• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 12
  • 2
  • Tagged with
  • 16
  • 12
  • 10
  • 9
  • 9
  • 9
  • 6
  • 6
  • 5
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • 4
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Les présupposés du libéralisme politique : quelle justification ? John Rawls et l'hypothèse herméneutique / The presuppositions of political liberalism : what justification ? John Rawls and the hermeneutic assumption

Desmons, Ophélie 03 December 2013 (has links)
Pour de nombreux architectes du libéralisme politique contemporain, la neutralité constitue une caractéristique définitionnelle du libéralisme politique. Il est pourtant clair que ces nouvelles formulations du libéralisme ne sont pas exemptes de tout présupposé substantiel. Le libéralisme politique de Rawls, par exemple, accorde de la valeur aux notions de liberté, d'égalité et d'équité. Comment la présence de tels présupposés substantiels est-elle conciliable avec la prétention à la neutralité ? Tel est le problème qui est à l'origine de ce travail de recherche. Pour le résoudre, un vaste travail d'explicitation des présupposés du libéralisme, et plus particulièrement du libéralisme politique de John Rawls, ainsi qu'une étude critique du terme « neutralité » ont été réalisés. Avec Rawls, contre une conception procédurale de la neutralité, je défends la neutralité des justifications et démontre qu'elle constitue la conception de la neutralité la plus plausible. Une justification neutre est définie comme justification fondée sur des conceptions communes, c'est-à-dire partagées. Se pose alors la question de la justification de ces présupposés substantiels tenus pour communs. J'indique comment, chez Rawls, la question de la justification reçoit une réponse conceptuelle. Rawls résout cette question en soutenant une conception cohérentiste de la justification et en développant un certain nombre de concepts innovants, au premier rang desquels l'équilibre réfléchi, dont je défends une conception extensive. Si puissants que soient ces outils conceptuels, dans la mesure où les présupposés du libéralisme sont considérés comme étant implicites dans la culture politique publique, ces présupposés semblent néanmoins appeler une autre forme de justification : une justification herméneutique. Si les présupposés du libéralisme sont le résultat d'une interprétation, il faut être capable de rendre raison de cette interprétation. La deuxième partie de ce travail se met en quête d'une telle justification herméneutique, en se fondant sur l'hypothèse qu'elle est disponible dans les travaux que Rawls consacre à l'histoire de la philosophie : les Lectures on the History of Moral Philosophy et les Lectures on the History of Political Philosophy. Pour de nombreux architectes du libéralisme politique contemporain, la neutralité constitue une caractéristique définitionnelle du libéralisme politique. Il est pourtant clair que ces nouvelles formulations du libéralisme ne sont pas exemptes de tout présupposé substantiel. Le libéralisme politique de Rawls, par exemple, accorde de la valeur aux notions de liberté, d'égalité et d'équité. Comment la présence de tels présupposés substantiels est-elle conciliable avec la prétention à la neutralité ? Tel est le problème qui est à l'origine de ce travail de recherche. Pour le résoudre, un vaste travail d'explicitation des présupposés du libéralisme, et plus particulièrement du libéralisme politique de John Rawls, ainsi qu'une étude critique du terme « neutralité » ont été réalisés. Avec Rawls, contre une conception procédurale de la neutralité, je défends la neutralité des justifications et démontre qu'elle constitue la conception de la neutralité la plus plausible. Une justification neutre est définie comme justification fondée sur des conceptions communes, c'est-à-dire partagées. Se pose alors la question de la justification de ces présupposés substantiels tenus pour communs. J'indique comment, chez Rawls, la question de la justification reçoit une réponse conceptuelle. Rawls résout cette question en soutenant une conception cohérentiste de la justification et en développant un certain nombre de concepts innovants, au premier rang desquels l'équilibre réfléchi, dont je défends une conception extensive. Si puissants que soient ces outils conceptuels, dans la mesure où les présupposés / Many supporters of political liberalism consider that neutrality is part of the definition of liberalism. Yet, it is obvious that these new forms of liberalism are not free from substantive presuppositions. Rawls's political liberalism, as an example, values freedom, equality and fairness. But how can such substantive commitments be compatible with the claim for neutrality?This problem is the starting point of this thesis. To solve it, I work to make the presuppositions of liberalism explicit, especially those of Rawls's political liberalism, and I carry out a critical study of the word “neutrality”. With Rawls and against a procedural conception of neutrality, I support a conception of neutrality as justificatory neutrality, which I consider the most believable conception of neutrality. A neutral justification is defined as a justification which is based on shared conceptions. So, the question to be answered is the question of the justification of these substantive presuppositions, which are taken for shared. I study how Rawls gives a conceptual answer to the question of justification. Rawls answers this question supporting a coherentist conception of justification and developing innovative concepts, such as the concept of reflective equilibrium, of which I support an extensive conception. However convincing these concepts may be and because Rawls considers that the liberal presuppositions are implicit in the public political culture, it seems to me that these presuppositions call for another form of justification: a hermeneutic justification. If the presuppositions are the final result of an interpretation, this interpretation has to be justified. The second part of this thesis looks for such a hermeneutic justification. Its main assumption is that such a justification can be found in Rawls's works on the history of philosophy: the Lectures on the History of Moral Philosophy and the Lectures on the History of Political Philosophy.
12

