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Les tombeaux et les épitaphes de Ghazni (Afghanistan) entre le XVe et le XVIIIe siècle / Tombs and epitaphs from Ghazni (Afghanistan, 15th-18th centuries)

Massullo, Martina 30 October 2017 (has links)
Les fouilles archéologiques et les prospections conduites à Ghazni ont permis de collecter une grande quantité de documents épigraphiques. Parmi ceux-ci, un corpus inédit d’inscriptions funéraires en langue arabe, gravées sur des tombeaux en marbre, fait l’objet de cette étude qui se base sur un fonds photographique unique, gardé dans les archives de la Mission Archéologique italienne en Afghanistan (1957-1978). Ces tombeaux, datés entre le VIIIe/XVe et le XIIe/XVIIIe siècle, témoignent d’une nouvelle phase d’activité de la ville après la période d’abandon dans laquelle elle fut plongée au VIIe/XIIIe siècle, suite à l’invasion des hordes mongoles. À cette époque, Ghazni perd à jamais son rôle politique et culturel mais la ville continue à jouir d’une réputation de sacralité assurée par la présence de mausolées et de tombeaux vénérables des souverains ghaznévides et des personnages renommés de l’époque qui y furent enterrés. Leurs tombeaux devinrent bientôt des lieux de dévotion populaire et de pèlerinage inscrits dans un circuit dévotionnel d’importance locale. Le prestige historique et religieux de ces monuments est resté intact et s’est renouvelé au fil du temps, les cimetières de la ville ont grandi et se sont multipliés jusqu’à dessiner une nouvelle topographie urbaine. Ces tombeaux et leurs épitaphes permettent de retracer un profil tout-à-fait nouveau de la ville et de ses habitants entre la fin du moyen-âge et l’époque pré-moderne. Il s’agit de monuments authentiques en termes de forme et conception, résultat d’une production qui n’est pas associée à une dynastie ou à une époque particulière, mais qui est fortement enracinée dans la culture locale de la ville / Archaeological investigations and surveys in Ghazni - the ancient capital of the Ghaznavids (late 10th-12th c.) - delivered a large amount of epigraphic documents. Among these, an unpublished corpus of funerary inscriptions engraved on marble tombs is the object of this study, mostly based on the photographic archives of the Italian Archaeological Mission in Afghanistan (1957-1978).These lavishly decorated tombs, dating from the 15th century onwards, bear epitaphs carved in cursive script, which display a combined use of Arabic and Persian. They attest of a new phase of activity of the city and shed new light on Ghazni history, after the long period of dump and destruction it suffered in the aftermath of the Mongol invasion (early 13th century), when the city lost its ancient political and cultural hegemony. Nevertheless, Ghazni witnessed a new renaissance as a religious and pilgrimage centre as the high number of mausoleums, holy shrines and tombs prove. These monuments mostly belong to local prominent personalities and often preserved the echo of their prestige for centuries, attracting later burials and becoming part of a local holy itinerary. Extensive cemeteries and burial sites grew up all around the city, redefining the local sacred topography.The tombs and their epitaphs draw a new sketch of the city and its inhabitants between the late Middle Ages and pre-modern times. They maintained a refined level of craftsmanship along the centuries, showing an outstanding artistic longevity and originality which is the result of a production not associated to a particular dynasty or epoch but deeply rooted in Ghazni local culture
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La valeur du patrimoine bâti historique : Le cas du Mausolée Ferdowsi en Iran / The value of historic built heritage : The case of Ferdowsi mausoleum in Iran

