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L'identité poétique de la nation. Walt Whitman, José Marti, Aimé Césaire / Poetry and the Birth of National Identity. Walt Whitman, José Marti, Aimé Césaire

Hennequet, Claire 29 September 2014 (has links)
Dans l’Amérique et les Caraïbes des XIXe et XXe siècles, l’œuvre du poète national est au cœur d’un trafic d’images qui nourrit un lien social fragile dans un temps où les collectivités reposent moins sur un lien direct entre leurs membres que sur un lien imaginé. Prenant ses distances vis-à-vis des représentations en circulation à son époque, comme les représentations exotiques de la nature, le poète offre une vision démocratique ambitieuse pour l’avenir de la communauté à travers des images nouvelles du territoire, du peuple, de l’esclavage et de l’histoire. L’ethos auctorial encourage l’appropriation de ce discours par le lecteur en désignant le poète comme figure de référence. Mais c’est surtout à travers son procédé d’écriture qui met à mal les normes littéraires de son temps que celui-ci est à même d’influer sur la société. Plutôt qu’ils ne parviennent à saisir l’esprit de leur peuple, Whitman, Martí et Césaire participent par leur travail sur le fragment, les formes populaires ou le tremblement du sens à la création d’un devenir collectif. / In 19th and 20th centuries America and West Indies, the national poet’s works lay at the centre of a traffic of images. This traffic feeds the fragile social ties of young collectivities, at a time when communities are bound by imagination rather than by direct contact between their members. Distancing themselves from the representations of the community circulating at that time, like the exotic images of the New World’s nature, the poet offers an ambitious democratic vision for the future which is channeled through images of the territory, the people, slavery and history. The poet’s ethos encourages the reader to appropriate this discourse by presenting the author as a role model. However, it is mainly thanks to his style, at odds with the literary norms of his time, that the poet is able to act upon society. Whitman, Martí and Césaire do not so much contrive to capture their people’s spirit, as they participate through their work on the fragment, on popular poetical forms or on the destabilizing of meaning, in the creation of a common devenir.
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Ache Lhamo: jeux et enjeux d'une tradition théâtrale tibétaine

Henrion-Dourcy, Isabelle 17 September 2004 (has links)
L'objet de cette thèse est une monographie du théâtre traditionnel tibétain, ou ache lhamo, souvent appelé lhamo tout court, tel qu'il était joué à l'époque pré-moderne (antérieure à 1950) et tel qu'il est encore joué actuellement en Région Autonome du Tibet (République Populaire de Chine) et dans la diaspora tibétaine établie en Inde et au Népal. Comme la plupart des théâtres d'Asie, il est un genre composite :à la fois drame à thématique religieuse (issue du bouddhisme mahāyāna), satire mimée, et farce paysanne, il comprend de la récitation sur un mode parlé, du chant, des percussions, de la danse et des bouffonneries improvisées, ainsi qu'un usage de masques et de costumes flamboyants, qui tranchent avec la sobriété absolue des décors (la scène est vide) et de la mise en scène. Bien qu’il ait été encouragé et financé par le gouvernement des Dalai Lama, de grands monastères et des familles aristocratiques, c’est un théâtre avant tout populaire, et non pas réservé à une élite lettrée. Cette étude a circonscrit à la fois le contenu, le rôle social, le langage artistique et les implications politiques du théâtre dans la civilisation tibétaine.<p><p><p>La méthodologie a été composée en combinant les apports et réflexions critiques de trois disciplines :l'ethnologie, la tibétologie et les études théâtrales. L'approche est fondamentalement ethnologique, en ce que la production des données repose sur une immersion de plus de deux ans parmi des acteurs de théâtre de la Région Autonome du Tibet (1996-1998) et de près d'un an parmi ceux de la diaspora d'Asie du Sud (1998-2000). Elle l’est aussi en ce que l’intention a été de constituer une intelligibilité englobante pour l'ache lhamo, c'est-à-dire de mettre au jour l'intrication des dimensions culturelle, sociale, politique, économique, rituelle et symbolique de la pratique théâtrale. L’une des contributions principales du travail est d’étoffer l’ethnologie régionale du Tibet central, mais ses conclusions et son esprit critique le placent également dans la liste déjà importante des travaux consacrés à l'invention des traditions. La tibétologie a fourni le cadre interprétatif fondamental des données