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TRENTE PIASTRES de récompense : Le contrôle et la fuite d’esclaves à la Nouvelle-Orléans, 1816-1827

Poulin, Annie January 2014 (has links)
Ce mémoire se concentre sur la fuite d’esclaves à la Nouvelle-Orléans entre 1816 et 1827. Plus de mille annonces de fuite des journaux Le Courrier de la Louisiane et La Gazette de la Louisiane sont analysées dans le but de mieux comprendre les diverses stratégies de résistance des esclaves louisianais à travers leur marronnage. En dépit des règlements qui sont censés contrôler les esclaves, comment parviennent-ils à s’enfuir? Comment parviennent-ils à s’octroyer une certaine liberté? Plusieurs lieux de fuite se dessinent à la Nouvelle-Orléans. Les bayous, les cyprières, les maisons de jeux, les marchés de viande à la levée sont tous des endroits susceptibles, parmi d’autres, de cacher des marrons. La journée du dimanche passée à la Place Congo reflète aussi une autre réalité des résistances. À cet endroit, esclaves et libres interagissent entre eux au su et au vu de tous. Des amitiés se tissent et l’entraide se développe de part et d’autre de la barrière raciale. Les nombreuses lois ne suffisent pas à contrôler adéquatement les gestes des esclaves. En dépit des contrôles, ils réussissent à se forger des micro-espaces de liberté dans une nouvelle géographie des résistances. Qui sont ces esclaves fugitifs ? Le profil type d’un esclave marron est un jeune homme d’environ 26 ans qui fuit seul. Par contre, mon mémoire démontre qu’il n’y a pas qu’un seul profil d’esclave fugitif. Enfants, femmes enceintes et personnes âgées peuvent décider de fuir. Quels sont les divers moyens utilisés pour réussir sa fuite? Ce mémoire tentera de répondre à tous ces questionnements.
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À la rencontre de deux mondes : les esclaves de Louisiane et l'Église catholique, 1803-1845 / When two worlds meet : Louisianan slaves and the Catholic Church, 1803-1842

Piché, Geneviève 26 October 2015 (has links)
Intitulée « À la rencontre de deux mondes : les esclaves de Louisiane et l’Église catholique, 1803-1845 », cette thèse vise à reconstituer l’histoire et l’évolution de l’afro-catholicisme en Louisiane dans la première moitié du XIXe siècle, tant en milieu urbain − avec la ville de la Nouvelle-Orléans comme toile de fond − qu’en milieu rural, en prenant la paroisse Saint-Jean-Baptiste comme étude de cas. L’étude débute en 1803, date à laquelle la Louisiane devient une possession américaine, et se termine en 1845, trois ans après la fondation à la Nouvelle-Orléans de l’Église Saint-Augustine, emblème de la religion des Noirs libres et des esclaves, et de la communauté des Sœurs de la Sainte-Famille, un ordre religieux propre aux femmes de couleur libres. La Louisiane de la première moitié du XIXe siècle représente ainsi le théâtre parfait pour étudier la rencontre entre catholicisme et esclavage et pour mettre en lumière les prémisses de la construction d’un afro-catholicisme distinct. Bien que de nombreuses études aient porté sur l’histoire de l’esclavage en Louisiane, le monde des esclaves et de leurs pratiques religieuses nous échappe encore en grande partie. Partir à la découverte de la culture religieuse des esclaves du Sud américain représente donc un défi historiographique qui permet d’affiner nos connaissances à la fois sur une période très trouble de l’histoire américaine − celle de l’esclavage −, sur des acteurs plutôt méconnus − les esclaves catholiques −, et sur une région qui se distingue des autres États américains. En fait, de par ses racines franco-hispaniques et son caractère catholique, la Louisiane apparaît comme une entité unique au sein des États-Unis d’Amérique, majoritairement de culture anglo-protestante. / Entitled « When Two Worlds Meet : Louisiana Slaves and the Catholic Church, 1803-1845 », this dissertation aims to reconstruct the history and the evolution of Afro-Catholicism in Louisiana in the early nineteenth century, both in urban areas, with the city of New Orleans as a backdrop, and rural areas, with the parish of St. John the Baptist as a case study. It begins in 1803, when Louisiana became an American possession, and ends in 1845, three years after the founding in New Orleans of the St. Augustine Church, the emblem of the religion of free blacks and slaves, and of the Sisters of the Holy Family, a religious order for free women of color. Early nineteenth-century Louisiana is the perfect theater to explore the encounter between Catholicism and slavery and to perceive the construction process of a distinct Afro-Catholicism. Although many studies focus on the history of slavery in Louisiana, the world of the slaves and of their religious practices is still largely elusive. Exploring the religious culture of the slaves in the American South represents a historiographical challenge that help refine our knowledge of a troubled time in American history – the era of slavery–, of largely unknown actors– Catholic slaves –, and of an area totally different from the rest of the United States. In fact, because of its Franco-Hispanic roots and its Catholic character, Louisiana appears as a single entity within the United States of America, predominantly Anglo-Protestant.
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"Filles du roi et Filles de la cassette" : l'immigration féminine au Canada (1663-1673) et en Basse-Louisiane (1710-1730)

