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Constantin Chatzopoulos en tant que critique littéraire / Constantinos Chatzopoulos as a literary critic

Nikolaou, Dimitrios 02 October 2010 (has links)
La critique littéraire représente une part non négligeable de l’œuvre de Constantin Chatzopoulos (Agrinion 1868 - Brindisi 1920). Comparée aux autres genres littéraires, auxquels il a sacrifié (poésie, prose, traduction, essais politiques), elle demeure jusqu’à nos jours le volet le moins connu de son œuvre. La première démarche indispensable afin de proposer une étude de son œuvre critique la plus complète possible, était de réunir l’ensemble de ses articles, parallèlement à ceux qui déjà étaient connus. Tel est l’objectif de la première partie de ce travail qui fait le point de la recherche. La seconde partie, théorique, suit la critique littéraire de Chatzopoulos dans le cadre des deux périodes de son développement : a) l’influence symboliste et nietzschéenne (1898-1902) et b) l’influence sociologique et marxiste (1907-1916). Sont présentés, pour ces deux phases, les revues littéraires qui ont accueilli les textes de l’écrivain. Chatzopoulos représente un chapitre important de l’histoire de la pensée critique grecque, car son œuvre rend compte des courants esthétiques et idéologiques de son époque auxquels elle est intimement liée. Dans la Grèce des débuts du siècle passé, il fut le premier à introduire les principes sociologiques et marxistes dans l’approche d’une œuvre littéraire. / Literary criticism represents an interesting part of the Constantinos Chatzopoulos’ (Agrinion 1968 - Prindisi 1920) writing creation. Until our days it remains the least known compared to other literature types, which he served (poetry, prose, translation, political essay). A condition for a fuller study of his work as a critic was the collection of his articles, in addition to those which were already known. Hence this is the aim of all the elements which compose the first research part of our thesis. The second, theoretical part of the thesis monitors the Chatzopoulos’ literary criticism works within the pale of the two phases it occurs: a) the symbolistic - nietzscheic (1898-1902) and sociological - marxist (1907-1916). In both stages the presentation of the literary publications in which works by the author appeared is preceded. Chatzopoulos represents an important asset in the history of the Greek critical thinking, because his work was associated with aesthetic and ideological movements of his time. In Greece of the early past century, he is the first to introduce the sociological and Marxist values into the approach of literary work.
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Al-Râzî et la mélancolie, entre médecine et philosophie / Al-Râzî on melancholy : a disease between medicine and philosophy

Koetschet, Pauline 01 July 2011 (has links)
La mélancolie, comprise à la fois comme une affection de l'âme apparentée à la folie et un état émotionnel caractérisé par la tristesse et la peur, occupe une place importante dans les traités médicaux écrits en arabe aux IXe et Xe siècles. À cette époque, comme dans l'Antiquité grecque, la figure du mélancolique constitue un domaine où médecins et philosophes conjuguèrent étroitement leurs efforts. En effet, les questions soulevées par la mélancolie, telles que l'interaction entre l'âme et le corps, la nature de l'âme, ou encore le siège de la partie dirigeante de l'âme, traversent les deux disciplines. Les médecins arabes s'appuient en grande partie sur les auteurs grecs, en particulier Rufus d'Éphèse et Galien. Mais la conception de la mélancolie subit aussi des variations en passant chez les auteurs arabes. La première partie de la thèse entend reconstruire la conception de la maladie chez al-Rāzī, en se fondant sur l'analyse des textes médicaux consacrés à la mélancolie chez ce dernier. Cette partie montre que le diagnostic et le traitement de la mélancolie placent le médecin face à de nombreuses difficultés méthodologiques: il doit en effet comprendre l'infinie variété des symptômes de la maladie, leur caractère à la fois physique et psychique, mais aussi expliquer comment sont découverts les pouvoirs adoucissants, échauffants et purgatifs des substances utilisées contre la maladie, et leur mode d'action dans le corps. C'est pourquoi la seconde partie de la thèse entend restituer à la conception de la mélancolie d'al-Rāzī son arrière-plan épistémologique. Elle fait apparaître qu'al-Rāzī modifie la "méthode logique" de Galien dans deux directions en apparence opposées, mais complémentaires: il replace l'expérience au centre de la méthodologie médicale, et il étend les fondements