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Together we stand : group cognitions as strategies to deflect the negative impact of discrimination / Nous faisons face ensemble : les cognitions de groupe en tant que stratégies pour réduire l'impact négatif de la discrimination

Seron, Eléonore 26 June 2006 (has links)
Dans cette thèse, nous nous penchons sur les effets que peut avoir la discrimination sociale sur le bien-être des personnes qui en sont victimes, et en particulier, sur les stratégies psychologiques que ces dernières mettent en œuvre pour s'en protéger. Parmi les cognitions qui susceptibles de faire office de « tampon », certaines sont liées directement à l'appartenance groupale et donc potentiellement spécifiques à l'expérience de discrimination. Dans une première partie théorique, nous nous attardons sur une définition précise des concepts qui nous intéressent et décrivons en détail la littérature pertinente à notre sujet. Le premier chapitre traite de la notion de discrimination en elle-même, et de ses différences avec des concepts voisins, tels la stigmatisation, le bas statut et la privation relative. L'objectif de cette première section est de préciser notre objet d'étude. Dans un second chapitre, nous abordons la multitude de données existant sur les liens entre discrimination et bien-être, ainsi que les modèles correspondants, notamment ceux de rejet-identification (Schmitt & Branscombe, 2002), de « discounting » (Crocker & Major, 1989) et du stress (Lazarus & Folkman, 1984). Cette section nous permet de conclure que l'impact de la discrimination sur le bien-être est loin d'être simple et direct, et met en lumière la résilience des individus qui sont victimes de traitements injustes dus à leur appartenance groupale. Parmi les facteurs de protection à la disposition des personnes discriminées, un certain nombre dépendent directement de ce groupe vilipendé. Nous nous y intéressons dans le troisième et dernier chapitre de l'introduction théorique, en passant en revue les éléments qui permettent de penser que l'identification, l'entitativité, la perception de support social et/ou de discrimination groupale et le soutien à l'action collective puissent être des cognitions protectrices du bien-être. La partie empirique de la thèse vise à investiguer plus avant ces effets protecteurs. En nous intéressant à des groupes discriminés réels (immigrés africains, femmes, infirmiers) ou manipulés (étudiants de l'UCL), nous tentons de cerner plus précisément les relations entre discrimination, cognitions groupales et bien-être. Au travers d'études de laboratoire (chapitres 1 et 2), de terrain (chapitres 3 et 4) et longitudinales (chapitre 5), nous mettons en évidence l'existence d'effets qui semblent spécifiques à certains des groupes étudiés. Notamment, la discrimination groupale a un effet protecteur sur le bien-être dans deux grandes catégories sociales (femmes et immigrés africains), ce qui ne semble pas être le cas dans un groupe professionnel (infirmiers/ères). D'autre part, l'identification au groupe se révèle un concept multidimensionnel dont les différentes facettes ont des effets parfois opposés. Notre conclusion invite le lecteur à la circonspection quant à l'applicabilité de modèles universels à la problématique de la discrimination. Ainsi, si les cognitions groupales peuvent être protectrices du bien-être, c'est sous certaines conditions, dans certains groupes, et non pas comme une panacée valable pour tous. Nous insistons également sur l'importance de distinguer discrimination groupale et personnelle, ainsi que différentes facettes du concept d'identification. Enfin, les études de terrain et les expériences de laboratoire semblent constituer des investigations complémentaires à mener idéalement de concert. / This thesis deals with the cognitive strategies that discriminated individuals use to shield themselves from the aversive effects of social discrimination. More especially, we are interested in group-linked cognitions which are specific to the experience of discrimination, namely identification, perception of group discrimination, entitativity, social support (or solidarity) and the belief in collective action. In the theoretical part, we spend some time defining our concepts. We first distinguish personal discrimination from other related concepts, like relative deprivation, status in social identity theory or stigmatization. We then review the broad literature on the relationship between perceived personal discrimination and well-being. To conclude this first part, we underline the evidence that links group cognitions (identification, group discrimination, entitativity…), perceived personal discrimination and well-being. This first part is only available in French. In the empirical part (in English), we present five studies that gather evidence for the protective properties of group cognitions, with different social categories, among them women, African immigrants and junior nurses, in laboratory (chapters 1 and 2) or natural settings (chapters 3, 4 & 5). We also contrast cross-sectional (chapter 4) and longitudinal data (chapter 5) in order to investigate causality concerns. We conclude our work by stressing the importance of considering group cognitions in relationship to specific groups, and not as a panacea that would be applicable and protective for every single discriminated individual in the same way. We further emphasize the necessity of treating group and personal discrimination as two distinct phenomena, as well as the importance of considering identification as a multi-facetted construct.
