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The dialogicality of Dasein : conversation and encounter within Heidegger's Being and time

MacAvoy, Leslie A. January 1997 (has links)
No description available.
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L'expérience d'une Stimmung et le caractère ekstatique de l'existence humaine dans l'oeuvre de Martin Heidegger

Corbeil, Yvon January 1999 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La figure de René Descartes dans l'oeuvre de Martin Heidegger : de l'indétermination ontologique du sum de l'ego à l'élaboration d'une métaphysique de l'être-représenté

Jaran-Duquette, François January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La critique du nihilisme nietzschéen chez Martin Heidegger

Malouin, Isabelle January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le mythe de la caverne : l'interprétation originale de Platon face à l'approche originaire de Heidegger

Néria, William 23 October 2018 (has links)
Le mythe de la caverne de Platon qui ouvre le livre VII de La République, plonge ses racines dans l’héritage spirituel et immémorial de l’humanité. Les multiples interprétations qui en ont été données, ont, chacune, mis en lumière un aspect particulier du mythe platonicien. Ainsi, le sens du mythe de la caverne n’est pas invariable ; bien au contraire, il est sujet au changement, car la difficulté d’interprétation qui le caractérise, ouvre la voie à une forte variabilité de la signification à donner à chacun des symboles et à la façon dont ces derniers se définissent les uns par rapport aux autres. En conséquence, la signification originale du mythe de la caverne échappe, de fait et depuis toujours, à toute la tradition philosophique interprétative ultérieure ; c’est pourquoi Heidegger a réinvesti massivement ce récit, en sautant par-dessus toutes les interprétations antérieures, afin de nous en proposer une approche originaire. Toutefois, est-il raisonnable d’affirmer que l’interprétation originaire de Heidegger donne le fin mot du sens initial du mythe ? Notre recherche se propose donc de démontrer, au contraire, que le mythe de la caverne recouvre une signification platonicienne originale qui n’a jamais été entièrement développée et exploitée par les interprètes de ce dernier. En effet, si le livre VII de La République constitue le commentaire original de Platon vis-à-vis du mythe de la caverne, ce commentaire natif platonicien pourrait recéler tous les philosophèmes métaphysiques, épistémologiques et politiques nécessaires pour éclairer, puissamment et à nouveaux frais, la symbolique du mythe de la caverne. De facto, s’en dégagerait-il une signification platonicienne originale et surtout inédite qui pourrait soit se rapprocher du sens de l’interprétation originaire de Heidegger, soit s’en éloigner de façon irréductible ?
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La passion de l'embarras : l'acheminement à la philosophie chez Martin Heidegger

Gauthier-Marcil, Charles 24 April 2018 (has links)
La pensée de Martin Heidegger ne peut pas être simplement « vérifiée » par les voies de la logique – que celle-ci soit traditionnelle ou contemporaine. L'« argumentation » qui y a cours ne s'y soumet pas. Heidegger a souvent lui-même fait état de cette particularité de son entreprise philosophique tout en prenant soin à chaque fois de la distancier de tout irrationalisme. Lorsque Heidegger tente de persuader son lecteur de philosopher « vraiment », ce qu'il fait de façon récurrente, il faut donc penser que ce n'est pas non plus « en toute logique ». Ce mémoire met à l'épreuve l'hypothèse d'un acheminement à la philosophie qui passerait – en deçà de la raison dominante – par la strate affective de la relation auteur-lecteur, ou orateur-auditeur. La rhétorique qui en découle n'est cependant pas une logique des sentiments de l'individu, elle ne prend pas appui sur une psychologie, mais sur le déploiement de l'être même. Entre cette rhétorique fondée sur le déploiement de l'être et la philosophie comme « pensée de l'être », il y aurait ainsi une proximité d'essence. Loin d'être un expédient fallacieux, la rhétorique serait ici la voie toute désignée. Pour mettre cette hypothèse à l'épreuve, nous en exposerons d'abord la nécessité, puis nous chercherons à débusquer la rhétorique à l'œuvre, d'Être et Temps jusqu'aux temps du rectorat – de 1927 à 1934.
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De l'insistance dans l'Être. Humanité et Da-sein dans la pensée de l'Ereignis (1936-1944)