recueillies. Une importance très grande a été accordée à l'histoire du pays ainsi qu'à la philologie et aux terminologies vernaculaires particulières au théâtre. L’étude s’inscrit dans l’un des courants novateurs de la tibétologie, privilégiant les aspects non plus religieux et politiques de cette civilisation, mais sa partie « populaire » et anthropologique, mettant au premier plan l’analyse des pratiques et non celle des doctrines. Des sources écrites (textes pré-modernes et sources secondaires de folkloristes tibétains et chinois) ont été intégrées aux observations. En ce qui concerne la troisième approche méthodologique, cette étude ne s'inscrit ni dans le courant des « performance studies » de Richard Schechner, ni dans l'anthropologie théâtrale d’Eugenio Barba, ni dans l'ethnoscénologie telle qu'elle est défendue par Jean-Marie Pradier, mais plutôt dans l'anthropologie du théâtre, au sens d'étude interprétative et multidimensionnelle, utilisant les référents établis de l'anthropologie et les savoirs indigènes pour décrire une expression culturelle déterminée et reconnue comme un genre à part entière, le théâtre.<p><p><p>Les résultats sont présentés en trois parties, qui peuvent être résumées de manière lapidaire par trois adjectifs :culturelle, sociologique, artistique. La première partie, intitulée "Le cadre culturel du lhamo avant 1959", est consacrée au contexte (historique, religieux et littéraire) dans lequel le théâtre est inscrit, ainsi qu’aux textes (leur contenu, leurs modalités de composition et de transmission) qui révèlent l'imaginaire propre du théâtre. La deuxième partie est une analyse de "L'ancrage sociologique du lhamo". Les conditions matérielles des représentations y sont examinées :les divers types de troupes, leur organisation interne, le statut social des acteurs, l'inscription de la pratique du théâtre dans le système socio-économique pré-moderne, et les rapports d'obligations tissés entre acteurs et seigneurs, ainsi qu'entre acteurs et commanditaires des représentations. La dernière partie, "Art et savoirs des acteurs", jette un éclairage sur la matière vive du lhamo. Elle rend compte des conceptions, valeurs, plaisirs et difficultés de ceux qui pratiquent cette forme d'art. Les divers registres de leur discipline sont analysés en détail :costumes, masques, gestuelle, chant, accompagnement musical (percussions) et sentiments exprimés. L'appréciation qui en est faite par le public est aussi consignée. Au cœur de cette partie se trouve une réflexion sur la nature rituelle et non rituelle du lhamo, et sur les liens éventuels de ce dernier avec d'autres activités religieuses, telles la possession. Les dernières pages de la thèse constituent un épilogue, qui fait le point sur la situation contemporaine, donc les implications politiques, du théâtre des deux côtés de l'Himalaya. <p><p><p>L'image anthropologique du lhamo qui a pu être dégagée de ces trois volets d'analyse le fait apparaître comme essentiellement ambivalent :le lhamo est un théâtre de paradoxes. À l'image de la civilisation tibétaine, il est composite et cohérent à la fois. Sa cohérence réside dans son ambivalence :il traverse et relie des aspects contrastés de la culture. Il introduit du jeu entre les polarités que Tibétains et tibétologues établissent parfois un peu trop à la hâte entre culture savante et culture populaire, écriture et oralité, éléments exogènes et apports autochtones, bouddhisme et cultes qui ont précédé son implantation, aspiration religieuse et intérêts mondains, spécialistes rituels et bénéficiaires qui les rémunèrent. Combinant fonction pédagogique et fonction rituelle, sacré compassé du texte et irrévérence grivoise des improvisations, le lhamo correspond aussi très bien à la manière dont les théâtrologues appréhendent le théâtre :comme un objet curieux, créé par les hommes et qui pourtant ne cesse de les intriguer, comme s'il était venu d'ailleurs. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Empowering voices: testimonial literature and social justice in contemporary American culture / Littérature de témoignage et justice sociale dans la culture contemporaine aux Etats-Unis

Louckx, Audrey 05 September 2014 (has links)