Pelletier Lewis, Rose January 2017 (has links)
Le mémoire suivant se concentre sur l’impact de l’introduction de femmes, dites « à marier », issues de France sur la stabilité du milieu colonial. Celles-ci se sont vues choisies et amenées, de gré ou de force, dans les colonies du Canada et de la Louisiane, afin d'y stabiliser une population mâle adulte. Les objectifs étant d’éviter ce qu'on qualifiait alors d'ensauvagement et de promouvoir le développement démographique par des mariages entre couples d'origine française. Nous comparerons donc la mesure de cet impact à Montréal (Canada) de 1663 à 1690 et à La Nouvelle-Orléans (Louisiane), de 1710-1730, soit deux milieux où l’introduction de femmes à marier a mené à des résultats différents sur le terrain, mais surtout dans la représentation. Au Canada, la venue de ces femmes a accéléré l'atteinte d'un ratio hommes-femmes équilibré tout en assurant une descendance nombreuse. Le débat sur leur vertu fut vigoureux, les uns leur accordant le statut de « mères de la nation », alors que la culture populaire fait régulièrement référence à un passé sordide. En Louisiane, l'impact démographique de ces femmes fut moins spectaculaire. Si leur réputation de libertinage ne fait plus partie des discours académiques, leur faible descendance au sein de la population louisianaise actuelle permet plus facilement de maintenir leur association au libertinage de La Nouvelle-Orléans dans la culture populaire.
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The Resilience of New Orleans : Assessing a History of Disasters 1718-1803 / La résilience de La Nouvelle Orléans : évaluer l’histoire de ses calamités 1718-1803