Gómez Algarra, César 13 December 2023 (has links)
Thèse en cotutelle entre l'Université Laval et Universitat de València / À partir des années 1930, insatisfait des résultats de l'analytique existentiale qu'il a élaborée dans Être et temps, Heidegger reconsidère sa méthodologie philosophique. Le concept de Dasein, cet être que nous sommes à chaque instant, qui fonctionne en tant que point de départ et guide l'enquête ontologique sur le sens de l'être, sera désormais critiqué en raison de ses insuffisances foncières. Il se révèle notamment l'héritier du sujet transcendantal, voire le fondement d'une anthropologie philosophique renouvelée. Or le tournant (Kehre) dans la pensée heideggérienne constitue également une réélaboration de l'idée du Da-sein, un projet radical qui vise à fonder l'essence humaine dans un nouveau rapport à l'être. Dans ce travail, nous analysons en détail le concept de Da-sein, tel qu'il est esquissé dans les écrits privés et les Cahiers noirs de Heidegger, récemment publiés. Pour faire face à ce que le philosophe allemand dénonce comme une fixation de l'être humain à la fin de la modernité, et dans le cadre conceptuel d'un questionnement historique de l'Être, le Da-sein doit être compris désormais comme ouverture de la possibilité de transformer l'essence humaine. Cependant, cette possibilité de transformation radicale, héritière du projet nietzschéen, exige de faire un pas en dehors de la métaphysique - exigence qui va parfois trop loin, lorsqu'elle implique de laisser sombrer l'essence humaine dans le champ de l'inhumain. / A partir de los años 1930, cada vez más descontento con la analítica existencial que había elaborado en Ser y tiempo (1927), Heidegger se replantea su proceder metodológico. El concepto de Dasein, que orientaba la investigación como punto de partida para desarrollar la pregunta por el sentido del ser, es criticado ahora como un heredero del sujeto trascendental, incluso como el protagonista de una antropología filosófica renovada. El cambio radical del viraje (Kehre) en el pensar heideggeriano es también una reelaboración de la idea de Da-sein, un proyecto que la reciente publicación de los escritos privados (los tratados y los Cuadernos negros) nos permite analizar en detalle. Para combatir lo que el filósofo denuncia como fijación del ser humano al final de la época moderna, y en el marco de un preguntar histórico por el Ser, el Da-sein debe comprenderse ahora como la posibilidad de transformar la esencia humana. Sin embargo, esta posibilidad de transformación radical, heredera del proyecto nietzscheano, implica un paso fuera de la metafísica -un paso que va demasiado lejos a veces, hundiéndose en una especie de esencia inhumana.
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A verdade enquanto movimento: entre possibilidades e limites segundo o pensamento heideggeriano / The truth as movement: between possibilities e limits according to the heideggerian thought

