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La construcción política de los mercados : variedades de neoliberalismo en el Chile post-dictadura (1990-2010) / La construction politique des marchés : variétés du néolibéralisme dans le Chili post-dictature (1990-2010) / The political construction of markets : varieties of neoliberalism in post-dictatorial Chile (1990-2010)

Maillet, Antoine 13 December 2013 (has links)
Les marchés fonctionnent-ils indépendamment du pouvoir politique ? Cette étude comparée des politiques publiques dans six marchés créés durant les années 1980 au Chili analyse le rôle fondamental qu’ont les politiques publiques dans la construction des marchés. Pour rendre compte de la diversité de ces opérations, j’élabore un cadre conceptuel original, en définissant quatre « variétés du néolibéralisme ». A partir d’une étude de l’histoire de ce concept et de ses usages contemporains, je distingue les néolibéralismes orthodoxes, régulés, émulateurs et mixtes. Chaque néolibéralisme correspond à des réponses différentes de l’Etat face aux défaillances du marché. Dans le néolibéralisme orthodoxe, les organismes publics restreignent leur intervention. Dans le néolibéralisme régulé, les organismes publics interviennent pour promouvoir la concurrence et établir des obligations quant au produit lui-même. Dans le néolibéralisme émulateur, un organisme public organise la concurrence non pas dans le marché, mais pour le marché. Enfin, dans le néolibéralisme mixte, une ou des entreprises publiques entrent en concurrence avec les acteurs privés. Chaque variété fait l’objet de politiques publiques spécifiques, en particulier en termes d’instruments mobilisés. J’applique ce cadre théorique des variétés du néolibéralisme pour classer et analyser six politiques sectorielles : l’assurance-maladie, les retraites, les universités, la production d’électricité, la téléphonie et les transports publics à Santiago. Les six trajectoires sectorielles établies mettent en évidence l’existence d’un sentier néolibéral chilien. / Do markets operate independently of political power? This comparative study of policies in six markets created during the 1980s in Chile analyzes the fundamental part that public policies play in the construction of markets. To account for the diversity of these operations, I develop an original conceptual framework, defining four "varieties of neoliberalism." Building on a study of the history of this concept and its contemporary use, I distinguish orthodox, regulated, emulator and mixed neoliberalisms. Each neoliberalism is based on a different form of State answer to address market failures. In orthodox neoliberalism, public agencies restrict their intervention. In regulated neoliberalism, public agencies get involved in promoting competition and establish requirements on the product itself. In emulating neoliberalism, public agencies organize competition not in the market, but for the market. Finally, in mixed neoliberalism, one or more public companies compete with private players. Each variety is characterized by specific public policies, especially in terms of instruments. I apply this theoretical framework of varieties of neoliberalism to classify and analyze six sectoral policies: health insurance, pensions, universities, electricity production, telephone industry and public transport in Santiago. The six sectoral trajectories established highlight the existence of a Chilean neoliberal path.
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Idées fausses, actions erronées : le contexte international comme empêcheur du développement / Mistaken Ideas, Misguided Actions : How the International Context Hinders the Generation of Development

Garay Vargas, Javier Leonardo 26 November 2014 (has links)
L'hypothèse est que le contexte international a une influence négative sur la génération de ces politiques. En raison de l'interaction, les pays ont adopté des idées fausses - et donc - des politiques erronées de développement. En fin de compte, cette approche peut être exprimée en que le contexte international a conduit aux pays moins avancés à ne pas adopter des politiques de libéralisation, d'une part, ou qu'il n´y a pas des incitations suffisantes pour que les institutions formelles et informelles dans ces pays soient favorables à l'adoption de telles politiques, d'autre part.Cette recherche part de la conception selon laquelle c'est l'existence de politiques, institutions et sociétés de nature libérale (c'est-à-dire des sociétés qui sont ouvertes dans le sens proposé par, entre autres, Karl Popper) qui mieux résolvent le problème de la création de richesses. En ce sens, le contexte international n'a pas atteint l'objectif du développement international car il ne favorise pas la génération des sociétés ouvertes.Pour prouver l'hypothèse, la recherche est basée sur les contributions apportées par deux corps théoriques. D'une part, de la scène internationale, on utilise le constructivisme d´Alexander Wendt, Martha Finnemore, Gerard Ruggie, entre autres. D´autre part, pour comprendre l'impact du contexte international au niveau interne, la contribution de la nouvelle économie institutionnelle, entre autres, Douglass North et Elinor Ostrom sont utilisés.De ce qui précède, ce travail est composé de trois parties. La première examine le cadre théorique proposé. Dans le premier chapitre, on fait un examen des concepts clés autour desquels tournera la démonstration. Avec ces concepts, on propose un modèle pour expliquer l'impact soulevé par l'hypothèse et les phénomènes qui sont stimulés afin d'éviter la production de changements aux échecs répétés. Le deuxième chapitre porte sur la démonstration des postulats de la pensée libérale comme essentielle dans les actions conduisant à la création de richesses.Après du débat