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Multinational operations in Somalia, Haiti and Bosnia : a comparative studyOrsini, Dominique. January 1997 (has links)
The number of United Nations interventions in civil conflicts has increased since the end of the Cold War. Traditional peace-keeping has proved ill-suited to deal with them; second-generation, multi-task peace-keeping operations have emerged as a substitute. These new operations have strained UN resources and the willingness of nations to provide troops is not as forthcoming as it used to be. Therefore, the UN has shared in recent years the burden of conflict resolution with regional organisations and ad hoc coalitions. This thesis studies multinational interventions in three conflicts (Somalia, Haiti and Bosnia) and asks what lessons can be drawn with regard to co-operation between the different actors involved on the ground. Moreover, it discusses the problems involved in the transfer of an operation between the UN and non-UN actors.
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Radicalizing "The responsibility to protect:" the problem of A(N) (unmediated moralization of politics in a post-9/11 world /Lu, Karen Dakmee, January 1900 (has links)
Thesis (M.A.) - Carleton University, 2005. / Includes bibliographical references (p. 187-204). Also available in electronic format on the Internet.
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Die Verantwortlichkeit Deutschlands für seine Streitkräfte im Auslandseinsatz und die sich daraus ergebenden Schadensersatzansprüche von Einzelpersonen als Opfer deutscher Militärhandlungen /Woedtke, Niclas von. January 2010 (has links)
Thesis (doctoral)--Universität, Frankfurt, 2009. / Includes bibliographical references and register.
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United Nations mediation in Africa: a case study of the Bakassi conflict intervention, 2002-2006Kenmoe Nougue, Plamielle January 2011 (has links)
Just as conflict is part of everyday life, mediation can and is practiced everyday and everywhere. It is a way of reaching decisions in a cooperative, non-hierarchical way, allowing for clear and open communication processes. Conflicts can be resolved in a formal manner through courts, arbitration, ombudspeople, diplomacy and mediation, or an informal manner through friends, colleagues, religious and community leaders, and dialogue. The way in which people resolve their disputes has an impact on how societies and institutions are governed. The war in Bakassi has taken its toll on the people of that area for several years now and has witnessed people from Bakassi facing some of the worst effects of armed conflict known to man. This study investigated the use of international mediation in the management of intractable conflict with a specific case study on the Bakassi peninsula conflict between Cameroon and Nigeria. It focused on the mediation process as a conflict management technique in relation to the international relations theories which has been used as a basis for conflict resolution practices. The researcher conducted a document review, content analysis on selected documents and this was supported by strategic interviews. The findings as well as the researcher‘s recommendations are discussed in the study in order to assist the future work of conflict management specialists and other stakeholders who have devoted their efforts to the recovery of areas emerging from conflict.
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Le principe ex injuria jus non oritur en droit international contemporainLagerwall, Anne 12 December 2008 (has links)
La thèse de doctorat est consacrée au principe ex injuria jus non oritur qui signifie littéralement que le droit ne naît pas du fait illicite. Alors qu’il est incidemment évoqué par la doctrine ou la jurisprudence comme un principe général du droit international public, il n’a jamais fait l’objet d’une étude systématique destinée à en vérifier l’existence, à en mesurer la portée, à en interroger les limites et à en expliciter les soubassements théoriques. C’est cette lacune que la thèse entend combler, dans une perspective relevant de la théorie du droit international. <p><p>Dans une première partie, il s’agit de se demander si ce principe a été reconnu en droit international public, et dans l’affirmative d’en déterminer la portée juridique. La maxime ex injuria jus non oritur ne pouvant être réduite à une règle juridique particulière, la question qui se pose est plutôt de savoir si on peut la qualifier de principe du droit international public qui, sans constituer une source formelle de l’ordre juridique, permet d’expliquer la logique sous-jacente à certaines règles du droit international. Les expressions de ce principe visent d’abord des situations dans lesquelles on remet en cause la validité d’un acte juridique issu de la violation du droit international (invalidité du titre de souveraineté relatif à un territoire acquis ou occupé illégalement, invalidité de l’acte juridique adopté par une autorité illégale, nullité d’un traité dont la conclusion a été obtenue par une contrainte illicite, inadmissibilité comme preuve d’une déclaration obtenue sous la torture, invalidité d’une saisie ou d’une arrestation illégale, invalidité d’un ordre illégal émis par un supérieur