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Musulman-e-s : socio-sémantique historique des usages du terme musulman et enjeux contemporains de l’ethnicisation, racisation et confessionnalisation / Muslim-s : historical semantics of the uses of the word muslim and contemporary issues of ethnicization, racialization et confessionalization

Willems, Marie-Claire 09 December 2016 (has links)
Ne se définissant pas uniquement par rapport à l’islam, le terme musulman est aujourd’hui largement polysémique en France. Cette recherche interroge donc l’usage du terme musulman et les modes d’identification sociale en tant que musulman-e-s. En première partie, elle propose une interprétation de l’évolution socio-sémantique historique du terme. Puis, en deuxième et troisième partie, elle analyse les enjeux de l’auto-catégorisation de Soi à partir d’un terrain (entretiens, questionnaires, observations). S’agit-il de se considérer d’origine musulmane et/ou de culture musulmane et/ou de religion musulmane ? Sous-tendus par la tension entre des processus d’ethnicisation, de racisation et de confessionnalisation, deux nouveaux espaces de signification sont ici développés : un nouvel usage politique questionnant la place des classes sociales, du racisme et de l’islamophobie (musulmanité) ; puis, un nouvel usage exclusivement religieux séparant la culture du religieux (muslimité). Ce dernier usage influe sur l’émergence d’une éthique islamique contemporaine et de la recherche d’un « pur religieux ». D’une manière transversale, cette thèse pose la question de ce que veut dire « est musulman-e-s » aujourd’hui en France avec la particularité de considérer à la fois l’histoire et la construction des discours sur Soi. / The word muslim, which not only refers to Islam, is nowaday polysemous to a great extent. This research analyses the uses of the word muslim and the way in which it is used to identify as muslim-s. Firstly, it focuses on the changes of the historical semantics of the term. Then it seeks to identify, from a fieldwork perspective (interviews, observations, questionnaires), what is a stake in the self-categorisation process. Is muslim an ethnicity, a religious or a cultural category ? The ethnicization, racialization and confessionalization religious processes bring about two knew signification new spaces : a new political use which raises questions on class, race and islamophobia (muslimness) and a new confessional use who cleave culture and cult (muslimity). This last use leads to the formation of a contemporary Islamic ethics and to the search of a ”pure religious”. This transversal study asks what being muslim-s means in France today, considering history as well as self-categorisation discourses.
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A la recherche d'une identité sociale post-apartheid : l'Afrique du Sud du milieu, espace social stratégique de la Transformation / Looking for a post-apartheid social identity : the “middle” South Africa as a strategic social space of Transformation.

