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Forêts urbaines de loisirs : usages récréatifs et manières d'habiter / urban forests for leisure : Outdoor recreation and ways of living

Lepillé, Romain 11 September 2017 (has links)
Ce travail analyse les recompositions territoriales que produisent l’augmentation et la diversification des usages sportifs des forêts urbaines. La thèse interroge conjointement les demandes et les usages des populations urbaines, la manière dont ils s’ajustent à des choix d’équipement et à des formes de gestion. La thèse rend compte des déterminations réciproques des cultures, des rapports sociaux et des rapports spatiaux à l’échelle d’une métropole, Rouen, dont la ceinture verte est classée « Forêt d’Exception® » et dont la démarche gestionnaire s’avère relativement pionnière. Le corpus comprend 43 entretiens semi-directifs, divers documents (articles de presse, bulletins d’information, rapports d’activités, etc.), ainsi que de nombreuses données obtenues par questionnaire. Ces dernières ont été produites à l’échelle de la métropole (n=5700), des quartiers de lisière (n = 661) et des pratiques (n=334).L’analyse, multiscalaire, révèle le fonctionnement de médiations territoriales originales, qui sont aussi des analyseurs de choix. La diversité des usages dévoile en premier lieu des territoires du quotidien et des manières d’habiter très différenciées. Leur émergence récréative permet également d’observer, à travers des profils de pratiquants, les recompositions des formes sportives de la vie urbaine contemporaine. À l’heure du numérique et au croisement des logiques de la socialisation (traces et images de soi), de l’événementiel (développement des fun runs) et de l’affirmation d’un échelon politique « métropolitain », on analyse enfin comment ces formes et ces logiques de communication affectent la prise en charge de ces espaces naturels, qu’elles tendent à constituer en « stations ». / This work examines territorial recomposition produced by augmentation and diversification of urban forest outdoor recreation. The thesis interrogates jointly claim and practice and residential ‘choices’, choices in terms of cities and space inside cities. We south to elucidate the reciprocal determination of the various cultures, social relationships and spatial relations in Rouen metropolis (France). Rouen green belt is classified “Exceptional Forest ®” and the forest management is relatively pioneer. The corpus contains 43 semi-structured interviews, documents from several sources (departments of urban planning, administrative reports, newspapers articles, etc.) and several surveys collected by the scale of Rouen metropolis (N=5700), forest-fringe residents (N=661) and outdoor recreation practitioners (N=334). A multi-scale approach reveal how territorial mediations operate as a decision analyser. Practice diversity reveals “territories of the everyday” and different ways of living. Outdoor recreation emergence also allows to observe the urban life physical activities restructuration through the description of the type of practitioners. At the crossing of the logic of socialization (tracks, self-images), the logic of event management (fun runs development) and the appearance of a new metropolitain political scale we analysed how communication affects natural landscape and tend to turn them into “resort”.
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Architecture intérieure, processus d'indépendance, 1949-1972 : une autonomie réinventée ou la révolution du composant / Interior architecture, process of independence, 1949-1972 : a reinvented autonomy or the revolution of the component