hiérarchique). Dans une perspective parallèle, on retrouve le principe dans la règle selon laquelle la violation du droit international ne remet pas en cause sa validité, règle valable dans le domaine du droit des traités, de la coutume ou de la responsabilité internationale. A côté de cette dimension « objective » (dans la mesure où elle recouvre un problème de validité), une dimension plus « subjective » apparaît dans les relations entre sujets du droit international. Ainsi, l’auteur d’une violation du droit international ne peut s’en prévaloir pour revendiquer des droits, et doit plutôt en effacer les conséquences. De même, les Etats tiers ne peuvent reconnaître comme licite une situation résultant de la violation grave d’une norme impérative de droit international, ni ne peuvent prêter aide ou assistance au maintien de cette situation. A l’issue de la première partie de la thèse, on peut établir un constat nuancé :le principe ex injuria jus non oritur constitue un principe général, qui peut être induit de diverses règles de droit international positif, règles qu’il permet d’interpréter en en explicitant l’objet et le but. En même temps, cette existence ne peut être comprise que moyennant une définition stricte et limitée de ce principe, lequel ne prescrit pas, comme on aurait pu s’y attendre, qu’aucun droit ne puisse jamais résulter d’une violation du droit. En premier lieu, et au travers des différents exemples qui viennent d’être mentionnés, on peut remarquer que seules des violations graves —et non des irrégularités mineures— sont de nature à empêcher la création de droits (ainsi, par exemple, dans le domaine de la récolte de preuve). En second lieu, on remarque que seuls les droits qui découleraient directement (dans le sens où ils en consacreraient juridiquement les effets) d’une violation grave du droit ne peuvent être valablement reconnus (ainsi, par exemple, des actes quotidiens d’administration posés par un occupant illégal peuvent être reconnus, ces actes n’étant pas intrinsèquement liés à ce statut d’occupant illégal). Ce n’est que dans cette double mesure que l’on peut affirmer que, en droit international positif, il existe un principe général exprimé par la maxime ex injuria jus non oritur.<p><p>Dans la seconde partie de la thèse, le principe est confronté, d’une part (volet empirique) à des précédents dans lesquels il semble avoir été mis à mal (certaines situations semblant avoir résulté de violations graves du principe impératif de l’interdiction du recours à la force) et, d’autre part (volet théorique), à des théories du droit international susceptibles d’en expliquer à la fois le fonctionnement et les limites. Le volet empirique s’appuie sur une étude de cas :la reconnaissance du Bangladesh à la suite d’une intervention militaire de l’Inde au Pakistan, la reconnaissance des gouvernements installés au Cambodge à la suite de l’intervention militaire du Vietnam, la validité des accords conclus par la Yougoslavie à la suite de l’intervention militaire de l’OTAN, la reconnaissance du Kosovo en 2008, et l’administration de l’Irak après l’intervention militaire de 2003. Si le principe ex injuria jus non oritur est sans doute malmené dans les faits, il ne l’est pas dans le discours officiel des Etats, lesquels n’assument pas une remise en cause d’un principe dont ils reconnaissent par ailleurs (comme montré dans la première partie de la thèse) la validité. On peut se demander si cette tension entre un discours légaliste et une réalité parfois caractérisée par la force des effectivités, est susceptible d’être comprise au regard de certaines doctrines qui traitent des relations entre le fait et le droit. Ce volet spécifiquement théorique de la recherche consiste à examiner deux approches, par hypothèses opposées. La première pourrait suggérer une consécration du principe par le biais de la théorie normativiste élaborée par Hans Kelsen. Selon cette théorie, le droit (international) se définirait comme un ensemble cohérent de normes, chaque norme juridique tirant sa validité d’une autre norme juridique valide, ce qui semble exclure qu’une norme puisse s’appuyer sur une violation du droit. A l’analyse, le normativisme paraît néanmoins réfractaire à une reconnaissance du principe ex injuria jus non oritur, la validité du droit ne pouvant être détachée de toute considération fondée sur l’effectivité, et celle-ci pouvant même le cas échéant aboutir à la consécration d’une situation résultant d’une violation du droit. A l’opposé, on pourrait s’attendre à ce que l’approche critique, définie par référence aux travaux de l’ « école de Reims » qui se sont développés autour de Charles Chaumont, rejette ex injuria jus non oritur comme une maxime formaliste et fictive, la force du fait, et plus spécifiquement du rapport de forces, prévalant dans la réalité sociale comme facteur générateur de la création et de l’interprétation de la règle de droit. Ici encore, on détecte une certaine ambiguïté chez les auteurs analysés, lesquels ont recours en certaines occasions au droit comme à un instrument de lutte qui s’opposerait à la force et à la puissance. Finalement, la confrontation des approches normativiste et critique laisse apparaître un fil conducteur :le principe ex injuria jus non oritur n’est que le révélateur des difficultés, non seulement en pratique (comme l’a montré le volet empirique) mais aussi en théorie, de concilier les exigences idéalistes du respect du droit avec les impératifs réalistes de prendre en compte la force du fait.