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L'impact des contextes sociolinguistique et scolaire sur l'enseignement/apprentissage du français dans le Souf à travers l'analyse des représentations comme outil de description

Boudebia-Baala, Afaf 19 December 2012 (has links) (PDF)
Prenant pour ancrage la sociolinguistique et la didactique, notre étude porte sur un contexte d'enseignement/ apprentissage du français situé dans le Sud-est algérien : le Souf. La spécificité de ce contexte a été étudiée suivant deux axes différents mais complémentaires : l'environnement sociolinguistique et le cadre institutionnel. Ces deux axes ont été définis à partir de l'analyse thématique de données déclaratives recueillies auprès d'un public d'enseignants et d'apprenants. Dans l'objectif de croiser les regards enseignants/ apprenants, nous avons opté pour une triangulation des données recueilles à l'aide de plusieurs outils : questionnaires, entretiens, tests de mots associés et expressions écrites. La thèse emprunte une démarche à la fois qualitative et quantitative. Notre but est de déterminer l'impact des contextes sociolinguistique et scolaire sur l'enseignement/ apprentissage du français dans le Souf en utilisant les représentations comme outils de description. Les résultats obtenus indiquent que plusieurs paramètres produisent une influence négative sur l'enseignement/ apprentissage du français. Les plus importants sont : l'absence des pratiques langagières en français, les attitudes linguistiques, le milieu social, les représentations des langues, l'inadaptation des programmes, le volume horaire réduit, la place peu importante accordée au français dans le système éducatif et le recrutement d'enseignants non qualifiés. Certaines de nos conclusions pourront être utilisées dans une perspective de contextualisation des programmes, d'action sur les représentations des langues chez les apprenants et de formation continue des enseignants
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Figures du héros dans la représentation de la Seconde Guerre mondiale au Québec : redéfinitions et déplacements

Beaulieu, Valérie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les déterminants de l’usage du français en milieu de travail au Québec

Buteau, Calherbe 06 1900 (has links)
La plupart des travaux portant sur l’usage du français en milieu de travail tendent à adopter une perspective métrologique qui vise à cerner les déterminants de l’utilisation du français en milieu de travail. Dans ce mémoire, nous cherchons à changer d’optique en envisageant non pas d’expliquer les déterminants de l’usage principal du français en milieu de travail, mais à connaitre les principaux contextes auxquels les personnes se réfèrent pour déclarer le français comme langue principale de travail. Nous faisons en effet l’hypothèse que le fait de déclarer le français comme langue principale de travail est le résultat d’une synthèse de pratiques linguistiques contextuelles distinctes. Pour répondre à cet objectif de recherche, nous mobilisons les données d’une enquête de l’Office québécois de la langue française réalisée en 2007. Au sein de l’ensemble des contextes de travail pris en compte dans cette enquête, nous avons choisi cinq contextes : la réunion de travail, la lecture de documents produits par l’entreprise, le fait de communiquer avec l’extérieur, le fait de communiquer avec le ou les supérieurs immédiats et l’utilisation des technologies de l’information. Ainsi, nous nous sommes limités d’abord à l’étude d’un certain nombre de contextes qui touchent presqu’à l’ensemble des travailleurs particulièrement ceux qui ont à communiquer avec des supérieurs, à lire des documents produits par leur entreprise, à participer régulièrement à des réunions de travail, puis nous abordons des contextes plus spécifiques et qui touchent à un nombre plus faible de travailleurs tels : ceux qui ont à utiliser des logiciels et enfin à communiquer avec l’extérieur. Notre analyse révèle que, au-delà des caractéristiques individuelles et du contexte général du milieu de travail, ces usages contextuels des langues en milieu de travail prédisent mieux la déclaration de la langue de travail des travailleurs. Quand il s’agit de déclarer la langue principale de travail, les travailleurs semblent principalement faire référence à la langue qu’ils utilisent dans les réunions de travail, dans la langue de lecture des documents produits par l’entreprise, dans les communications avec les supérieurs immédiats ainsi qu’aux versions linguistiques des logiciels utilisés et des communications avec des clients et fournisseurs de l’extérieur du Québec. / Most researches on the use of French in the workplace tend to adopt a methodological perspective that aims to identify the determinant factors of the use of French in the workplace. In this paper, we intend to change this perspective by attempting instead, to apprehend the main contexts in which people relate to declare French as their language of work. We make the assumption that declaring French as the main language of work result of both contextual and distinct linguistic practices. To meet this research objective, we draw data from a survey conducted in 2007 by the Office of the French Language in Quebec. Based on this survey, we have selected five contexts to which people relate to when using the French language in the workplace: workshop, reading of documents produced by the company, communication with the outside world, communication with immediate supervisors, and the use of technology of information. Thus, we have limited ourselves to the study of workers that have to communicate with supervisors, read documents produced by their company, participate regularly in meeting, use software, and finally communicate with other people from the outside. Our analysis reveals that, beyond individual characteristics and the general context of the workplace, these contextual uses of language in the workplace predict the best statement of the language of workers. When it comes to declare the main language of work, workers seem mainly to refer to the language they use in meetings, in the language of reading documents produced by the company in communications with immediate superiors and to use language versions of software and communications with customers and suppliers outside of Quebec.
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Analyse syntaxique à l'aide des tables du Lexique-Grammaire du français