Calignon, Valérie de 14 December 2015 (has links)
Considérant qu'un bâtiment « clos et couvert » ne représente encore qu'un « potentiel d'habitation », en quoi la qualification de l'intérieur a-t-elle affaire à l'architecture ? Appartient-elle ou non, in fine, au projet architectural ? Il s'agit, pour commencer, de fonder une histoire qui n'existe pas, au croisement de l'architecture, de la décoration et du design, de définir les termes en jeu dans l'« habiter», ses métiers, la notion d' « architecture intérieure », une typologie de relations entre l'architecture et ses espaces intérieurs. L'intégration de l'habiter au projet architectural, considérée comme légitime et revendiquée par la majorité des architectes contemporains, est en réalité le fruit d'un lent processus historique, qui s'étend de l'invention de l'architecture comme art libéral à partir du XVe siècle jusqu'à la « synthèse des arts » Moderne, qui, après les premières Gesamtkunstwerk de la fin du XIXe, en représente l'aboutissement idéologique au début du XXe. La période 1949-1972 correspond à un retournement de cette situation, processus inverse de « décrochement des murs », rupture historique en même temps que retour cyclique aux origines d'une architecture-abri dont l'habitabilité est fondée par l'objet. Au milieu du XXe siècle, l'autonomie originelle de l'intérieur, n'allant plus de soi, doit être redécouverte et, désormais, conceptuellement fondée. La thèse met en évidence les mécanismes qui aboutissent finalement, à la fin des années 1960, à réinventer théoriquement cette indépendance de l'intérieur vis-à-vis du bâti. / Considering that an “enclosed and covered" building represents only the ''potential of inhabiting," what does the concept of the interior have to do with architecture? Does it or does it not belong, in the end, to the architectural project? It is a matter, to start, to construct an historical narrative that doesn't exist, one that is at the crossroads of architecture, decoration and design, to define the terms at play in the word "inhabit": its arts and trades, the notion of "interior architecture," a typology of relationships between architecture and its interior spaces. The integration of inhabited space into the architectural project, considered legitimate and acknowledged by most contemporary architects, is in reality the fruit of a slow historical process that stretches from the invention of architecture as a liberal art in the 15th century up to the Modern "synthesis of the arts" that, following the first Gesamtkunstwerks of the late 19th century, represents that process's ideological completion in the early 20th. The period from 1949 to 1972 corresponds to a reversal of this synthesis, an inverse process of dissociating from walls. It is an historic rupture at the same time as a cyclic return to the origins of a shelter-architecture for which habitability is based on the object. In the mid-20th century, the original autonomy of the interior, no longer self-evident, must be rediscovered and, henceforth, established conceptually. The thesis reveals the mechanisms that culminate, in the late 1960s, in the theoretical reinvention of the independence of the interior relative to the structure.
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Habiter et consommer le logement social : une approche stratégique de l'habiter des classes populaires et moyennes sous contraintes de pouvoir d'achat / Living and consume social housing : a strategic approach to inhabit the working and middle classes under constraints of purchasing power

Parise, Fanny 02 February 2015 (has links)
En 2014, quel est le « sens de l’habiter »? L’évolution de la législation française engendre un processus de marchandisation du logement social, déjà amorcé. « Grands ensembliers » et professionnels du logement s’associent pour développer une nouvelle offre d’habitat social à destination des classes moyennes intermédiaires. La montée des classes moyennes mondiales et la crise économique produit des modes de consommer différenciés et une demande de logements prenant en considération de nouvelles tendances sociétales. Le regain d’intérêt depuis les années 2000 pour l’habitat alternatif (notamment le cohousing), positionne l’innovation dans l’habitat dans une démarche de co-construction (constructeur, architecte, sociologue). Ces effets de contexte s’inscrivent dans une démarche compréhensive de la diversité des pratiques habitants des classes moyennes. L’hétérogénéité de ce groupe social, à travers des modes de vie pluriels, illustre le déploiement de stratégies et de choix résidentiels qui rendent compte d’un rapport à l’autre singulier, d’un rapport au monde spécifique ; dont les « grands ensembliers » s’essaient à en saisir le sens et la complexité. / In 2014, what is the "sense of living"? The evolution of French legislation creates a social housing commodification process already begun. "Large contractors" and housing professionals join forces to develop a new offer of social housing to intermediate middle class. The rise of the global middle class and the economic crisis produces differentiated patterns of consumption and housing demand considering new societal trends. The renewed interest since the 2000s for alternative housing (including cohousing) positions innovation in housing in a co-construction approach (builder, architect, sociologist). These context effects are part of a comprehensive approach to the diversity of the inhabitants of the middle class practices. The heterogeneity of this social group, through plural lifestyles, illustrates the deployment strategies and residential choices that reflect a singular relative to each other, a report to the specific world; whose "big contractors" is trying to grasp the meaning and complexity.
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Le chez-soi et la construction des identités géographiques individuelles : habiter en communauté fermée à São Paulo (Brésil)