théoriques de la médecine. Cette position épistémologique conduit al-Rāzī à participer activement aux discussions philosophiques, notamment au sujet de l'âme. Dans cette perspective, la troisième partie étudie la psychologie d'al-Rāzī à partir de son interprétation de la mélancolie. / Melancholy—understood both as a mental disease akin to madness and a state of the mind characterised by sadness and fear—figured prominently in the works of physicians living in the Islamic world in the ninth and tenth centuries. In this context, like in Greek Antiquity, the case of the melancholic was of common concern for physicians and philosophers, because melancholy raised questions that belonged to both disciplines, for instance about the interaction between body and soul, the nature of the soul, the seat of the governing part of the soul and so on.Arabo-Islamic physicians drew heavily on the Greek tradition, and especially on Rufus of Ephesus and Galen. But the notion of melancholy evolved when it came under their scrutiny. The first part of the thesis starts by investigating al-Rāzī's medical writings, in order to understand the theoretical and practical underpinnings of melancholy in these works. This part shows that the diagnosis as well as the treatment of melancholy confronts the physician with many methodological difficulties, such as recognising the multiple symptoms of the disease, explaining their physiological and psychological foundations, but also discovering the purgative, heating and soothing power of the substances used against melancholy and exposing the way in which they fight the disease in the body. Therefore, the second part of this thesis aims at reconstructing the methodological background of those difficulties. It appears that al-Rāzī modifies Galen's "logical method" in two opposite directions: first, he increases the part of experience in medical reasoning; second, he expands the theoretical knowledge needed by the physician. This epistemological position results in al-Rāzī's active participation in philosophical debates, in particular about the soul. In this perspective, the third part of the thesis studies the role played by the interpretation of melancholy in al-Rāzī's psychology.
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La lecture aristotélicienne du non-être chez Platon : le platonisme comme une pensée de l’être en puissance

Drouin-Léger, Phillip 04 1900 (has links)
Il est souvent dit que l’aristotélisme représente un renversement du platonisme. Or, une lecture de Mét. N.2 nous porte à croire qu’il s’agit moins d’un renversement que d’un dépassement. Cette thèse a l’ambition d’étudier ce dépassement selon un point de vue spécifique, celui de l’être en puissance. En effet, dans le deuxième chapitre du livre N de la Métaphysique, Aristote critique les platoniciens pour avoir cru que tous les étants seraient « un » s’ils ne réfutaient pas l’argument de Parménide selon lequel il est impossible de contraindre le non-être à être. Aristote identifie ensuite l’erreur fondamentale des platoniciens comme étant d’avoir dit que le non-être « est » et il suggère à la fin de N.2 que le principe que Platon cherchait était véritablement celui de l’être en puissance. Ainsi, faute d’avoir bien distingué les sens de l’être et du non-être, Platon aurait été incapable de penser la distinction entre être en acte et être en puissance, ce qui, selon Aristote, le condamnerait à rester un penseur de l’être en puissance, voire de l’être matériel. L’analyse portera d’abord sur l’importance du Sophiste pour le projet platonicien, car Aristote soutient que ce dialogue est le lieu où s’enracine l’erreur de son maitre. Ensuite, nous démontrerons l’importance du non-être dans la conception aristotélicienne de l’être en puissance par une lecture des passages pertinents du livre Q de la Métaphysique. Ayant établi que Platon intègre le non-être au sein de l’être dans le Sophiste et que l’être au sein duquel il y a non-être est l’être en puissance pour Aristote, nous serons à même de lire N.2 de près dans notre chapitre central, afin de libérer entièrement la conception aristotélicienne du non-être de celle de Platon. Enfin, notre dernier chapitre mettra en évidence à la fois les raisons pour lesquelles le principe « matériel » de Platon est insuffisant pour Aristote et les raisons pour lesquelles de toute façon, un principe premier ne peut jamais être une matière. Cela nous permettra de conclure que selon Aristote, les idées platoniciennes ne sont que des composés matériels, des êtres en puissance, voire de simples possibles. / It has often been said that Aristotle’s philosophy represents an overturning of Platonism. Yet, a