Within the last three decades, contemporary North America came to reinvent a socially focused genre of literary personal narratives. These new editorial and writing projects, published in the form of collections of personal narratives, emerged as a tool for the socially voiceless to secure some measure of agency in their contemporary social and cultural situation. Projects such as the Freedom Writers’ Diary or volumes of the Voice of Witness book series fit in the process that is currently labeled social empowerment. Witnesses express a deep urge to share their story in the hope to denounce their experience of an enduring social injustice. The written word, primary a means for self-disclosure, serves to exorcise the suffering associated to this specific predicament. The narrators engage in a powerful self-investigative gesture oriented towards resilience and renewed enfranchisement in regaining control over their life and environment. At the moment of publication, however, these testimonies come to be validated as authentic examples of the injustices they disclose. These examples serve an educational purpose: raising the audience’s awareness and opening deliberative fora for these issues to be discussed and for solutions to be hammered out and eventually implemented. <p>The purpose of this dissertation is to propose a theoretical model for the subgenre of testimonials of social empowerment. With the concept of empowerment as groundwork, the model develops a textual approach framed in a psychosocial structure. I argue that testimonials may be described as examples of Jürgen Habermas’s communicative action. As speech acts aimed at reaching understanding, testimonials capitalize both on the binding and bonding aspects of illocutionary force in the hope to secure with their audience an ongoing dialogue over issues of social justice. The volumes, as unofficial public spheres, mobilize the normative and practical dynamics at work in social movements. These dynamics express as two narrative guiding threads: an aesthetic based on impact, and an ethics based on responsibility. The texts’ aesthetic develops a form of perlocutionary realism instantiating a sense of authenticity and sincerity embodied in the narrators’ voices. The resulting impact is coupled to moral concerns based on a polysemic understanding of social responsibility, on which narrators seek to build their narratives’ ethical potential. A series of case studies allowed to demonstrate that both narrative threads are realized as an appropriation of four paradigmatic forms of rhetorical ethos, each based on a specific realm of the social world: intimacy, justice, spirituality and activism.<p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les écrivains de La Relève et la pensée romanesque : critique et pratique du roman chez Robert Charbonneau, Robert Élie, Jean Le Moyne et Hector de Saint-Denys Garneau

Giguère, Andrée-Anne 23 April 2018 (has links)
Cette thèse porte sur quatre écrivains ayant contribué de manière considérable au réseau à l’origine des revues La Relève et La Nouvelle Relève (1934-1948), soit Robert Charbonneau, Robert Élie, Hector de Saint-Denys Garneau et Jean Le Moyne. Fondé sur la poétique et l’usage des genres littéraires et des modes du discours, ce travail cherche à comprendre quelle pensée romanesque se dégage des essais de ces écrivains et comment cette pensée se répercute dans leurs textes romanesques. Le corpus analysé est constitué de tous les numéros de La Relève et La Nouvelle Relève et des principaux écrits publics ou inédits (disponibles à ce jour) des quatre écrivains susmentionnés, et ce, dans l’optique de ne pas restreindre la pensée de ces écrivains à l’idéologie qui se dégage de leur revue. La première partie de la thèse porte sur l’influence de trois romanciers phares à La Relève : Bernanos, Dostoïevski et Proust. C’est notamment à la lecture de ces romanciers que Charbonneau, Élie, Le Moyne et Garneau construisent leur discours idéaliste sur le roman, sur sa pratique, mais aussi sur son usage. La deuxième partie de la thèse départage les lectures romanesques françaises et anglo-saxonnes à La Relève, éclairant du même coup les positions souvent divergentes des membres du groupe à l’égard du roman, mais également à l’égard des référents culturels étrangers. La troisième partie analyse la transformation du discours sur le roman lorsqu’il se rapporte au roman canadien-français. Moins admiratif, plus pragmatique, ce discours vise à accompagner la naissance d’une littérature moderne au Canada français. La quatrième partie de la thèse se consacre aux romans de La Relève. Elle permet de confronter l’art du roman de ces écrivains à leur pratique concrète tout en tenant compte de leurs différences : si Robert Charbonneau et Robert Élie ont publié des romans, Saint-Denys Garneau n’a laissé que des esquisses, tandis que Jean Le Moyne utilise le mode romanesque dans sa pratique d’autres genres littéraires. Le rapprochement entre leur pensée romanesque et leur pratique individuelle permet d’éclairer autrement la faillite du roman de ce groupe, qui est pourtant l’un des premiers dans l’histoire littéraire au Québec à avoir utilisé le genre romanesque dans la constitution de sa vision du monde.