Gingras, Catherine 03 1900 (has links)
Ce mémoire propose d’aborder la relation entre le chez-soi et la construction des identités géographiques. Plus précisément, il s’agit de se pencher sur l’importance que revêt cette dimension intime et familière de l’habitat dans la part des identités qui mobilise les lieux, territoires et paysages comme référents. S’interroger à cet égard s’avère d’autant plus pertinent aujourd’hui, dans un contexte de fragmentation socio-spatiale à l’échelle urbaine et de prolifération d’enclaves résidentielles qui témoignent d’un enfermement et d’une introversion de l’habitat. Nous abordons la question à travers le cas du projet AlphaVille São Paulo (Brésil), un large développement résidentiel composé de plusieurs communautés fermées. Les entretiens semi-directifs réalisés auprès de onze habitants de ce projet permettent de confirmer l’importance du chez-soi dans leur construction identitaire. En effet, le chez-soi en communauté fermée représente l’aboutissement d’un parcours géographique et permet au regard des habitants rencontrés une expérience de l’espace résidentiel qui s’approche de celle qu’ils ont connue au cours de l’enfance et qu’ils ont perdue à mesure que la ville s’est transformée en un milieu de plus en plus hostile. Ainsi, il leur permet dans une certaine mesure de revivre un idéal perdu. Néanmoins, habiter en communauté fermée contraint les territorialités : au sein de la métropole, le chez-soi fait figure de refuge. Il n’en demeure pas moins que les réponses des résidents révèlent une conscience que leur choix d’habitat constitue en quelque sorte une fuite de la réalité. Ainsi, ils entretiennent à l’égard de leur milieu de vie une relation qui oscille entre illusion et désillusion. / This thesis proposes to study the relationship between the home and the formation of geographic identities. More precisely, it aims understanding the role of this intimate and familiar place in the part of human identity that is defined through the individual’s interaction with places, territories and landscapes. This question appears particularly relevant in the present urban context, largely characterised by socio-spatial fragmentation and the proliferation of residential enclaves, which express a confinement of the home environment. We approach this question through the case of the AlphaVille São Paulo project (Brazil), a large residential development composed of various gated communities. The semi-directed interviews that were conducted with eleven residents allow us to confirm the relevance of the home in their identity formation. Indeed, the dwelling inside a gated community represents the final destination of the residents’ geographical trajectories. According to the inhabitants, this allows for a residential experience similar to the one they underwent during childhood and that was subsequently lost as the city transformed into a more hostile environment. Thereby, it allows, to a certain extent, for the revival of a lost ideal. However, living in a gated community constrains territorialities: within the urban context, the home place becomes a refuge. Nonetheless, the residents’ answers reveal a degree of consciousness that their choice of residence represents an escape from reality. Thus, their relationship towards their living environment oscillates between illusion and disillusion.
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Habiter et consommer le logement social : une approche stratégique de l'habiter des classes populaires et moyennes sous contraintes de pouvoir d'achat / Living and consume social housing : a strategic approach to inhabit the working and middle classes under constraints of purchasing power

Parise, Fanny 02 February 2015 (has links)
En 2014, quel est le « sens de l’habiter »? L’évolution de la législation française engendre un processus de marchandisation du logement social, déjà amorcé. « Grands ensembliers » et professionnels du logement s’associent pour développer une nouvelle offre d’habitat social à destination des classes moyennes intermédiaires. La montée des classes moyennes mondiales et la crise économique produit des modes de consommer différenciés et une demande de logements prenant en considération de nouvelles tendances sociétales. Le regain d’intérêt depuis les années 2000 pour l’habitat alternatif (notamment le cohousing), positionne l’innovation dans l’habitat dans une démarche de co-construction (constructeur, architecte, sociologue). Ces effets de contexte s’inscrivent dans une démarche compréhensive de la diversité des pratiques habitants des classes moyennes. L’hétérogénéité de ce groupe social, à travers des modes de vie pluriels, illustre le déploiement de stratégies et de choix résidentiels qui rendent compte d’un rapport à l’autre singulier, d’un rapport au monde spécifique ; dont les « grands ensembliers » s’essaient à en saisir le sens et la complexité. / In 2014, what is the "sense of living"? The evolution of French legislation creates a social housing commodification process already begun. "Large contractors" and housing professionals join forces to develop a new offer of social housing to intermediate middle class. The rise of the global middle class and the economic crisis produces differentiated patterns of consumption and housing demand considering new societal trends. The renewed interest since the 2000s for alternative housing (including cohousing) positions innovation in housing in a co-construction approach (builder, architect, sociologist). These context effects are part of a comprehensive approach to the diversity of the inhabitants of the middle class practices. The heterogeneity of this social group, through plural lifestyles, illustrates the deployment strategies and residential choices that reflect a singular relative to each other, a report to the specific world; whose "big contractors" is trying to grasp the meaning and complexity.
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Mouvements-Réseau : technique, environnement et socialités à l'époque de l'Anthropocène / Movements-Network : technology, environment and sociality in the age of the Anthropocene / Movimentos-Rede : técnica, meio ambiente e socialidades na época do Antropoceno

