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The spectacle of the sotah a rabbinic perspective on justice and punishment /Durdin, Andrew. January 2007 (has links)
Thesis (M.A.)--Georgia State University, 2007. / Title from file title page. Kathryn McClymond, committee chair; Timothy Renick, Louis Ruprecht, William Gilders, committee members. Electronic text (71 p.) : digital, PDF file. Description based on contents viewed Nov. 12, 2007. Includes bibliographical references (p. 69-71).
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Die schmale BrückePeters, Friedrich Ernst January 2012 (has links)
"Die schmale Brücke" ist eine Dreiecksgeschichte, die das Ringen zweier ungleicher Männer um eine junge Frau schildert. Der fleißige und solide Mittelschulrektor Peter Hansen, der unter der Kinderlosigkeit und Kälte seiner Frau leidet, trifft nach dem Ersten Weltkrieg seinen "Jugendfeind", den redegewandten, bei den Damen hoch beliebten Werner Hagemann wieder, welcher im Zug die Lehrerin Ursula Wüstenhagen kennengelernt hat, eine Kollegin Peter Hansens, in die dieser sich verliebt hat. In schwüler Gesprächsatmosphäre entwickelt sich eine Rivalität, die zunehmend bedrohliche Züge annimmt. Mordgedanken keimen auf. Schließlich fordert Peter Hansen, auf ein Gottesurteil hoffend, Werner Hagemann zu einem lebensgefährlichen Kräftemessen auf einer Brücke auf. Die Erzählung ist das einzige Werk von F. E. Peters, das im Lehrermilieu spielt. Verwoben mit der spannungsreichen Dreiecksbeziehung sind Themen der Frauenemanzipation und modernen Pädagogik sowie zahlreiche literarische Reminiszenzen an den "Zauberberg" oder auch an Goethe und Hölderlin, insbesondere in der zentralen Frage der "Schicksalswürdigkeit".
Der ursprünglich von Peters gewählte Titel ("Der Schicksalswürdige") wurde auf Wunsch des Verlages in "Die schmale Brücke" geändert.
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Les pianistes amateurs en concours : mises à l’épreuve pour une reconnaissance ? / Piano amateurs in competition : a multiple ordeal for a recognition?Souchaud, Alexandrine 11 June 2013 (has links)
Dans une volonté de comprendre le sens des pratiques instrumentales au fil du quotidien d’adultes musiciens amateurs, cette thèse propose d’analyser l’expérience de pianistes, qui, parallèlement à leurs vies professionnelles et privées, ont décidé un jour de se lancer un défi : passer un concours de musique. De leurs aspirations à prendre part à ce type de manifestation à leur présentation/prestation devant les jurys en passant par la phase de préparation au concours, nous inviterons le lecteur à suivre le cheminement et l’engagement de ces musiciens amateurs tout au long de cette aventure musicale singulière. Nous verrons en quoi la participation au concours prend la forme d’une épreuve multiple : sociale, personnelle et musicale et envisagerons cette épreuve comme un moyen d’accéder à une reconnaissance, qu’il s’agisse d’une reconnaissance des autres ou d’une reconnaissance de soi. / This thesis intends to analyse the experience of piano players who, in parallel with their work and private lives have decided to get involved in a very particular challenge: take part in a music competition. We will try to understand why adults, amateur musicians, practise a musical instrument on an every day life basis and what it represents for them. The reader will be then invited to follow the evolution and commitment of these amateur musicians all the way through this unique musical adventure. That is, starting from their desires to get into this kind of event up to their presentation and performance in front of examiners. We will see how taking such a competitive examination can be a multiple ordeal on social, individual and musical levels. We will also view this ordeal as a means to achieve a recognition by other people and at the same time a personal recognition.