théorique, la deuxième partie porte sur la démonstration du modèle proposé pour la scène internationale. Cela se fait en trois chapitres. Dans le premier, on fait un parcours historique à travers des programmes promus du régime de développement international pour démontrer deux aspects.Dans le deuxième chapitre, on décrit les principaux acteurs sur la scène internationale et montre, à partir de la relation entre identité - intérêts, les actions et les contributions à la promotion des idées fausses reflétées dans les programmes développés. Le troisième chapitre examine la construction que le régime international de libéralisme intégré a stimulée et les phénomènes qui entravent la promotion de changements dans les idées et dans les programmes proposés, en raison de l'existence d'un phénomène de dépendance du chemin.La troisième partie porte sur l'étude des pays non développés. Dans le premier chapitre on fait une caractérisation générale de ceux-ci, à partir de la proposition faite par Douglass North, John Joseph Wallis et Weingast R. Barry dans son livre la Violence et des ordres sociaux (2010). Le deuxième chapitre montre comment les pays moins développés ont agi sur le régime international du libéralisme intégré. Le troisième chapitre, d'une manière analogue à la partie précédente, montre comment fonctionne le phénomène de dépendance du chemin pour ces pays.En conclusion, le modèle proposé est utilisé pour conjecturer les effets que peut avoir la crise économique qui, depuis 2008, est passée à travers le monde. Il est considéré qu'il y a suffisamment de preuves pour dire que cette crise sera une nouvelle fenêtre d'opportunité manquée et qui permettra d'approfondir la croyance et la promotion des idées fausses, illibérales, qu'entravent les progrès dans la promotion du développement dans les pays qui ont toujours échoué à résoudre les problèmes de création de richesse. / The hypothesis is that the international context has negatively influenced the generation of such policies. Because of the interactions, the countries have adopted wrong ideas - and therefore - misguided development policies. Ultimately, this approach can be expressed in that the international context has led to less developed countries not adopt policies of liberalization, on the one hand, or that there are not sufficient incentives for that the formal and informal institutions in these countries are favorable to the adoption of such policies, on the other.The research departs from the conception according to which it is the existence of policies, institutions, and societies of a liberal nature (i.e. of societies that are open in the sense proposed by, among others, Karl Popper) which best solve the problem of wealth creation. In this sense, the international context has not achieved the objective of international development since it does not promote the generation of open societies.To prove the hypothesis, the research is based on the contributions made by two theoretical bodies. On the one hand, from the international arena, it is used the constructivism of Alexander Wendt, Martha Finnemore, Gerard Ruggie, among others. On the other hand, to understand the impact of the international context at a domestic level, the contribution of the New Institutional Economics, among others, Douglass North, and Elinor Ostrom are used.From the above, the work is composed of three parts. The first examines the proposed theoretical framework. In the first chapter, a review of the key concepts around which the demonstration will turn is made. With these concepts, I propose a model to explain the impact raised by the hypothesis and the phenomena that are stimulated to avoid the generation of changes to the repeated failures. The second chapter examines the demonstration of the postulates of liberal thought as essential in actions leading to the creation of wealth.After the theoretical discussion, the second part focuses on demonstrating the model proposed for the international arena. This is done in three chapters. In the first, I make a historical review of the programs promoted within the international development regime.In the second chapter, I describe the main actors in the international arena and show, starting from the relationship between identity - interests, their actions and contributions in the promotion of the wrong ideas reflected in the programs promoted. The third chapter examines the construction that the international regime of embedded liberalism has stimulated and the phenomena that impede promoting changes both in the ideas and in the proposed programs, due to the existence of a phenomenon of path dependence.The third part deals with the study of the non-developed countries. In the first chapter I depict a general characterization of these, starting from the proposal made by Douglass North, John Joseph Wallis and Weingast R. Barry in his book Violence and Social Orders (2010). The second chapter shows how the less developed countries have acted on the international regime of embedded liberalism. One of the findings is that these have been passive actors, as they are usually understood, but that they have also been source and bearers of misconceptions. The third chapter, in a manner similar to the previous part, shows how operates the phenomenon of path dependence in these countries.In the conclusion, the proposed model is used to hypothesize the effects that can have the economic crisis which, since 2008, has gone throughout the world. It is considered that there is sufficient evidence to say that this crisis will be a new lost window of opportunity and that it will deepen the belief and promotion of wrong, illiberal ideas that they will impede progress in the promotion of development in the countries that still have failed to solve the problems of wealth creation.