Ugolini, Celine 29 April 2014 (has links)
La Nouvelle Orléans fut fondée en 1718 sur un sol qui est désormais connu pour être instable. En 1719, peu après sa construction initiale, la ville fut inondée. Le premier ouragan qui détruisit la ville date de 1722. D’autres tempêtes dévastatrices suivirent et imposèrent la reconstruction de cette ville naissante. Les colons français qui ont construit La Nouvelle Orléans n’avaient aucune expérience du climat de la Louisiane ni des tempêtes et inondations répétitives. Les dégâts liés aux catastrophes naturelles furent si fréquents que les premières décennies de l’histoire de la ville se résument au difficile travail de reconstruction. L’assistant de l’ingénieur de la ville, Adrien de Pauger, fut le premier à proposer un système de jetées qui aurait pu résoudre le problème de la formation des bancs de sable. Mais ses plans n’ont pas été mis en œuvre. Reconstruire une ville que les français venaient juste de fonder présenta un défi dès le début. Le déficit démographique engendra l’envoi de criminels et autres indésirables venant de France. Ces derniers finirent par jouer un rôle crucial dans la construction, puis la reconstruction de la ville. Ce projet examine les défis que les premiers Néo-Orléanais ont dû affronter, et leur adaptation nécessaire a un environnement inhospitalier. Malgré les nombreuses craintes que les habitants quittent leur ville afin de se réfugier dans des terres plus élevées, ou bien de retourner en France, ces derniers ont su montrer leur résilience et leur attachement a cette ville, de la même manière que cela s’est produit après l’ouragan Katrina en 2005. D’autres villes environnantes, comme La Balise, ont connu un sort différent. La Balise disparut après de nombreux ouragans alors que la capitale de la Louisiane de l’époque fût constamment reconstruite. Cette thèse traite des premières années de chaos et de destruction de La Nouvelle Orléans. Par ailleurs elle montre comment la ville a survécu aux nombreux ouragans, incendies et autres catastrophes, avant d’évoluer du statut d’une commune fragile à celui d’une ville robuste. / New Orleans, Louisiana, formerly La Nouvelle Orléans, was founded in 1718 on what is known today to be unstable land. Shortly after its initial construction, a flood in 1719 devastated the city. Several other strong storms quickly followed and forced reconstruction upon the nascent Crescent City. The French colonists who built La Nouvelle Orléans had no experience with either Louisiana’s climate or repetitive tropical storms and flooding. Damage from disasters occurred so frequently that the difficult work of reconstruction characterized the city’s first few decades. Assistant City Engineer Adrien de Pauger was the very first person to plan for a jetty system for the city. La Nouvelle Orléans could have benefited from solving its sandbars issues had this venture been conducted the way Pauger had envisaged. Rebuilding for a city that the French had just recently built presented a challenge from the start. The lack of population of the area generated the sending of criminals and other unwanted individuals from the mother country. These ended up taking an active part in the construction and reconstruction process. This research examines the early challenges confronting New Orleanians and their necessary adaptation to an inhospitable environment. Despite concerns that residents would leave their city to seek safer living conditions on higher land or move back to the home country as some did, early New Orleanians displayed a resilience similar to that found in the aftermath of Katrina. Other local settlements, such as La Balise, had a different fate and disappeared as a result of recurring hurricanes whereas the then capital of Louisiana always rebuilt after each disaster. The study will discuss the city’s early years of chaos and destruction, and how La Nouvelle Orléans struggled to overcome hurricanes, fires, and disease, before evolving from a fragile settlement to a stronger city.
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À la rencontre de deux mondes : les esclaves de Louisiane et l’Église catholique, 1803-1845

Piché, Geneviève January 2015 (has links)
Intitulée « À la rencontre de deux mondes : les esclaves de Louisiane et l’Église catholique, 1803-1845 », cette thèse vise à reconstituer l’histoire et l’évolution de l’afro-catholicisme en Louisiane dans la première moitié du XIXe siècle, tant en milieu urbain − avec la ville de la Nouvelle-Orléans comme toile de fond − qu’en milieu rural, en prenant la paroisse Saint-Jean-Baptiste comme étude de cas. L’étude débute en 1803, date à laquelle la Louisiane devient une possession américaine, et se termine en 1845, trois ans après la fondation à la Nouvelle-Orléans de l’Église Saint-Augustine, emblème de la religion des Noirs libres et des esclaves, et de la communauté des Sœurs de la Sainte-Famille, un ordre religieux propre aux femmes de couleur libres. La Louisiane de la première moitié du XIXe siècle représente ainsi le théâtre parfait pour étudier la rencontre entre catholicisme et esclavage et pour mettre en lumière les prémisses de la construction d’un afro-catholicisme distinct. Bien que de nombreuses études aient porté sur l’histoire de l’esclavage en Louisiane, le monde des esclaves et de leurs pratiques religieuses nous échappe encore en grande partie. Partir à la découverte de la culture religieuse des esclaves du Sud américain représente donc un défi historiographique qui permet d’affiner nos connaissances à la fois sur une période très trouble de l’histoire américaine − celle de l’esclavage −, sur des acteurs plutôt méconnus − les esclaves catholiques −, et sur une région qui se distingue des autres États américains. En fait, de par ses racines franco-hispaniques et son caractère catholique, la Louisiane apparaît comme une entité unique au sein des États-Unis d’Amérique, majoritairement de culture anglo-protestante.
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Le lieu musical : du texte à l’espace, un itinéraire sémantique. Poétique des catégories géographiques dans les musiques populaires américaines (1920-2007) / The Musical Place : from words to space, a semantic itinerary. Towards a poetics of geographical categories in American popular music (1920-2007)