close reading of the second chapter of Book N of the Metaphysics reveals that we call an overturning might be closer to a surpassing. This thesis will explore this surpassing from a specific point of view, that of potential being. Indeed, in the aforementioned second chapter of Book N, Aristotle criticizes Platonists for having believed that all beings would form a single one if they did not refute Parmenides’ argument against the being of non-being. Aristotle then situates the Platonists’ fundamental mistake as having argued that non-being in some way « is ». However, Plato did not need to make non-being « be » he simply needed to think the multiplicity of ways which being can be said. Only then would he have found the principle of multiplicity that he wanted : potential being (dunamei on). Hence, having failed to notice that being is said in many ways, he could never think « matter » through properly. This, according to Aristotle, condemns Plato to a thought of potential being and material being. In order to argue for this position, we will firstly establish the importance of the Sophist in the platonic project, for as we have said, Aristotle places the Platonist mistake squarely in this dialogue. Secondly, we will need to show how Aristotle’s concept of non-being is central to his conception of potential being. We will do this by offering a close reading of the relevant passages of Book Q of the Metaphysics. Having established in the first chapter that Plato does indeed integrate non-being into being in the Sophist and in the second that Aristotle considers being penetrated by non- being to be merely potential being, we can read N.2 with more precise knowledge of the platonic « error » and in turn liberate Aristotle’s conception of non-being from Plato’s ; the topic of our third chapter. Finally, in our fourth chapter we will show why platonic conceptions of matter can never be adequate for Aristotle and explore the consequences of not having properly distinguished actual being from potential being, namely all of Plato’s principles are merely potential principles and not actual ones. Hence, we can conclude that for Aristotle, Plato’s ideas and principles of being are composite potential beings, close to mere possibilities.
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Le magistrat, la femme et le prêtre, le contrôle des rituels fémins en Grèce ancienne / The magistrate, the woman and the priest, the control of the feminine rituals in ancient Greece

Augier, Marie 22 September 2012 (has links)
L’image que la littérature grecque donne des femmes est souvent négative et l’idéal féminin qui s’en dégage est celui d’une femme silencieuse et peu visible. Or, s’il est vrai que la femme a une place assez réduite dans la cité, elle joue néanmoins un rôle important par ses activités religieuses. L’étude, en s’attachant au facteur socialisant qu’est la pratique rituelle pour les femmes, a alors pour but de montrer le contrôle des rituels féminins par les hommes en confrontant la réglementation qui encadre les femmes à leur représentation littéraire. La recherche vise ainsi à délimiter la place des femmes dans l’espace sacré, en tentant de dégager leur rôle et les règles qu’elles doivent suivre (accès aux sanctuaires, funérailles, participation aux rituels) ; mais elle s’attache aussi aux magistratures religieuses féminines. C’est donc aussi la question de l’implication des femmes dans la cité, par leurs activités rituelles, les magistratures et l’évergétisme, et celle de la « citoyenneté » des femmes qui sont abordées. Un volume d’annexes regroupe le corpus des documents épigraphiques –textes et traductions– utilisés dans ce travail. / Greek literature often gives a pejorative image of women and presents an idealised woman whose qualities are silence and invisibility. If it is true that women had quite a reduced place in Greek city, nevertheless they played an important role through their religious activities. This study, which pays particular attention to the social implications of ritual practices, aims to examin the masculine control over feminine rituals by comparing the rules supervising women with their literary representation.The research intends to establish the woman's place in sacred locations and tries to outline their role and the rules they had to follow (access to sanctuaries, funerals, participation in rituals). It also focuses on religious feminine magistrates. It therefore also deals with the implication of women in cities through their citizenship, ritual activity, office and evergetism. A supplementary volume collects the corpus of epigraphic inscriptions, texts and translations used in this work.
