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Transcendência, liberdade e mundo: como Heidegger estrutura o Ser-aí a partir destes conceitos no final dos anos 20SOUZA, Diego Gessualdo Sabádo de 05 December 2014 (has links)
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Previous issue date: 2014-12-05 / O objetivo da presente dissertação é apontar como Martin Heidegger apresenta, e seus textos do final dos anos 20, os conceitos de Transcendência, liberdade e mundo, e como, a partir destes conceitos, ele estrutura o Ser-aí. A tematização desta obra fundamenta-se mais precisamente nos textos Introdução a Filosofia, Essência da Liberdade Humana e Fundamentação Metafísica da Lógica, fazendo algumas incursões no texto Conceitos Fundamentais de Metafísica: mundo finitude e solidão e aludindo por vezes a Ser e Tempo. Nestas cinco obras de Heidegger encontramos uma estruturação do Ser-aí onde Liberdade e Transcendência aparecem como a essência e o fundamento mesmo deste ente, o Ser-ai, como um ser-no-mundo formador de mundo. Nosso projeto se dividiu em três momentos, no capítulo 1 apresentamos como o conceito de transcendência perpassa o final dos anos 20, no capítulo 2 o conceito e as tematizações de Heidegger sobre a liberdade são atreladas a conceito de transcendência, e por fim, no capítulo 3, a compreensão heideggeriana de mundo é apresentada completando a estruturação do Ser-aí como ser-no-mundo, a partir do entrelaçamento e da co-pertencimento de mundo e transcendência no ultrapassamento de si e do mundo, e por sua vez de co-pertencimento de mundo e liberdade, na medida em que transcendência e liberdade são apresentadas por Heidegger como fundamentos de possibilidade de existência do Ser-aí como um estar aí no mundo como ser-no-mundo, na clareira do ser, como guardião e formados do mundo. / The objective of this dissertation is to point as Martin Heidegger presents, and his late texts of the 20s, the concepts of transcendence, freedom and world, and how, from these concepts, it structures the being-there. The theme of this work is based more precisely in the texts Introduction to Philosophy, Essence of Human Freedom and Metaphysics of Logical Reasoning, making some inroads in the text Metaphysics of Fundamental Concepts: finitude and solitude world and sometimes alluding to Being and Time. These five works of Heidegger we find a structure of Being-there where Freedom and Transcendence appear as the essence and the very foundation of this one, the Self-ai, as a being in the world forming world. Our project was divided into three stages, in Chapter 1 shows how the concept of transcendence permeates the late 20, in chapter 2 the concept and thematizations Heidegger on freedom are linked to the concept of transcendence, and finally, in chapter 3, Heidegger's understanding of the world is presented completing the structuring being-there's like being in the world, from the entanglement and belonging of world and transcendence on the transcendence of self and the world, and in turn belonging of world and freedom, in that transcendence and freedom are presented by Heidegger as the foundation for the possibility of existence of Being-there as being there in the world as being in the world, the clearing of being, as guardian and formed mundo.omo the one being in the world forming world.
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La concepci?n tecno-econ?mica del tiempoCorrea Poblete, Eugenio January 2010 (has links)
Tesis para optar al grado de Doctor en Filosof?a / El modelo imperante, con su ?nfasis en el crecimiento y el desarrollo, hasta el punto de operar como ideolog?a ?nica, pone en acci?n una forma de temporalidad radicalmente objetivada en t?rminos de rendimiento. Cabe preguntarse entonces, si no es el pensamiento t?cnico, desvinculado de sus iniciativas racionales-teleol?gicas, y en una instrumentalizaci?n pura, el que determina una coacci?n generalizada que se expresa en t?rminos econ?micos. A este respecto, existe un c?mulo de fen?menos contempor?neos, que muestran una l?gica que comporta una configuraci?n del tiempo en funci?n de su valor monetario, y en ello, el dinero funciona como una forma de tiempo condensado.
