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Voor recht en vrijheid : de Partij van de Arbeid en de Koude Oorlog 1946-1958 /Rovers, Frits, January 1994 (has links)
Proefschrift--Utrecht--Universiteit, 1994. / Bibliogr. p. [337]-349. Index. Résumé en anglais.
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Stalins "cordon sanitaire" : die sowjetische Osteuropapolitik und die Reaktionen des Westens 1939-1949 /O'Sullivan, Donal, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Habilitationsschrift--Eichstätt--Katholische Universität, 2001. / Bibliogr. p. 409-431. Index.
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Hans Kroll (1898-1967) : eine diplomatische Karriere im 20. Jahrhundert /Kühlem, Kordula, January 1900 (has links)
Dissertation--Universität Bonn, 2006. / Bibliogr. p. 631-664.
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Auschwitz in der geteilten Welt : Peter Weiss und die "Ermittlung" im Kalten Krieg /Weiss, Christoph. January 2000 (has links)
Texte remanié de: Habilitationsschrift--Fakultät für Sprach- und Literaturwissenschaft--Universität Mannheim, 1999. / Bibliogr. vol. 1 p. 393-426.
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La presse anglo-américaine et le traitement de la guerre de Corée : étude de cas du New York Times et du Times de Londres, 1950-1953Gosselin, Dominique January 2014 (has links)
La guerre de Corée éclate dans un contexte de tensions grandissantes entre les mondes dits « capitaliste » et « communiste », qui caractérise la guerre froide entre 1945 et 1950. Les États-Unis et leurs proches alliés – dont la Grande-Bretagne – réagissent très vivement à l’invasion de la Corée du Sud par celle du Nord, notamment en s’impliquant directement dans cette guerre qui durera trois ans. Cette réaction rapide s’explique entre autres par la perception qu’ont les dirigeants en Amérique et en Europe de l’Ouest du camp communiste et de son apparente volonté d’hégémonie sur le monde. Ces perceptions sont également présentes dans la presse écrite, qui traite de l’implication des États-Unis et de la Grande-Bretagne (qui fournit le second plus gros contingent) dans la guerre de Corée, de la nature de celle-ci, etc. L’objectif de ce mémoire est donc de cerner ces perceptions dans le traitement du conflit dans le New York Times et le Times de Londres.
Les deux quotidiens, de tendance conservatrice, soutiendront unanimement l’intervention américaine puis internationale en Corée ainsi que la mise en place de programmes de réarmement aux États-Unis et en Grande-Bretagne, mais également ailleurs en Europe. Pareillement, la tentative de réunification de la Corée par l’invasion du territoire nord-coréen en octobre 1950 par les troupes onusiennes sera bien accueillie par la presse, du moins jusqu’à l’entrée en guerre de la Chine communiste en novembre. Ici les quotidiens se questionneront sur la personnalité du commandant en chef, Douglas MacArthur, et salueront éventuellement son limogeage. Enfin, la nécessité de mettre fin au conflit transparaîtra dans les quotidiens, qui seront favorables à l’ouverture des négociations de paix en juillet 1951. Ils divergeront cependant sur les éventuelles concessions territoriales et sur la question des prisonniers de guerre refusant d’être rapatriés.
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La représentation de l'Amérique latine dans le cinéma hollywoodien de l'ère Reagan (1981-1989)Rheault, Emmanuelle January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Les États-Unis face à la francophonie : les stratégies américaines en Afrique francophone, 1960-1970Lefèvre, Marine January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Regards sur les deux Allemagnes : la place de la RFA et de la RDA dans les discours sur l’art contemporain en France, 1959-1989 / Gazes on both Germanies : the role of the FRG and of the GDR in the discourses on contemporary art in France, 1959-1989Sissia, Julie 28 July 2015 (has links)
Cette thèse propose d’étudier la place des deux Allemagnes, c’est-à-dire de la RFA et de la RDA, dans les discours sur l’art contemporain en France entre 1959 et 1989. Il s’agit d’aborder de manière nouvelle l’histoire de l’art en France en considérant la place qu’y occupent ces deux pays. Leur confrontation met en relief la manière dont le regard sur les deux Allemagnes nourrit les débats et les questionnements spécifiques au contexte donné de la France. L’appréhension par le biais des deux Allemagnes permet de retracer une histoire des discours sur l’art contemporain en France dans un contexte d’antagonismes idéologiques. Les enjeux esthétiques et politiques sont indissociables dans la perception de chacune des deux scènes artistiques. Ils déterminent l’écriture de l’histoire de l’art sur le vif à laquelle se livrent les protagonistes des échanges. Dans la filiation des transferts culturels et de l’histoire croisée, ainsi que des études historiographiques récentes sur l’art contemporain, cette étude met en évidence la diversité des regards sur l’art des deux Allemagnes et en souligne les points aveugles. / This PhD thesis analyses the gaze cast on divided Germany which is at stake in the narratives on contemporary art in France between 1959 and 1989. It aims at considering French art history in a new way, paying attention to the discourses developed by French art critics and historians about the GDR and the FRG. The unequal reception of those two concurrent German art scenes during the cold war reveals the political antagonisms which French discourses about art are based on. This dissertation is inspired by historical methodologies provided by cultural transfers and crossed history, as well as by recent historiographical research on contemporary art. It points out the diverse perceptions of the two Germanies and underlines their blind spots.
