolue entre l'époque d'Hérodote et celle de Plutarque. Enfin, tenant compte des jugements que portent les historiens sur les femmes et le féminin, notre travail étudie la façon dont les genres sont construits dans le discours historique, les spécificités de ce dernier, les moments de rupture et de continuité dans les «mentalités» et la façon dont les représentations historiques des femmes et du féminin s'insèrent dans les contextes socio-culturels qui leur ont donné naissance. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire, Historiens, Antiquité, Grèce, Rome, Femmes, Historiographie.
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Lutte des classes et nationalisme dans la Grèce des Guerres médiques

Deman, Albert January 1965 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le monnayage d'argent de Poseidonia : une étude historique de coins

Brousseau, Louis January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L’identité romaine dans le discours impérial byzantin selon les œuvres et compilations de Constantin VII Porphyrogénète (913-959)

St-Pierre, Louis-Patrick January 2017 (has links)
L’Empire « byzantin » figure parmi les États médiévaux les plus méconnus en dehors de la sphère académique, bien que cette dénomination soit paradoxalement anachronique, voire fautive. Celui que nous qualifions ainsi est en fait la continuité de l’Empire romain d’Orient durant le Moyen Âge. Cette affirmation peut paraître contre-intuitive d’un point de vue contemporain, puisque le caractère romain fait pour nous référence à l’Antiquité, à la langue latine et à l’Occident. À l’inverse, les Byzantins étaient orientaux et s’exprimaient en grec. Comment alors concevoir que ces derniers se soient dit Romains ? Pour ce faire, il est nécessaire de laisser de côté la polarisation entre Latin et Grec, entre Antiquité et Moyen Âge, et de se demander non pas si les Byzantins ont eu raison de se qualifier comme Rhômaioi (terme grec pour « romain »), mais qu’a pu signifier pour eux une telle appartenance ? Ce questionnement, qui figure au centre de ce mémoire, peut en partie trouver réponse en explorant le discours de l’une des principales instances ayant manifesté la préoccupation de maintenir l’identité romaine en Orient, à savoir les autorités impériales de Constantinople. En tant que personnage officiel, érudit, patron de nombreux lettrés et compilateur prolifique, l’empereur Constantin VII (913-959) agit comme auteur représentatif. Ses compilations De Ceremoniis (Le Livre des Cérémonies), De Administrando (De L’Administration de l’Empire) et De Thematibus (Le Livre des Thèmes) laissent en effet paraître des éléments sous-jacents à la construction de la romanité orientale et médiévale. Celle-ci se conceptualise tout d’abord à l’aide de la langue grecque, que l’on voit à l’époque comme la langue « romaine », et par le rattachement à un État que l’on place en continuité directe avec l’Empire de la Rome antique. À cela s’ajoute d’autres marqueurs (coutumes, religion, valeurs sociales) que l’on associe au fait romain et qui permettent de concevoir une certaine distinction face à des groupes étrangers.
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L’équilibre des pouvoirs en période de crise économique : recherches sur l’expérience constitutionnelle grecque / The balance of powers in times of economic crises : research on the Greek constitutional experience

Kopsidi, Eugenia 14 April 2018 (has links)
Il est historiquement prouvé que crise économique rime avec désorganisation des institutions. L’effort d’un encadrement juridique de la crise nous amène donc à constater une transformation flagrante des règles de droit émises pendant cette période. Dans le cadre du processus législatif, cette transformation se produit par le déclenchement des mécanismes exceptionnels. Ainsi, la législation de la crise consiste principalement à l’édiction des normes législatives par le pouvoir exécutif sur la base de son pouvoir législatif exceptionnel. A cet égard, l’exigence de flexibilité issue de la crise semble justifier une nouvelle répartition des pouvoirs. A l’origine de cette nouvelle répartition se trouve une tentative de faire passer à tout prix des mesures qui apporteront des bénéfices économiques, sauf que ces mesures s’étendent dans le champ des droits et libertés en imposant des restrictions considérables à leur jouissance. Face à cet ébranlement institutionnel, le juge constitutionnel reste souvent passif, en se limitant à un contrôle restreint des actes adoptés selon des procédures exceptionnelles. Ainsi, les problèmes financiers prennent un caractère vivement politique qui conduit le juge national à s’autolimiter pour ne pas s’immiscer dans les questions qui semblent constituer des choix politiques. La Grèce constitue un exemple emblématique de ce phénomène. Les réformes effectuées au cours de ces dernières années par les gouvernements grecs successifs touchent les domaines les plus cruciaux de la vie socioéconomique du pays. La grande majorité de ces réformes et, incontestablement les plus importantes parmi eux, sont fondées sur une législation d’exception / It is historically proven that economic crisis rhymes with disorganization of institutions. The effort of a legal definition and delimitation of the crisis leads to a blatant transformation of the legal rules issued during this period. As a part of the legislative process, this transformation takes place by the implementation of exceptional mechanisms to deal with emergencies. Thus, the legislation of the crisis consists mainly of the enactment of legislative norms by the executive power on the basis of its exceptional legislative power. In this context, the requirement of flexibility resulting from the crisis seems to justify a new division of powers. This redistribution is based in an attempt to pass at all costs measures which will bring economic benefits, except that these measures extend into the field of rights and freedoms by imposing considerable restrictions on their enjoyment. Faced with this institutional disruption, the constitutional judge often remains passive, limiting itself to a limited control of the acts adopted by exceptional procedures. Thus, the financial problems acquire a highly political character which leads the national judge to restrict himself so as not to interfere with the questions that seem to constitute political choices. Greece is an emblematic example of this phenomenon. The reforms undertaken in recent years by successive Greek governments affect the most crucial areas of the country's socio-economic life. The vast majority of these reforms, and undoubtedly the most important among them, are based on an exceptional legislation

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