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The politicization and depoliticization of ethnicity : a constructivist approach to power-sharing

Raffoul, Alexandre 01 1900 (has links)
Depuis les années 1990, le partage du pouvoir est l’option favorisée pour la consolidation de la paix dans les sociétés multi-ethniques. Or, une importante littérature a remis en cause sa capacité à consolider la paix sur le long terme. Ce mémoire questionne l’approche de l’ethnicité, des institutions et des relations peuple-élites dans la théorie du partage du pouvoir. Il propose de la réapprocher en se basant sur la théorie constructiviste de l’ethnicité, qui reconnaît la multiplicité et la relative fluidité des identités ethniques, sur une approche néo-institutionnaliste, qui étudie les interactions des institutions avec leur environnement, et en accordant une attention particulière au lien entre peuple et élites. Ce mémoire développe trois arguments principaux. 1–La politisation du clivage ethnique nuit au bon fonctionnement d’un système démocratique, menace la durabilité de la paix et transforme la nature de la violence. Le « succès » du partage du pouvoir peut donc être défini comme la dépolitisation de ce clivage. 2–La politisation du clivage ethnique n’est pas naturelle, mais résulte d’un processus dans lequel les institutions formelles et informelles ainsi que la violence jouent des rôles clés. 3–La dépolitisation du clivage ethnique est possible si des garanties pour représentation politique et la sécurité des catégories ethniques sont mises en place, et si des incitatifs pour la mobilisation d’identités non-ethniques sont apportés. Ces principes peuvent guider l’élaboration d’accords de partage du pouvoir. Ce mémoire théorique est complémenté par une étude de plausibilité qui se focalise sur le cas crucial du Burundi. / Since the 1990s, power-sharing has become the favoured option for peacebuilding in multi-ethnic societies. An important literature has however shed light on the limits of this approach and put into question its capacity to establish sustainable peace. This thesis questions three elements of powersharing theory: its approach of ethnicity, institutions and its elite-bias. It proposes to approach power-sharing theory through the lenses of a constructivist theory of ethnicity, which acknowledges the multiplicity and limited fluidity of ethnic identities; a neo-institutionalist approach of institutions, which pays attention to the interaction of institutions with their environment; and in paying attention to citizen-elite linkages. Three main arguments are developed: 1-The politicization of the ethnic cleavage is problematic since it hinders the good functioning of a democratic system, threaten the sustainability of peace, and transform the nature of violence. “Success” of power-sharing is thus defined as the depoliticization of ethnicity. 2-The politicization of ethnicity is not natural but results from a process in which formal and informal institutions as well as violence pay a key-role. 3-The depoliticization of the ethnic cleavage is, at least theoretically, possible if sufficient guarantees for the political representation and the security of the groups are established, and incentives are provided for the mobilization of non-ethnic identities. These principles may guide the design of power-sharing systems. This “theory proposing” thesis is complemented by a plausibility probe which focuses on the crucial case of Burundi.
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S'opposer à l'Europe: quels rôles pour les eurosceptiques au Parlement européen? /cNathalie brack / Opposing Europe: what roles for Eurosceptics in the European Parliament?

