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Untersuchungen zur Mentilität belgischer und deutscher Handwerker anhand von Selbstzeugnissen: (spätes 18. bis frühes 20. Jahrhundert)Steffens, Sven January 1999 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Analyse d'un bréviaire Sufi Syro-égyptien de la fin du XIIIe siècleJacob, Anne-Claude January 1972 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Contributions à la reconstitution, à l'édition et à l'étude des archives papyrologiques dites d'HèrôninosVanthieghem, Naim 09 March 2015 (has links)
L’objectif principal de ma thèse était de réaliser l’édition de papyrus issus des archives dites d’Hèrôninos. Ce personnage était intendant d’une unité de production agricole rattachée au village de Théadelphie, dans le Fayoum, au IIIe s. de notre ère. Il travaillait pour le compte d’un aristocrate alexandrin du nom d’Appianos, qui possédait diverses terres un peu partout en Égypte. Hèrôninos devait régulièrement informer son patron de la gestion de son unité et tenir à jour ses comptes avec minutie. Le hasard a voulu que l’on retrouve sa correspondance et son importante comptabilité ;les différentes pièces des archives ont été réparties entre plusieurs collections dans le monde.<p>Dans ma dissertation doctorale, j'ai proposé l’édition, la traduction et le commentaire de 97 textes, lettres et comptes inédits qui proviennent des collections de Prague, de Londres et de Florence. Ces documents confirment bien souvent ce que l’on savait de l’organisation du domaine géré par Hèrôninos ;ils apportent néanmoins de nombreuses informations sur la topographie et la toponymie du domaine ainsi que sur la prosopographie des ouvriers. Je ne me suis cependant pas limité à l’édition d’inédits :j’ai en effet entrepris, chaque fois que j'ai pu avoir accès au matériel, une révision systématique des documents déjà publiés. Au total, les révisions de textes publiés par les chercheurs qui m’ont précédé ont abouti à des résultats parfois surprenants et spectaculaires :dans certains cas, il a fallu revoir complètement l’interprétation des documents.<p>À côté du travail éditorial à proprement parler, j’ai réalisé un travail « d’archéologie muséale », c’est-à-dire que j’ai tenté de retracer l’histoire de la dispersion des pièces des archives à travers le monde et essayé de comprendre par quels canaux les documents sont arrivés en Europe, en Amérique ou dans des collections égyptiennes. Cette question restait encore largement inexplorée. Je pense avoir fait avancer notre connaissance en la matière. J’ai montré que la majorité des achats ont été réalisés au tout début du XXe siècle auprès de deux marchands d’antiquités égyptiens :ʿAlī al-ʿArabī et Faraǧ ʿAlī. J’ai en outre consacré une large partie de ma thèse à des questions de diplomatique, aspect largement négligé jusqu'à présent. On ne peut plus, comme on l’a trop souvent fait dans le passé, éditer un document sans étudier ses aspects matériels. Les papyrus des archives d’Hèrôninos n’échappent pas à ce constat :ils présentent une mise en page particulière et sont rédigés selon des codes bien précis qu’il convenait de mettre en évidence. <p>\ / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le Tribunal Pénal International pour le Rwanda comme source d'histoire? / International Criminal Tribunal for Rwanda as a source of history?Rovetta, Ornella 17 December 2013 (has links)
Ce travail est consacré au Tribunal Pénal International pour le Rwanda (TPIR), une juridiction ad hoc créée par le Conseil de sécurité de l’ONU le 8 novembre 1994. <p>Le fil conducteur de la thèse interroge la manière dont le Tribunal produit des archives. Comment une institution en devenir, produit-elle ses sources ?Cette interrogation entraîne deux questionnements :D’une part, comment analyser le devenir ou la constitution d’un Tribunal ?D’autre part, quelles sont, précisément, ces sources ?