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The Orphic Lyre : Music and Μουσική in the Rites of Orpheus

Saunders, Tyler 12 1900 (has links)
Pour les Grecs de l’antiquité, la religion était indiscernable du reste de la vie quotidienne – au point que dans la polis, le concept d’une « division de la religion et de l’État », comme il est connu aujourd’hui, n’existe pas. La musique, ou l’idée grecque de μουσική, fonctionne de même, comme faisant partie intégrale de leurs rites et, par extension, de leur façon de vie; c’est-à-dire la musique et la religion deviennent une idée centrale à leur identité culturelle. Plusieurs de cultes civiques, comme par exemple le culte dionysiaque, utilisaient toujours la musique dans leurs rites – beaucoup d’exemples existent en antiquité qui montrent le rôle de la musique dans la pratique du culte, comme les images sur les vases et les murales, les hymnes, etc. L’orphisme, ou le culte qui utilisaient les écritures qui venaient prétendument du musicien légendaire Orphée, diffèrent des autres rites civiques dans la façon qu’il y en a des aspects plus ou moins obscurés. Il n’y a pas beaucoup d’information sur leurs rites hormis des écritures comme le papyrus de Derveni, un poème orphique qui détaille une théogonie pareille à celui d’Hésiode et les hymnes orphiques, qui changent la façon qui l’orphisme était vu dans le deuxième moitié du 20ème siècle. Ce mémoire va donc utiliser ces sources pour découvrir le rôle de la musique dans les rites orphiques en antiquité tout en faisant des comparaisons entre l’orphisme et les traditions établies des autres cultes civiques. En regardant aussi l’utilisation des instruments et les autres conventions ritualistes, ce mémoire va découvrir le rôle d’orphisme dans la polis grecque. / For the Greeks in Antiquity, religion was indiscernible from the rest of their daily lives – so much so that within the polis, the concept of a “separation between church and state”, in the way it is known today, did not exist. In this same realm of thought, music also functioned in a much similar way, an integral part of their religious ceremonies and, by extension, their way of life; through this, their music and religion became central to their idea of cultural identity. Many civic cults, such as the cult to Dionysus, utilized music to its fullest effect – many examples that detail the role that music played in their cult worship survive from antiquity, which vary from images found on vases and murals to hymns and other ritual texts. Orphism, or the cult which utilized writings said to have been passed down by the legendary musician Orpheus, differs from many other religious groups around Greece in that many aspects of it remain wrapped in an enigma. Not much is known about the specific cult practices outside of a few writings and inscriptions, including the Derveni papyrus, an analysis of an Orphic poem outlining a theogony similar to that of Hesiod, and the Orphic Hymns, both of which which are changing the way scholarship on these practices has been viewed through the years. This thesis will, therefore, use these sources in order to discover the role that music played in the cult rituals of Orphism during this period while also making comparisons between Orphism and the established traditions of other civic cults. Taking into account the utilization of instruments and other ritualistic conventions, this thesis hopes then to uncover Orphism’s overall role in the Greek polis.
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Les historiens grecs de l’Empire romain d’Orient (IVe-VIIe siècles)

Nicolini, Vincent 06 1900 (has links)
Cette thèse s’intéresse aux historiens classicisants de langue grecque de l’Antiquité tardive. Elle développe une analyse sociale de ces historiens et de leurs écrits. Son objectif principal est de souligner les interactions entre l’écriture de l’histoire, vu comme une pratique sociale, et la société romaine tardo-antique. La première partie dresse la biographie des historiens, d’Eunape de Sardes à Théophylacte Simocatta. Le profil social de ces historiens y est défini, et une attention particulière est portée aux liens entre activité littéraire et carrière professionnelle. La seconde partie étudie plus spécifiquement les élites provinciales tardo-antiques, groupe auquel appartiennent en majorité nos historiens. Elle explique pourquoi pratiquement tous les historiens étaient des avocats et comment ces derniers en venaient à écrire de l’histoire. La dernière partie analyse les fondements sociaux de l’histoire. Elle souligne ce que l’histoire devait à l’éducation tardo-antique et montre comment les vertus de l’historien reflétaient les vertus sociales attendues d’un membre de l’élite tardo-antique. / The main objective of this dissertation is to offer a social analysis of the classicizing historians of late antiquity. It aims to underline the interactions between history-writing and society. The first part presents the biographies of late antique classicising historians, from Eunapius of Sardis to Theophylact Simocatta. It describes the social profile of those historians, while insisting on the interactions between professional career and literary endeavours. The second part explains why most historians were lawyers and analyzes the place history-writing occupies in their social life. The third part deals with the social foundations of history writing. It focuses on the role of rhetorical education in the formation of future historians and shows how the virtues of the historian mirrored the social virtues of late antique elites.