Revue critique des arguments en faveur et à l'encontre de la théorie humienne de la motivation

Soulières, Patrick 12 1900 (has links)
Bien qu'elle constitue toujours l'orthodoxie en philosophie de l'esprit, la théorie humienne de la motivation (selon laquelle la motivation origine toujours d'un désir et jamais d'une croyance seule) a été plusieurs fois critiquée au cours des dernières décennies. Je passe ici en revue les principaux arguments avancés à la fois pour appuyer et rejeter cette théorie. Du côté humien, j'examine l'argument des croyances identiques, l'argument de la direction d'ajustement et l'argument de l'uniformité théorique. Du côté anti-humien, l'objection voulant que la notion de direction d'ajustement soit circulairement caractérisée, l'objection des croyances irrationnelles et l'objection selon laquelle certains états mentaux présenteraient deux directions d'ajustement. Je conclus qu'aucune de ces objections ne devrait nous conduire à rejeter la théorie humienne, mais aussi que cette dernière trouve son principal appui du côté des considérations relatives à l'uniformité théorique et non du côté de l'argument de la direction d'ajustement comme le pensent plusieurs. / Although remaining orthodoxy in philosophy of mind, the humean theory of motivation (according to which motivation always comes from a desire, never from a belief alone) has often been critized over the last decades. Here I review the main arguments put forward both to support and reject this theory. On the humean side, I examine the argument from identical beliefs, the direction of fit argument and the argument from theoretical uniformity. On the anti-humean side, the objection that direction of fit caracterizations are circular, the objection from irrational beliefs and the objection according to which there could be mental states with two direction of fit. I conclude that none of these objections should lead us to reject the humean theory, but also that this one finds its main support in theoretical unifomity considerations and not in the direction on fit argument as many think.
13