<p>Ces deux axes correspondent à la structuration de ce travail. <p><p>Dans la première partie, nous avons voulu mettre en exergue les débats et acteurs qui ont accompagné la création du Tribunal. En croisant les sources issues des archives des procès, des États, des organisations internationales ou des ONG, ainsi que par des entretiens, elle propose une entrée en matière concrète de l’histoire du Tribunal. Pourquoi crée-t-on ce Tribunal ?Quels sont les débats qui l’accompagnent ?Quels en sont les acteurs ?Ce retour sur les débats qui ont modelé le TPIR a permis de mettre en lumière un balisage du terrain judiciaire impliquant une grande diversité d’acteurs et de facteurs. <p><p>La deuxième partie, « Le procès Akayesu », propose une étude micro-historique du premier procès, débuté en janvier 1997 et clôturé en septembre 1998. Comment le procès a-t-il fonctionné au jour-le-jour ?Qui en sont les acteurs ?Comment s’est opérée la lecture judiciaire des faits qui se sont déroulés dans la commune de Taba, dont le bourgmestre, Jean-Paul Akayesu, était jugé ?Nous proposons dans cette deuxième partie un travail de contextualisation des sources issues du procès en interrogeant le dispositif et le formatage judiciaires qui sont à l’œuvre à tous les stades de la procédure. Par une approche fondée sur les archives judiciaires du procès, l’objectif est de mettre en lumière les différentes narrations et les dynamiques du procès. Si notre démarche a pris comme point focal ce premier procès, nous tentons constamment de le replacer dans un contexte élargi. Ce travail a voulu amorcer une ouverture vers l’étude d’autres procès, en mettant en exergue les ramifications de ce procès avec d’autres affaires. À travers cette contextualisation, nous avons également souhaité interroger, en historienne, la manière dont on peut se servir de ces sources. Nous avons en effet voulu aller au-delà de la critique des sources, afin de mettre en œuvre un essai d’histoire au plus près du terrain et portant sur la commune et la région concernées dans le procès. <p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'institution des nipûtum dans les royaumes paléo-babyloniens, 2000-1600 av. J.-C.Scouflaire, Marie-France A. 28 April 2008 (has links)
Les deux codes de lois de l'époque babylonienne ancienne consacrent plusieurs rubriques à la nipûtum, elles ont été transcrites, traduites et commentées à de multiples reprises. D’autre part, des dizaines de textes éparpillés, auxquels il n'est fait que de vagues allusions dans les commentaires, abordent le même sujet; chaque fois qu'ils sont cités, ils ne le sont que parce qu'ils peuvent éclairer un peu le sens des codes .<p>Nous avons décidé d'agir en sens contraire de la recherche traditionnelle et de proposer une définition de la nipûtum grâce aux textes de la pratique .Les codes semblent en effet traiter de l'anormal plutôt que du normal .La nipûtum n'y est définie qu'en termes d'abus :saisie non justifiée ou mauvais traitements pouvant entraîner la mort de la personne saisie .De plus, ils ne parlent de la nipûtum qu'en cas de dettes et seulement pour des opérations entre particuliers, mettant face à face un banquier tout puissant et un citoyen pauvre en difficulté .<p>L'institution des nipûtum se met tout d'abord en valeur par sa grande extension chronologique, elle est présente dès le début des dynasties amorrites jusqu’au dernier roi de Babylone, soit pendant trois siècles .En ce qui concerne la répartition géographique, elle est en usage dans l'ensemble de la Mésopotamie, du nord au sud, de Sippar à Ur, et d'est en ouest, même dans des zones tout à fait éloignées, comme Mari .<p>\ / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Edition, traduction et commentaires de papyrus documentaires inédits, coptes et grecs, conservés aux Musées Royaux d'Art et d'Histoire de Bruxelles: recherches philologiques, historiques et économiques sur l'Egypte copte (VIIe-VIIIe siècles)Delattre, Alain 26 February 2004 (has links)
La présente thèse de doctorat est consacrée à l'étude d'un lot de papyrus conservés aux Musées Royaux d'Art et d'Histoire de Bruxelles. La plupart de ces textes proviennent du monastère d'apa Apollô de Baouît en Moyenne-Égypte.<p>L'introduction s'attache à retracer la genèse du lot et se conclut par un inventaire des papyrus qui peuvent lui être attribués.<p>Un premier chapitre présente le monastère de Baouît (sources, le fondateur, le site monastique et son histoire, les moines, l'organisation, la place du monastère dans le contexte régional).<p>Le deuxième chapitre est consacré aux textes documentaires du monastère de Baouît. Différents thèmes sont ensuite abordés: les supports de l'écriture, la paléographie, l'usage des langues (grec et copte), les particularités linguistiques et l'apport des textes édités.<p>Les 100 papyrus publiés sont répartis dans les sections suivantes: 1. ordres de l'administration monastique, 2. ordres de paiements; 3. comptes et listes; 4. reçus; 5. contrats de prêt; 6. autres contrats; 7. lettres; 8. protocoles; 9. varia; 10. annexe. Divers tableaux et annexes complètent les éditions.