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Idéaux du Moi et transgressions délictuelles à l'adolescence

Quentric, Erwan 28 November 2013 (has links) (PDF)
A partir d'une pratique clinique auprès de mineurs suivis dans un cadre judiciaire pénal, nous avons choisi d'aborder les problématiques de transgressions délictuelles à l'adolescence sous un angle interprétatif un peu décalé par rapport à celui, plus habituel, d'un défaut de régulation du Surmoi, en nous intéressant aux articulations dynamiques et topiques de celui-ci avec les instances idéales que sont le Moi-idéal et l'Idéal du Moi. Il apparaît pertinent de distinguer ces deux concepts, l'un étant le substitut du narcissisme primaire, constitué de fantasmes d'autarcie, d'omnipotence et de satisfaction absolue, l'autre étant l'héritier du complexe d'œdipe, fondé à travers l'élaboration du complexe de castration, et nourri des identifications aux objets parentaux idéalisés. Le Moi-idéal engage des mouvements de régression narcissique et apparaît comme un antagoniste du Surmoi, alors que l'Idéal du Moi soutient la maturation du Moi et, dans un développement normal, est amené à s'intriquer progressivement avec le Surmoi jusqu'à former un système Surmoi-idéal. Le Moi-idéal est le substitut du narcissisme primaire à partir de la reconnaissance de l'objet. L'Idéal du Moi peut être considéré comme le substitut du Moi-idéal dont il reprend les aspirations mais en se soumettant aux limites du désir que constituent l'épreuve de réalité, le sentiment de culpabilité et la castration symbolique. Nous soutenons avec d'autres auteurs que si l'Idéal du Moi s'ébauche au décours du complexe d'œdipe, il ne se structure véritablement qu'au cours du processus d'adolescence. Sa structuration s'étaye sur l'axe des relations d'objet isogénériques, c'est-à-dire concernant le parent du même sexe puis ses substituts, et ce à deux niveaux : à un niveau dyadique de relation, non ambivalente, et à un niveau triadique, ambivalent et œdipien. L'Idéal du Moi peut être considéré comme l'aboutissement de l'élaboration du complexe d'œdipe négatif, élaboration qui ne se réalise véritablement qu'à l'adolescence. L'étude clinique d'adolescents auteurs de transgressions délictuelles, sur un registre sexuel et/ou agressif, met en évidence l'existence de perturbations psychiques liées à des traumatismes et à des dysfonctionnements familiaux durant l'enfance de ces sujets, perturbations renforcées par le processus d'adolescence lui-même. L'articulation dynamique et topique entre instances en est atteinte. On peut ainsi repérer dans la séquence qui entoure le délit une alternance, plus ou moins radicale selon les cas, entre sentiment de triomphe et effondrement narcissique, signant respectivement les effets du Moi-idéal et du Surmoi archaïque. L'hypothèse centrale est que l'émergence d'actes délictuels n'est pas le signe d'une faiblesse du Surmoi, celui-ci apparaissant au contraire très actif aussi bien dans des registres de fonctionnement névrotique que limite ; l'apparente inefficience du Surmoi apparaît plutôt comme le résultat d'isolations, voire de clivages à l'intérieur du système Surmoi-idéal, et/ou d'une intensification du mouvement d'identification au Moi-idéal, mouvements défensifs qui érodent les effets interdicteurs du Surmoi. Ces mouvements défensifs peuvent être rangés sous ce que nous nommons une position perverse, investie régressivement ou révélant une inélaboration de la position dépressive et de la triangulation œdipienne.
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L'émergence de l'individualisme et le questionnement de la vérité dans la littérature victorienne, 1830-1900 : crise du moi, crise de la vérité

Brun, Agathe 28 June 2013 (has links) (PDF)
La période fin de siècle est considérée comme une époque de grands changements sociaux, philosophiques et artistiques. On oublie alors que la notion de fin de siècle n'apparaît pas ex nihilo et participe à un mouvement bien plus étendu, que retrace un siècle entier de changements, de découvertes et de questionnements. Dans ce travail de recherche, nous avons choisi de montrer que certains victoriens ont lutté pour donner à la littérature un statut plus complexe que de n'être que la simple représentation de la réalité. Cette vision réductrice, qui fait de l'art le miroir de la société, est contredite, in fine, par Walter Pater et Oscar Wilde. À travers ce refus d'un art-artisanat, c'est la question du moi qui surgit. Depuis le héros carlylien jusqu'au Christ individualiste de Wilde, les manifestations du moi prennent une ampleur nouvelle et insoupçonnée dans la littérature victorienne. La vérité, que Wilde rejette dans " Le Déclin du mensonge ", devient obsolète et laisse place au " faux ". Loin d'être universelle et une, la vérité se trouve dans le mensonge, car c'est l'âme et le désir de l'homme en tant qu'individu qu'elle traduit. En redéfinissant l'art comme une forme d'expression personnelle, indépendante et " sans fin ", pour reprendre le terme kantien, les artistes victoriens mettent un terme au long cycle historique qui avait négligé l'individu et se fondait sur la notion de vérité absolue. Au terme de nombreuses hésitations et remises en question, c'est la diversité de la vérité, portée par l'individu, qui semble triompher. Nous proposons alors de comprendre l'origine de ce changement vis-à-vis du moi - qu'il soit évolution ou rupture - et découvrir comment la vérité est devenue relative.
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L'idéal du moi comme point de mire et le social en toile de fond : une compréhension de la dynamique sociopsychique de l'itinérance des jeunes adultes /