Perez, José Antonio Mesquita 02 March 2018 (has links)
Submitted by Filipe dos Santos (fsantos@pucsp.br) on 2018-04-03T11:15:45Z No. of bitstreams: 1 José Antonio Mesquita Perez.pdf: 813047 bytes, checksum: 3247753faae8851d0478175f91080b80 (MD5) / Made available in DSpace on 2018-04-03T11:15:45Z (GMT). No. of bitstreams: 1 José Antonio Mesquita Perez.pdf: 813047 bytes, checksum: 3247753faae8851d0478175f91080b80 (MD5) Previous issue date: 2018-03-02 / The dissertation has the aim to explore the truth as movement in the thought of the philosopher Martin Heidegger. The work it is divides in four parts. First of all, in the Introduction, we contextualize the research and present the questions that will be our guide in the course of the work. It is clarified that the relation between modern science and philosophy is our starting point for thinking the truth, but this isn’t our main focus. In the first chapter, Notions of Truth, we start clarifying the tradicional concept of truth and the tradition in which it is found, namely the metaphysical tradition; posteriorly, we analyze the concept of αλήθεια (alétheia), rescued by Heidegger to understand the essence of truth as unconcealment. In the second chapter, Being, Truth and Mystery, at first we see how the truth is inserted in the context of Being and Time, and then how the so-called turning (Kehre) alters the truth’s understanding, to undertake the task of analyze the truth as movement, taking into consideration the Clearing and the Mystery. The truth isn’t, but it is given, truth essentials itself, that is, truth is a movement that opens a space that allows the entities to be. Dasein essentially corresponds with this space that is open by the truth of Being, however, the truth itself ins’t predicated of human beings. If there is an opening there is also a limit: this is the relation between the Clearing and the Mystery. In a certain way, the truth doesn’t only illuminate (unconcealment), but it is limit as well (concealment). It is perceived that Heidegger’s gaze isn’t aimed to an logic understanding of the truth, but aimed to an ontological understanding of this phenomenon. Lastly, in the third and final chapter, Between possibilities and limits: final considerations, we return to what is at the beginning and trigger of the research subject: the relation between modern science and philosophy. The aim is to carry out some reflections and questionings about this relationship, thinking the possibilities and limits that both have. The truth is a fundamental question because it concerns, if we think in a heideggerian way, to what enables not only the entity but the knowledge itself. This understanding has consequences not only in philosophy, but also in “sciences” / A dissertação tem o intuito de explorar a verdade enquanto movimento no pensamento do filósofo Martin Heidegger. O trabalho se encontra dividido em quatro partes. Em primeiro lugar, na Introdução, fazemos uma contextualização da pesquisa e expomos as questões que serão guia no percurso do trabalho. É esclarecido que relação entre a ciência moderna e a filosofia é o nosso ponto de partida para pensarmos a verdade, mas não é o nosso foco. No primeiro capítulo, Noções de Verdade, iniciamos esclarecendo o conceito tradicional de verdade e a tradição na qual ela se encontra, a saber a tradição metafísica; posteriormente, analisamos o conceito αλήθεια (alétheia), resgatado por Heidegger para compreender a essência da verdade como desocultamento. No segundo capítulo, Ser, Verdade e Mistério, vemos, em um primeiro momento como a verdade se encontra inserida no contexto de Ser e Tempo e depois como a chamada viravolta (Kehre) altera a sua compreensão, para, assim, empreender na tarefa de analisar a verdade enquanto movimento, levando em consideração a Clareira e o Mistério. A verdade não é, mas ela se dá, ela se essencializa, isto é, verdade é um movimentar que abre um espaço que permite que os entes possam ser. Ser-aí corresponde essencialmente com esse espaço aberto pela verdade do Ser, no entanto, a verdade em si não é predicativo do ser humano. Se há uma abertura também há um limite: essa é a relação entre a Clareira e o Mistério. De certa forma, a verdade não só ilumina (desocultamento), mas ela também é limite (ocultamento). Percebe-se que o olhar de Heidegger não está voltado para uma compreensão lógica da verdade, mas para um entendimento ontológico da mesma. Por fim, no terceiro e último capítulo, Entre possibilidades e limites: considerações finais, nos voltamos para aquilo que se encontra no começo e disparador da temática pesquisada: a relação entre a ciência moderna e a filosofia. O intuito é de realizar algumas reflexões e questionamentos sobre essa relação, pensando as possibilidades e limites que ambas possuem. A verdade é uma questão fundamental porque ela diz respeito, se a pensarmos heideggerianamente, àquilo que possibilita não só os entes mas ao próprio conhecimento. Sua compreensão tem consequências não só na filosofia, como também nas “ciências”
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Dasein e linguagem em Heidegger: do discurso ao monólogo / Dasein and language in Heidegger: from discourse to monologue