<p>Un dernier chapitre traite des activités économiques du monastère de Baouît (sources, patrimoine, productions, revenus et dépenses).<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La royauté sacrée chez les Mayas de l'époque classique (200-900 ap. J.-C.)Le Fort, Geneviève January 2000 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Genèse et développement de la représentation du monde "russe" en Occident (Xe - XVIe siècles)Mund, Stéphane January 2000 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Pachacamac (côte centrale du Pérou): aspects du fonctionnement, du développement et de l'influence du site durant l'intermédiaire récent (ca 900-1470)Eeckhout, Peter 24 March 1997 (has links)
<p align='justify'>Le fameux centre monumental de Pachacamac a fait l'objet d'investigations incessantes depuis la fin du siècle dernier, mais c'est surtout depuis les années '60 que l'intérêt des chercheurs s'est porté sur les pyramides à rampe. Les pyramides à rampe sont des édifices monumentaux construits en briques d'adobe et en tapia sur le même modèle architectonique général. On compte quatorze pyramides à rampes sur le site de Pachacamac, et d'autres dans la vallée du Lurin et les vallées voisines. La plupart des auteurs considèrent que ces constructions remontent à la période Intermédiaire récent (ca AD900-I470), le site portait alors le nom de la divinité principale de la Côte centrale, Ychsma, rebaptisé Pachacamac par les Incas à l'Horizon récent. Le consensus s'est fait autour du modèle explicatif de la "théorie des ambassades", que l'on peut résumer de la façon suivante :lors de la période Intermédiaire récent, une série de sanctuaires dédiés chacun à un membre de la parentèle mythique du dieu auraient été établis dans divers paliers écologiques. Ces sanctuaires auraient eu chacun leur correspondant, leur "ambassade", dans l'enceinte du centre cérémoniel. Le tribut récolté dans les "provinces" était ainsi concentré à Pachacamac-Ychsma, où il faisait l'objet d'échanges entre les différentes "ambassades".</p><p><p align='justify'>Celles-ci, du point de vue architectural, comprendraient un certain nombre d'éléments structurels communs permettant de les ranger sous un même patron désigné sous l'appellation de "pyramide à rampe". Ce modèle aux bases discutables a été largement commenté et étoffé. En réalité, la révision des données disponibles indique que les hypothèses relatives au fonctionnement, au développement et à l'influence du site nécessitent une réévaluation. Celle-ci a constitué l'objectif principal des recherches menées par l'auteur sur le terrain durant quatre campagnes successives comprenant des prospections, des ramassages de surface, des relevés planimétriques et des fouilles à Pachacamac et dans l'ensemble du bas-Lurin.</p><p><p align='justify'>Les résultats des fouilles indiquent qu'à l'Intermédiaire récent, ces structures étaient occupées par une élite restreinte, qui y donnait des banquets et présidait vraisemblablement à des cérémonies. L'ensemble des données convergent vers l'hypothèse selon laquelle les pyramides seraient avant tout des palais, occupées par des personnages de haut statut auxquels les structures servent de tombeau. Chaque pyramide correspondrait au palais d'un chef qui la construit, l'occupe de son vivant et y est enterré à sa mort. La pyramide en tant que siège du pouvoir serait alors abandonnée au profit d'une autre, construite par le successeur du chef défunt. Le modèle de succession dynastique fournit une explication plausible à la multiplication des pyramides à rampe dans le site de Pachacamac mais s'avère difficilement compatible avec la théorie des ambassades. Ainsi, la distribution des pyramides à rampe montre qu'un site spécifique entretenait des relations privilégiées avec Pachacamac dans le Lurin :Pampa de las Florès. Les autres sites comprenant des pyramides à rampe centrale dans le Lurin fonctionnaient par paires selon le même principe, mais à un niveau d'autorité inférieur. Certains sites d'élite sans pyramides à rampe faisaient également partie de la chefferie. Celle-ci englobait vraisemblablement le bas Lurin, une partie du moyen Lurin, le moyen Chilca (au sud du Lurin) et peut-être le bas Chilca.