Tolone, Elsa 31 March 2011 (has links) (PDF)
Les tables du Lexique-Grammaire, dont le développement a été initié par Gross (1975), constituent un lexique syntaxique très riche pour le français. Elles couvrent diverses catégories lexicales telles que les verbes, les noms, les adjectifs et les adverbes. Cette base de données linguistiques n'est cependant pas directement exploitable informatiquement car elle est incomplète et manque de cohérence. Chaque table regroupe un certain nombre d'entrées jugées similaires car elles acceptent des propriétés communes. Ces propriétés ont pour particularité de ne pas être codées dans les tables même mais uniquement décrites dans la littérature. Pour rendre ces tables exploitables, il faut expliciter les propriétés intervenant dans chacune d'entre elles. De plus, un grand nombre de ces propriétés doivent être renommées dans un souci de cohérence. Notre objectif est d'adapter les tables pour les rendre utilisables dans diverses applications de Traitement Automatique des Langues (TAL), notamment l'analyse syntaxique. Nous expliquons les problèmes rencontrés et les méthodes adoptées pour permettre leur intégration dans un analyseur syntaxique. Nous proposons LGExtract, un outil générique pour générer un lexique syntaxique pour le TAL à partir des tables du Lexique-Grammaire. Il est relié à une table globale dans laquelle nous avons ajouté les propriétés manquantes et un unique script d'extraction incluant toutes les opérations liées à chaque propriété devant être effectuées pour toutes les tables. Nous présentons également LGLex, le nouveau lexique syntaxique généré des verbes, des noms prédicatifs, des expressions figées et des adverbes. Ensuite, nous montrons comment nous avons converti les verbes et les noms prédicatifs de ce lexique au format Alexina, qui est celui du lexique Lefff (Lexique des Formes Fléchies du Français) (Sagot, 2010), un lexique morphologique et syntaxique à large couverture et librement disponible pour le français. Ceci permet son intégration dans l'analyseur syntaxique FRMG (French MetaGrammar) (Thomasset et de La Clergerie, 2005), un analyseur profond à large couverture pour le français, basé sur les grammaires d'arbres adjoints (TAG), reposant habituellement sur le Lefff. Cette étape de conversion consiste à extraire l'information syntaxique codée dans les tables du Lexique-Grammaire. Nous présentons les fondements linguistiques de ce processus de conversion et le lexique obtenu. Nous évaluons l'analyseur syntaxique FRMG sur le corpus de référence de la campagne d'évaluation d'analyseurs du français Passage (Produire des Annotations Syntaxiques à Grande Échelle) (Hamon et al., 2008), en comparant sa version basée sur le Lefff avec notre version reposant sur les tables du Lexique-Grammaire converties
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L’évolution de l’évaluation de la composante linguistique de la compétence à écrire par le ministère de l’Éducation : une étude longitudinale sur les épreuves uniques de 5e secondaire