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Re/membering: articulating cultural identity in Philippine fiction in English / Re/membering: l'articulation de l'identité culturelle en littérature philippine anglophone

Martin, Jocelyn S. 09 March 2010 (has links)
This dissertation examines how Philippine (or Filipino) authors emphasise the need for articulating or “re/membering” cultural identity. The researcher mainly draws from the theory of Caribbean critic, Stuart Hall, who views cultural identity as an articulation which allows “the fragmented, decentred human agent” to be considered as one who is both “subject-ed” by power but/and one who is capable of acting against those powers (Grossberg 1996 [1986]: 157, emphasis mine). Applied to the Philippine context, this writer argues that, instead of viewing an apparent fragmented Filipino identity as a hindrance to “defining” cultural identity, she views the “damaged” (Fallows 1987) Filipino history as a the material itself which allows articulation of identity. Instead of reducing the cultural identity of a people to what-they-could-have-been-had-history-not-intervened, she puts forward a vision of identity which attempts to transfigure these “damages” through the efforts of coming-to-terms with history. While this point of view has already been shared by other critics (such as Feria 1991 or Dalisay 1998:145), the author’s contribution lies in presenting re/membering to describe a specific type of articulation which neither permits one to deny wounds of the past nor stagnate in them. Moreover, re/membering allows one to understand continuous re-articulations of “new” identities (due to current migration), while putting an “arbitrary closure” (Hall) to simplistic re-articulations which may only further the “lines of tendential forces” (such as black or brown skin bias) or hegemonic practices.<p><p>Written as such (with a slash),“re/membering” encapsulates the following three-fold meaning: (1) a “re-membering”, to indicate “a putting together of the dismembered past to make sense of the trauma of the present” (Bhabha 1994:63); as (2) a “re-membering” or a re-integration into a group and; as (3) “remembering” which implies possessing “memory or … set [ting] off in search of a memory” (Ricoeur 2004:4). As a morphological unit, “re/membering” designates, the ways in which Filipino authors try to articulate cultural identity through the routes of colonisation, migration and dictatorship. <p><p>The authors studied in this thesis include: Carlos Bulosan, Bienvenido Santos, N.V.M. Gonzalez, Nick Joaquin, Frank Sionil José, Ninotchka Rosca, Jessica Hagedorn, and Merlinda Bobis. Sixty-years separate Bulosan’s America is in the Heart (1943) from Hagedorn’s Dream Jungle (2003). Analysis of these works reveals how articulation is both difficult and hopeful. On the one hand, authors criticize the lack of efforts and seriousness towards articulation of cultural identity as re/membering (coming to terms with the past, fostering belonging and cultivating memory). Not only is re/membering challenged by double-consciousness (Du Bois 1994), dismemberment and forgetting, moreover, its necessity is likewise hard to recognize because of pain, trauma, phenomena of splitting, escapist attitudes and preferences for a “comfortable captivity”. <p><p>On the other hand, re/membering can also be described as hopeful by the way authors themselves make use of literature to articulate identity through research, dialogue, time, reconciliation and re-creation. Although painstaking and difficult, re/membering is important and necessary because what is at stake is an articulated Philippine cultural identity. However, who would be prepared to make the effort?