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Ruptures et continuités dans la familiarisation pratique en technologie de l'école pré-élémentaire au collège

Lasson, Christophe 14 December 2004 (has links) (PDF)
L'étude examine le parcours des écoliers et des collégiens tracé dans le monde de la technique du point de vue des rencontres qui les familiarisent sur un plan pratique avec les objets techniques. Sur quoi portent ces rencontres ? Réalisées en contexte scolaire, ces fréquentations sont marquées par leur intention éducative, leur guidage et leur contrôle par l'enseignant. Comment les maîtres organisent ils ces rencontres ? Si l'on suppose que l'impact de ces interventions éducatives successives n'est pas sans effet, quelle perception les élèves ont ils des objets techniques au terme de leur scolarité obligatoire ? La variabilité des objets techniques utilisés à l'école s'oppose à un ensemble standard d'artefacts en technologie au collège. Les modalités des rencontres des élèves avec les objets sont plus nuancées à l'école qu'au collège. Les objets techniques, repérés comme des moyens de réalisation chez les praticiens, sont perçus différemment par les élèves et se catégorisent autour de quelques représentants prototypiques.
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Dispositifs de Social Software et nouveaux régimes de collaboration : nature technique des outils, discours et modalités collaboratives / Social Software devices and new collaborative regimes : nature of technical artefacts, discourse and collaborative modes

Terrab, Imane 04 April 2016 (has links)
Depuis près d'une décennie, les outils issus du Web 2.0 s'insèrent dans la sphère de l'entreprise et sont présentés comme participant d'un changement technologique et managérial majeur. Pour autant, on constate des lacunes théoriques dans la caractérisation des régimes collaboratifs proposés par ces nouveaux objets, réunis sous la bannière du Social Software. Nous proposons ici d'explorer les dimensions à travers lesquelles les objets de Social Software proposent un renouvellement des régimes collaboratifs. Ce projet nous amène d'abord à présenter les évolutions techniques et paradigmatiques entre Groupware et Social Software. Dans un deuxième temps, nous réalisons une exploration empirique du champ via l'analyse des discours commerciaux d'éditeurs de Social Software et la présentation de quatre dispositifs que nous qualifions au regard des taxonomies issues des champs du Computer Supported Cooperative Work et de l'Entreprise 2.0. Nous enrichissons cette analyse par la modélisation des trajectoires d'évolution des quatre dispositifs faisant l'objet de nos études de cas, au travers d'un cadre conceptuel centré sur l'objet technique. Enfin, nous proposons un cadre inédit pour la caractérisation des régimes de collaboration proposés par les dispositifs de Social Software. Cette recherche nous amène à rediscuter des liens entre les technologies et les modalités de pilotage de l'action collective dans les organisations. / For the last decade, Web 2.0 tools have entered the corporate sphere and are considered as part of a major technical and managerial shift. However, there is still a lack of theoretical framework to define the collaborative regimes that the new objects of Social Software carry. In this dissertation, we explore the dimensions through which Social Software objects offer a renewal of collaborative regimes. First, we highlight the technical and paradigmatic evolutions between Groupware and Social Software. Then we carry an empirical exploration of the field of Social Software, by analyzing publishers' commercial discourse and presenting four devices that we describe through the taxonomical frameworks of Computer Supported Cooperative Work and Enterprise 2.0. This analysis is supplemented by the modelization of the four devices' evolution paths, relying on a conceptual framework that focuses on the technical object. Finally, we suggest a novel framework to define the collaboration regimes proposed by Social Software devices. This research leads us to further discuss the links between technology and the management of collaboration.
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Obsolescences : philosophie des techniques et histoire économique à l'épreuve de la réduction de la durée de vie des objets / Obsolescences : the philosophy of technology and economic history regarding the shortening of objects’ lifespans

