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Émigration et politisation : les Français de New York et La Nouvelle-Orléans dans la première moitié du XIXe siècle (1803-1860) / Emigration and politicization : French migrants in New York and New Orleans during the first half of the 19th century (1803-1860)

Polfliet, Marieke 08 June 2013 (has links)
Cette thèse constitue une étude comparée du processus de politisation au sein des groupes de Français ayant émigré aux États-Unis au cours de la première moitié du XIXe siècle, dans deux grands ports atlantiques américains, New York et La Nouvelle-Orléans.Dans une perspective d’histoire atlantique, elle aborde la question de la politisation sous l’angle du phénomène de nationalisation. Celle-ci se traduit dans le rapport des migrants à leur pays d’origine, dans le contexte des bouleversements politiques allant du Premier au Second Empire, et à leur pays d’accueil, marqué par la construction de la jeune république, la période jacksonienne, et le déclenchement de la guerre de Sécession. La thèse démontre que l’essor de structures de sociabilité urbaine parmi les Français est influencé par les circulations atlantiques de pratiques politiques et associatives, telles que la franc-maçonnerie. L’approche événementielle souligne la façon dont les grands événements locaux, nationaux ou internationaux sur les deux rives de l’Atlantique, suscitent diverses formes de participation politique, parfois conflictuelles, parmi les migrants. Trois moments marquent ce processus : une période de brassages issus des « révolutions atlantiques », dont les répercussions humaines et politiques touchent les Français de New York et La Nouvelle-Orléans dans les premières décennies du XIXe siècle ; un moment de coexistence des appartenances nationales allant de pair avec de nouvelles formes d’encadrement partisan et de pratiques politiques dans l’Amérique jacksonienne et sous la monarchie de Juillet ; et une dernière phase conflictuelle et révolutionnaire marquée par les répercussions atlantiques de 1848, les migrations de masse et les mouvements ouvriers de l’ère de l’industrialisation. La prégnance du cadre américain suscite alors des évolutions divergentes à New York et La Nouvelle-Orléans du fait de la division Nord-Sud sur l’esclavage, la guerre de Sécession rebattant les cartes des allégeances nationales et politiques des migrants français. / This dissertation is a comparative study of the politicization process among French migrants who settled in two major Atlantic port-cities, New York and New Orleans, during the first half of the 19th century.In an Atlantic perspective, the politicization process is analyzed as the development of national consciousness, which is visible in the relationship between migrants and their home country – from the First to the Second Napoleonic Empire – and their place of settlement, in the context of the Early republic, the Jacksonian and the Antebellum eras. Atlantic circulations influenced the rise of sociability structures among Frenchmen in these cities, such as masonic lodges. Migrants also experienced multiple forms of participation to major local, national or international events on both sides of the Atlantic, sometimes in a conflicting way.Three periods thus emerge. First, the mixing and gathering of French migrants in both cities were related to the Atlantic revolutions and their 19th-century political impact. Secondly, the expansion of political parties and practices, under the July Monarchy and Jacksonian democracy, led to the reinforcement of national consciousness, without excluding multiple affiliations. Finally, the Atlantic dimension of the 1848 revolutions generated new political tensions. Mass migrations and working-class movements shaped emerging conflicts in the industrial era. In that same period, momentous American issues provoked diverging evolutions between New York and New Orleans. French migrants in both cities were divided on the North-South debate on slavery, as their national and political allegiances were questioned by the Civil War.