Lombard, Vincent 11 1900 (has links)
Cette recherche vise à décrire comment a évolué l’évaluation de la compétence à écrire dans les épreuves uniques d’écriture de 5e secondaire, en portant spécifiquement le regard sur la composante linguistique de cette compétence. Une recherche documentaire a permis de recueillir des épreuves et autres documents les concernant pour une période allant de 1971 à 2012. Bien que notre étude porte en particulier sur les épreuves uniques d’écriture, implantées en 1986, nous avons pu remonter plus loin dans le temps afin de brosser un tableau le plus large possible de l’évaluation certificative de l’écriture en 5e secondaire. Plusieurs aspects sont analysés : le contexte des épreuves, les tâches qu’elles contiennent, les paramètres encadrant leur correction, ainsi que les seuils de réussite relatifs à la langue, les épreuves entières, la compétence à écrire et la matière français, langue d’enseignement. Nous avons également pu observer, à l’échelle provinciale, l’évolution des résultats des élèves aux épreuves uniques d’écriture. À l’aide de divers concepts théoriques reliés à l’évaluation de la compétence écrire et sa composante linguistique, un cadre méthodologique a été développé pour permettre l’analyse des épreuves d’écriture. Celle-ci révèle notamment que la nature des tâches et leurs paramètres sont restés assez constants dans le temps, particulièrement depuis 1986. Le nombre d’erreurs linguistiques permises a augmenté, alors que les résultats des élèves sont restés stables. De plus, le regard historique de cette étude montre comment le ministère de l’Éducation accorde à notre époque une grande importance à l’écriture et à la correction de l’orthographe. / This research aims to describe the ways in which the evaluation of written French has evolved within the “épreuves unique” of secondary 5. More specifically, it analyzes the evolution of evaluation methods regarding written language conventions in these examinations. A documentary research has allowed us to collect examinations and other related documents for a time span stretching from 1971 to 2012. Although our study specifically looks into the “épreuves uniques”, which were implanted in 1986, we have chosen to go back further in time in order to depict a larger portrait of certificate evaluation of French writing in secondary 5. Many aspects are analyzed: context of examinations, tasks contained within them, scoring parameters and pass levels regarding language conventions, examinations as a whole as well as writing and the French language. We have also observed the province-wide evolution of students’ results for these examinations. Using a variety of theoretical concepts related to the evaluation of written language conventions, a methodology was developed in order to allow the analysis of writing assignments. The latter notably reveals that the nature of such tasks and their parameters have remained relatively constant in time, particularly since 1986. The number of allowed language-related mistakes has augmented, whereas students’ results have remained stable. Furthermore, the historic perspective of this study illustrates how the ministère de l’Éducation nowadays allows a great importance to writing and the correction of spelling mistakes.
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La famille et les langues : une étude sociolinguistique de la deuxième génération de l'immigration africaine dans l'agglomération rouennaise /

Leconte, Fabienne. January 1998 (has links)
Texte remanié de: Th. État--Sci. du langage--Rouen. / Bibliogr. p. 271-282.
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Le role de l'anticipation dans l'apprentissage d'une langue seconde : etudes et applications didactiques pour l'enseignement du francais langue etrangere. / The mechanism of anticipation in language learning : studies and didactical prospective for the teaching of French as a second language