Guien, Jeanne 04 April 2019 (has links)
La notion d’obsolescence met en jeu notre rapport aux objets et à l’action, nos représentations de l’histoire et du temps. Elle questionne le devenir des techniques, la négativité à l’œuvre dans l’histoire des pratiques. C’est une notion controversée, dont les enjeux sociaux, économiques et écologiques font débat. La controverse actuelle, focalisée sur la notion d’ «obsolescence programmée», tend cependant à réduire l’obsolescence à une pratique dissimulée, sur la base de discours postulant toute sorte de déterminismes historiques. Cette thèse propose d’élargir la réflexion à l’ensemble des produits éphémères et des notions qui les désignent, afin d’étudier l’histoire de leur mise en marché et en discours. Par une enquête historique et philosophique, on montre que la réduction de la durée de vie des objets est depuis deux siècles une pratique courante qui a fait l’objet de théorisations publiques, tantôt critiques, tantôt apologétiques, en Europe et aux États-Unis. L’obsolescence, mise en récit, est traitée tantôt comme une conséquence de l’activité humaine, tantôt comme une loi de l’économie, de la nature ou de l’histoire. Critiquant cette approche, comme celle qui réduit l’obsolescence à un vice caché, cette thèse étudie des objets officiellement conçus, vendus et achetés pour leur durée de vie limitée — les produits jetables — et montre comment la jetabilité a été construite comme une propriété distinctive et valorisante de produits fort divers, et fort utilisés. À partir du cas du gobelet jetable, on analyse la réduction de la durée de vie des objets comme limitation de leur présence au monde, occultation de leur réalité économique, matérielle et environnementale. / The notion of obsolescence adresses our relationship with objects and human action, our representations of history and time. It challenges technological and social change. It is a controversial topic, raising environmental, economic and social issues.However, focused as it is in France on the notion of "programmed obsolescence”, the current controversy tends to confine the debate to concealed practices, on the basis of considerations conveying a deterministic view of history. This dissertation broadens the scope of reflection and discusses all commercial short-lived products and all the notions used to qualify them. Since they have been on the market for two centuries, we argue on the basis of a historical and philosophical inquiry that shortening the lifespan of objects has been a common and open practice in Europe and the United States. Throughout the XIXth and XXth centuries, obsolescence has been theorized, criticized or promoted publicly in various narratives, which often define it as an effect of human activity, or uses it as a law of economics, nature or history. In order to criticize these approaches and reinforce the demonstration that commercializing obsolescent products has been a public and accepted practice, this dissertation examines the case of objects publicly designed with a limited lifespan : disposable products. We argue that disposability has been constructed as a distinctive and positive feature of a wide range of various products. Through the case study of disposable cups, we ultimately consider some pathways for further research on the shortened lifespan of objects, as devices used to conceal their own social, material and environmental reality.
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Entre firme et usagers : des biens génératifs d'usages.Théorie des biens comme espaces de conception

Brown, Ingi 26 March 2013 (has links) (PDF)
De nouveaux produits et services jouissent aujourd'hui d'un succès surprenant, alors qu'ils ne s'intègrent pas dans les canons traditionnels de l'innovation. Sans proposer de ruptures technologiques ni d'usages clairement identifiés, ces biens suscitent toutefois une large exploration d'usages nouveaux et inconnus, à l'image du service web Twitter ou du téléphone iPhone qui viennent bouleverser les pratiques quotidiennes de leurs usagers dans de nombreux domaines, y compris professionnels.La littérature apporte des réponses partielles aux enjeux soulevés par cette classe de biens, mais semble limitée par une vision des biens comme systèmes de découplages de la conception d'usages : celle-ci aurait lieu au sein de la firme par des approches de type analyse d'usage ou bien auprès d'usagers-concepteurs très compétents.Nous proposons ici une théorie qui veut intégrer ces différents apports tout en soulevant les hypothèses que nous jugeons trop restrictives sur les usagers, les biens et leurs rapports à la conception d'usage. Ce projet nous amène à rediscuter la notion de biens pour les considérer comme des espaces de conception d'usages, à destination d'acteurs à la fois usagers et concepteurs.Ce nouveau paradigme suppose en revanche de réinterroger le rôle de la firme dans l'organisation de cette action collective de conception d'usages. La confrontation de notre modèle théorique à trois études de cas révèle que les succès que l'on connait aujourd'hui reposent sur une organisation sophistiquée des relations entre la firme et ses usagers concepteurs, ainsi qu'une ingénierie spécifique de dispositifs de conception, de formation et de coordination.
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La société des eaux cachées du Saïss : l’analyse d‘un basculement autour de l’extraction des eaux souterraines profondes au Maroc / The society of hidden waters of the Saïss : the analysis of a shift toward deep groundwater resources extraction in Morocco