Silva, Dayana Karla Melo da 21 September 2016 (has links)
Ce travail de recherche s'interroge sur les nouvelles formes de mobilisation sociale qui répondent à l'émergence des réseaux numériques et à la crise environnementale. Nous privilégions deux axes de compréhension épistémologique. Le premier basé sur la question de la technique au-delà de l'instrumentalité et le deuxième sur la notion d'écosophie. Notre réseau d'observation empirique est constitué par les collectifs mobilisés autour de la thématique écologique qui concerne les plus de trois cents rivières canalisées et enterrées dans la ville de São Paulo au Brésil, dorénavant visibles par le biais des dispositifs et des architectures numériques tels que les cartographies, audioguides, plateformes collaboratives, sites web et réseaux sociaux. À partir de l'immersion dans ces réseaux, nous essayons d'élargir notre regard sociologique compréhensif considérant le social non comme le terrain de jeu exclusif des humains, mais comme constitué par différents êtres et modes d'existence, notamment les objets techniques et les éléments et phénomènes naturels. Dans ce sens, nous proposons dans cette recherche la notion de mouvements-réseau afin de donner une forme à ces nouvelles mobilisations et associations caractérisées par l'hybridisme entre le territoire et les espaces urbains, environnementaux et techniques, ainsi que par le désir d'habiter autrement la Terre. / This research reflects on the new forms of social mobilization that emerge in response to the advent of digital networks and the environmental crisis. We value two epistemological axes. The first based on the question of technology beyond the instrumentality and the second on the notion of ecosophy. Our empirical observation network is formed by the groups mobilized around the environmental theme relating to the more than three hundred canalized and buried rivers in the city of São Paulo, Brazil, henceforth visible through digital devices and architectures such as maps, audio guides, collaborative platforms, web sites and social networks. From the immersion in these networks, we try to expand our sociological view considering the social not as the field of exclusive human acting, but as consisting of different beings and modes of existence, including technical objects, natural elements and natural phenomena. In this sense, we propose in this research the concept of movements-network to give form to these new mobilizations and associations characterized by hybridity between the territory and urban, environmental and technical spaces, as well as the desire to dwell the Earth otherwise. / Esta pesquisa se questiona sobre as novas formas de mobilização social que respondem ao surgimento das redes digitais e à crise ambiental. Privilegiamos duas linhas de compreensão epistemológica. A primeira baseada na questão da técnica para além da instrumentalidade e a segunda na noção de ecosofia. Nossa rede de observação empírica é formada pelos coletivos mobilizados em torno da temática ambiental que concerne aos mais de trezentos rios canalizados e enterrados na cidade de São Paulo, Brasil, doravante visíveis por meio de dispositivos e arquiteturas digitais, tais como mapas interativos, audioguias, plataformas colaborativas, sites e redes sociais. A partir da imersão nestas redes, tentamos expandir nossa visão sociológica compreensiva considerando o social não como o terreno de atuação exclusivo dos humanos, mas como composto por diferentes seres e modos de existência, incluindo os objetos técnicos e os elementos e fenômenos naturais. Neste sentido, propomos nesta pesquisa a noção de movimentos-rede a fim de dar uma forma a estas novas mobilizações e associações caracterizadas pelo hibridismo entre o território e os espaços urbano, ambiental e técnico, bem como pelo desejo de habitar a Terra diferentemente.
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Pour une sociologie de la "maison durable" : entre production d'une offre techno-centrée et vécu des habitants : projets et acteurs dans les espaces périurbains en Alsace / Towards a sociology of the "sustainable house" : between technocentric production and residents’ experiences : projects and actors in peri-urban areas of Alsace