Vanleene, François 29 March 2013 (has links)
Notre étude se propose de décrypter de façon expérimentale le parcours interprétant dans l’apprentissage d’une langue étrangère telle que le français, en remettant en cause le concept traditionnel du décodage analytique et en lui substituant celui d’anticipation. Notre hypothèse est que la compréhension d’un énoncé ne repose pas sur une addition chronologique et continue de signes mais se construit à partir de procédures invariantes d’identification du sens, de reconnaissance de structures et de schèmes universaux. Le premier chapitre pose les jalons de notre recherche en introduisant trois théories fondamentales dans l’explication possible du phénomène d’anticipation : celle de la Grammaire Universelle (Chomsky), celle des Opérations Énonciatives et Prédicatives (Culioli) et celle de la Sémantique Générale (Pottier). Nous discutons des différents éclairages qu’apportent ces théories et nous les mettons en relation avec l’objet de notre recherche. Dans le second chapitre, nous présentons les supports iconographiques à partir desquels nous avons élaboré notre expérience, lesquels présentent l’avantage d’être neutres, syntaxiquement ajustables et interprétables dans la langue maternelle des participants autant que dans la langue cible. Nous introduisons notre public chinois, ainsi que la nature de l’expérience, qui consiste à convertir des énoncés oraux en séquences iconographiques. Nous présentons également la spécificité linguistique des phrases que nous utilisons en les analysant à l’aide des théories introduites dans notre première partie. Notre troisième chapitre analyse les productions des 14 sujets, en tenant compte de la nature des icônes sélectionnées, l’ordre de leur sélection et la disposition dans laquelle elles ont été placées. Ces trois paramètres permettent de révéler différents schèmes d’anticipation tout en appuyant la théorie selon laquelle la compréhension est un processus de reconstruction, à partir de savoirs conceptuels, cognitifs et linguistiques. Le dernier chapitre résume l’ensemble de l’expérience, synthétise nos conclusions et les confronte avec les théories portant sur les universaux et les invariants. Il définit également des orientations possibles dans le domaine de la didactique des langues étrangères, qui tiennent compte du concept d’anticipation / This study intends to decrypt experimentally the interpreting process in the learning of a second language such as French, by questioning the traditional concept of analytical decoding and by substituting it the principle of anticipation. Our hypothesis is that utterances are not understood through a continuous and chronological adding of signs, but is rather constructed from invariant procedures of identification of the meaning and from the recognition of structures and universal schemes. The first chapter prepares the ground for this research by introducing three essential theories which could explain the phenomenon of anticipation: the theories of Universal Grammar (Chomsky), of Enunciative and Predicative Operations (Culioli) and of General Semantics (Pottier). We discuss the various prospects brought by these theories and we relate them with the topic of our research. In the second chapter, we present the iconographic material we have conducted our experiment with, the advantages of which consist in being neutral, syntactically adjustable andinterpretable in the subjects’ native tongue as much as in the target language. We introduce the Chinese participants and the principles of our experiment, which consists in converting oral utterances to iconographic sequences. We present the linguistic features of the sentences we have used by the aid of the theories we reviewed in the first section. In our third chapter, we make the analysis of the 14 subjects’ productions by taking account of the nature of the chosen icons, the order in which they are selected and their placement in the sequences. These three parameters allow us to reveal various schemes of anticipation and to confirm the theory according to which comprehension is a process of reconstruction from conceptual, cognitive and linguistic knowledge. The last chapter sums the experiment up, summarize our conclusions and test them against the theories about language universals and invariants. It defines also some possible threads that can be followed in the field of language acquisition and which consider the role of anticipation.
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Construction nationale et revendications linguistiques en contexte minoritaire : le cas des Bunjevci de Bačka (Serbie) / National construction and linguistic claims in minority context : the case of the Bunjevci of Bačka (Serbia)