<p>------<p><p>Cette thèse démontre que, pour les auteurs philippins, l’articulation ou « re/membering » l'identité culturelle, est nécessaire. Le chercheur s'appuie principalement sur la théorie de Stuart Hall, qui perçoit l'identité culturelle comme une articulation qui permet de considérer l’homme assujetti capable aussi d'agir contre des pouvoirs (cf. Grossberg 1996 [1986]: 157). Appliquée au contexte philippin, cet auteur soutient que, au lieu de la visualisation d'une identité fragmentée apparente comme un obstacle à une « définition » de l'identité culturelle, elle regarde l’histoire philippine «abîmée» (Fallows 1987) comme le matériel même qui permet l'articulation d’identité. Au lieu de réduire l'identité culturelle d'un peuple à ce qu’ ils auraint pû être avant les interventions de l’histoire, elle met en avant une vision de l'identité qui cherche à transfigurer ces "dommages" par un travail d’acceptation avec l'histoire. <p><p>Bien que ce point de vue a déjà été partagé par d'autres critiques (tels que Feria 1991 ou Dalisay 1998:145), la contribution de l'auteur réside dans la présentation de « re/membering » pour décrire un type d'articulation sans refouler les plaies du passé, mais sans stagner en elles non plus. De plus, « re/membering » permet de comprendre de futures articulations de « nouvelles » identités culturelles (en raison de la migration en cours), tout en mettant une «fermeture arbitraire» (Hall) aux ré-articulations simplistes qui ne font que promouvoir des “lines of tendential forces” (Hall) (tels que des préjugés sur la couleur brune ou noire de peau) ou des pratiques hégémoniques.<p><p>Rédigé en tant que telle (avec /), « re/membering » comporte une triple signification: (1) une «re-membering », pour indiquer une mise ensemble d’un passé fragmenté pour donner un sens au traumatisme du présent (cf. Bhabha, 1994:63); (2) une «re-membering» ou une ré-intégration dans un groupe et finalement, comme (3)"remembering", qui suppose la possession de mémoire ou une recherche d'une mémoire »(Ricoeur 2004:4). Comme unité morphologique, « re/membering » désigne la manière dont les auteurs philippins tentent d'articuler l'identité culturelle à travers les routes de la colonisation, les migrations et la dictature. <p><p>Les auteurs inclus dans cette thèse sont: Carlos Bulosan, Bienvenido Santos, NVM Gonzalez, Nick Joaquin, Frank Sionil José, Ninotchka Rosca, Jessica Hagedorn, et Merlinda Bobis. Soixante ans séparent America is in the Heart (1943) du Bulosan et le Dream Jungle (2003) du Hagedorn. L'analyse de ces œuvres révèle la façon dont l'articulation est à la fois difficile et pleine d'espoir. D'une part, les auteurs critiquent le manque d'efforts envers l'articulation en tant que « re/membering » (confrontation avec le passé, reconnaissance de l'appartenance et cultivation de la mémoire). Non seulement est « re/membering » heurté par le double conscience (Du Bois 1994), le démembrement et l'oubli, en outre, sa nécessité est également difficile à reconnaître en raison de la douleur, les traumatismes, les phénomènes de scission, les attitudes et les préférences d'évasion pour une captivité "confortable" .<p><p>En même temps, « re/membering » peut également être décrit comme plein d'espoir par la façon dont les auteurs eux-mêmes utilisent la littérature pour articuler l'identité à travers la recherche, le dialogue, la durée, la réconciliation et la re-création. Bien que laborieux et difficile, « re/membering » est important et nécessaire car ce qui est en jeu, c'est une identité culturelle articulée des Philippines. Mais qui serait prêt à l'effort? <p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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