<p><p>En conclusion, le principe ex injuria jus non oritur se caractérise surtout par cette tension entre le droit et le fait, qui permet également d’expliquer les ambiguïtés observées dans la première partie, le principe n’étant admis en droit positif que moyennant une définition restrictive ouvrant à une certaine souplesse. Cette tension renvoie d’ailleurs à la question de l’existence même du droit international, lequel peut être présenté comme une forme sophistiquée de discours, et non comme un corps de règles régissant effectivement la réalité sociale. Dans cette perspective, il est intéressant de constater que, au-delà des stratégies discursives des Etats qui tentent de justifier certains faits accomplis sans remettre en cause le principe de légalité, il est certains précédents (comme celui du Bangladesh) où ces Etats restent tout simplement silencieux par rapport à cette question. Ainsi, l’analyse du principe ex injuria jus non oritur à l’épreuve de la pratique internationale tendrait peut-être, non pas à reconnaître la portée du principe en toute hypothèse, mais à montrer qu’au-delà d’un certain seuil de tension, le droit disparaît dans la mesure où le discours qui s’y rapporte disparaît. En définitive, la tension entre la légalité (l’existence formelle d’un ordre juridique international) et l’effectivité (laquelle ne témoigne pas toujours de l’existence de cet ordre juridique) est aussi celle qui habite le spécialiste de droit de droit international, parfois confronté aux limites de son activité et de sa discipline.<p> / Doctorat en droit / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Multinational operations in Somalia, Haiti and Bosnia : a comparative studyOrsini, Dominique. January 1997 (has links)
No description available.
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Applying military force for political ends : South Africa in South-Western Africa, 1987-1988Velthuizen, Andreas Gerhardus 11 1900 (has links)
The aim of the research was to consider the relationship of political ends and the use of military force and,
using empirical data gathered from South Africa's experience from 1987 to 1988, to consider whether
there might be any implications for existing theory. The question that was formulated for research was:
What relationship could be distinguished between the South African government's use of military force
in Angola and the government's political ends?
The conclusion was reached that the relationship of the application of military force by the South African
government to the attainment of political ends was one of inhibition. The concept of 'inhibitive war',
refers to the severe .restraint on the use of military force, resulting from the influences of environmental
conditions on political ends, so that the political ends themselves become a restriction on the achievement
of military aims. / Political Sciences / M.A. (Strategic Studies)
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Military Intervention in Africa after the Cold WarRamuhala, Mashudu Godfrey 03 1900 (has links)
Thesis (MMil (Military Strategy))--University of Stellenbosch, 2010. / ENGLISH ABSTRACT: Military intervention remains controversial when it happens, as well as when it fails to. Since
the end of the Cold War, military intervention has attracted much scholarly interest, and it was
demonstrated that several instances of the use of force or the threat to use force without
Security Council endorsement were acceptable and necessary. Matters of national sovereignty
are the fundamental principle on which the international order was founded since the Treaty of
Westphalia. Territorial integrity of states and non-interference in their domestic affairs, remain
the foundation of international law, codified by the United Nations Charter, and one of the
international community’s decisive factors in choosing between action and non-intervention.
Nonetheless, since the end of the Cold War matters of sovereignty and non-interference have
been challenged by the emergent human rights discourse amidst genocide and war crimes.
The aim of this study is to explain the extent to which military intervention in Africa has
evolved since the end of the Cold War, in terms of theory, practice and how it unfolded upon
the African continent. This will be achieved, by focusing on both successful and unsuccessful
cases of military intervention in Africa. The unsuccessful cases being Somalia in 1992,
Rwanda in 1994, and Darfur in 2003; and the successful cases being Sierra Leone in 2000 and
the Comoros in 2008. The objective of this study is fourfold: firstly it seeks to examine the
theoretical developments underpinning military intervention after the end of the Cold War;
secondly, to describe the evolution of military intervention from a unilateral realist to a more
multilateral idealist profile; thirdly, to demarcate the involvement in military intervention in
Africa by states as well as organisations such as the AU and the UN and finally, discerning the
contributions and the dilemmas presented by interventions in African conflicts and how Africa
can emerge and benefit from military interventions.