Dubois, Chloé 23 September 2016 (has links)
Les Bunjevci sont un petit groupe ethnolinguistique sud-slave qui réside dans la région de Bačka, au nord de la Province de Voïvodine en Serbie, ainsi qu'au sud de la Hongrie voisine. À travers une approche monographique et transdisciplinaire, nous tentons de contribuer à la compréhension des rapports complexes entre langue et identité (ethno)nationale en contexte minoritaire. Les Bunjevci peuvent être considérés, selon l'anthropologue serbe M. Prelić (2007), comme un groupe « à l'identité ethnique controversée ou contestée ». En effet, la question de leur appartenance ethnonationale – notamment leur catégorisation vis-à-vis des autres groupes sud-slaves de la région, Croates et Serbes – fait l'objet de débats depuis plusieurs siècles, dans les sphères politiques et scientifiques. Au cours de l'histoire, ils se sont trouvés en périphérie de divers mouvements d'intégration nationale (hongrois, serbe, croate, yougoslave) qui tendaient à les incorporer. À l'heure actuelle, bien qu'ils soient officiellement reconnus comme l'une des nombreuses « minorités nationales » de Serbie, ce statut leur est formellement dénié, de l'autre côté de la frontière, par les institutions hongroises. Leur existence en tant qu'entité ethnonationale particulière est également explicitement contestée par la Croatie voisine, tout comme par les institutions de la minorité nationale croate en Serbie, qui perçoivent les Bunjevci comme des Croates. Ayant obtenu le statut de « minorité nationale » au début des années 2000, les Bunjevci de Serbie – ou plutôt, les activistes nationaux qui les représentent – amorcent un véritable processus de (re)construction nationale dans lequel un rôle primordial est attribué à la langue. La « langue des Bunjevci » (bunjevački jezik), une variété štokavienne ikavienne (autrefois considérée comme un parler local de la langue serbo-croate), est aujourd'hui placée au centre des revendications de cette minorité et mise en avant comme un des éléments assurant l'individuation des Bunjevci vis-à-vis des Serbes et des Croates. / The Bunjevci are a small South Slavic ethnolinguistic group which lives in the Bačka region, in the north of the Province of Vojvodina in Serbia, as well as in the south of neighboring Hungary. Through a monographic and interdisciplinary approach, we try to contribute to the understanding of the complex relationship between language and (ethno)national identity in a minority context. According to the Serbian anthropologist M. Prelić (2007), the Bunjevci can be considered as a group "with controversial or disputed ethnic identity". Indeed, the question of their ethnonationality – especially their categorization vis-à-vis other South Slavic groups in the region, Croats and Serbs – has been the subject of debate for centuries, in political and scientific spheres. In the past, they were located on the periphery of various national integration movements (Hungarian, Serbian, Croatian, Yugoslavian) which tended to incorporate them. Today, although they are officially recognized as one of the many "national minorities" of Serbia, the Hungarian institutions formally deny them this status on the other side of the border. Their existence as a particular ethnonational entity is also explicitly contested by neighboring Croatia, as well as by the institutions of the Croatian national minority in Serbia, which perceive Bunjevci as Croats. Having obtained the status of "national minority" in the early 2000s, the Bunjevci of Serbia – or rather, the national activists representing them – begin a genuine process of national (re)construction in which a key role is assigned to the language. The "Bunjevac language" (bunjevački jezik), a štokavian ikavian variety (once considered as a local speech of the Serbo-Croatian language), is now placed at the center of the minority's claims and put forward as one of the elements ensuring the individuation of the Bunjevci from the Serbs and the Croats.
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Topologies et faisceaux en sémantiques des textes : pour une herméneutique formelle / Topologies and sheaves in semantics of texts : towards a formal hermeneutics

Prosorov, Oleg 17 December 2008 (has links)
Cette thèse vise à établir une théorie sémantique des textes appelée herméneutique formelle qui applique des méthodes mathématiques rigoureuses dans l'étude des processus d'interprétation des textes en langue naturelle, dits admissibles, que nous dirons écrits « avec bonne volonté » en tant que messages destinés à la compréhension. Dans le paradigme phonocentrique de lecture, une langue est décrite dans une catégorie Logos dite des espaces textuels. Un genre particulier des textes y définit une sous-catégorie pleine des schémas formels discursifs. Définies pour un texte X donné, la catégorie Schl(X) des faisceaux des significations fragmentaires, dite de Schleiermacher, sert à formaliser un principe compositionnel généralisé de Frege, et la catégorie Context(X) des espaces étalés des significations contextuelles sert à formaliser un principe contextuel généralisé de Frege. Établie par le foncteur de sections et le foncteur de germes, une équivalence de catégories Schl(X)?Context(X), dite dualité de Frege, donne lieu à une représentation fonctionnelle des significations fragmentaires, ce qui permet de décrire le processus de la compréhension d'un texte. Nous considérons comme universaux linguistiques la connexité et la T0–séparabilité de Kolmogoroff de la topologie phonocentrique sous-jacente à un texte. Dans le paradigme logocentrique de lecture, une langue est décrite dans une catégorie appelée site textuel qui est une catégorie munie de la topologie de Grothendieck moyennant les familles couvrantes d'explications fragmentaires ; un principe compositionnel généralisé de Frege dit que tout préfaisceau d'explications fragmentaires sur un site textuel est en fait un faisceau. / This thesis aims to establish a discourse interpretation theory named formal hermeneutics that applies rigorous mathematical methods in studying the process of interpretation of natural language texts supposed to be written “with a good grace” as the messages intended for human understanding; we call them admissible. In the phonocentric paradigm, a natural language is described in the category of textual spaces Logos. A particular genre of texts defines there a full subcategory of formal discourse schemes. For a given admissible text X, we introduce the category Schl(X) of sheaves of fragmentary meanings, called category of Schleiermacher, in termes of which a generalized Frege's compositionality principle is formulated, and we also introduce the category Context(X) of étale bundles of contextual meanings in termes of which a generalized Frege's contextuality principle is formulated. Established by the section-functor and the germ-functor, an equivalence of categories Schl(X)?Context(X), called Frege duality, gives rise to a functional representation for fragmentary meanings that allows one to describe the process of text understanding. We consider as linguistic universals the connectidness and the Kolmogoroff’s T0–separability of the phonocentric topology underlying to a text. In the logocentric paradigm of interpretation, our approach describes a natural language in a category named textual site which is a category endowed with a Grothendieck topology by means of covering families of fragmentary explications; a generalized Frege's compositionality principle states that any presheaf of fragmentary explications on a textual site is really a sheaf.
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Languages as factors of reading achievement in PIRLS assessments / Les langues, facteurs du rendement en lecture dans les évaluations PIRLS