Daneshdoust, Dousa 12 February 2015 (has links)
Cette étude examine si les sites historiques pourraient être considérés comme des biens publics ou non. Il étudie aussi les caractéristiques d'un site d’être considéré comme un bien public mondial. Considérant les sites historiques comme biens publics exige différent type de planification et gestion car ces sites sont généralement gérés par les gouvernements et les gouvernements engagent des coûts élevés pour leur restauration et leur entretien. Par conséquent, il serait important d'évaluer la valeur des différents sites de prioriser la restauration de ces sites. Donc, dans cette recherche différents types de valeurs générées par des sites historiques a été étudié et la méthode la plus appropriée pour évaluer la valeur totale des sites a été proposé. Ensuite, une étude empirique a été réalisée en constituant des données originales pour l'évaluation de la valeur du site du mausolée de Ferdowsi en Iran et la valeur totale du site ainsi que ses sous valeurs a été évaluée. / This study considers whether historic sites could be considered as public goods or not. It also studies the characteristics of a site to be considered as a global public good. Considering historic sites as public goods demands different kind of planning and management as these sites are usually are managed by Governments and Governments incur high cost for their restoration and maintenance. Therefore, it would be important to assess the value of the different sites to prioritize restoration of these sites. To this mean, in this research different kind of values generated from historic sites has been considered and the most proper method in order to assess the total value of the sites has been proposed. Then an empirical study has been carried out by constituting original data for the value assessment of the Ferdowsi mausoleum site in Iran and the total value of the siteas well as its sub values has been assessed.
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L’oblique dans le monde grec : concept et imagerie / Oblique in greek world : concept and imagery

Girard, Thibault 23 January 2015 (has links)
Quoi de plus inné que les concepts d’oblique, d’horizontal ou de vertical ? Pour nous, moderne, ces concepts fondamentaux sont la base de tout notre système de pensée, tant mathématique qu’artistique. Tout porterait à croire que ces principes soient présents dans la civilisation grecque, dont nous nous réclamons les héritiers. Ce n’est pourtant pas une évidence au vu des textes qui nous ont été rapportés. Homère n’a pas connu le concept d’oblique – aucun mot ne saurait le traduire dans la langue de son époque. Et même plus tard. Les Grecs ont cinq adjectifs pour signifier approximativement l’oblique : λοξός, πλάγιος, λέχριος, σκολιός et δόχμιος. Chaque discipline (cosmologie, optique, géographie, artistique, etc.) a sa façon d’appréhender ces cinq termes, qui ne recouvrent à chaque fois que partiellement notre notion d’oblique. Paradoxalement, ce que le langage écrit n’a pas synthétisé se retrouve en abondance dans l’imagerie. Plus surprenant encore, l’oblique dans l’image, que nous considérons comme signe du mouvement dans notre langage iconographique, se retrouve aussi bien pour signifier le mouvement que le repos. Deux monuments de l’art grec attirent notre attention sur ce nouveau paradoxe : la frise du Mausolée d’Halicarnasse et l’Athéna Pensive. A chaque fois l’oblique est présente, à chaque fois elle porte deux sens bien distincts. Ces deux formes de langage, écrit et imagé, apportent un éclairage différent, et pour le moins complémentaire, sur la façon dont les Grecs de l’Antiquité ont appréhendé (ou non) le concept d’oblique. / What could be more innate than the concepts of oblique, horizontal or vertical ? For us, modern, these three concepts are the basis of our whole system of thought, both mathematical and artistic. It would appear to be obvious that these principles are present in the Greek civilization, whose we claim the heirs. However that isn't so obvious in view of the texts that have survived. Homer didn’t know the concept of oblique - no words can translate it into the language of his time. And even later. The Greeks have five adjectives to mean approximately oblique : λοξός, πλάγιος, λέχριος, σκολιός and δόχμιος. Each discipline (cosmology, optic, geography, art, etc.) has its own way of looking at these five words, which cover partially our notion of oblique. Paradoxically, what the written language has not synthesized, can be found in many images. Even more surprising, the oblique in the image, which we consider as a sign of movement in our iconographic language, is found both here to signify the movement than the rest. Two monuments of Greek art call our attention to this new paradox : the frieze of the Mausoleum of Halicarnassus and the Mourning Athena. In each of them the oblique ligne is present, and wears two distinct senses. These two forms of language, written and pictorial, bring a different perspective, furthermore complementary, on how the ancient Greeks apprehended (or not) the concept of oblique.
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L'expansion urbaine de Damas extra muros depuis l'époque seldjukide jusqu'à la fin de l'époque mamelouke : l'exemple de quartier d'al-Midan / Extramural expansion of Damascus from the Seljukid period to the Mamluk period : the example of the quarter of al-Midan

