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La ville fiscalisée : politiques d’aide à l’investissement locatif, nouvelle filière de production du logement et recomposition de l’action publique locale en France (1985-2012) / Taxincenties to housing production and urbandevelopment : state policies to support rental investments, new production chain in housing and reformulation of local public action in France (1985-2012)

Vergriete, Patrice 07 January 2013 (has links)
La production du logement en France est au cœur de plusieurs débats académiques : sur l'action de l'Etat, sur les logiques privées de production, sur la gouvernance locale. La thèse selon laquelle un processus de néolibéralisation affecte les sociétés occidentales depuis les années 1970 en offre une lecture transversale. Cependant, l'analyse d'un instrument de la politique nationale du logement – l'aide fiscale à l'investissement locatif – en montre les nombreuses limites, en particulier dans les années 2000. Reposant sur une méthodologie croisant approches qualitatives et quantitatives, notre recherche révèle plutôt l'émergence d'une nouvelle économie politique de la production du logement. En lien avec la décentralisation, la puissance publique se fait duale, avec d'un côté un Etat qui encadre le marché par la réglementation et de l'autre des collectivités qui entrent en négociation avec les acteurs privés. Cette dualité fait d'ailleurs apparaître des contradictions entre enjeux nationaux (notamment macroéconomiques) et priorités locales. En regard, la promotion immobilière se transforme : si les dispositifs d'incitation fiscale mis en place par l'Etat ont amené de nouveaux acteurs et fait naître un modèle de production spécifique, la nouvelle logique d'action publique induit une adaptation des stratégies. La fabrication matérielle de la ville se trouve affectée par ces changements. A la fois parce que la réglementation nationale a un impact sur l'offre mais aussi parce que les inégales capacités de négociation des collectivités avec les acteurs privés exposent davantage les villes petites et moyennes à une production de logements en décalage avec les attentes publiques / Housing production in France is at the heart of several academic debates concerning State intervention, private production models and local governance. In each of them, some authors have expressed the idea that western countries have been affected by a neoliberalization process since the 1970s. But our study of the fiscal aid to rental investment, which is one of the tools of national housing policy, shows the limits of this interpretation, especially in the 2000s. Based on a methodology combining qualitative and quantitative analysis, our research however shows that a new political economy of housing production is emerging. Along with decentralization, there are now two public authorities involved in regulating the market: the State by law and the local governments by negotiation with private parties. And this duality creates contradictions between national issues (especially macroeconomic) and local priorities. In this context, the property development sector has witnessed major changes: if State incentives have induced the emergence of new participants and of a specific model of production, the new public regulation implies a change in strategies. Urban production is concerned by these changes. Not only because State regulation has an impact on supply but also because the unequal ability of local governments to negotiate with developers make small and medium-sized cities more exposed to a gap between real housing production and public expectations
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Une géographie de la pauvreté à Jakarta : Espaces de la pauvreté et places des pauvres dans une métropole contemporaine / A geography of poverty in Jakarta (Indonesia) : Places, spaces and poverty in a contemporary metropolis

Dietrich, Judicaëlle 13 November 2015 (has links)
Fondée sur une démarche de terrain qualitative, cette thèse propose une analyse géographique de la pauvreté urbaine dans une des plus grandes villes du monde. La métropole de Jakarta, agglomération de plus de vingt millions d’habitants, s’affirme comme ville vitrine de la croissance économique de l’Indonésie et comme point relais de la mondialisation, où la pauvreté n’aurait, en somme, plus lieu d’être. Pourtant, en augmentant les situations de vulnérabilité de certaines populations, les dynamiques urbaines en œuvre contribuent à la mise sous tension de l’espace urbain.L’entrée par le concept de pauvreté en géographie permet de saisir la diversité des positions sociales et spatiales qui se conjuguent, se concurrencent et se négocient dans cet espace urbain, au gré des rapports de force en œuvre. Au-delà de la pauvreté en tant qu'état, il s’agit de prendre en compte les parcours individuels et collectifs liés au phénomène, en les insérant dans les trajectoires des lieux – depuis l’échelle du quartier à celle de l’aire métropolitaine.Plus que les seuls enjeux de définition, ce travail examine le rôle des représentations et des intérêts des groupes stratégiques dans la production de politiques urbaines profondément ancrées dans les idéologies dominantes, le néolibéralisme urbain notamment.Enfin, l’analyse croisée de plusieurs types d’espaces de la pauvreté à Jakarta et à Bekasi montre les disparités en termes d’appropriations et de pratiques de l’espace urbain. Ainsi, au-delà d’une dualisation de la société urbaine d’une métropole contemporaine, cette thèse pointe la segmentation des intérêts à agir des citadins considérés comme pauvres, selon leurs sentiments de légitimité et leurs modalités d’appartenance à la ville, ancrant alors la réflexion géographique dans un questionnement politique. / Based on qualitative methodologies, this PhD dissertation proposes a geographical analysis of urban poverty, in one of the biggest city in the world. The urban region of Jakarta counts more than twenty millions of inhabitants. It comes up as the showcase for economic success in Indonesia and a node of globalization, where one could expect the level of poverty to have decreased. Yet, current urban dynamics contribute to unsettle urban spaces increasing the vulnerability of poor people. The examination of the concept of poverty through a geographical lens allows to grasp the diversity of social and spatial positions and positionnings, from the neighborhood level to the metropolitan area. It helps also to investigate how they compete with each other and are (re)negotiated and interwoven under the influence of power relations. More than the mere situation of poverty, this work is based on a cross-analysis of individual and collective trajectories and spatial transformations. Further than the issue of defining poverty, this thesis explores the role of representations and the interest of stakeholders in urban policies related to mainstream ideologies, such as urban neoliberalism. Finally, a comparison between different types of poverty’s spaces in Jakarta and in Bekasi shows the strong differences in space’s appropriations and space’s uses. Beyond the idea of dualization of the urban society, this study aims to highlight the segmented interests of citizens, according to their sense of being legitimate in the city and their sense of belonging to the city. This shows how much the geographical inquiry is political.
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Kisumu en ses échelles : les conditions spatiales, temporelles et politiques des ambitions compétitives d'une ville secondaire kényane / Kisumu and its scales : the spatial, temporal and political conditions of the competitive ambitions of a secondary Kenyan city