Mangold, Marie 03 December 2018 (has links)
En plein essor depuis quelques années, les références au « logement durable » et la constitution d’une offre s’inscrivant dans ses objectifs, invitent à analyser les interactions entre le domaine du logement et celui de l’environnement, dans leurs rapports au phénomène urbain et ses évolutions. Cette thèse de sociologie, ouverte à la pluridisciplinarité en sciences sociales (urbanisme et aménagement, ethnologie), retient empiriquement comme cas d’étude la construction de maisons individuelles dans le Grand Est, en Alsace, qui intègrent une réflexion sur la performance énergétique et l’usage de matériaux dits écologiques, en se centrant en particulier sur les espaces périurbains. L’ambition conjointe de cette recherche est double. D’une part, on se propose d’analyser les modalités de production d’une offre de « maison durable » techno-centrée et adaptée à la focale énergétique des politiques environnementales, à partir d’une enquête auprès de maîtres d’œuvre et constructeurs régionaux, en regard des évolutions des cadres juridiques et des marchés immobiliers nationaux. D’autre part, il s’agit de mettre en lumière, par une ethnographie de terrain et la caractérisation des trajectoires des ménages étudiés, le vécu des habitants, leurs appropriations de la « maison durable » et leurs modes de vie. De façon transversale, la thèse nourrit ainsi une réflexion sur l’injonction à la sobriété énergétique et à la responsabilisation individuelle en questionnant le modèle de « maison durable » et ses effets sur les inégalités socio-spatiales / In the early twenty-first century, “sustainable housing” has become a popular catchword, and its goals are increasingly being embraced in the housing sector. This new context calls for analysing the interactions between housing and environment, especially insofar as they relate to the urban phenomenon and its evolutions. This PhD in sociology adopts an interdisciplinary social science perspective (branching out into urbanism, planning and ethnology) in its empirical examination of the construction of individual houses in the Alsace region of France, that take into consideration energy performance and the use so-called “ecological” materials, especially in peri-urban areas.The PhD pursued two main goals. First, based on a study of regional architects and builders, and in light of the evolution of legal frameworks and national real estate markets, it analyses the modalities of production of techno-centric “sustainable houses” that reflect the demands of environmental policies in terms of energy efficiency. Second, based on ethnographical approach and on the characterization of the trajectories of households, it looks into the experiences of residents, their appropriation of the “sustainable houses” and lifestyles. The PhD ultimately offers crosscutting insights into the impact of calls for energy sobriety and individual responsibility by reconsidering the “sustainable house” model and its effects on social and spatial inequalities.
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La mobilité contextuelle à l'épreuve de la mobilité résidentielle contrainte : dans le cadre de la rénovation urbaine des quartiers d'habitat social à Angers et à Trélazé

Buchot, Nathalie 07 December 2012 (has links) (PDF)
Habiter, c'est être mobile. C'est à partir de cette hypothèse issue d'une expérienceprofessionnelle de plus de quinze d'ans d'accompagnement au logement auprès de ménagesvulnérables, que s'est engagée une étude sur les effets, les freins et les leviers de la mobilitérésidentielle contrainte sur les quartiers de l'Agence Nationale de Rénovation Urbaine(ANRU) d'Angers et de Trélazé (France). Associant les résultats de l'étude à la notion dela mobilité contextuelle, se révèle l'étroite relation homme-environnement. En effet, leprocessus cognitif de la mobilité et de l'habiter se met en oeuvre dans une atmosphèresécurisante et apaisante. Or, vivre dans les quartiers d'habitat social dégradé, dévalorisé,empêche cette mise en oeuvre. Ainsi, l'étude du relogement contraint montre la nécessaireconjugaison entre les politiques d'aménagement urbain, les politiques sociales et lespolitiques environnementales.
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Le chez-soi et la construction des identités géographiques individuelles : habiter en communauté fermée à São Paulo (Brésil)