Fofack Tsabou, Rhoda Lucie 03 April 2018 (has links)
L’usage des eaux souterraines est à l’origine de l’expansion de l’économie agricole du Saïss, une région située au Nord du Maroc. Bien que cachées dans les sous-sols, les eaux souterraines de l’aquifère du même nom sont mises en visibilité par les objets techniques, intermédiaires indispensables à leur exploitation. D’une grande diversité, ces objets incluent les ouvrages d’exhaure (puits, forages, puits-forés) et leurs équipements (moteurs et pompes). D’un objet technique à l’autre, les transitions techniques qui traversent la région marquent le basculement des usages sur la nappe, des eaux souterraines superficielles aux eaux profondes. Au-delà des conditions hydrologiques et des pratiques de pompage qui changent, ce basculement témoigne du passage entre deux mondes sociaux spécifiques : un « monde de la pénurie » qui repose sur l’usage des puits et des eaux de la nappe phréatique ; et un « monde de l’abondance » où les forages permettent d’atteindre les ressources en eau de la nappe profonde, plus facilement exploitables, avec des débits plus importants et plus constants. L’évolution entre les deux mondes n’est pas linéaire, apparentée à une forme d’hybridité plutôt qu’à une rupture car leurs frontières sont rendues à la fois mouvantes et poreuses par les agriculteurs et des artisans innovants. En se constituant en objets de réseaux qui mettent en contact et créent des interdépendances entre les acteurs, les objets techniques dessinent un tissu réticulaire dont la maille ne relève pas de façon immédiate d’un lien territorial. La thèse explore ce que construit socialement la dynamique d’exploitation des ressources en eau souterraine, en caractérisant le type d’assemblages du social qui est généré - tout en y contribuant- par l’usage d’une ressource individualisée. L’analyse des mécanismes de récupération et la transformation des moteurs d’extraction révèle une société en émergence dont les systèmes d’échanges et de communication sont basés sur l’institution sociale du « bazar ». Structure sociale et culturelle traditionnelle dans les sociétés marocaines et orientales en général, le « bazar » offre des propriétés qui sont réinvesties de nos jours pour façonner les interrelations autour d’objets techniques nouveaux. En périphérie de ces processus, les acteurs publics contribuent à la réification des mondes sociaux, en disqualifiant le monde des puits pour encourager le monde « plus rationnel et mieux maîtrisé » des forages. L’approche de cette société des eaux cachées par l’intermédiaire de la technique et du rapport à l’eau souterraine se révèle d’une grande richesse, et capable de rendre visibles et explicites des dynamiques sociopolitiques caractéristiques du Maghreb contemporain. On voit alors se dessiner dans la relation ressources naturelles-objets techniques-acteurs des lignes de fracture sociologique entre monde de la ruralité souvent perçu par les acteurs publics comme « en retard » sur le développement et monde de la modernité qui encourage la course aux nouvelles technologies et à la technicité. / Groundwater-based irrigation enabled the development of a dynamic agricultural economy in the Saïss plain, located in the north of Morocco. Hidden in the aquifer system, the groundwater resources are made visible by technical objects used for their extraction. These techniques are multiple, including dug wells, tube-wells, and their equipment: motors and pumps. The shift from one technique to the other brought about major agrarian transitions in the region accompanied by a change of groundwater uses by switching from the shallow phreatic aquifer to the deep Liassic aquifer. Beyond changes over the hydrological context and practices of pumping, the change in the uses of the aquifer also shows the shift between two specific social worlds around groundwater exploitation. A “world of scarcity” based on the use of dug wells and the shallow aquifer; and a “world of abundance” where tube-wells can easily pump in the deep Liassic aquifer with its large and more regular flow rate. From one social world to another, the shift is neither a one-way process nor a rupture. On the contrary, their frontiers and limits remain flexible and porous due to the movements of farmers and artisans. By becoming objects within networks that create links and interdependences between actors, techniques are constitutive of a socio-technical network regardless of any direct territorial link with the aquifer. The thesis explores what is socially constructed through the dynamics of groundwater exploitation, by characterizing types of social assemblages generated by the uses of an individualized resource. The analysis of mechanisms around the recycling and transformation of extractive motors reveals an emerging society where relationships between actors of the market are based on a “bazaar economy”. Used to describe and analyse the social, economic and cultural structure in traditional Moroccan societies and oriental societies in general, the properties of the bazaar economy have been reorganised nowadays to organize interrelations between new technical objects. In this system, public actors contribute to the differentiation between the two social worlds around groundwater exploitation, trying to marginalize the social world of wells and supporting the “more rational and tamed” social world of tube wells. Understanding the society of hidden waters by the mediation of techniques and through the relationships of actors to groundwater makes visible the socio-political dynamics in contemporary North Africa. The relation between natural resources-techniques-actors also reveal sociological frontiers between the world of rurality considered by public actors as being “behind” in the economic development of the Nation; and the world of modernity or new technologies which is ahead in this development.
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Entre firme et usagers : des biens génératifs d’usages.Théorie des biens comme espaces de conception / Use-generative goods : a theory of goods as design spaces