Mercurol, Quentin 20 October 2017 (has links)
Kisumu, troisième ville du Kenya sur les rives du Lac Victoria, est aujourd’hui le lieu de la définition de politiques urbaines, menées aussi bien par des acteurs locaux qu’internationaux, qui visent à faire de la ville une charnière logistique de la construction est-africaine. Ces politiques urbaines exemplifient la prolifération à l’échelle mondiale des agendas urbains centrés sur la compétitivité et de l’attractivité dans les villes, même les plus ordinaires. Kisumu n’est pourtant pas le réceptacle passif de modèles urbains qui s’imposent sur une périphérie du monde. Nous proposons d’explorer les paramètres géographiques, historiques et politiques qui tracent la particularité de la trajectoire de la ville dans la mondialisation. Kisumu doit être appréhendée au-delà de sa dimension locale : les relations scalaires à partir desquelles se formulent le projet urbain contemporain permettent de mettre en lumière l’adoption à Kisumu d’un agenda compétitif. A travers une « monographie multiscalaire », nous dégageons trois axes de contextualisation des relations scalaires par lesquelles se comprennent les évolutions contemporaines de la politique urbaine et ses conséquences spatiales. Premièrement, la longue durée de l’insertion coloniale de la ville dans le monde structure la formulation du projet urbain contemporain et en investi ses lieux clefs (centre-ville et aéroport). Deuxièmement, la construction et la formation de l’État colonial et postcolonial sont des médiations centrales dans la manière dont s’énoncent les enjeux politiques d’un projet urbain compétitif. Finalement, les différentes échelles d’appartenance à l’ethnicité Luo qui prennent Kisumu comme lieu d’ancrage façonnent la manière dont le projet est localement adopté et contesté. / Kisumu, third largest Kenyan city on the shores of Lake Victoria, is today the place where are defined urban policies both by local and international actors that aim to make the city a logistic hub in the East African construction. At the world scale, these policies illustrate the proliferation of competitiveness oriented urban agendas, even in most ordinaries cities. However, Kisumu is not the passive container of circulating urban models imposed on a world periphery. We propose here to explore the geographical, historical and political parameters that explain the particular urban trajectory of Kisumu in the globalisation process. We see Kisumu beyond its local dimension: scalar relations from which the contemporary urban project is built highlight the local translation of a competitiveness-oriented agenda. Through a “multiscalar monography”, we bring three major directions out that help us to contextualize the scalar relations from which we can understand the contemporary evolutions of urban policies and their spatial consequences. First, the longue durée of the colonial embeddedness of the city in the world still helps the formulation of the contemporary urban agenda. Secondly, the construction and the formation of the colonial and postcolonial state are mediates the way the politics of the newly defined agenda is enunciated. Finally, the different scales of belonging to the Luo ethnicity the city is the anchorage shapes the way the project is locally both adopted and contested.
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La ville fiscalisée : politiques d'aide à l'investissement locatif, nouvelle filière de production du logement et recomposition de l'action publique locale en France (1985-2012)