Gingras, Catherine 03 1900 (has links)
Ce mémoire propose d’aborder la relation entre le chez-soi et la construction des identités géographiques. Plus précisément, il s’agit de se pencher sur l’importance que revêt cette dimension intime et familière de l’habitat dans la part des identités qui mobilise les lieux, territoires et paysages comme référents. S’interroger à cet égard s’avère d’autant plus pertinent aujourd’hui, dans un contexte de fragmentation socio-spatiale à l’échelle urbaine et de prolifération d’enclaves résidentielles qui témoignent d’un enfermement et d’une introversion de l’habitat. Nous abordons la question à travers le cas du projet AlphaVille São Paulo (Brésil), un large développement résidentiel composé de plusieurs communautés fermées. Les entretiens semi-directifs réalisés auprès de onze habitants de ce projet permettent de confirmer l’importance du chez-soi dans leur construction identitaire. En effet, le chez-soi en communauté fermée représente l’aboutissement d’un parcours géographique et permet au regard des habitants rencontrés une expérience de l’espace résidentiel qui s’approche de celle qu’ils ont connue au cours de l’enfance et qu’ils ont perdue à mesure que la ville s’est transformée en un milieu de plus en plus hostile. Ainsi, il leur permet dans une certaine mesure de revivre un idéal perdu. Néanmoins, habiter en communauté fermée contraint les territorialités : au sein de la métropole, le chez-soi fait figure de refuge. Il n’en demeure pas moins que les réponses des résidents révèlent une conscience que leur choix d’habitat constitue en quelque sorte une fuite de la réalité. Ainsi, ils entretiennent à l’égard de leur milieu de vie une relation qui oscille entre illusion et désillusion. / This thesis proposes to study the relationship between the home and the formation of geographic identities. More precisely, it aims understanding the role of this intimate and familiar place in the part of human identity that is defined through the individual’s interaction with places, territories and landscapes. This question appears particularly relevant in the present urban context, largely characterised by socio-spatial fragmentation and the proliferation of residential enclaves, which express a confinement of the home environment. We approach this question through the case of the AlphaVille São Paulo project (Brazil), a large residential development composed of various gated communities. The semi-directed interviews that were conducted with eleven residents allow us to confirm the relevance of the home in their identity formation. Indeed, the dwelling inside a gated community represents the final destination of the residents’ geographical trajectories. According to the inhabitants, this allows for a residential experience similar to the one they underwent during childhood and that was subsequently lost as the city transformed into a more hostile environment. Thereby, it allows, to a certain extent, for the revival of a lost ideal. However, living in a gated community constrains territorialities: within the urban context, the home place becomes a refuge. Nonetheless, the residents’ answers reveal a degree of consciousness that their choice of residence represents an escape from reality. Thus, their relationship towards their living environment oscillates between illusion and disillusion.
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Habiter et consommer le logement social : une approche stratégique de l'habiter des classes populaires et moyennes sous contraintes de pouvoir d'achat / Living and consume social housing : a strategic approach to inhabit the working and middle classes under constraints of purchasing power

Parise, Fanny 02 February 2015 (has links)
En 2014, quel est le « sens de l’habiter »? L’évolution de la législation française engendre un processus de marchandisation du logement social, déjà amorcé. « Grands ensembliers » et professionnels du logement s’associent pour développer une nouvelle offre d’habitat social à destination des classes moyennes intermédiaires. La montée des classes moyennes mondiales et la crise économique produit des modes de consommer différenciés et une demande de logements prenant en considération de nouvelles tendances sociétales. Le regain d’intérêt depuis les années 2000 pour l’habitat alternatif (notamment le cohousing), positionne l’innovation dans l’habitat dans une démarche de co-construction (constructeur, architecte, sociologue). Ces effets de contexte s’inscrivent dans une démarche compréhensive de la diversité des pratiques habitants des classes moyennes. L’hétérogénéité de ce groupe social, à travers des modes de vie pluriels, illustre le déploiement de stratégies et de choix résidentiels qui rendent compte d’un rapport à l’autre singulier, d’un rapport au monde spécifique ; dont les « grands ensembliers » s’essaient à en saisir le sens et la complexité. / In 2014, what is the "sense of living"? The evolution of French legislation creates a social housing commodification process already begun. "Large contractors" and housing professionals join forces to develop a new offer of social housing to intermediate middle class. The rise of the global middle class and the economic crisis produces differentiated patterns of consumption and housing demand considering new societal trends. The renewed interest since the 2000s for alternative housing (including cohousing) positions innovation in housing in a co-construction approach (builder, architect, sociologist). These context effects are part of a comprehensive approach to the diversity of the inhabitants of the middle class practices. The heterogeneity of this social group, through plural lifestyles, illustrates the deployment strategies and residential choices that reflect a singular relative to each other, a report to the specific world; whose "big contractors" is trying to grasp the meaning and complexity.

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