The intervention in Somalia produced a litmus test for post-Cold War interventions and the
departure point for their ensuing evolution. Rwanda ensued after Somalia, illustrating the
disinclination to intervene that featured during this episode. Darfur marked the keenness of the
AU to intervene in contrast with the ensuing debates at the Security Council over naming the
crime whether or not “genocide” was unfolding in Darfur. Positively though, the intervention
by Britain in Sierra Leone and the AU intervention in the Comoros are clear illustrations of
how those intervening, were articulate in what they intend to do and their subsequent success. / AFRIKAANSE OPSOMMING: Militêre intervensie, of die afwesigheid daarvan wanneer nodig, bly ‘n twispunt binne
internasionale verhoudinge. Namate die impak van die Koue Oorlog begin vervaag het, het
militêre intervensie besonder prominent in die literatuur begin figureer en is soms so dringend
geag dat dit soms sonder die goedkeuring van die Veiligheidsraad van die Verenigde Nasies
(VN) kon plaasvind. Aspekte van nasionale soewereiniteit bly nietemin ‘n grondbeginsel van
die internasionale orde soos dit sedert die Verdrag van Wesfale beslag gevind het. Territoriale
integriteit van state en die beginsel van geen-inmenging in die binnelandse aangeleenthede van
‘n staat nie bly ook ‘n grondslag van die Internasionale Reg soos deur die VN erken word en dit
rig steeds standpunte van die internasionale gemeenskap vir of teen intervensie. Sedert die
einde van die Koue Oorlog het soewereiniteit en beginsel van geen-intervensie egter
toenemende druk ervaar met groeiende klem op menseregte midde in ‘n opkomende diskoers
oor volksmoord en oorlogsmisdade.
Die klem van hierdie studie val op militêre intervensie en veral hoe dit na die Koue Oorlog
ontvou het in terme van teorie en praktyk, in die besonder op die Afrikakontinent. Die
bespreking wentel om suksesvolle en onsuksesvolle gevalle van militêre intervensie in Afrika.
Die onsuksesvolle gevalle wat bespreek word is Somalië (1992), Rwanda (1994), en Darfur
(2003). Die meer suksesvolle gevalle wat bespreek word is Sierra Leone (2000) en die Komoro
Eilande in (2008). Die studie omvat vier aspekte van bespreking: eerstens, die teoretiese
ontwikkelinge wat militêre intervensie na die Koue Oorlog onderlê, tweedens, die ewolusie van
militêre intervensie vanaf ‘n eensydige realisme tot ‘n meer multilaterale idealistiese
verskynsel, derdens, die betrokkenheid in militêre intervensie in Afrika deur state en
organisasies soos die VN en Afrika-Unie (AU) en laastens, die bydraes en dilemmas van
intervensies in Afrika.
Die betrokkenheid in Somalië was ‘n kritieke toets vir intervensies na die Koue Oorlog en het
baie stukrag verleen aan die daaropvolgende debat. Rwanda het die huiwerigheid ontbloot om
in te gryp waar dit werklik nodig was. Darfur vertoon weer die gewilligheid van die AU om in
te gryp in weerwil van lang debatte in die VN oor volksmoord en die gebeure in Darfur. Aan
die positiewe kant figureer die Britse optredes in Sierra Leone en optredes deur ‘n AU-mag in
die Komoro Eilande as gevalle wat toon hoe die vasberadenheid van partye om in te gryp en
bedreigings in die kiem te smoor, suksesvolle militêre intervensies kan bevorder.
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South Africa’s intervention in Angola: Before Cuito Cuanavale and thereafterLabuschagne, Bernice 12 1900 (has links)
Thesis (MA (Political Science. International Studies))--University of Stellenbosch, 2009. / ENGLISH ABSTRACT: Since South Africa’s military intervention in the Angolan conflict twenty years ago, many
scholars have written various conflicting accounts on the subject. Why did South Africa
become involved in the first place, what made the SADF withdraw, and why did the country
decide to become involved once again in a conflict that seemingly did not concern them?
What happened at Cuito Cuanavale? These are the questions this study aims to address by
drawing on the work of several influential authors. But why the differing narratives? Internal
factors such as South Africa’s regional policies during apartheid as well as external factors
such as pressure on the Nationalist government from the international arena, all played
significant roles in the decision to become more deeply involved in Angola.
South African regional policies during apartheid have been regarded in very different ways by
various authors which this study will explore. SA’s policies during apartheid were
characterised by anti-communism and influenced mainly by the thought that if SA supported
a Western ideal, SA would be able to regain some international credit from Western powers.