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William Shakespeare's Parable of "Is" and "Seems": Ironies of God's Providence in <i>Hamlet</i> and <i>Measure for Measure</i>Kelly, Joseph L. 01 August 2010 (has links)
This thesis examines Hamlet and Measure for Measure as related “problem plays.” In these plays, Shakespeare uniquely combines the genre of parable and the literary device of irony as a means to involve his audience in the experience of ordeal and deliverance that both reorients the protagonists’ personal, political, and ultimately theological assumptions and prompts spiritual insight in the spectator. As in a parable, a spiritual dimension opens subtly alongside each story to inform the play’s action and engage the spectator in the underlying theological discourse. Irony invites the audience to see the disparity between pretended or mistaken reality and the spiritual truth—between what “seems” and what “is.” As these complex dramatized parables unfold, potent tapestries of multilayered thematic irony coalesce into providential irony that exalts, rather than defeats, the protagonists and ultimately determines the outcome.
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Contribution à l'étude des représentations des liens de filiation et d'affiliation chez des jeunes suicidantsGoldsztein, Sasha 21 October 2010 (has links)
Cette recherche s’intéresse à la façon singulière dont l’adolescent ou le jeune adulte suicidant se représente ses liens familiaux et extra-familiaux. Elle explore la façon dont ces jeunes s’inscrivent dans leur histoire familiale, se repèrent dans leur généalogie, mais aussi la façon dont ils construisent, dans le monde qui les entoure, leur réseau d’appartenance. Comprenant l’accès aux transmissions familiales et la possibilité de tisser un réseau de lien extra-familiaux, comme un élément capital de la construction identitaire, ce travail envisage l’hypothèse selon laquelle l’acte suicidaire de l’adolescent traduirait une revendication de l’unicité et de l’authenticité de son existence. L’intention de se faire exister serait plus prégnante que l’intention de se donner la mort. De telles conduites, à valeur ordalique, témoigneraient d’un affrontement avec le monde, dont l’enjeu serait de vivre plus. Elles amèneraient l’adolescent à s’imposer, inconsciemment, de frôler la mort pour se transformer, renaître, revivre après le traumatisme, pour enfin exister. A l’aide d’entretiens cliniques et d’outils d’évaluation systémique comprenant la réalisation de génogrammes libres et imaginaires, seize études de cas ont été réalisées. Ces données ont permis d’effectuer une analyse qualitative individuelle et groupale et, plus particulièrement une exploration familiale tri-générationnelle. Sans confirmer la valeur ordalique de la conduite suicidaire, nos résultas suggèrent que les jeunes rencontrés tentent de se faire exister en cherchant une enveloppe généalogique mais aussi affiliative, contenante au sein de laquelle ils se sentent inscrits et reconnus. Le sentiment d'appartenance qui permet la différenciation et qui donne sens à l’existence fait défaut chez tous. Ces résultats ouvrent une piste de réflexion sur la signification du geste suicidaire à l’adolescence: il s’agit d’une quête de sens, mais aussi de reconnaissance, qui passe par l’épreuve personnelle et le fait d’y survivre. <p> / Doctorat en Sciences Psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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God in History: Religion and Historical Memory in Ottonian GermanyBillman, Kevin M. 23 December 2009 (has links)
No description available.
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Le traitement de l'oubli : épreuve de l'incorporation des antirétroviraux et temporalités des traitements du sida en Centrafrique.David, Pierre-Marie 04 1900 (has links)
Cette thèse propose une description ethnographique et une analyse sociologique de l’arrivée des traitements antirétroviraux (ARV) à Bangui, c’est-à-dire de cette rencontre singulière entre un programme international à l’ampleur inédite et une société locale durement touchée par l’infection. S’appuyant sur trois années de terrain entre 2005 et 2011, la démarche qualitative vise à répondre à la question suivante : de quoi les antirétroviraux sont-ils vraiment l’incorporation ?