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Le « trois sur quatre » dans la musique écrite en circulation à la Nouvelle-Orléans d’avant le jazz enregistré, 1835-1917 / “Three-over-four” pattern in written music circulating in New Orleans before jazz was recorded, 1835-1917

Zagala, Mathilde 13 December 2016 (has links)
Ce travail porte sur le motif polyrythmique de «trois sur quatre» dans la musique écrite en circulation à la Nouvelle-Orléans d’avant le jazz enregistré, de 1835 à 1917. S’inscrivant à l’intersection de l’histoire et de l’analyse du rythme, il propose une analyse comparée à partir de trois méthodologies d’analyse (celle des polyrythmies percussives d’Afrique centrale conçue par Simha Arom,celle des dissonances métriques développée par Harald Krebset celle des polyrythmies dans le jazz mise au point par Laurent Cugny) adaptées et appliquées à des corpus archivistiques dépouillés notamment à la Hogan Jazz Archive (à la Nouvelle-Orléans), rendant compte de la vie musicale dans les salons de la bourgeoisie néo-orléanaise du XIXe siècle, puis de l’émergence du ragtime et du premier jazz. Si tout au long de la période étudiée, les exemples de trois sur quatre sont constitués de la superposition d’une figure rythmique contramétrique sur une figure rythmique commétrique, à partir du ragtime et du premier jazz, un modèle de trois sur quatre se distinguant clairement, quantitativement et qualitativement, de son utilisation au XIXe siècle s’établit: le «paradigme du secondary rag». Un exemple issu de The Banjo (1855) du compositeur néo-orléanais Louis Moreau Gottschalk annonce toutefois ce modèle, offrant ainsi de nouvelles perspectives sur l’histoire du ragtime et du premier jazz et l’histoire du rythme dans ces musiques, témoignant de leurs liens notamment avec d’une part, les musiques traditionnelles africaines et leur habitus contramétrique, d’autre part, la musique savante européenne de tradition tonale et son habitus commétrique, mais aussi avec la musique populaire de banjo de la mi-XIXe siècle, qui avait peut-être déjà alors fait la synthèse de ces éléments. / This study deals with the “three-over-four” polyrhythmic pattern in written music circulating in New Orleans before jazz was recorded, from 1835 to 1917. Through an interdisciplinary approach using history and analysis of rhythm, it proposes a comparative analysis from three methods –analysis of Central African percussive polyrhythm created by Simha Arom, analysis ofmetrical dissonance as developed by Harald Krebs, and analysis of jazz polyrhythm designed by Laurent Cugny. Those methods are adjusted and used to study archival corpora mostly held at the Hogan Jazz Archive in New Orleans, reporting on musical life in salons of 19th-century New Orleans bourgeoisie, then on the beginnings of ragtime and early jazz. While three-over-four examples are constituted from the superimposition of a contrametric pattern on a cometric pattern throughout the studied period, a new form of three-over-four pattern (clearly distinct in both quantitative and qualitative terms from its 19th-century forms) appears in ragtime and early jazz: the «paradigm of secondaryrag». An example from The Banjo (1855) by New Orleans composer Louis Moreau Gottschalkis quite similar to the new form though, allowing a reinterpretation of ragtime and early jazz history as well as history of rhythm in both musical styles. The discovery reflects on their connections, especially with respect to traditional African music and its contrametric habitus, European art music and its cometric habitus, but also with 19th-century banjo popular music, which had probably already integrated these elements.
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Planification territoriale et résilience des villes au lendemain de catastrophes naturelles : regards croisés sur le rétablissement de la Nouvelle-Orléans en Louisiane et de La Baie au Saguenay

Wells, Stéfanie 07 1900 (has links)
La succession de plus en plus fréquente d’événements catastrophiques a amené les sociétés à poser les conditions d’une gestion proactive des risques « naturels ». Ainsi, dans une perspective exploratoire, nous étudions les processus de planification du rétablissement postcatastrophe et la place qu’occupe le concept de résilience urbaine au sein des pratiques de cette planification et des contenus et produits qui en sont issus. Nous entamons plus spécifiquement une réflexion entourant l’intelligibilité et l’opérationnalisation de la résilience. Pour ce faire, nous examinons deux cas signifiants d’inondation dans l’historique nord-américain, soit celui de la Nouvelle-Orléans en Louisiane et celui de la ville québécoise de La Baie, ayant été respectivement victimes des ouragans Katrina et Rita en 2005 et des pluies diluviennes de 1996. Après avoir procédé à une brève mise en contexte des désastres éprouvés, de leurs effets et des vulnérabilités physico-spatiales qu’ils ont mis en exergue, nous mettons en parallèle les logiques institutionnelles précatastrophe d’aménagement du territoire, d’urbanisme et de gestion des risques des villes. Nous observons ensuite l’évolution des deux processus de planification du rétablissement et les enjeux et débats qui les ont caractérisés, pour terminer avec une exposition des changements résilients qui en ont émané. Les deux derniers chapitres démontrent que la qualité de résilience des villes est fortement influencée par leurs cultures politiques, administratives et législatives propres et leurs traditions urbanistiques. Bien qu’elles aient su élaborer une stratégie de prévention des risques, qui accepte les inondations plutôt que de tenter de s’y opposer à tout prix, elles n’ont toutefois pas saisi l’entièreté des opportunités qui s’offraient à elles. / A higher rate of catastrophic events has brought societies to set out the conditions of proactive “natural” risk management. As a result, and from an exploratory perspective, we are studying post-disaster recovery planning processes and the importance of the concept of urban resilience in these planning practices as well as the contents and products which stem from it. More specifically, we begin reflecting upon the intelligibility and operationalization of resilience. To do so, we will focus on two significant cases of flooding in North America: New Orleans, Louisiana, and the city of La Baie, Quebec, which were respectively victims of hurricanes Katrina and Rita in 2005 and of torrential rain in 1996. After a brief contextualization of these disasters, of their effects and of the physico-spatial vulnerabilities that they highlighted, we will link pre-disaster institutional logic regarding territorial planning, urban planning, and city risk management. Next, we observe the evolution of these two recovery planning processes as well as their characteristic issues and debates, finishing with a overview of subsequent resiliency changes. The last two chapters demonstrate that the quality of resilience of cities is strongly influenced by political, administrative and legislative culture as well as urban traditions. While they were able to design risk prevention strategies which accept flooding rather than trying to oppose it at all costs, they did not fully grasp all the opportunities that were offered to them.