Gilbert, Sophie, January 2004 (has links)
Thèse (D. en psychologie)--Université du Québec à Montréal, 2004. / En tête du titre: Université du Québec à Montréal. Bibliogr.: f. [461]-472. Publié aussi en version électronique.
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Gerard de Nerval et Charles Nodier le rêve et la folie /

Gouhier, Laetitia S. January 2003 (has links)
Thesis (M.A.)--Miami University, Dept. of French and Italian, 2003. / Title from first page of PDF document. Includes bibliographical references (p. 55-56).
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Zones fossilisées /

Tremblay, François-Léo, January 1988 (has links)
Mémoire (M.A.)-- Université du Québec à Chicoutimi, 1988. / Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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Identität der Person : sozialphilosophische Studien zu Kierkegaard, Adorno und Habermas /

Beck, Elke. January 1900 (has links)
Diss.--Institut für Philosophie--München--Ludwig-Maximilians-Universität, 1990.
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La construction du moi et les rituels, autobiographie et récits

Bureau, Ginette. January 1998 (has links) (PDF)
No description available.
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Beyond the heroic "I" : reading Lawrence, Hemingway, and "masculinity /

Clifford, Stephen P., January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Seattle (Wash.)--University of Washington. / Bibliogr. p. [340]-347. Index.
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Décadence et imaginaire littéraire dans les romans de Drieu La Rochelle : la représentation du corps / Decadence and litterary imaginary in the novels of Drieu la Rochelle : the picturing of the body

Silva, Sonia da 06 November 2009 (has links)
En s'employant par la plume au redressement de la France, Pierre Drieu la Rochelle s'inscrit dans la lignée des écrivains et des penseurs qui ont dénoncé la décadence – Paul Bourget et, surtout, Barrès et Nietzsche, les deux maîtres qu'il se reconnaît. "Je me suis trouvé comme tous les autres écrivains contemporains devant un fait écrasant : la décadence", écrit-il dans la préface de Gilles, citant volontiers Aragon, Céline, Malraux ou encore Montherlant, ces écrivains et intellectuels de l'entre-deux-guerres avec lesquels il partage une certaine fraternité prophétique. Si Drieu a vécu et envisagé les rapports de sa création littéraire avec l'idéologie et la politique à travers le prisme de la convulsion du temps provoquée par la crise de l'antimodernisme et de l'antiparlementarisme, il affronte ce qu'il considère être un «fait écrasant» en pratiquant une "observation systématique". Dans "son œuvre de satire", cette référence obsédante à la décadence, qu'il décèle plus particulièrement dans le corps individuel et social, fait l'objet de transfigurations littéraires qui visent toutes à la dénoncer. Pour essayer de cerner les enjeux d'une telle représentation, qui se situe à la jonction de l'idéologie et de la littérature, il est nécessaire d'analyser les fondements de l'imaginaire de la décadence inhérents à la période de l'entre-deux-guerres. À ce prix, il devient possible de distinguer l'unité et la cohérence de l'œuvre de Drieu, articulée autour de cette décadence que l'on doit considérer comme un "fait d’imagination" (Pierre Citti) et cristallisée autour d'un motif central : le corps / In reflecting on and reasoning about the decline of his country, Pierre Drieu la Rochelle appears as an heir to those writers and theoreticians who denounced its decadence, including Paul Bourget but principally Barrès and Nietzsche, the two masters with whom he identifies. "Je me suis trouvé comme tous les autres écrivains contemporains devant un fait écrasant : la décadence", writes the novelist, in the preface to Gilles. Thus he gladly cites Aragon, Céline, Malraux and Montherlant, who were all writers and intellectuals of the interwar years, and with whom Drieu shares some kind of prophetic fraternity. Drieu foresees the interaction of his literary creativity with ideology and politics through the lens of the convulsion of time, occasioned by the crises of antimodernism and antiparliamentarism. Consequently he faces what he considers to be a "crashing fact" in practising a "systematical observation". In his "satirical work", his insistent reference to decadence, which he detects in both the individual and collective body, is subjected to literary metamorphosis ; this imagery betrays his intimate obsession. In order to grasp what is at stake in such a mental representation, situated at the intersection of ideology and literature, it is necessary to understand first of all the foundations of the imagination of decadence, inherent in the troubled world of the interwar years. This is necessary in order to set apart the unity and the coherence of Drieu's work, focused on this decadence to be considered as an "fait d’imagination" (Pierre Citti) and made real through a central topic : the body
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Esquisses d'une intuition : essai d'ontologie pour une philosophie du sujet / Tentative insight : toward an ontology for a philosophy of the subject