Les programmes d’accès au traitement constituent un pouvoir thérapeutique qui se structure comme une « politique de la vie » mettant en lien ARV, ONG et une histoire postcoloniale. La distance entre les prétentions et les réalités du pouvoir thérapeutique explique les ambivalences ressenties lors de l’incorporation biologique et sociale des ARV. Le pouvoir thérapeutique dans le contexte social centrafricain se caractériserait alors moins par des formes exclusivement biomédicales de subjectivité, que par un processus d’individuation fragmenté, basé sur des pratiques biomédicales souples, démonstratives et oublieuses.
Il apparaît alors clairement que les programmes internationaux de traitement de l’infection à VIH contribuent à produire de l’oubli ou plus précisément à écrire l’oubli à partir des « pratiques scriptuaires »: l’oubli des histoires individuelles enchâssées dans des inégalités sociales insurmontables, mais aussi l’oubli d’une Histoire plus longue qui montre que l’infection à VIH est l’incorporation d’un passé colonial. Prendre un temps pour reconnaître ces temporalités du traitement paraît alors de plus en plus nécessaire pour construire un présent qui émancipe, plutôt qu’il ne répète. / This thesis proposes an ethnographic description and a sociological analysis of the arrival of antiretroviral (ARV) in Bangui. It highlights the encounter between an international program with an unprecedented scale and a local society hardly hit by the HIV infection. The qualitative approach, based on three years of fieldwork from 2005 to 2011, aims at answering the following question: what are ARVs really the incorporation of?
Treatment programs represent a therapeutic power that is structured as a « politics of life » linking medicines, NGOs and postcolonial history. The distance between the claims and the realities of therapeutic power explains the ambivalence felt in the biological and social inclusion though ARVs. Eventually, we observe that the therapeutic power in the Central African social context is less characterized by exclusive biomedical forms of subjectivity than by a fragmented process of individuation based on flexible, demonstrative and forgetful biomedical practices
It appears then increasingly clear that international programs for the treatment of HIV infection contribute to produce oblivion or more precisely write oblivion with "scriptural practices", which is to say the oblivion of individual stories embedded in insurmountable social inequality, but also the omission of a longer history which shows that HIV infection is the incorporation of a colonial past. Taking time to recognize these temporalities of treatment then appears increasingly necessary to build a present that empowers, rather than repeats. / Réalisé en co-tutelle avec le laboratoire Santé-Individu-Société, Ecole doctorale Interdisciplinaire Sciences et Santé, Université de Lyon, avec l'obtention du grade de docteur en sociologie.
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Le traitement de l'oubli : épreuve de l'incorporation des antirétroviraux et temporalités des traitements du sida en CentrafriqueDavid, Pierre-Marie 04 1900 (has links)
No description available.
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L'épreuve : La « prison-pharmakon » : remède et poisonLécu, Anne 02 October 2010 (has links)
Ce qui arrive à l’homme du XXIe siècle en prison est en partie analogue à ce qui arrive àl’homme tout court. Nous avons perdu l’innocence (seuls les enfants ne l’ont pas encore perdue), ettentons de la récupérer en nous revendiquant victimes. Présumés coupables, isolés, observés, voilà ceque nous sommes devenus. L’homo carceralus est une sorte de type qui hante notre cultureoccidentale. Fruit du nihilisme et de la gnose. C’est pourquoi il est pertinent de chercher à penser sonépreuve, non de l’extérieur, mais comme ce qui peut nous arriver à chacun, et d’en repérer ce quil’empoisonne ou ce qui la libère. Car la gnose, qui est peut-être sophisme ou nihilisme, est menteuselorsqu’elle fait croire que l’on sort de l’épreuve par “en haut”, par la fuite hors des conditions de viehumaines, dans le scientisme naturaliste, le savoir statistique ou la technique. La résignation et la fuiteen avant ont le même visage, celui de la fatalité : ni l’une et ni l’autre n’aiment ce monde, ni ce temps.Or, ce n’est pas ailleurs que du sens peut advenir. Si la prison est un pharmakon, remède etpoison, c’est qu’elle reste une institution