Escusa, Elodie 04 September 2015 (has links)
Le contexte social et politique post-apartheid est marqué par la reconfiguration des inégalités selon des lignes plus sociales que raciales, et non par leur réduction. En conséquence, l’écart entre les ambitions et les réalisations du projet de Transformation est le cadre actuel d’énonciation de discours publics sur la « Black Middle Class », vue comme un symbole de la métamorphose attendue et promise par l’ANC depuis le début des années 1990. La thèse met en perspective ces discours pour aborder la question suivante : Quels sont les ressorts et enjeux des identifications au « milieu » de l’espace social dans le contexte de la Transformation post-apartheid ? L’objet d’étude est construit théoriquement comme un « milieu réel » (différent de la « middle class »), et empiriquement, autour de « ceux du milieu » (« amaphakathi » en isizulu) dans l’entité géographique et sociale du « Black Johannesburg ». L’analyse est conduite à partir de données primaires (entretiens et séjours longs en observation participante) et secondaires récoltées entre octobre 2010 et octobre 2014. La 1ère partie explore les identifications exogènes (conditions économiques et politiques, catégorisations raciales et sociales passées et contemporaines), puis, la 2ème partie analyse les expressions du positionnement social subjectif de « ceux du milieu » et leurs « mises en pratiques ». Ces pratiques sociales se trouvent « consacrées » – tout en consacrant le « milieu » comme groupe social – par des politiques publiques (comme celle du « gap housing ») qui ciblent une catégorie du « milieu ». / The post-apartheid social and political context is marked by a reconfiguration of inequalities according to social rather than racial lines, and not by their decline. Consequently, the gap between the ambitions and the achievements of the Transformation project is the current frame of enunciation of public discourses on the “Black Middle Class”, seen as a symbol of the long-awaited metamorphosis that was promised by the ANC in the beginning of the 1990’s. The thesis puts these discourses into perspective to tackle the following broader question: What are the components and stakes of identifications in the “middle” of the social space in the context of post-apartheid Transformation? The object of study is theoretically constructed as an “actual middle” (distinct from the “middle class”) and empirically crafted as “those in the middle” (“amaphakathi” in isizulu) in “Black Johannesburg”. The analysis is based on secondary and primary sources (interviews and long-stay observations) gathered between October 2010 and October 2014. The first part explores the exogenous identifications (economic and political conditions, racial and social categorisations past and contemporary). The second part look at the ways “the ones in the middle” position themselves and puts their identity “in practices”. These social practices happen to be “consecrated” – whilst consecrating the “middle” as a social group – by public policies (such as “gap housing”) which target a “middle” category.
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Quelle est l’influence de l’identification à l’équipe dans les équipes interdisciplinaires? : étude des types d’identification, des processus d’équipe et de la performance

Tremblay, Isabelle 12 1900 (has links)
La diversité dans les équipes pose plusieurs enjeux, notamment en ce qui concerne la performance d’équipe. Les études jusqu’à présent ont rapporté un lien parfois positif, parfois négatif ou inexistant entre la présence de diversité et la performance de l’équipe. Puisque les équipes interdisciplinaires sont de plus en plus sollicitées par les organisations pour faciliter la résolution de problèmes de plus en plus complexes, il semble important de bien comprendre comment la diversité affecte la performance d’équipe. L’une des avenues encore peu explorée s’attarde à la perception de la diversité plutôt qu’à la diversité objective, par l’entremise de l’étude de l’identification à l’équipe. En effet, une identification à l’équipe forte permettrait d’atténuer la perception de diversité et aurait un impact positif sur la performance. Cependant, très peu d’études se sont intéressées à ce phénomène et aucune, à notre connaissance, n’a évalué l’impact de l’identification à l’équipe sur les processus d’équipe ou n’a évalué l’impact de différents types d’identification simultanément sur la performance d’équipe. Faute d’écrits sur la question, la compréhension du phénomène d’identification dans les équipes s’avère partielle. Par ailleurs, la définition et la mesure de l’identification à l’équipe sont affligées de plusieurs problèmes psychométriques, ce qui engendre beaucoup de confusion dans les écrits scientifiques portant sur l’identification à l’équipe. Devant ce constat, la présente thèse vise à approfondir la compréhension du phénomène d’identification à l’équipe sur la performance d’équipes interdisciplinaires et d’en clarifier la conceptualisation et la mesure. Dans cette optique, trois études, regroupées en deux articles, ont été menées auprès de deux échantillons indépendants. Ancré dans les écrits scientifiques portant sur l’identification à l’organisation (p.ex. Ashforth, & Mael, 1989; Christ, van Dick, Wagner & Stellmatcher, 2003; Edward, 2005; Tajfel, 1978), le premier article a pour visées de proposer une conceptualisation claire et intégrée de l’identification dans un contexte organisationnel, puis de développer et valider une mesure de l’identification à l’équipe. Deux études ont été réalisées pour évaluer les propriétés psychométriques de cette mesure. Des analyses factorielles exploratoires et confirmatoires, de même que des analyses de fidélité et de validité confirment les propriétés psychométriques préliminaires de l’échelle. Les implications pour la pratique et la recherche sont abordées en détail. La diversité est considérée comme l’un des obstacles à la performance d’équipe au sein d’équipes interdisciplinaires. C’est pourquoi le second article évalue ce phénomène en considérant l’impact de différents types d’identification (c.