Vergriete, Patrice 07 January 2013 (has links) (PDF)
La production du logement en France est au cœur de plusieurs débats académiques : sur l'action de l'Etat, sur les logiques privées de production, sur la gouvernance locale. La thèse selon laquelle un processus de néolibéralisation affecte les sociétés occidentales depuis les années 1970 en offre une lecture transversale. Cependant, l'analyse d'un instrument de la politique nationale du logement - l'aide fiscale à l'investissement locatif - en montre les nombreuses limites, en particulier dans les années 2000. Reposant sur une méthodologie croisant approches qualitatives et quantitatives, notre recherche révèle plutôt l'émergence d'une nouvelle économie politique de la production du logement. En lien avec la décentralisation, la puissance publique se fait duale, avec d'un côté un Etat qui encadre le marché par la réglementation et de l'autre des collectivités qui entrent en négociation avec les acteurs privés. Cette dualité fait d'ailleurs apparaître des contradictions entre enjeux nationaux (notamment macroéconomiques) et priorités locales. En regard, la promotion immobilière se transforme : si les dispositifs d'incitation fiscale mis en place par l'Etat ont amené de nouveaux acteurs et fait naître un modèle de production spécifique, la nouvelle logique d'action publique induit une adaptation des stratégies. La fabrication matérielle de la ville se trouve affectée par ces changements. A la fois parce que la réglementation nationale a un impact sur l'offre mais aussi parce que les inégales capacités de négociation des collectivités avec les acteurs privés exposent davantage les villes petites et moyennes à une production de logements en décalage avec les attentes publiques
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Appropriation de l’espace et conflits de voisinage en contexte de gentrification touristique : cas de la Médina de Marrakech (Maroc)

Sadki, Aba 08 1900 (has links)
Cette thèse s’intéresse aux dynamiques d’appropriation de l’espace en lien avec les mobilités touristiques Nord-Sud dans les médinas inscrites au patrimoine mondial. Elle engage la réflexion sur les conflits de voisinage entre les touristes-résidents occidentaux et les habitants dans la médina de Marrakech au Maroc classée patrimoine mondial de l'UNESCO en 1985. L’étude vise spécifiquement à analyser comment les usages renouvelés de l'espace en particulier les recompositions des modes d'habiter induits par les migrations touristiques influencent les rapports sociaux entres les touristes-résidents étrangers et des habitants de longue date. Un accent particulier sera porté sur le phénomène de « la riyadisation » par référence à l'achat et la reconversion des Riads (anciennes belles demeures) par les acteurs privés étrangers et ses effets sur la transformation des modes d’appropriation de l’espace et des liens de voisinage sur ce territoire spécifique et de haute valeur patrimoniale. La thèse mobilise le concept de la gentrification touristique comme clé de lecture de ce processus considéré comme une forme d'embourgeoisement des quartiers historiques centraux de la médina. En étudiant une ville touristique et patrimoniale du Sud remodelée par des mobilités migratoires transnationales, la thèse développe une thématique relativement récente en géographie du tourisme, en lien avec les conflits touristes-résidents comme nouvel enjeu des centres historiques inscrits au patrimoine mondial en général et des villes arabo-musulmanes en particulier. L'originalité de cette recherche découle de son approche théorique inspirée des écrits urbains critiques et de la néolibéralisation de la ville afin de saisir la complexité des interactions touristes-résidents dans le contexte touristique notamment par le courant postcolonial de la géographie sociale. A travers une méthode qualitative croisée basée sur l’observation participante, les parcours commentés, les entretiens semi-directifs, les groupes focus et l’inventaire cartographique, les plaintes de voisinage, les conflits touristes-résidents/habitants sont saisis à une échelle fine, celle de la mitoyenneté résidentielle, dans des milieux de vie marqués par la coprésence des usages de l'espace locaux et globalisées, lucratifs et résidentiels, populaires et élitistes impliquant des frictions socioculturelles traduites par diverses formes de conflits de voisinage. / This thesis focuses on the dynamics of space appropriation in connection with North-South tourist mobility in the medinas listed as World Heritage. It engages reflection on neighborhood conflicts between Western tourist-residents and inhabitants in the medina of Marrakech in Morocco, classified as a UNESCO World Heritage Site in 1985. The study specifically aims to analyze how the renewed uses of space in particular, ways of living transformation induced by tourist migrations influence social relations between foreign tourist-residents and long-term residents. Particular emphasis will be placed on the phenomenon of “riyadisation” by reference to the purchase and conversion of Riads (historic residences) by foreign private actors and its effects on the transformation of space appropriation modes and neighborhood in this specific territory of high heritage value. The thesis mobilizes the concept of “tourism gentrification” as a key to understanding this process considered as a form of gentrification of the central historic districts of the medina. By studying a tourist and heritage city in the South remodeled by transnational mobilities, the thesis develops a relatively recent theme in the geography of tourism, in connection with tourist-resident conflicts as a new challenge for historic centers listed as World Heritage in general and for Arab-Muslim cities (medinas) in particular. The originality of this research lied on its theoretical approach inspired by critical urban writings and the neoliberalization of the city in order to understand the complexity of tourist-resident interactions in the tourist context, in particular by the postcolonial lens of social geography. Through a cross-qualitative method based on participant observation, walking interviews, semi-structured interviews, focus groups, cartographic inventory and neighborhood complaints, tourist-resident conflicts are analyzed on a fine scale, in living environments marked by the co-presence of local and globalized, lucrative and residential, popular and elitist uses of space involving socio-cultural frictions expressed in various forms of neighborhood conflicts.

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