Grassy, Elsa 13 November 2010 (has links)
Il existe dans le discours de la presse musicale américaine de nombreux de termes géographiques, dont la fonction n’est pas uniquement de localiser l’origine des courants musicaux ou d’opérer leur catégorisation par genre ou sous-genre : ces mots sont l’indice d’une véritable esthétique géomusicale, par laquelle lieux et musique se donnent sens et valeur. L’ancrage dans un lieu confère à la musique la valeur de vérité et de réalité que recouvre la notion d’authenticité, et donne lieu à des jugements esthétiques imprégnés de déterminisme géographique. Cependant, le lien avec un lieu étant considéré comme un gage de qualité, celui-ci a pu être renforcé ou fabriqué de toutes pièces par l’industrie musicale : paradoxalement, la géomusicalité serait le signe d’une manipulation, du factice, de l’inauthentique. Malgré tout, la musique ayant le pouvoir de rendre le lieu magnétique, en ce qu’il devient l’objet du désir des fans, la fiction musicale peut générer sa propre réalité. Ceci est d’autant plus le cas lorsqu’elle retient l’attention des responsables locaux, et est exploitée dans le cadre d’initiatives de développement économique, notamment sous l’angle touristique – ce qui correspond à une géomusicalité appliquée. Cette étude se donne pour objectif d’explorer les mécanismes de l’esthétique géomusicale, du discours journalistique à ses applications sur le territoire américains. Elle se conclut par une analyse des représentations de la Nouvelle-Orléans en tant que ville musicale au lendemain de l’ouragan Katrina. Les discours qui ont entouré la reconstruction du « berceau du jazz » permettent de mesurer les enjeux de l’association entre musique et lieu aux Etats-Unis, et leurs répercussions sur les identités locales. / The discourse on American popular music is fraught with geographical terms whose function is not merely to situate or to categorize music. This lexical field points to the existence of a geomusical imagination around American popular music, which attributes value and meaning to genres and styles that can be traced back to specific locales. Such rootedness is interpreted as a sign of authenticity in the musical discourse. For that reason, geographic authenticity has been fabricated by the music industry in order to increase the value of cultural products. In the same way, local authorities and the tourism industry have promoted the musical image of specifc places in order to make them more attractive to residents and visitors alike. Such initiatives can be considered as applied geomusicality, and decrease the gap between geomusical fiction and geographic reality. This study explores the many facets of geomusicality, from the American journalistic discourse to local initiatives that aim at promoting the musical image of places. It closes on a case study devoted to New Orleans after hurricane Katrina. The way the “cradle of jazz” was represented in the news and in official discourses as well as the musical reactions to the hurricane allow one to assess the many implications of geomusicality and its hold on popular imaginations.
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Une géographie de l'insécurité urbaine post catastrophe : le cas de la Nouvelle-Orléans et du cyclone Katrina (USA, 2000-2010) / A geography of post disaster urban insecurity : the case of NeW Orleans and hurricane Katrina (USA, 2000-2010)