Gómez Vera, Gabriela 27 January 2011 (has links)
Le point de départ de cette recherche concerne la question suivante : l’acquisition de la lecture, peut-il être plus ou moins efficace en fonction de la langue dans laquelle il s’effectue? Deux catégories pour classer les langues on été définies dans ce travail. Premièrement, la notion de famille linguistique est à la base d’une description des langues à partir d'une perspective historique et culturelle. Deuxièmement la notion de profondeur orthographique est mobilisée, celle-ci différencie les langues en fonction de la correspondance entre l'orthographe et la phonétique. Ces catégories ont été mises en rapport avec les bases de données PIRLS 2001 et 2006 (étude internationale sur la lecture menée par l'IEA), afin de relier la performance en lecture et la langue dans laquelle les élèves ont répondu au test. Toutefois, il est clair que la langue n'est pas un facteur isolé, car elle fait partie d'un ensemble complexe de déterminants; ainsi, des facteurs liés aux élèves et au milieu scolaire ont également été incorporés dans l'étude. En outre, il a été tenu compte de la multidimensionnalité du processus de lecture, en distinguant dans les analyses les différents domaines mesurés par l’enquête : lecture d'informative, littéraire, et compréhension des processus d'ordre complexe et simple. Pour répondre aux questions de cette recherche nous avons élaboré un modèle statistique hiérarchique capable de rendre compte de la relation entre la compréhension de la lecture, la langue et les facteurs qui y sont associés. En dernière analyse, les facteurs contextuels (individuels et scolaires) se sont révélés être plus importants que la langue elle-même. En outre, les déterminants du niveau en lecture dépendent des systèmes éducatifs observés dans cette enquête. / The starting point of this research is the question, may reading acquisition be more or less effective depending on the language in which it is perform? Two categories for classifying the languages have been developed. First the notion of linguistic family is employed to describe the languages from a cultural and historical perspective. Secondly, the notion of orthographic depth is used for differentiating the languages according to the correspondence between orthography and phonetic. These categories have been related to the databases PIRLS 2001 and 2006 (international assessments about reading developed by the IEA), the aim being to connect reading achievement to the language in which students answered the test. However, it is clear that the language is not an isolated factor, but part of a complex structure of determinants of reading. Therefore, factors related to students and schools have also been incorporated to this research. Moreover, the multidimensionality of the reading process has been taken into account by distinguishing in the analysis the different aspects that made the process according to PIRLS: informative reading, literary reading, process comprehension of high and low order. To answer to the questions proposed by this research a hierarchical statistical model (multilevel) was developed, it was able to account for the connection between reading achievement, language and other associated factors. As a result, contextual factors (home and school) were more significant than language. Moreover, determinacy may vary if taking into account educational systems.

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