Silveira, Fillipa Carneiro January 2007 (has links)
SILVEIRA, Fillipa Carneiro. Dasein e linguagem em Heidegger: do discurso ao monólogo. 2007. 146f. – Dissertação (Mestrado) – Universidade Federal do Ceará, Programa de Pós-graduação em Filosofia, Fortaleza (CE), 2007. / Submitted by Márcia Araújo (marcia_m_bezerra@yahoo.com.br) on 2013-11-05T17:53:03Z No. of bitstreams: 1 2007-DIS-FCSILVEIRA.pdf: 761663 bytes, checksum: 92e31a8c335b9767920d593a8ca7367e (MD5) / Approved for entry into archive by Márcia Araújo(marcia_m_bezerra@yahoo.com.br) on 2013-11-05T18:25:14Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2007-DIS-FCSILVEIRA.pdf: 761663 bytes, checksum: 92e31a8c335b9767920d593a8ca7367e (MD5) / Made available in DSpace on 2013-11-05T18:25:14Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2007-DIS-FCSILVEIRA.pdf: 761663 bytes, checksum: 92e31a8c335b9767920d593a8ca7367e (MD5) Previous issue date: 2007 / This work intends to explain the continuity of Heidegger’s thought on the relation between Dasein and language, specifically through the approach of three texts: Sein und Zeit (1927), Über humanismus (1946) and Der Weg zur Sprache (1959). The main objective is approaching this relation before and after the so called turn (Kehre) in Heidegger’s philosophy, emphasizing a new conception of language and human being which results of this movement. Our starting point is an hermeneutical approach of Heidegger and an enlargement of the existential analyses not towards a “philosophic anthropology”, in which we could set up the essence of the human being, of his thinking and acting, but in the sense of an “anthropological philosophy”, if it is possible, which presupposes contingency and facticity. The preponderance of the linguistic turn in the contemporary philosophy, as a way of increasing the “belonging” relation between language and the dimension of “human”, is linked to this context, according to its importance in the philosophical thought that keeps in check the metaphysical thinking. This approach aims to know how far Heidegger’s thought effectively moves towards a transformation or barely unrolls itself starting to presumptions which were already in Being and time. On one hand, when Heidegger leaves the existential analyses of the Dasein as “mediation” on behalf of an ampliation of the sense on sein’s language, he stays apart from the anthropology. On the other hand, if we consider the preponderance of poetry in the thinking of the “history of being” and “truth of being”, we see that Dasein remains as an important reference in other terms, which send us to a possibility of a new anthropology. Criticizing the logical determination of knowledge in the name of hermeneutical feature of comprehension, Heidegger’s thought indicates that “logy” has determine the anthropos to become the central reference of philosophy. Abandoning the “logy” of logos, and this seems to be Heidegger’s orientation since his beginning, the preponderance of the Dasein stays as openness of being and as pole of the ontological difference; the man is in verve instead of the epistemic subject; the logos remains as language. / Este trabalho tem como propósito explicitar a continuidade do pensamento de Heidegger a respeito da relação entre o Dasein e a linguagem, especificamente a partir da abordagem de três textos: Ser e tempo (1927); Sobre o humanismo (1946) e O caminho para a linguagem (1959). O objetivo principal é examinar esta relação antes e depois do que foi considerado uma “virada” (Kehre) na filosofia de Heidegger, destacando uma nova concepção de linguagem e ser humano que resulta desse movimento. Parte-se de uma abordagem hermenêutica de Heidegger e de uma ampliação do contexto da analítica existencial não no sentido de uma “antropologia filosófica”, em que se poderia firmar a essência do homem, de seu pensar e agir, mas no sentido de uma “filosofia antropológica”, se assim for possível propor, que pressupõe a contingência e a faticidade. A centralidade da reviravolta lingüística na filosofia contemporânea, como uma forma de radicalização da relação de “pertença” entre linguagem e “humano”, é atrelada a este contexto em função de sua importância no pensamento filosófico que põe em xeque o pensar metafísico. Neste movimento, busca-se saber até que ponto o pensamento de Heidegger efetivamente se transforma, ou simplesmente se desdobra a partir de pressupostos que já estavam dados desde Ser e tempo. Por um lado, o abandono da analítica existencial do Dasein como “mediação” em favor de uma ampliação do sentido da linguagem do ser distancia Heidegger da “antropologia”, por outro, se consideramos a centralidade da poesia no pensamento da “história do ser” e da “verdade do ser”, vemos que o Dasein permanece uma referência central reconfigurada, e que nos remete a uma nova possibilidade de “antropologia”. Opondo-se à determinação lógica do conhecimento em favor do aspecto hermenêutico da compreensão, o pensamento de Heidegger aponta a “logia” como determinante para que o anthropos tenha se tornado a referência central da filosofia. Abandonando-se a “logia” do logos enquanto lógica, e este parece ser o caminho de Heidegger desde o início, remanesce a centralidade do Dasein como abertura ao ser e como pólo da diferença ontológica; vigora o homem no lugar do sujeito do conhecimento; permanece o logos enquanto linguagem.
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Traducción de Platons lehre von der wahrheit / La doctrina de Platón de la verdad

Abalo Cea, Francisco, Sandoval Villarroel, Pablo January 2000 (has links)
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