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Heidegger lecteur de NietzscheComeau, Alexandre January 2008 (has links) (PDF)
Nous cherchons à comprendre la position qu'occupe Nietzsche dans la pensée de Heidegger. D'emblée cette position nous est donnée: il est le dernier métaphysicien et le suprême nihiliste. Heidegger prétend que Nietzsche s'inscrit à l'intérieur du grand mouvement nihiliste, qu'il est un autre philosophe de la tradition occidentale, mais aussi, et avant tout, le dernier de ceux-ci, celui qui tire les conclusions. La question centrale qui guide notre réflexion est la suivante: En quel sens la philosophie de Nietzsche peut-elle être entendue par Heidegger comme l'ultime possibilité du développement de la métaphysique? Cette question fondamentale en contient plusieurs autres, auxquelles nous répondrons dans cet exposé. D'abord, en quoi Nietzsche est-il encore un penseur métaphysique, qu'est-ce qui fait qu'il participe au mouvement de la pensée occidentale, qu'est-ce qui l'attache à cette pensée? En guise de réponse, nous expliquerons ce qu'est la métaphysique selon Heidegger: elle est onto-théologie et concerne l'être de l'homme. Ces trois formes caractéristiques sont aussi présentes dans le discours de Nietzsche. La justice, la volonté de puissance et l'éternel retour du même sont les catégories de sa philosophie. Ces traits saillants seront tour à tour étudiés, en démontrant comment ils sont mutuellement interconnectés. La seconde question dérivée de la question conductrice originale est la suivante: Pourquoi Nietzsche est-il le dernier penseur de la tradition, quel est le sens de l'extrémité qu'est Nietzsche? Nous tenterons de montrer ce qu'apporte l'auteur dans l'histoire de l'être et en quel sens il est résultat, en le mettant en relation avec les cercles de réflexion qu'il vient clore sous l'angle de l'être conçu comme a priori possibilisant. Nous verrons aussi en quoi la temporalité de l'éternel retour constitue l'achèvement de la pensée métaphysique du temps.
Ensuite, nous tenterons de répondre à une troisième question, à savoir: Quel monde le trépas de la métaphysique produit-il, quel est le résultat de l'histoire de l'oubli de l'être? Nous chercherons alors l'essence de la technique moderne avant de voir comment la pensée de Nietzsche rend possible cette essence, comment elle entre en relation avec et permet le déploiement de cette époque qui est caractérisée par la commission de toute énergie sans raison. Une autre question se pose en relation avec la question originale: Au sommet du nihilisme occidental, quelle est dorénavant la tâche de la pensée? Comme toute la lecture de Nietzsche par Heidegger se veut une explication du second avec (ou contre) le premier, c'est-à-dire une prise de position de Heidegger par rapport à la métaphysique et à son dernier représentant, il nous faut voir comment il entend la dépasser, ou plutôt faire le saut de l'autre côté de cette dernière, afin que, peut-être, l'être sorte de l'oubli où il s'est par lui-même réfugié. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Heidegger, Nietzsche, Nihilisme, Volonté de puissance, Éternel retour du même, Valeur, Justice, Être, Technique, Arraisonnement, Histoire, Philosophie, Allemagne.
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La communauté en tant que lieu du non-lieuGuenin, Esma 02 1900 (has links) (PDF)
Dans ce mémoire nous avons tenté de comprendre comment l'être-en-commun (ou la communauté) implique un être-hors-de-soi de chaque individu de telle sorte qu'aucune communauté ne puisse se désigner par l'appartenance? Deux auteurs sont au fondement de la démonstration soit Heidegger et Bataille puisque l'horizon philosophique sur lequel se profile notre démarche est la question heideggérienne de l'oubli de l'être et l'idée d'impossible communauté positive développée par Bataille. Heidegger nous permet de relever que l'être-en-commun n'est pas un sujet, mais un (état étant) un être, un acte où il importe de faire exister l'avec (de l'être-avec ou de l'être-ensemble) en étant en commun. Ce n'est donc pas sur le mode du transitif, mais par opposition, celui de l'intransitif (la communauté en tant que mouvement toujours déjà-là et toujours en formation) qu'il faut rendre compte de la catégorie de la communauté. Bataille nous permet d'insister sur l'idée que l'être-en-commun implique une proximité dans la distance (puisque l'être-avec présuppose nécessairement un être-hors-de-soi) qui ne peut se dévoiler que par le travail du négatif de sorte que la communauté est ce qui constitue l'homme sans jamais lui appartenir et sans jamais pouvoir se désigner comme sujet substantiel car la singularité caractérisant le sujet retire son être (qui est perpétuellement réinvesti de l'autre et du monde) à toute identité. Notre démonstration nous emmène à conclure que la communauté est ce qui constitue originellement et quotidiennement la réalité commune des êtres humains sans que jamais pourtant elle ne puisse leur être dévoilée par cela même que c'est une structure négative désavouant toute liaison substantive car se manifestant par l'être-hors-de-soi.