Brown, Ingi 26 March 2013 (has links)
De nouveaux produits et services jouissent aujourd'hui d'un succès surprenant, alors qu'ils ne s'intègrent pas dans les canons traditionnels de l'innovation. Sans proposer de ruptures technologiques ni d'usages clairement identifiés, ces biens suscitent toutefois une large exploration d'usages nouveaux et inconnus, à l'image du service web Twitter ou du téléphone iPhone qui viennent bouleverser les pratiques quotidiennes de leurs usagers dans de nombreux domaines, y compris professionnels.La littérature apporte des réponses partielles aux enjeux soulevés par cette classe de biens, mais semble limitée par une vision des biens comme systèmes de découplages de la conception d'usages : celle-ci aurait lieu au sein de la firme par des approches de type analyse d'usage ou bien auprès d'usagers-concepteurs très compétents.Nous proposons ici une théorie qui veut intégrer ces différents apports tout en soulevant les hypothèses que nous jugeons trop restrictives sur les usagers, les biens et leurs rapports à la conception d'usage. Ce projet nous amène à rediscuter la notion de biens pour les considérer comme des espaces de conception d'usages, à destination d'acteurs à la fois usagers et concepteurs.Ce nouveau paradigme suppose en revanche de réinterroger le rôle de la firme dans l'organisation de cette action collective de conception d'usages. La confrontation de notre modèle théorique à trois études de cas révèle que les succès que l'on connait aujourd'hui reposent sur une organisation sophistiquée des relations entre la firme et ses usagers concepteurs, ainsi qu'une ingénierie spécifique de dispositifs de conception, de formation et de coordination. / De nouveaux produits et services jouissent aujourd'hui d'un succès surprenant, alors qu'ils ne s'intègrent pas dans les canons traditionnels de l'innovation. Sans proposer de ruptures technologiques ni d'usages clairement identifiés, ces biens suscitent toutefois une large exploration d'usages nouveaux et inconnus, à l'image du service web Twitter ou du téléphone iPhone qui viennent bouleverser les pratiques quotidiennes de leurs usagers dans de nombreux domaines, y compris professionnels.La littérature apporte des réponses partielles aux enjeux soulevés par cette classe de biens, mais semble limitée par une vision des biens comme systèmes de découplages de la conception d'usages : celle-ci aurait lieu au sein de la firme par des approches de type analyse d'usage ou bien auprès d'usagers-concepteurs très compétents.Nous proposons ici une théorie qui veut intégrer ces différents apports tout en soulevant les hypothèses que nous jugeons trop restrictives sur les usagers, les biens et leurs rapports à la conception d'usage. Ce projet nous amène à rediscuter de la notion de biens pour les considérer comme des espaces de conception d'usages, à destination d'acteurs à la fois usagers et concepteurs.Ce nouveau paradigme suppose en revanche de réinterroger le rôle de la firme dans l'organisation de cette action collective de conception d'usages. La confrontation de notre modèle théorique à trois études de cas révèle que les succès que l'on connait aujourd'hui reposent sur une organisation sophistiquée des relations entre la firme et ses usagers concepteurs, ainsi qu'une ingénierie spécifique de dispositifs de conception, de formation et de coordination.
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Modalités d'existence de dispositifs urbains. Le cas de l'assainissement à Kanpur et Varanasi, Inde

Vincent, Perrine 23 May 2013 (has links) (PDF)
L'époque contemporaine se caractérise par une omniprésence de la technique, qui soulève des inquiétudes croissantes. Ce constat a conduit nombre de chercheurs à interroger les relations que la technique et la société entretiennent. Dans le sillage de ce questionnement, cette recherche vise à examiner en quoi les techniques sont parties prenantes des changements anthropiques à l'oeuvre, qu'ils soient d'ordre social, politique, culturel, religieux, environnemental, législatif. Pour ce faire, cette thèse étudie, à partir d'une approche ethnographique, les modalités d'existence de dispositifs urbains d'assainissement dans le cadre du Ganga Action Plan, lequel vise la dépollution du Gange. Ces modalités d'existence sont analysées à partir des chroniques des projets urbains se déroulant dans deux villes indiennes, Kanpur et Varanasi, et des controverses suscitées par leur mise en oeuvre. Cette thèse démontre que les objets techniques et les activités qui leur sont liées, tout en confortant des règles déjà en place, en instituent de nouvelles, ce qui ne va pas sans susciter des résistances tant d'ordre social que politique.

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