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Le miroir chinois : les attitudes françaises face à la Chine dans les milieux politique, diplomatique, intellectuel et médiatique, de 1949 au milieu des années 1980 / The Chinese mirror : French attitudes towards China in political, diplomatic, intellectual and media spheres, from 1949 to the mid-1980sLiu, Kaixuan 29 March 2019 (has links)
L’évolution des attitudes françaises face à la Chine entre 1949 et le milieu des années 1980 peut être divisée en trois phases. Entre l’établissement de la République populaire de Chine en 1949 et la rupture sino-soviétique au début des années 1960, la Chine est perçue par les observateurs français comme un pays communiste soviétisé, tant sur le plan intérieur que sur le plan diplomatique. L’attitude des Français vis-à-vis de cette Chine traduit leurs positionnements dans les confrontations de la guerre froide. La Chine est considérée selon les différents milieux comme un pilier du mouvement communiste international, une alternative plus humaine au communisme soviétique, ou une menace « jaune et rouge » pour l’Occident. Ensuite, pendant la période qui va de 1963 à la fin de la Révolution culturelle en 1976, la Chine n’est plus perçue comme un membre du camp communiste. La rupture sino-soviétique et la Révolution culturelle donnent naissance à l’idée d’un « modèle chinois », même si elle prend des formes différentes selon les observateurs. Pour les uns, la Chine représente l’espoir de la régénération du communisme ; pour les autres, elle applique un système opposé au monde industrialisé et nullement imitable ailleurs. La troisième phase couvre la période de 1976 au milieu des années 1980, pendant laquelle les rapports des Français à la Chine se normalisent. La passion française pour les relations franco-chinoises s’estompe, et les opinions françaises sur la Chine sont devenues plus lucides. / The evolution of French attitudes towards China between 1949 and the mid-1980s can be divided into three phases. Between the establishment of the People's Republic of China in 1949 and the Sino-Soviet split in the early 1960s, China is perceived by French observers as a Sovietized communist country, both domestically and diplomatically. Attitudes of French people towards this China reflect their positions in the confrontations of the Cold War. China is considered in different spheres as a pillar of the international communist movement, a more humane alternative to Soviet communism, or a "yellow and red" threat to the West. Then, during the period from 1963 to the end of the Cultural Revolution in 1976, China is no longer seen as a member of the communist camp. The Sino-Soviet split and the Cultural Revolution give birth to the idea of a "Chinese model", even if it takes different forms according to different observers. For some, China represents the hope of the regeneration of communism; for the others, it applies a system opposed to the industrialized world and not at all imitated elsewhere. The third phase covers the period from 1976 to the mid-1980s, during which the relations between French people and China normalize. France's passion for Franco-Chinese relationship is fading, and French views on China became more lucid.
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Dépenses militaires américaines post-Guerre Froide, 1989-2014 : pour quelle défense ? / U.S. post-Cold War military spending, 1989-2014 : for which defense ?Braham, Mahmoud 18 September 2015 (has links)
Si, durant la Guerre Froide, les dépenses militaires américaines colossales étaient justifiées par une menace existentielle contre les États-Unis et leurs alliés, l'effondrement du camp et de l'idéologie communistes, suivi de la désintégration de l'Union soviétique, devrait inciter à une révision à la baisse de ces budgets militaires ou, à tout le moins, à les ramener à des niveaux proportionnels aux exigences du nouveau paysage sécuritaire international. Cette étude qui s'insère dans le cadre théorique de l'Economie de la Défense, est axée sur une exploration de la nature et des fondements réels des dépenses militaires américaines post-Guerre Froide. Elle suggère qu'elles semblent servir des finalités autres que la fonction constitutionnelle (besoin) de la défense de la nation américaine, qui sont celles de la préservation des intérêts politiques et matériels des élites politiques, économiques et militaires (une alliance d'intérêts créant une situation de dépendance chronique irréversible de l'économie américaine vis-à-vis des dépenses de défense). Ainsi, ces dépenses sont axées sur la projection de la puissance militaire à l'extérieur, servent à réaliser une hégémonie géopolitique et géoéconomique globales et non pas à pourvoir «la défense commune». / If, during the Cold War, the colossal U.S military expenditures were justified by an existential threat against the United States and their allies, the collapse of the communist camp and ideology, followed by the disintegration of the Soviet Union, should have pushed to revising downward those spending or, at least, brought them down to proportional levels, commensurate with the new international security landscape. This study, which falls within the scope of Defense Economics and which is centered on exploring the genuine rationales and determinants of the U.S. post-Cold War military spending, suggests that they seem serving purposes (needs) other than the constitutional function of defending the American Nation, which are those linked to preserving the interests of the political, economic and military elites (an alliance of interest creating a state of chronic and irreversible dependency of the U.S. economy on the Defense spending). Henceforth, those spending are articulated, in our own point of view, on the projection of the military power abroad, serving to achieve a global geopolitical and geo-economic hegemony and not the “common defense”.
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