Cotelle, Pauline 13 November 2014 (has links)
La carence des recherches académiques portant sur la problématique de l'insécurité urbaine dans le contexte particulier d'une ville affectée par une catastrophe majeure, nous a mené à investir cette problématique à travers le cas de la Nouvelle-Orléans et de la catastrophe Katrina. L'analyse de données criminelles inédites, complétée par un travail de terrain approfondi, a permis de « reconstituer » les évolutions spatiales et temporelles de la criminalité en lien avec la catastrophe Katrina. A court terme, Katrina a conduit à de nombreux « transferts » d'insécurité à l'échelle de la ville et des sites d'évacuation qui ont subi des « effets reportés » de la catastrophe. Néanmoins, l'analyse des données tant quantitatives et qualitatives permet de fortement nuancer certains discours qui ont orienté les réponses des gestionnaires. L'insécurité, notamment dans sa dimension subjective, a ainsi constitué une sérieuse entrave à la gestion de la crise, notamment à l'évacuation des victimes prises au piège par les inondations. A plus long terme, le retour progressif des populations évacuées s'est accompagné d'une criminalité violente qui avait connu une forte réduction au cours des premiers mois post Katrina. L'analyse des données criminelles menée à différentes échelles spatiales, permet d'envisager la criminalité comme une « grille de lecture » des transformations urbaines post catastrophe. D'autre part, les mutations urbaines rapides après Katrina ont affecté les représentations du danger qui ne se sont pas toujours ajustées à la nouvelle « réalité criminelle » des différents quartiers de la ville. L'approche systémique de l'insécurité urbaine post catastrophe permet de mettre en évidence une aggravation du risque criminel après Katrina à l'échelle de la ville en raison d'un affaiblissement prolongé des territoires en marge de la reconstruction où les activités criminelles ont pu proliférer. Dans la mesure où les catastrophes telles que Katrina peuvent conduire à un renforcement de l'insécurité urbaine, notamment à l'échelle des territoires les plus vulnérables, une plus grande considération de cette problématique par les chercheurs semble dès lors nécessaire. L'anticipation des conséquences qu'une catastrophe majeure peut avoir sur la sécurité d'une ville permettrait d'intégrer la question de l'insécurité urbaine dans les plans de gestion de crise et de reconstruction post catastrophe et ainsi de faciliter le processus de résilience urbaine. / The lack of academic research on “urban insecurity” in the context of a city affected by a major disaster led us to investigate this issue through the case of New Orleans and the Katrina disaster. The analysis of crime data, complemented by an intensive field work, allowed us to “recreate” the spatial and temporal evolution of crime related to Katrina. In the short term, Katrina let to numerous crime displacements in New Orleans and in the cities affected by indirect impacts from the disaster. Nonetheless, the analysis of both quantitative and qualitative data allows to seriously play down the discourses which oriented the official responses to the disaster. Crime, in particular fear of crime, has represented a serious obstacle to the crisis management, especially to the evacuation of the residents trapped by the floods. In the longer term, the return of the inhabitants came along with the return of violent crime after a lull of several months after hurricane Katrina. The analysis of crime data at different spatial scales allows us to consider crime as a frame to “read” post disaster changes in urban dynamics. Besides, brutal changes in those dynamics and in the urban landscape have affected the perceptions of danger which didn't always adjust to the new “criminal trends” of the city's different neighborhoods. The holistic approach of post disaster “urban insecurity” allows us to highlight an increase of crime risk at the city scale after Katrina because of a long lasting weakening of territories that struggle to recover and where criminal activities have proliferated. Since disasters like Katrina can lead to an increase in urban insecurity, in particular in the most vulnerable territories, a better consideration of this issue by researchers seems therefore necessary. The anticipation of the consequences that a major disaster can have on urban security would allow to integrate the issue of crime and its prevention into disaster management and recovery plans and therefore to facilitate the process of urban resilience.
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Cohabitation, exploitation et nuisances à Montréal et à la Nouvelle-Orléans : les relations entre les populations urbaines et animales, 1840-1890

Gagnon, Benjamin January 2020 (has links) (PDF)
No description available.
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Les Créoles de couleur de la Nouvelle-Orléans et leurs relations avec les affranchis (1860-1896)