Dialectique et sécularisation chez Charles Taylor

St-Laurent, Guillaume 08 1900 (has links)
L’objectif central du présent mémoire consiste à interroger les implications générales de l’interprétation taylorienne de la sécularisation, telle que déployée dans ‘A Secular Age’ (2007), pour la philosophie de la religion. Nous soutenons que l’approche herméneutique de notre auteur, reposant sur son anthropologie philosophique, a pour effet d’arrimer de façon indissociable et originale le problème de la sécularisation avec le questionnement philosophique sur la religion. À cet effet, nous présentons la critique du naturalisme déployée par Taylor ainsi que les grandes lignes de sa ‘dialectique’ afin de clarifier l’orientation générale de sa démarche. Nous passons ensuite à une analyse de son interprétation de la sécularisation ainsi que des implications de cette dernière pour les questions constitutives de la philosophie de la religion, touchant notamment la nature de la religion, le statut épistémologique des croyances religieuses, les rapports entre foi et raison ainsi que la relation entre la religion et la science moderne. Nous terminons sur un ton plus critique en interrogeant le ‘réalisme métaéthique’ de notre auteur et en soutenant que sa position pourrait constituer la base d’un ‘récit soustractif’ plus robuste et pénétrant. / The central aim of this work is to assess the most general implications of the interpretation of secularization by Charles Taylor, as it is deployed in ‘A Secular Age’ (2007), for the domain of philosophy of religion. We argue that the hermeneutical approach of Taylor, resting on his philosophical anthropology, binds together in an original and indivisible fashion the problem of secularization and the philosophical reflection on religion. To this effect, I describe his critique of naturalism and the broad lines of his ‘dialectic’ in order to clarify the general orientation of his work. I then move to an analysis of his interpretation of secularization and its implications for the constitutive questions in philosophy of religion, notably regarding the nature of religion, the epistemological status of religious beliefs, the relations between faith and reason as well as between religion and modern science. I conclude on a more critical note with an examination of the ‘metaethical realism’ of our author and by showing that his position might best be understood as the basis for a deepened and reinforced ‘subtraction story’.
14

Le rôle de l'intuition en épistémologie morale

Berthiaume, Maxime 08 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur la valeur épistémique des intuitions en éthique. Avoir l’intuition que quelque chose est moralement bon ou mauvais justifie-t-il le fait de croire que cette chose est réellement bonne ou mauvaise? Pour répondre à cette question, je tâcherai d’abord d’expliquer ce qu’est une intuition. Ensuite, j’examinerai les deux grandes familles de théories en épistémologies morale : le fondationnalisme et le cohérentisme. Je me pencherai sur le rôle que l’intuition peut jouer dans ces deux grandes familles et je défendrai que les théories fondationnalistes sont préférables aux théories cohérentistes. Je consacrerai donc la majeure partie de ce mémoire à analyser le rôle que l’intuition peut avoir dans les théories fondationnalistes en épistémologie morale. On nomme « intuitionnistes » les théories fondationnalistes en épistémologie morale qui soutiennent que l’intuition permet de saisir des réalités morales indépendantes de nous. Suivant une distinction d’Henry Sidgwick, j’identifierai trois sortes d’intuitionnisme : l’intuitionnisme perceptuel, dogmatique et philosophique. Je m’attarderai principalement à l’examen de la plausibilité de ces trois théories. Finalement, je présenterai la conclusion à laquelle j’en suis venu à la suite de cet examen, soit que l’intuitionnisme philosophique est la forme d’intuitionnisme la plus plausible et qu’elle peut répondre à plusieurs objections souvent adressées à l’intuitionnisme. / This memoir is about the epistemic value of moral intuitions. Does having an intuition that something is morally right or wrong gives us good reasons to believe that the thing we have the intuition about is right or wrong? To answer this question, I’ll start by explaining what an intuition is. Then, I’ll look into the two biggest theories in moral epistemology: foundationalism and coherentism and how intuition can have a role in both of them. I’ll come to the conclusion that foundationalist theories are preferable to coherentist theories. The rest of the memoir will be a discussion of foundationalist theories in moral epistemology in which moral intuitions are what can justify some foundational beliefs. Those theories are called ‘’intuitionist’’. Following a distinction made by 19th century philosopher Henry Sidgwick, I’ll identify three ways in which intuitionism can be defended: perceptual intuitionism, dogmatic intuitionism and philosophical intuitionism. I’ll explain in details what are those theories and see if they are good theories in moral epistemology. Then, I’ll consider some general objections directed toward intuitionism and see if intuitionism can resist those objections. I come to the conclusion that philosophical intuitionism can resist most of the best objections addressed toward it and that it’s a very plausible theory in moral epistemology.
15