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Martin Heidegger's interpretation of ancient Greek aletheia and the philological response to itDe Sousa, Rui. January 2000 (has links)
This thesis tries to provide a critical review of Heidegger's interpretation of ancient Greek truth in the different stages of his career and it also examines the philological response that his work on this question elicited. The publication of Sein und Zeit made Heidegger's views on a ,l h&d12;q3ia available to a wide public and thereby launched a heated debate on the meaning of this word. The introduction tries to give an account of the general intellectual background to Heidegger's interpretation of ancient Greek truth. It also looks at the kind of interpretative approach favored by the philologists responding to Heidegger's views on a ,l h&d12;q3ia . The thesis first examines his arguments on ancient Greek truth and language in Sein und Zeit from the point of view of the larger philosophical project of Heidegger's seminal work. It then looks at some initial philological responses to Heidegger along with Heidegger's views on a ,l h&d12;q3ia in a few works following the publication of Sein und Zeit . As a next step, the bulk of the philological work responding to Heidegger is carefully examined with a special focus on the interpretative approaches of the various authors. Heidegger's attempt to respond to some of these philologists is also reviewed. Finally, Heidegger's retraction of his earlier views on a ,l h&d12;q3ia is examined in light of a growing critical consensus among philologists. The very latest philological responses to Heidegger are also considered. The conclusion looks at the contributions made by Heidegger and his philological respondents to our knowledge of ancient Greek truth. Some suggestions are also made for future research on this topic.
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Fear, anxiety and death in Freud and Heidegger.O'Riordan, Alex. January 1999 (has links)
This mini-thesis attempts to understand what it means to fear death. It does this by first investigating how Heidegger and then Freud explain fear of death. Heidegger believes that the relationship Dasein has towards its own death allows it the possibility of 'authenticity'. Death presents to Dasein its ownmost potentiality for being. Heidegger explains that this means that in facing death Dasein has the possibility of
completeness and absolute individuality. Dasein is called to this possibility of authenticity by the anxiety it experiences in the face of its own death. However, Dasein does not necessarily respond to this call. By reducing anxiety to a fear it is possible for Dasein to disregard its fear of death and correspondingly not respond to the call of authenticity. Thus, for Heidegger, fear of death is symptomatic of inauthentic Dasein's relationship towards its own death. For Freud, on the other hand, death cannot be conceptualised without reference to the social world. Freud believes that the relationship we have towards our own death is learnt through living in this world. Furthermore, Freud argues that it is impossible for the human being to ever understand that death can be an annihilation. When the human being dreads, fears or even desires death, Freud believes it does so symbolically. In this regard Freud explains, by way of the death instinct, that the psyche understands death as a return to before birth. One of Freud's explanations of fear of death is that this fear is actually for the loss of Eros. This fear, however, is in conflict with the phantasy to return to before birth. One of the results of this conflict is the arousal of anxiety. The differences and similarities between Freud's and Heidegger's explanations are detailed in the final chapter. Examining these details leads to a closer investigation of Freud's and Heidegger's explanations of anxiety. On this issue this mini-thesis finds that Freud's and Heidegger's explanations of anxiety are in conflict with each other. After attempting to avoid placing Freud and Heidegger against each other, this mini-thesis demonstrates that Heidegger's explanation of anxiety is lacking in detail. / Thesis (M.Soc.Sci.)-University of Natal, 1999.
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Caputo on Heidegger and ethicsHarvey, Sharon January 2002 (has links)
Evaluation of Heidegger's ethical thinking or "originary ethics" is necessary due to recent ethical questions resulting from Heidegger's biography. According to John D. Caputo, Heidegger does not care for the "other". This thesis analyzes Caputo's basis for those claims along with his rejection of Heidegger's notion that our relation to poetizing is needful for an ethics in a scientific, technological age. Heidegger's ethics of non-objectification offers hope with regard not only to the domination and oppression of humans but also for non-humans as well. Heidegger's understanding of 'technique qua metaphysics' is important for addressing the political claims of Caputo.