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Planification territoriale et résilience des villes au lendemain de catastrophes naturelles : regards croisés sur le rétablissement de la Nouvelle-Orléans en Louisiane et de La Baie au Saguenay

Wells, Stéfanie 07 1900 (has links)
La succession de plus en plus fréquente d’événements catastrophiques a amené les sociétés à poser les conditions d’une gestion proactive des risques « naturels ». Ainsi, dans une perspective exploratoire, nous étudions les processus de planification du rétablissement postcatastrophe et la place qu’occupe le concept de résilience urbaine au sein des pratiques de cette planification et des contenus et produits qui en sont issus. Nous entamons plus spécifiquement une réflexion entourant l’intelligibilité et l’opérationnalisation de la résilience. Pour ce faire, nous examinons deux cas signifiants d’inondation dans l’historique nord-américain, soit celui de la Nouvelle-Orléans en Louisiane et celui de la ville québécoise de La Baie, ayant été respectivement victimes des ouragans Katrina et Rita en 2005 et des pluies diluviennes de 1996. Après avoir procédé à une brève mise en contexte des désastres éprouvés, de leurs effets et des vulnérabilités physico-spatiales qu’ils ont mis en exergue, nous mettons en parallèle les logiques institutionnelles précatastrophe d’aménagement du territoire, d’urbanisme et de gestion des risques des villes. Nous observons ensuite l’évolution des deux processus de planification du rétablissement et les enjeux et débats qui les ont caractérisés, pour terminer avec une exposition des changements résilients qui en ont émané. Les deux derniers chapitres démontrent que la qualité de résilience des villes est fortement influencée par leurs cultures politiques, administratives et législatives propres et leurs traditions urbanistiques. Bien qu’elles aient su élaborer une stratégie de prévention des risques, qui accepte les inondations plutôt que de tenter de s’y opposer à tout prix, elles n’ont toutefois pas saisi l’entièreté des opportunités qui s’offraient à elles. / A higher rate of catastrophic events has brought societies to set out the conditions of proactive “natural” risk management. As a result, and from an exploratory perspective, we are studying post-disaster recovery planning processes and the importance of the concept of urban resilience in these planning practices as well as the contents and products which stem from it. More specifically, we begin reflecting upon the intelligibility and operationalization of resilience. To do so, we will focus on two significant cases of flooding in North America: New Orleans, Louisiana, and the city of La Baie, Quebec, which were respectively victims of hurricanes Katrina and Rita in 2005 and of torrential rain in 1996. After a brief contextualization of these disasters, of their effects and of the physico-spatial vulnerabilities that they highlighted, we will link pre-disaster institutional logic regarding territorial planning, urban planning, and city risk management. Next, we observe the evolution of these two recovery planning processes as well as their characteristic issues and debates, finishing with a overview of subsequent resiliency changes. The last two chapters demonstrate that the quality of resilience of cities is strongly influenced by political, administrative and legislative culture as well as urban traditions. While they were able to design risk prevention strategies which accept flooding rather than trying to oppose it at all costs, they did not fully grasp all the opportunities that were offered to them.