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Traduction commentée du Grand commentaire d' Averroès aux livres petit Alpha, grand Alpha, Gamma et Epsilon de la Métaphysique d' Aristote / Commented translation of Averroes' Great commentary on the books Alpha Small, Alpha, Gamma and Epsilon of Aristotle's Metaphysics

Kaddour, Karim 01 December 2018 (has links)
L’objet de ce présent travail consiste dans une traduction commentée du Grand commentaire d’Averroès de la Métaphysique d’Aristote à partir du texte arabe établi par le père Maurice Bouyges. Cette traduction concerne principalement les livres Grand Alpha, Petit Alpha ; Gamma ; Epsilon. Ce travail s’inscrit dans l’intérêt que nous portons à la transmission de la pensée grecque chez les auteurs musulmans du Moyen Âge, et plus particulièrement à la restitution de la pensée métaphysique d’Aristote chez Averroès. À travers cette traduction, les enjeux sont multiples : traduire le texte arabe de la Métaphysique avec ce qu’il contient et ce qu’il exclut afin de déterminer la nature du texte arabe commenté par Averroès et voir s’il existe une réelle correspondance avec le texte que nous connaissons d’Aristote. En outre, permettre aux hellénistes d’accéder au texte qui a servi de support pour toutes les métaphysiques musulmanes, notamment celle d’al-Kindi, d’al-Fârâbî et d’Avicenne, car c’est le même texte qui a été utilisé par ces derniers, alors que chaque auteur a interprété différemment le contenu doctrinal de ce traité. Et enfin, suivre pas à pas le commentaire d’Averroès afin de déterminer si ce dernier demeure fidèle à Aristote en l’interprétant sans aucune considération extérieure, ou bien si son interprétation s’en éloigne volontairement, rejoignant ainsi le cercle de la plupart des philosophes néoplatoniciens. Quelques résultats de recherche ont été exposés dans les Appendices. Ils concernent essentiellement les différentes variantes que le texte soulève. Tout d’abord, une première étude consacrée à examiner la structure et le contenu de l’ensemble du traité d’Aristote dans sa version arabe. Ensuite, une deuxième étude consacrée à examiner toutes les corruptions relatives aux quatre livres traduits et leur conséquence sur l’unité doctrinale de la pensée d’Aristote. Et enfin, une troisième étude dans laquelle sont examinées les différentes erreurs de traduction et leur conséquence sur le commentaire d’Averroès. / The object of this present work is a commented translation of Averroes’ Great commentary on Aristotle’s Metaphysics from the Arabic text prepared by father Maurice Bouyges. This translation mainly concerns the books Alpha, little Alpha, Gamma and Epsilon. This work is a part of our interest in the transmission of the Greek knowledge among Muslim authors of the Middle Age, and particularly the restitution of the metaphysical thought of Aristotle in Averroes.Through this translation, the stakes are multiples: translating the Arabic text of the Metaphysics with what it contains and what it excludes in order to determine the nature of the Arabic text commented by Averroes and to see if there is a real correspondence with the text we know of Aristotle. In addition, allowing the Hellenists to access the text that has served as a support for all Muslim metaphysics, including that of al-kindi, al-Fârâbî and Avicenne, as it the same text that was used by the latter, while each author has interpreted the doctrinal content of this treatise differently. And finally, following step by step the commentary of Averroes to determine if the latter remains faithful to Aristotle by interpreting it without any external consideration, or if its interpretation deviates voluntarily, joining the circle of most of Neo-Platonist philosophers.Somme research results are exposed at the end of the translation. They mainly concern the different variants that the text raises. First, a primary study devoted to examine the structure and content of the entire Aristotle treaty in its Arabic version. Then, a second study devoted to examine all the corruptions relative to the four translated books and their consequences to the doctrinal unity of Aristotle’s thought. And finally, a third study in which are examined the various translation errors and their consequences on the commentary of Averroes.