-à-d. l’identification à l’équipe et l’identification à la profession) sur la performance d’équipe. À la lumière du modèle d’Ilgen et collaborateurs (2005), les types d’identification et leur influence respective sur la performance d’équipe par l’entremise de processus d’équipe (c.-à-d. les conflits et la collaboration) ont été évalués. Cette étude est la première à considérer les interactions entre les types d’identification sur la performance d’équipe au sein d’équipes interdisciplinaires. Deux cent soixante-huit employés canadiens du système de la santé ont répondu à différents questionnaires autorapportés. Des analyses de processus conditionnels de médiations modérées (Hayes, 2013) démontrent que l’identification à l’équipe influence la performance d’équipe par l’entremise du processus de collaboration, alors que l’identification à la profession et les conflits n’auraient pas d’impact. Cette étude met en lumière l’impact de deux types d’identification en évaluant leurs impacts simultanément, en plus de suivre les recommandations de Mathieu et collaborateurs (2008) et d’évaluer simultanément l’impact de plus d’un type de processus d’équipe (c.-à-d. processus de transition, d’action et interpersonnel). Les implications pratiques qui découlent de cette étude incluent la formation d’équipe, (Salas et al., 2008), les activités de consolidation d’équipe (Klein et al. 2009) pour améliorer la collaboration, en plus de la rehausser l’attractivité de l’appartenance à l’équipe (Dutton et al., 1994) et de favoriser un style de leadership transformationnel (Hirst, et al., 2009) pour engendrer une plus grande identification à l’équipe. Une discussion générale précise la portée des résultats présentés dans le cadre des deux articles. / Diversity poses many challenges within teams, especially in regard to team performance. So far, some studies have shown a positive, negative and ever non-significant link between diversity and team performance. Since organizations are relying more often on interdisciplinary teams to help them solve the increasingly complex problems they face, it appears important to understand how diversity affects team performance. One fresh way to look at the problem is by looking at perceived diversity instead of objective diversity through the lenses of team identification. Indeed, strong team identification would attenuate perceived of diversity and would positively impact team performance. However, very few studies have investigated this phenomenon and, to our knowledge, none have looked at the impact of team identification influence on team processes nor looked at the impact of different types of identification on team performance. Due to a gap in the literature, the influence of identification within teams is not well understood. Moreover, the definition and measure of team identification has, so far, been plagued with numerous psychometric problems. This generates even more confusion surrounding the literature on team identification. Therefore, this thesis aims to investigate the impact of team identification on team performance within interdisciplinary teams and to clarify its definition and measurement. In order to do so, three studies were conducted using two independent samples and are presented in two articles. Taking root in organizational identification literature (e.g. Ashforth, & Mael, 1989; Christ, van Dick, Wagner & Stellmatcher, 2003; Edward, 2005; Tajfel, 1978), the first article proposes a clearer and integrated definition of identification in an organisational context. Following the clear conceptualization of team identification, a new scale was developed and validated. Two studies were conducted to assess its psychometric proprieties. Confirmatory and exploratory factor analysis, plus reliability and validity analysis provide support for the scale’s reliability and validity. Practice and research implication are discussed in greater depth. Diversity is often considered an obstacle to team performance in interdisciplinary teams. Therefore, the second article addresses this issue by looking at the impact of types of identification (e.g. team and profession identification) on team performance. Drawing on Ilgen and collaborators’ (2005) model, the influence of these types of identification on team performance through their influence on team processes (e.g. conflict and collaboration) was evaluated. This study is the first to consider the interaction of different types of identification on team performance within interdisciplinary teams. Two hundred and sixty-eight Canadian healthcare employees answered five self-assessed questionnaires. Conditional process analyses (Hayes, 2013) show that team identification impacts team performance through its influence on collaboration, while neither identification to one’s profession nor conflicts impacts this relation. This study highlights the impact of different types of identification by considering their simultaneous effect. Moreover, in line with Mathieu et al.’s (2008) suggestion, different types of team processes were simultaneously evaluated (e.g. transition, action and interpersonal process). Practical implications that arise from this research includes team training (Salas et al., 2008), or team building activities (Klein et al. 2009) to improve collaboration, and heightened attractiveness of team membership (Dutton et al., 1994) or favoring transformational leadership (Hirst, et al., 2009) to foster greater team identification. A general discussion addresses the implications of the results presented in these two articles.

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