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Resilience and the cultural landscape : the case of the Lower Ninth Ward after Hurricane Katrina

Toueir, Nada 12 1900 (has links)
Le but de cette recherche est d’évaluer l’importance du paysage culturel dans la résilience des communautés urbaines post-catastrophes. Ce travail se concentre sur le quartier du Lower Ninth Ward dans la ville de La Nouvelle-Orléans (États-Unis) après le passage de l’ouragan Katrina en 2005. Les catastrophes naturelles prennent une envergure et causent des dommages considérables lorsqu’elles touchent des villes. La reconstruction post -désastre est donc très dispendieuse pour les villes et les gouvernements, d’autant que certaines régions sont dévastées au point qu’elles doivent être reconstruites au complet. Cependant, le coût le plus lourd à assumer reste celui en vies humaines et si rebâtir les éléments concrets d’une ville est une tâche difficile à entreprendre, reconstruire une communauté est considérablement plus complexe. Dans le but de comprendre une telle démarche, cette recherche se concentre sur les éléments intangibles, comme l’attachement au lieu et les réseaux sociaux, dont une communauté a besoin pour se reconstituer de façon durable et résiliente. Le concept de résilience est très contesté dans la littérature et plusieurs chercheurs se sont essayés à le mesurer. Cette recherche adopte une perspective critique sur le concept et le revisite d’un point de vue holistique pour mettre en lumière sa complexité. Cette démarche permet de remettre en question l’importance de mesurer un concept finalement en perpétuelle redéfinition dans le temps et selon les échelles géographiques. De plus, en établissant une relation entre résilience et paysage culturel, il a été possible de mieux comprendre la complexité de la résilience. Touchant à plusieurs disciplines (architecture de paysage, urbanisme et sociologie), cette recherche utilise une méthodologie qui reflète son aspect multidisciplinaire : les méthodes mixtes. Ces dernières permettent la collecte de données quantitatives et qualitatives qui produisent une vue globale de la situation post-Katrina à travers le regroupement de recensions statistiques, d’observations de terrain et d’articles de journaux. Parallèlement, des entretiens ont été réalisés avec des résidents du quartier ainsi qu’avec des professionnels pour mieux comprendre les différents points de vue. Cette méthodologie a permis de produire des résultats au niveau du cas d’étude autant qu’au niveau théorique. La recherche valide l’importance de prendre en compte le paysage culturel dans les situations post-catastrophes, (en particulier) dans la mesure où il s’agit d’un élément souvent négligé par les urbanistes et les acteurs locaux. En effet, les éléments constitutifs du paysage culturel tels que l’attachement au lieu et les réseaux sociaux, participent d’un sentiment d'appartenance (« home ») et d’une volonté, pour les résidents, de reconstruire leurs habitations, leur communauté ainsi que leur quartier. Toutefois, il faut reconnaître que ces éléments ne suffisent pas à retrouver ce qu’ils ont perdu. Ainsi, l’étude du paysage culturel permet non seulement de mieux comprendre la complexité de la résilience, mais démontre également que cette dernière est une construction sociale. / The purpose of this research is to determine the importance of using the cultural landscape in evaluating the resilience of an urban community after the occurrence of a natural disaster. The focus is on the neighborhood of the Lower Ninth Ward after Hurricane Katrina in 2005 in the city of New Orleans. Natural disasters are gaining significance and magnitude when they hit cities, which are becoming more and more populated over the years. The damage these disasters cause is colossal. It is very costly for cities to undergo major disasters and sometimes, large sections of cities need to be entirely rebuilt. The costliest price is the human life, and as history marks it, too many lives have perished due to disasters. While rebuilding is a challenging task, yet feasible, rebuilding a community is not as tangible as rebuilding the infrastructure. This research focuses on the many intangible aspects, like place attachment and social networks, a community needs to rebuild itself in a sound and resilient way. The concept of resilience is very contested in the literature and many have attempted to measure it. This research takes a step back and scrutinizes the concept of resilience from a holistic perspective, which highlights its complexity. This leads to questioning the importance of measuring the concept, especially that it changes with time and with the different scales of geography. In addition, a relationship between the cultural landscape and resilience is established, which allows for a better understanding of this complexity. Taking a little from multiple disciplines (Landscape Architecture, Urban Planning, and Sociology), this research resorts to a methodology that reflects its multidisciplinary aspect. The methodology is the mixed methods research design, which allows the collection of quantitative and qualitative data. The focus is to gather census data, newspaper articles, and observations to give a general perspective on the post-Katrina situation. Interviews are collected from residents and from professionals so as to tackle the research from different angles. This allows reaching results at the case study level as well as the theoretical level. This research validates the importance of using the cultural landscape in post-disaster situations as planners and government officials overlook it. Some of the elements that constitute it like place attachment and social networks motivate people to return to their original neighbourhoods and rebuild their homes and community. These elements, however, cannot by themselves give people back what they lost in the disaster. By relating the cultural landscape to the concept of resilience, it implies that resilience is a social construction.

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