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Les 32 Pièces pour piano de Nikos Skalkottas : éclairage analytique et approche pianistique / The 32 Piano Pieces by Nikos Skalkottas : analytical insight and pianistic approach

Tsioutis, Annini 12 December 2019 (has links)
La thèse examine la relation entre geste et écriture dans les 32 Pièces pour piano (1940) de Skalkottas. Après identification des nombreuses influences perceptibles dans le corpus, une étude approfondie de la notation pianistique particulière du compositeur est proposée. Pourquoi les 32 Pièces pour piano sont-elles peu jouées ? La réponse argumentée repose sur la difficulté technique. L’interrogation sur le geste pianistique approprié est ainsi rendue légitime. Le terme procédé compositionnel est proposé pour rendre compte d’habitudes d’écriture dont le compositeur hérite des grands maitres du passé ; ces procédés ne sont pas en eux-mêmes notables, mais le deviennent quand ils sont combinés au geste pianistique pour l’articulation formelle des pièces. La problématique que nous proposons d’élucider, à travers l’analyse combinée des gestes pianistiques et des procédés compositionnels, est sous-tendue par l'évolution de la relation entre l’aspect physique et l’écriture, l'une ou l'autre dimension prenant le dessus. Les symboles proposés par Sandor, dans sa méthode, sont récupérés et complétés par d’autres symboles, afin de permettre une analyse gestuelle des 32 Pièces. Ils sont ensuite combinés à des symboles proposés par l’auteure, rendant compte des procédés compositionnels relevés. L’analyse d’un choix de pièces culmine à la proposition du terme distillation, mettant l’accent sur l’assimilation organique des influences de la part de Skalkottas. La question d'une éventuelle organisation cyclique de l’œuvre est aussi traitée. Le Vol. II propose une édition critique complète des 32 Pièces, fondée sur la comparaison détaillée des deux manuscrits existants. Des entretiens avec des pianistes ayant interprété les pièces complètent le travail. / The thesis examines the relationship between gesture and composition in the 32 Piano Pièces (1940) by Skalkottas. Following the identification of the various influences perceptible in the corpus, a thorough study of the pianistic notation of the composer is undertaken. Why are the 32 Piano Pièces not often performed? The answer is their technical difficulty. The legitimacy of an in-depth study of the appropriate pianistic gesture for their interpretation is thus confirmed. The term compositional procedure is proposed to describe composing techniques in Skalkottas’s work, which can be traced back to great masters of the past. These are not noteworthy per se, but become so when they are combined with pianistic gestures for the formal articulation of the pieces. The research question we propose to examine, through the combined analysis of pianistic gestures and compositional procedures, is supported by the evolution of the relationship between the two dimensions, the physical and the written aspect. The symbols in Sandor’s pianistic method are retrieved, completed by other symbols and applied in a gestural analysis of the 32 Piano Pieces. They are then combined with new symbols proposed by the author, designating compositional procedures. A selection of pieces is analyzed, culminating in the suggestion of the term distillation, to highlight how Skalkottas organically assimilated various influences. The question of whether the corpus constitutes a pianistic cycle or not, is also examined. Vol. II contains a complete critical edition of the 32 Piano Pieces, based on the detailed comparison of the two existing autograph manuscripts. The thesis is accompanied by interviews with pianists who have performed the pieces.