Dayoub, Bassam 21 October 2016 (has links)
Le quartier d'al-Mïdan est un exemple judicieux pour présenter l'histoire et le développement de l'expansion urbaine extra-muros de la ville de Damas. En effet, son expansion s'est poursuivie sans interruption au fil des siècles. Longeant la Rue principale vers la Terre Sainte, l'Égypte et la Palestine, ce quartier a été divisé en trois parties (Nord, Centre et Sud) afin d'en faciliter son étude. Le quartier s'est développé à partir des villages des premières tribus arabes installées aux alentours de la muraille (VIIe et VIII siècle). La partie Nord a été le premier secteur du quartier à connaître un vrai essor dans son urbanisation jusqu'à l'époque ayyoubide (570-658/1174-1260) où le Musalla a été transformé en mosquée (en 606/1211) et où la partie centrale a connu un noyau d'urbanisation. A l'époque Mamelouke (658-923/1258-1516), le village al-Qubaybat est apparu dans le Sud avec sa mosquée, la Mosquée al-Karïmï (en 718/1318). Par la suite, la Mosquée de Manjak a été érigée (avant 826/1423) dans le secteur Central qui a intégré la partie Nord. Suite à cela, al-Qubaybat a perdu son indépendance en intégrant l'unité spatiale du quartier avant l'arrivée des ottomans (en 923/1516). L'étude architecturale de l'ensemble des monuments du quartier d'al-Mïdan révèle une identité spécifique avec, d'une part, l'absence totale de madrasa et, d'autre part, la présence de mausolées mamelouks à deux coupoles. Par ailleurs, le quartier présente le seul exemple dans l'architecture damascène d'un édifice proche du type« sabïl- maq'ad », bien connu au Caire d'époque mamelouke. Les sources historiques et les documents écrits des archives fournissent des listes importantes de monuments du quartier disparus de nos jours. Cela s'ajoute à la liste issue des travaux sur le terrain et permet d'avoir une vue plus complète sur l'histoire de l'urbanisation du quartier. La société a été composée de plusieurs classes: les notables (al-Kubartiou al-A 'yiin) qui ont collaboré avec les militaires pour contrôler les peuple (al-'Amma), sans oublier les grand commençants et les milices locales appelées « al-Zu 'ur ». Le pouvoir était représenté par un walï, qui avait la responsabilité de le contrôler, d'y maintenir l'ordre et de collecter les impôts. Ce dernier était soutenu dans sa mission par deux autres personnages : le Shaykh al-hara, qui en général était choisi par le pouvoir parmi les élites ou les personnes puissantes du quartier, et le 'Arif al-hara, qui était un des chefs des milices locales « al-Zu 'ur ». / The district of al-Mïdan is a perfect example to present the history and development of the extramural expansion of the city of Damascus. Indeed, its expansion has continued without interruption for centuries. On both sides of the main road to the Holy Land and Egypt, the area was divided into three sections (North, Central and South) to facilitate its study. The district started to develop from the villages of the first Arab tribes settled a round the wall (seventh and eighth century AD). The northern part was the first sector to experience a real momentum in its urbanization in the Ayyubid period (570-658 / 1174-1260), where the Musalla was converted into a mosque (in 606/1211) and the central part became the core of urbanization. ln Mamluk times (658-923 / 1258-1516), the town of al-Qubaybat appeared in the South with its al­Karimï mosque (in 718/1318). Thereafter, the Jamï Manjak was erected (before 826/1423) in the central area which then incorporated the northern part. Subsequently, al-Qubaybat lost its independence by incorporating into the spatial unity of the area before the arrival of the Ottomans (in 923/1516). The architectural study of the monuments in the district of al-Mïdan reveals a specific identity, total lacking madrasas on the one hand, and on the other band, including: Mamluk mausoleum with two domes. Furthermore, the district has the only example in Damascus of a building approximating to the type "sabïl­maq'ad", well known under the Mamluks in Cairo. The historical sources and written documents of the archives provide important lists of monuments today disappeared. This can be added to the list of the monuments studied and provides a more comprehensive view of the area's urbanization. The social organization was composed of several classes: the notables (al-Kubariï or al-a’yan) who worked with the military to control the people (al-'Amma), without forgetting the well known merchants and local militias called "al-Zu'ur ". The authority was represented by the walï, who was responsible for control, maintaining order and collecting taxes. The walï was supported in his mission by two other persons: Shaykh al-hara, who in general was chosen by the authorities among the elites or powerful people in the district, and the 'Arif al- hara, who was a leader of local militias "al-Zu'ur".

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