Brack, Nathalie 11 January 2013 (has links)
Alors qu’une riche littérature se concentre sur l’euroscepticisme au sein des arènes politiques nationales, les oppositions à l’Europe au niveau supranational restent largement négligées. Afin de contribuer à combler cette lacune, cette recherche s’interroge sur la façon dont les députés eurosceptiques conçoivent et exercent leur mandat représentatif au sein du PE. Fondée sur l’approche motivationnelle des rôles, il s’agit, d’une part, d’appréhender les rôles joués par les eurosceptiques au sein de l’assemblée et, d’autre part, d’expliquer l’hétérogénéité des rôles endossés par ces élus. Mobilisant une pluralité de données, cette recherche repose sur une méthodologie mixte, combinant méthodes qualitative et quantitative ainsi qu’approches inductive et déductive. L’analyse s’articule autour de deux séquences. La première propose une typologie d’idéaux-types de rôles permettant de rendre compte des pratiques et conceptions du mandat développées par les parlementaires eurosceptiques. La seconde explique la variation des rôles au sein de cette typologie et teste l’hypothèse selon laquelle le rôle dépend d’une combinaison de facteurs institutionnels et individuels. L’étude démontre que les eurosceptiques peuvent endosser quatre rôles, correspondant à une stratégie de défection ou de prise de parole, et que le rôle qu’ils jouent dépend à la fois des règles régissant le fonctionnement du PE et de leurs préférences relatives à l’intégration et à l’architecture institutionnelle de l’UE. Ce faisant, la recherche constitue une réflexion sur deux enjeux très distincts. Premièrement, alors que l’on assiste, dans de nombreux pays européens, à l’émergence de revendications d’acteurs contestant les structures institutionnelles en place, cette thèse permet de contribuer à l’étude, encore restreinte, de l’opposition antisystème au sein d’institutions parlementaires, le PE servant ici de laboratoire privilégié pour l’étude des stratégies de ces acteurs antisystème. Deuxièmement, à l’instar des travaux de sociologie de l’intégration européenne, cette recherche repose sur le postulat qu’analyser de façon microscopique un groupe restreint d’acteurs permet de s’interroger, de façon différente, sur le déficit démocratique et de légitimité du régime européen, en déplaçant la focale du niveau institutionnel au niveau individuel. Il s’agit alors d’appréhender les défis de légitimation de l’UE en se concentrant sur les acteurs hostiles à la construction européenne. Une analyse de leurs pratiques concrètes au sein de l’assemblée représentative permet de dégager des pistes de réflexion quant à leur capacité de légitimation du régime politique. <p><p>While an abundant literature focuses on Euroscepticism in the national political arenas, oppositions to Europe at the supranational level remain largely under-studied. In order to contribute to fill this gap, this research examines how Eurosceptic Members of the European Parliament (MEPs) conceive and carry out their representative mandate in the European Parliament (EP). Inspired by the motivational approach of role theory, the study aims first at understanding the roles played by Eurosceptics within the assembly and second at explaining the heterogeneity of the roles played by these actors. Using a plurality of data, this research is based on mix-methods, combining qualitative and quantitative methodologies as well as inductive and deductive approaches. The analysis proceeds in two steps. The first proposes a typology of ideal-types of roles that allows understanding the ways Eurosceptics conceive and carry out their parliamentary mandate. The second explains the variation between the roles and tests the hypothesis that the role played by an actor depend on the combination of institutional and individual factors. The study demonstrates that Eurosceptics may assume four roles, corresponding to an exit or voice strategy, and that the role they play depends both on the EP’s rules and MEP’s preferences concerning European integration and the EU’s institutional design. The research contributes to on-going debates on two very different issues. First, while we witness in many European countries, the emergence of anti-system actors, this thesis can contribute to the study of the anti-systemic opposition within parliamentary institutions, the EP being here a special laboratory for the study of the strategies of anti-system actors. Second, like recent studies focusing on the sociology of European integration, this research is based on the premise that analysing a small group of actors allows to question in a different way, the democratic and legitimacy deficit of the EU, moving the focal from the institutional to the individual level. The aim is then to understand the challenges of legitimacy of the EU by focusing on actors hostile to the European project. An analysis of their actual practices in the EP allows us to reflect on their ability to legitimize the political system.<p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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