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Les actes de culte en Grèce : de l’époque mycénienne à la fin de l’époque archaïque / Cult practices in Greece : from the Mycenaean down to the Archaic Period

Rivière, Karine 09 December 2017 (has links)
Depuis les travaux fondateurs de M. Nilsson, on admet que les cultes grecs de l’époque archaïque héritent des pratiques rituelles des Mycéniens. Pendant toute la période qui s’étend du XIIIe au début du Ve siècle, et au delà, sont surtout consacrées par dépôt, par crémation, et par libation, des denrées issues des travaux des hommes, animaux domestiques, végétaux cultivés et liquides provenant de l’agriculture et de l’élevage. Des évolutions majeures affectent cependant l’organisation de la vie religieuse au cours de ces huit siècles ayant connu des crises, des changements de régime, des déplacements de population importants. Il ne convient cependant pas nécessairement d’opposer les aspects statiques et dynamiques : même les héritages les plus anciens ont progressivement été adaptés aux contextes nouveaux, et c’est particulièrement vrai de ceux qui concernent les consécrations d’offrandes alimentaires. Parce qu’elles s’articulent avec les besoins essentiels de l’homme comme « animal politique » autant qu’elles s’en détachent, ces dernières focalisent l’attention du chercheur sur ce que les actes de culte disent de la place du sacré dans les sociétés grecques en mutation. De l’époque mycénienne à la fin de l’époque archaïque les pratiques religieuses sont des enjeux de pouvoir. La répartition des prérogatives au cours des cérémonies, la définition d’un corpus de denrées jugées adéquates pour les consécrations, et la possibilité, ou non, de partager avec le divin, reflètent et cimentent l’organisation socio-politique des communautés. Si les accidents de la vie religieuse accompagnent ceux de la vie sociale et politique, ils témoignent aussi de l’évolution des mentalités. Propice au développement de la science et de la philosophie, l’époque archaïque a particulièrement favorisé les questionnements sur la pratique des cultes, et les réflexions sur la construction d’un espace sacré singulier. / Since M. Nilsson’s work, it is accepted that the Greeks of the Archaic Period have inherited some of their religious habits from the Mycenaean era. From the XIIIth down to the VIth century BCE, the Greeks offered to their gods parts taken from domestic animals, cultivated plants, and drinkable liquids by burning them, depositing them in an appropriate place, or pouring them. Still, during eight centuries where there have been huge crisis, political disruptions, and population displacements, major religious changes took place. Those suggest that even practices that seem to have been the same have enventually been adapted to new contexts. This is especially the case for those associated with food offerings. Because they are closely related to the basic needs of humans, but can still be pretty distant from them, food offerings encourage researchers to focus on what religious practices tell us about how sacred matters were embeded into Greek mutating societies. From the Mycenaean down to the Archaic period, cult is an instrument of power. The social and political organisation of Greek communities was both represented and reinforced by the distribution of religious privileges, the definition of which goods were suitable for the offerings, and the possibility, or impossibility, for everyone to share with the gods. Religion and politic share an intimate relationship, but cult practices also closely reflect how the Greeks thought the world they lived in. New questions about religion and the definition of sacred space naturally followed the development of philosophy during the archaic period.
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Hellanicos de Lesbos : histoire des origines, origines de l'histoire / Hellanicos of Lesbos : history of origins, origins of history

Polychronis, Théodossios 10 March 2018 (has links)
Cette thèse a comme objet d'étudier la nature de l'oeuvre perdue d'Hellanicos de Lesbos et de cerner le rôle que ce dernier a joué dans le développement de l'historiographie grecque classique. Le premier chapitre constitue un examen des données (état du corpus, problèmes liés aux corpus fragmentaires, problème posé par les titres) et propose des pistes d'interprétation. Le deuxième chapitre s'intéresse à un thème récurrent dans l'oeuvre d'Hellanicos, celui du "prôtos heurétés", et étudie cette notion dans les fragments. Le troisième chapitre enfin, étudie le rapport intertextuel problématique entre Hellanicos et l'historien athénien Thucydide. Ce travail comporte le texte grec des fragments accompagné d'une traduction française, qui sont donnés dans un deuxième volume. / The object of this dissertation is the re-evaluation of Hellanicos of Lesbos' fragments so as to determine the nature of his lost work and understand what role he played in the development of Ancient Greek historiography. The first chapter re-examines the available data (the corpus itself, problems pertaining to fragmentary texts as well as the problem of the titles under which the works are transmitted) while proposing possible interpretations. The second chapter focuses on one particular aspect of Hellanicos' work, that of the prôtos heurétés. Finally, the third chapter deals with the problematic intertextual relationship between Hellanicos and the Athenian historian Thucydides. The Ancient Greek text as well as the translation in French are given in a separate volume.

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