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Political treatment of Heidegger : the philosophy of Martin Heidegger in the work of four recent theoristsKleinberg, Daniel Alexander January 1999 (has links)
No description available.
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Musical improvisation as the place where being speaks : Heidegger, language and sources of Christian hopeLove, Andrew Lawrence January 2000 (has links)
The thesis enters several under-examined areas. First, improvisatory music will be considered as a human phenomenon in the widest sense (Chapter 1 ), and a phenomenon destined to suffer relative decline in the cultural environment of the modern West (Chapter 2). In consequence, the language in which improvisatory music is now discussed in the West will be shown to carry a negative charge (Chapter 3). Among various philosophies of music in the Western tradition, none appears to have foregrounded improvisatory music specifically. However Heidegger's philosophy, it will be suggested, harbours inner trends which favour the idea of music as a central component in philosophical discourse (Chapter 4) and may be used as a starting point for a re-emergent understanding of musical improvisation as a metaphysical principle (Chapter 5). Improvisation in music will be seen to be linked to the centrality of hope in human experience, and this will be exemplified in relation to certain cultures and twentieth-century composers (Chapter 6). Further to this connection between improvisation and hope, improvisation in a Christian liturgical context will be examined. There is a dearth of existing discussion, not only regarding improvisatory music in Christian liturgy, but liturgical spontaneity in general (Chapter 7).
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Heidegger y el lenguaje — Posibilidades de superar la concepción instrumental impuesta por la técnica modernaMartínez Silva, Jorge January 2011 (has links)
El presente trabajo da cuenta de la relación que existe entre el pensamiento de Heidegger y el lenguaje como tópico revelante en el quehacer filosófico contemporáneo. Desde esta visión, se expone la caracterización del lenguaje que elabora Heidegger como un existenciario constitutivo fundamental de la existencia humana y el lugar que éste ocupa, desde una perspectiva ontológica y otra óntica, en la forma originaria como el ser se manifiesta y realiza en el mundo que rodea al hombre. En segundo lugar, se describe la contraposición que existe, desde el punto de vista de Heidegger, entre lo que él denomina como lenguaje técnico y lenguaje tradicional o materno, sustentándose en la definición y caracterización del concepto de técnica moderna, interpretando como problemática su relación con las ciencias y los medios de comunicación, que delimitan al lenguaje como un instrumento meramente informativo, frente al lenguaje materno y su finalidad poética. Por último, se complementa la reflexión de Heidegger acerca de la naturaleza y función poética del lenguaje en cuanto a su esencia originaria como “habitar verdadero” y su relación con el hombre que descubre, interpreta y discurre el mundo a través de su verdadera configuración, como real posibilidad de superación ante la limitación impuesta por la concepción instrumental del lenguaje propia de la técnica moderna. / El presente trabajo da cuenta de la relación que existe entre el pensamiento de Heidegger y el
lenguaje como tópico revelante en el quehacer filosófico contemporáneo. Desde esta visión, se
expone la caracterización del lenguaje que elabora Heidegger como un existenciario constitutivo
fundamental de la existencia humana y el lugar que éste ocupa, desde una perspectiva ontológica
y otra óntica, en la forma originaria como el ser se manifiesta y realiza en el mundo que rodea
al hombre.
En segundo lugar, se describe la contraposición que existe, desde el punto de vista de
Heidegger, entre lo que él denomina como lenguaje técnico y lenguaje tradicional o materno,
sustentándose en la definición y caracterización del concepto de técnica moderna, interpretando
como problemática su relación con las ciencias y los medios de comunicación, que delimitan al
lenguaje como un instrumento meramente informativo, frente al lenguaje materno y su finalidad
poética
Por último, se complementa la reflexión de Heidegger acerca de la naturaleza y función poética
del lenguaje en cuanto a su esencia originaria como “habitar verdadero” y su relación con el hombre
que descubre, interpreta y discurre el mundo a través de su verdadera configuración, como real
posibilidad de superación ante la limitación impuesta por la concepción instrumental del lenguaje
propia de la técnica moderna.
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