In addition, pressure from international actors increased on SA to protect the southern African
region from communist domination. As a result, SA’s second intervention in Angola became
prolonged as the clashes between the SADF/UNITA and Angolan/Cuban/Soviet forces grew
in intensity. The battle/siege of Cuito Cuanavale is still considered to be the watershed
moment that ended the Angolan conflict. The outcome of this battle, however, is still a very
controversial subject to this day as some authors claim Cuba won, while others claim the
SADF won. At the time there was no surrender.
However, establishing exactly who the winner was is very difficult as every party to the
conflict has its own ideas about what really happened. The military outcome and political
consequences may have influenced this debate. For that reason it is imperative to remember
all important influence that various schools of thoughts have on different observers and
therefore accounts of the conflict as many of them were written in a time when Cold War and
liberation sentiments thrived. Twenty years later is a good time for better informed hindsight.
iv / AFRIKAANSE OPSOMMING: Sedert Suid-Afrika se militêre betrokkenheid in Angola twintig jaar gelede, het verskeie
kontrasterende verhale van dié konflik die lig gesien. Hoekom het SA in die eerste plek
betrokke geraak, waarom het die SAW die eerste keer onttrek en hoekom het die land besluit
om weer ’n keer betrokke te raak by ’n konflik wat op die oog af niks met hulle te doen gehad
het nie? Wat het by Cuito Cuanavale gebeur? Dit is die vrae wat hierdie studie sal probeer
antwoord deur gebruik te maak van verskeie invloedryke outeurs. Maar hoekom die
uiteenlopende stories? Interne faktore soos SA se streeksbeleide tesame met eksterne faktore
soos internasionale druk op die NP regering, het almal deurslaggewende rolle gespeel in die
besluit om dieper betrokke te raak in Angola.
Suid-Afrikaanse streeksbeleide gedurende apartheid word anders geïnterpreteer deur
verskillende outeurs afhangende uit watter oogpunt hulle skryf, hetsy liberaal of realisties.
Streeksbeleide gedurende apartheid was gekenmerk deur anti-kommunistiese sentimente en is
hoofsaaklik beïnvloed deur die denke dat indien SA hierdie Westerse ideaal ondersteun het,
die land dalk ’n mate van sy reeds kwynende internasionale aansien sou herwin. Hoe dit ook
al sy, die druk op SA om Suider Afrika te beskerm teen die kommunistiese aanslag, het
geleidelik vergroot vanuit die internasionale arena. Dit is dan ook die rede waarom SA se
tweede inval in Angola ‘n meesleurende en uitgerekte saga geword het aangesien botsings
tussen die SAW/UNITA alliansie en die Angolese/Kubaanse/Russiese alliansies meer intens
en op ’n meer gereelde basis voorgekom het. Die laaste offensief by Cuito Cuanavale word
dus steeds gesien as die oomblik wat die einde van die Angolese oorlog ingelui het. Die
uitkoms van hierdie geveg/beleg word egter steeds in kontroversie gehul aangesien daar
steeds nie konsensus bereik kan word oor wie die eintlike wenners was nie. Sekere outeurs
voer aan dat die Kubane sonder twyfel gewen het, terwyl ander beweer dat die SAW gewen
het. Op daardie punt was daar egter geen militêre oorgawe nie.
Juis om daardie rede is dit baie moeilik om vas te stel wie die eintlike wenner was, aangesien
elke betrokke party sy eie idees gevorm het oor wat eintlik gebeur het. Dit is waarom dit
belangrik is om te let op die invloed wat verskeie outeurs kan hê op dié onderwerp aangesien
baie daarvan geskryf is gedurende ’n tyd toe die Koue Oorlog en bevrydingsoorloë aan die
orde van die dag was. Twintig jare later is dalk ’n goeie tyd vir ’n terugblik.
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The regional response to the crisis in ColombiaKaiser, Daniel R. 06 1900 (has links)
Approved for public release, distribution is unlimited / This thesis focuses on the regional response to the crisis in Colombia. The major conclusions of the thesis are that the crisis directly affects the security of Colombia's neighbors; that the use of military force will be the most important element in a strategy to restore security and that the Colombian military will require external military assistance to do so; that while Colombia's neighbors have traditionally rejected ideas of intervention, there are indications that they may be willing to participate in such an endeavor; and that while less politically risky courses of action are more likely to occur, a regional military force operating in a peacemaking role will be the most effective course of action towards restoring security in Colombia and the region. These conclusions are reached through an examination of the conflict's effect on Colombia and its neighbors, the capabilities of the Colombian security forces, the history of regional cooperative efforts, and recent political rhetoric and policy decisions region-wide. / Major, United States Marine Corps
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