Vanderschuren, Grégory 15 December 2014 (has links)
Cet essai tente d’aborder, ou plutôt de comprendre l’idée du devenir, soit l’intuition du temps et de son propre déploiement pour un sujet qui vit au semblable rythme. Pour Bergson, cela n’arrive que dans de très rares occasions, pour l’artiste, chez le philosophe ou encore lors des situations d’extrême changement, voire d’urgence pour chacun d’entre nous. Seulement, est-ce que cette "vision directe de l’esprit par l’esprit" est véritablement exceptionnelle ? Ne s’agit-il pas plutôt d’actes instantanés où nous touchons l’objet avant même d’en avoir fait l’expérience, et qui serait plutôt "condition" de celle-ci, qui signe de son sceau l’avenir en général ? Par là, bien que nous ignorions exactement quels seront les retentissements de nos actes, nous en avons une intuition, un certain aspect y serait montré ou "présence" d’un quelque chose excédant toute explication logique. Si l’on souhaite montrer que cette intuition est déjà "présence" en chacun de nos actes singuliers, et nous accompagne dans notre quotidien à partir de notre perception du monde, il conviendra de trouver un moyen, une méthode pour explorer les régions inconscientes de notre être – ou de cet Être. Nous supposerons que nous sympathisons avec le réel, que nous "composons" en ce sens avec lui dans ce qui naît de l’instant – bien que sans le savoir. Notre intuition serait la forme « à venir » de notre expérience conformément à une personne, la façon dont mes souvenirs se constituent lorsque, paradoxalement, ces derniers enveloppent et se constituent selon une forme, un droit qui n’appartient pas qu’à moi. Ainsi nous chercherons à définir comment l’individu concourt avec une réalité qui, ainsi, l’excède, le transcende, mais dont celle-ci ne peut pas non plus être telle qu’elle apparaît sans lui. Quelle est cette part qui, échappant au monde, fait du sujet l’un de ses devenirs ? Peut-on expliquer cette part de liberté, puisque s’il y a intuition, il y a une pluralité des devenirs (virtuels) ? Nous établirons une méthode pour en comprendre le cheminement ontologique. Mais dans cette science de l’Être, il s’agira de confondre à la fois la psyché et la façon dont la matière s’organise : soit selon une chora d’un point de vue cosmologique. / This essay is an attempt to approach and to understand the idea of devenir, the intuition of time, and its own deployment for a subject that live in a similar pace. According to Bergson, this happens, only in very rare occasions, to the artist, to the philosopher or still in situation of extreme change, or even of emergency to all of us. But, is this « direct vision of the spirit by the spirit really exceptional? Are they rather instant acts when we touch the object even before having experienced it, and which will be rather "condition" of it, which marks the future in general? By this, even though we do not know exactly what will the impact of our acts be, we have an intuition of it, a certain aspect would have shown or "presence" of something that exceeds any logical explanation. If we wish to show that intuition is already "presence" in each of our unique acts, and accompanies us in our daily lives from our perception of the world, it will be suitable to find a way, a method to explore the regions of our unconscious being, or of this Being. We will suppose that we sympathize with the real that we "compose" in this sense with it in what is born of the instant, even without knowing it. Our intuition would be the form "to come" of our experience, according to a person, the way that my memories form when, paradoxically, they envelop and constitute according to a form, a right that does not belong only to me. Thus, we will seek to define how the individual contribute to the reality which, thus, exceeds, transcends him but which cannot be as such without him. What is this part that, escaping from the world, makes of the subject one of its destinies? Can we explain this part of freedom, since there is intuition, a plurality of (virtual) "devenirs"? We will establish a method to understand the ontological journey. But in this science of the Being, it will be to confuse both the psyche and the way in which the matter is organized: according to a "chora" a cosmological perspective.

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