humaine. La grandeur de l’homme est d’être puissance descontraires, capacité de surmonter tout déterminisme, capacité de ne pas se résigner à la fatalité, aucoeur même de sa misère. Encore faut-il ne pas être abandonné seul dans l’épreuve, tant il est vrai quec’est l’autre, et particulièrement l’autre ébranlé, grâce à qui la traversée est possible, par “en bas”. Lesoin en prison s’enracine dans cette « solidarité des ébranlés ». Pour naviguer entre les différentsdispositifs pénitentiaires et sanitaires qui visent à contrôler et à prévoir le comportement des captifs, lemédecin doit faire preuve de mêtis, cette intelligence des interstices, au service de son patient. Et enmême temps, il doit garder de façon catégorique le secret médical, au nom de ce que l’homme restetoujours opaque à toutes les sciences et les techniques, plus grand que lui-même, en sa fragilité. Cesavoir « de nuit » n’est autre que le savoir socratique : « je sais que je ne sais pas ». / That which is happening to XXIst century man in prison is, in part, similar to what ishappening to all of us. Our innocence lost, (innocence is retained only by the child), we try to regain itby claiming to be the victim. We are presumed guilty, isolated, observed. Homo carceralus hauntsour Western culture; fruit of nihilism and gnosis. It is the reason we should reflect on his ordeal, notfrom the outside, but as something that could happen to each and every one of us, and in which todiscover where the poison lies and what the remedy could be. For gnosis, (either sophism ornihilism), is false when we are led to believe that we exit an ordeal by escaping our human conditionin the ‘upward’ direction of the natural sciences, statistical knowledge or technique. Resignation andheadlong pursuit share a characteristic, that of a predestined tendency towards disaster. Neither theone nor the other sits comfortably in this world or our times.But meaning does not have to come from elsewhere. If prison is pharmakon, both remedy andpoison, it is because it is a human institution. Man’s greatness is his conflicting authority : having thecapacity to overcome determinism, the ability not to resign himself to his fate, even at his lowestpoint. But it is imperative not to be left alone through this ordeal, for it is true that it is the other,particularly the ‘weakened other’, thanks to whom the crossing is possible from ‘below’. Care inprison is rooted in this ‘solidarity of the weak’. To navigate the different penitentiary and healthsystems, which seek to control and foresee the captives’ behaviour, the medical doctor must exertmêtis, become complicit with the patient in order to serve the patient. And at the same timecategorical medical confidentiality must be maintained, in the name of which the patient in his or herfragility, remains invisible to all sciences and techniques which are yet greater than he or she is. This‘secret’ knowledge is none other than Socratic knowledge: ‘I know that I do not know’.
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Exil jako tvůrčí proces. Kapitoly z rumunské exilové literatury ve Francii. / Exile as a creative process. Chapters from romanian exile literature in France.Chojnacka, Olga January 2013 (has links)
Exile has always played a significant role in the history of the Romanian nation. On that account the Romanian literature written in exile after 1945 presents an important part of the history of Romanian literature as a whole. Due to its linguistic and cultural affinity France became one of the main host countries for Romanian exile writers. The introductive chapter is dedicated to description, classification and history of this phenomenon in Romanian context; furthermore, it deals with the position and reception of exile literature in Romania. According to their departure date in exile two generations of authors are presented: Mircea Eliade, Virgil Ierunca, Monica Lovinescu who left Romania in 1940s and Paul Goma, Bujor Nedelcovici, Dumitru Ţepeneag who decided to leave in France in 1970s and 1980s. The chosen works help us to get to know to the writers' creation and lives during the process of integration and, simultaneously, we get familiar with the communist Romania that became the main topics of the exile writers who are chosen as representatives of their exile generation. Through them the basic survey of this phenomenon in Romanian literature was drawn up.
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