L'itinéraire philosophique d'Hilary Putnam, des mathématiques à l'éthique

Rochefort, Pierre-Yves 09 1900 (has links)
Dans cette thèse, je propose une lecture renouvelée de l’itinéraire philosophique d’Hilary Putnam concernant la problématique du réalisme. Mon propos consiste essentiellement à défendre l’idée selon laquelle il y aurait beaucoup plus de continuité, voir une certaine permanence, dans la manière dont Putnam a envisagé la question du réalisme tout au long de sa carrière. Pour arriver à une telle interprétation de son oeuvre, j’ai essentiellement suivi deux filons. D’abord, dans un ouvrage du début des années 2000, Ethics without Ontology (2004), Putnam établit un parallèle entre sa conception de l’objectivité en philosophie des mathématiques et en éthique. Le deuxième filon vient d’une remarque qu’il fait, dans l’introduction du premier volume de ses Philosophical Papers (1975), affirmant que la forme de réalisme qu’il présupposait dans ses travaux des années 1960-1970 était la même que celle qu’il défendait en philosophie des mathématiques et qu’il souhaitait défendre ultérieurement en éthique. En suivant le premier filon, il est possible de mieux cerner la conception générale que se fait Putnam de l’objectivité, mais pour comprendre en quel sens une telle conception de l’objectivité n’est pas propre aux mathématiques, mais constitue en réalité une conception générale de l’objectivité, il faut suivre le second filon, selon lequel Putnam aurait endossé, durant les années 1960-1970, le même type de réalisme en philosophie des sciences et en éthique qu’en philosophie des mathématiques. Suivant cette voie, on se rend compte qu’il existe une similarité structurelle très forte entre le premier réalisme de Putnam et son réalisme interne. Après avoir établi la parenté entre le premier et le second réalisme de Putnam, je montre, en m’inspirant de commentaires du philosophe ainsi qu’en comparant le discours du réalisme interne au discours de son réalisme actuel (le réalisme naturel du commun des mortels), que, contrairement à l’interprétation répandue, il existe une grande unité au sein de sa conception du réalisme depuis les années 1960 à nos jours. Je termine la thèse en montrant comment mon interprétation renouvelée de l’itinéraire philosophique de Putnam permet de jeter un certain éclairage sur la forme de réalisme que Putnam souhaite défendre en éthique. / In this dissertation I propose a new reading of the philosophical itinerary of Hilary Putnam on the matter of realism. In essence, my purpose is to argue that there is much more continuity than is normally understood, and even a degree of permanence, in the way in which Putnam has viewed the question of realism throughout his career. To arrive at this interpretation of Putnam I essentially followed two veins in his work. First, in a volume published in the early 2000s entitled Ethics without Ontology (2004), Putnam establishes a parallel between his conception of objectivity in the philosophy of mathematics and in ethics. The second vein comes from a comment he made in the introduction to the first volume of his Philosophical Papers (1975) to the effect that the kind of realism he presupposed in his work of the 1960s and 70s was the same that he upheld in the philosophy of mathematics and wished to argue for at a later date in ethics. Following the first vein makes it possible to better grasp Putnam’s general conception of objectivity, but in order to understand how such a conception of objectivity is not unique to mathematics but is instead a general conception of objectivity one must follow the second vein. There, in the 1960s and 70s, Putnam adopted the same kind of realism in the philosophy of science and in ethics as he had in the philosophy of mathematics. Following this path, one realises that there exists a very strong structural similarity between Putnam’s first realism and his internal realism. After establishing this connection between Putnam’s first and second realism, I draw on Putnam’s remarks and compare the internal realism discourse to his current realism (the natural realism of ordinary people) to demonstrate, contrary to the prevalent interpretation, that there has been a great deal of consistency in his conception of realism from the 1960s to the present day. I conclude the dissertation by demonstrating how my new interpretation of Putnam’s philosophical itinerary makes it possible to shed light on the kind of realism he wishes to champion in ethics.
16

Métaéthique de la croyance : une défense pragmatiste de la responsabilité et de l’autonomie mentale

Montplaisir, Samuel 08 1900 (has links)
No description available.

Page generated in 0.0909 seconds