Guzzo, Rose-Marie 10 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse s'intéresse aux Créoles de couleur de la Nouvelle-Orléans et montre que leur relation avec les affranchis entre 1860 et 1896 était ambiguë, marquée à la fois par la solidarité et par la division. Précisément parce que le rapport entre les deux groupes pouvait prendre plusieurs formes, nous avons mis le mot « relation » au pluriel dans le titre. Pendant longtemps, les historiens ont eu tendance à appréhender la relation entre les deux groupes d'un point de vue dichotomique. D'après leurs analyses, les Créoles de couleur étaient soit solidaires et unis aux Noirs, soit condescendants et distants, selon qu'ils s'identifiaient ou non à eux. Comme l'explique Shirley Thompson, pratiquement tous ont abordé cette relation en fonction d'un jugement sur l'identification raciale des Créoles de couleur et malgré les nuances apportées récemment par certains, le débat historiographique reste polarisé à bien des égards pour la simple raison que le sentiment d'appartenance identitaire des Créoles de couleur échappe à leur analyse. Afin de combler cette lacune historiographique, nous proposons une approche plus flexible des relations raciales, que nous abordons en nous détachant du paradigme binaire prédominant et en concevant davantage les Créoles de couleur comme un groupe ethnique à part entière. Notre thèse a donc été conçue dans le but de nuancer la vision dichotomique perpétuée par les historiens et de mettre en évidence la complexité de la relation entre les deux groupes, surtout au moment où les esclaves faisaient la transition vers la liberté. La base de notre argumentation repose sur la prémisse que les Créoles de couleur étaient conscients d'appartenir à un groupe distinct et supérieur aux Noirs, à qui ils ne se sont jamais identifiés, mais cela ne les a pas empêchés de nouer un lien de solidarité avec eux durant la guerre de Sécession afin de réaliser leurs aspirations politiques et humanitaires. Pour la première fois, à partir des années 1860, il y eut un rapprochement entre les deux collectivités puisque les Créoles de couleur ont saisi l'occasion provoquée par la guerre pour entamer un mouvement de revendications progressistes qui incluait la majorité noire, mais cette nouvelle solidarité ne doit pas être interprétée comme étant un signe qu'ils s'identifiaient désormais aux affranchis. Malgré un rapprochement devenu nécessaire durant et après la guerre de Sécession, les Créoles de couleur voulaient continuer à se dissocier des Noirs parce qu'ils avaient intériorisé les préjugés raciaux de leur époque, mais aussi parce que, conscients de leurs différences identitaires, ils voulaient survivre comme groupe ethnique à part entière dans une société qui s'américanisait rapidement à partir de la seconde moitié du XIXe siècle. Entre 1860 et 1896, ils ont lutté pour la justice sociale et pour la mise en application des idéaux révolutionnaires auxquels ils adhéraient totalement, mais ils ont lutté aussi pour ne pas devenir un « peuple oublié » dans une masse noire anglophone. Leur combat était double : répandre les principes universels et protéger un patrimoine identitaire de plus en plus fragile. Bien que cette thèse porte sur la relation entre les deux groupes, elle permet de tirer des conclusions intéressantes sur l'identité des Créoles de couleur. D'un point de vue méthodologique, nous avons opté pour une démarche à la fois qualitative et quantitative qui repose sur un corpus de sources variées, allant du journalisme, au recensement, aux poursuites judiciaires, en passant par les récits de contemporains. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Louisiane, Nouvelle-Orléans, Créoles de couleur, guerre de Sécession, Reconstruction.
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Émigration et politisation : les Français de New York et La Nouvelle-Orléans dans la première moitié du XIXe siècle (1803-1860)

Polfliet, Marieke 08 June 2013 (has links) (PDF)
Cette thèse constitue une étude comparée du processus de politisation au sein des groupes de Français ayant émigré aux États-Unis au cours de la première moitié du XIXe siècle, dans deux grands ports atlantiques américains, New York et La Nouvelle-Orléans.Dans une perspective d'histoire atlantique, elle aborde la question de la politisation sous l'angle du phénomène de nationalisation. Celle-ci se traduit dans le rapport des migrants à leur pays d'origine, dans le contexte des bouleversements politiques allant du Premier au Second Empire, et à leur pays d'accueil, marqué par la construction de la jeune république, la période jacksonienne, et le déclenchement de la guerre de Sécession. La thèse démontre que l'essor de structures de sociabilité urbaine parmi les Français est influencé par les circulations atlantiques de pratiques politiques et associatives, telles que la franc-maçonnerie. L'approche événementielle souligne la façon dont les grands événements locaux, nationaux ou internationaux sur les deux rives de l'Atlantique, suscitent diverses formes de participation politique, parfois conflictuelles, parmi les migrants. Trois moments marquent ce processus : une période de brassages issus des " révolutions atlantiques ", dont les répercussions humaines et politiques touchent les Français de New York et La Nouvelle-Orléans dans les premières décennies du XIXe siècle ; un moment de coexistence des appartenances nationales allant de pair avec de nouvelles formes d'encadrement partisan et de pratiques politiques dans l'Amérique jacksonienne et sous la monarchie de Juillet ; et une dernière phase conflictuelle et révolutionnaire marquée par les répercussions atlantiques de 1848, les migrations de masse et les mouvements ouvriers de l'ère de l'industrialisation. La prégnance du cadre américain suscite alors des évolutions divergentes à New York et La Nouvelle-Orléans du fait de la division Nord-Sud sur l'esclavage, la guerre de Sécession rebattant les cartes des allégeances nationales et politiques des migrants français.

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