</p><p><p align='justify'>L'hypothèse selon laquelle les pyramides constitueraient autant de palais successifs de chefs locaux permet d'expliquer aussi bien, sinon mieux, le fonctionnement du site. En effet, si l'on accepte de considérer l'idée que les seigneurs ychsma résidant à Pachacamac exerçaient leur autorité sur l'ensemble de la chefferie et recevaient une part des surplus de production locaux, il n'est pas nécessaire de faire appel à d'hypothétiques foules de fidèles "étrangers" (?) pour justifier la construction des diverses pyramides du site et l'entretien de leurs occupants. Les ressources humaines locales suffisaient largement à construire et à entretenir une pyramide par génération (voire même plusieurs pyramides dans l'éventualité d'une autorité bi-partite ou quadri-partite). Il ressort également des recherches que le développement spatial de Pachacamac suit un processus complexe que l'on ne saurait réduire à une simple croissance centrifuge ou à une addition des complexes pyramidaux les uns aux autres au cours du temps. Il est vraisemblable que ce processus a été dicté à la fois par des critères physiques, sociaux et conjoncturels. En ce qui concerne l'influence du site, Pachacamac présente davantage de points communs avec certains établissements et cultures de la Côte centrale-sud et centrale-nord qu'avec sa propre vallée haute, pourtant plus proche dans l'espace. Il est possible de situer la limite supérieure de l'influence du site vers 1000-1200m. Sous l'impulsion des peupIades issues des hautes terres à la fin de l'Intermédiaire récent et à l'Horizon récent, cette limite a sans doute reculé jusqu'en vallée moyenne, vers 450-700m. D'autre part les éléments archéologiques semblent confirmer les données ethnohistoriques évoquant l'existence de la seigneurie de Ychsma dans la zone Rimac-Lurin et l'appartenance des diverses chefferies qui la composaient à une même culture, dont la spécificité reste à définir.</p><p><p align='justify'>Lors de la conquête inca de Pachacamac, le pouvoir local ychsma est relégué à un rôle subalterne. L'occupation inca se manifeste sous différentes modalités :les anciens palais, abandonnés depuis une période plus ou moins lointaine, sont utilisés comme campements et dépotoirs par les pèlerins. Les autorités incas ne réoccupent pas les pyramides à rampe mais construisent leurs propres structures administratives et résidentielles. La situation est différente dans le reste de la zone d'étude, où l'on observe que les structures locales d'autorité et de production continuent de fonctionner à l'Horizon récent, mais sous le contrôle plus ou moins direct de l'Empire. Tout cela sera radicalement bouleversé au XVIe s. lors de la colonisation du Pérou par les Espagnols.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Ostraca grecs inédits de Strasbourg: recherches sur la taxation dans l'Egypte romaineHeilporn, Paul 12 June 1996 (has links)
<p align="justify">62 ostraca grecs (documents écrits sur tessons de céramique), conservés depuis 1910 à la Bibliothèque Nationale et Universitaire de Strasbourg (France), sont ici édités pour la première fois. Il s'agit essentiellement de reçus d'impôts, qui proviennent de Thèbes (Haute-Egypte) et datent du Haut-Empire romain, en particulier du IIe s. apr. J.-C. La présentation met en évidence un phénomène bien connu en papyrologie, mais qui n'avait guère été exploité pour ce type de textes: les contribuables, en conservant ces documents pour un éventuel contrôle, se constituaient de modestes archives privées. Celles-ci ont parfois été retrouvées telles quelles, puis dispersées sur la marché des antiquités: il convient donc, autant que possible, de les reconstituer dans la publication, de sorte que 27 ostraca conservés dans d'autres collections (Royal Ontario Museum; Biblioteca Medicea Laurenziana; Sorbonne) mais apparentés aux nouveaux documents de Strasbourg, sont republiés ici.</p> <p><p><p align="justify">Les dossiers ainsi réunis permettent diverses recherches sur le système de taxation complexe mis en place à l'époque romaine (impôts capitaires, fonciers et autres) et sur l'organisation de la perception et ses variations dans le temps et, surtout, selon les sites. Ils éclairent également la topographie de Thèbes, du point de vue administratif, à cette époque. Une petite moitié des textes publiés ici, dont plusieurs sont bilingues, constituent les archives d'une famille de prêtres, dont un stoliste d'Apollon (Montou) et Asklèpios (Imhotep); ils apportent ainsi un témoignage important sur le milieu où se maintint le plus longtemps l'usage du démotique: à Thèbes comme ailleurs en Egypte, il apparaît qu'il s'agit du clergé.</p><p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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