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Les prisonniers de l'oeil et de la conscience

Mandia, Valérie 23 August 2012 (has links)
Le premier volet de cette thèse en création littéraire, un récit, s’appuie sur une logique orientée à bâtir des passerelles là où c’est possible, et à mettre à plat les disciplines artistiques afin d’en révéler les limites. Cette difficulté particulière au coeur de la thèse met en place des stratégies d’hybridité susceptibles de renforcer l’intensité artistique inhérente à chaque discipline. Intitulé Décorps, le récit devenu ainsi hybride opère donc un rapport de synergie plastico-textuelle. Plus précisément, ce récit, à la frontière entre l’image et les mots, présente une narratrice, Valérie M., dont la voie/voix aboutit à une démarche non conventionnelle ouvrant un espace agonistique entre deux paroles artistiques, entre le même et l’autre, et entre le réel et la fiction. Le deuxième volet de cette thèse en création littéraire, une réflexion au sujet de l’entreprise artistico-littéraire, compte trois chapitres expliquant les raisons sous-jacentes au travail de création hybride. Pour ce faire, le premier chapitre examine les difficultés auxquelles doit faire face l’auteur-artiste dans un monde opaque. L’hybridité s’y découvre comme un outil herméneutique capable parfois d’introduire un minimum de sens dans un univers promis au chaos. Le deuxième chapitre explore pour sa part le métissage générique à partir de la notion d’autofiction à laquelle participe en partie Décorps. Il s’interroge sur les limites et la portée de ce type de représentation littéraire. Enfin, le troisième chapitre consiste en un retour sur Décorps en vue de comprendre ses processus d’hybridation et les tensions survenues au cours de la démarche artisticolittéraire. Ce dernier chapitre se penche sur le langage confronté à ses limites, touchant une forme de mort, de nécrose, là où il n’a plus de prise.
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Les prisonniers de l'oeil et de la conscience

Mandia, Valérie 23 August 2012 (has links)
Le premier volet de cette thèse en création littéraire, un récit, s’appuie sur une logique orientée à bâtir des passerelles là où c’est possible, et à mettre à plat les disciplines artistiques afin d’en révéler les limites. Cette difficulté particulière au coeur de la thèse met en place des stratégies d’hybridité susceptibles de renforcer l’intensité artistique inhérente à chaque discipline. Intitulé Décorps, le récit devenu ainsi hybride opère donc un rapport de synergie plastico-textuelle. Plus précisément, ce récit, à la frontière entre l’image et les mots, présente une narratrice, Valérie M., dont la voie/voix aboutit à une démarche non conventionnelle ouvrant un espace agonistique entre deux paroles artistiques, entre le même et l’autre, et entre le réel et la fiction. Le deuxième volet de cette thèse en création littéraire, une réflexion au sujet de l’entreprise artistico-littéraire, compte trois chapitres expliquant les raisons sous-jacentes au travail de création hybride. Pour ce faire, le premier chapitre examine les difficultés auxquelles doit faire face l’auteur-artiste dans un monde opaque. L’hybridité s’y découvre comme un outil herméneutique capable parfois d’introduire un minimum de sens dans un univers promis au chaos. Le deuxième chapitre explore pour sa part le métissage générique à partir de la notion d’autofiction à laquelle participe en partie Décorps. Il s’interroge sur les limites et la portée de ce type de représentation littéraire. Enfin, le troisième chapitre consiste en un retour sur Décorps en vue de comprendre ses processus d’hybridation et les tensions survenues au cours de la démarche artisticolittéraire. Ce dernier chapitre se penche sur le langage confronté à ses limites, touchant une forme de mort, de nécrose, là où il n’a plus de prise.
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Les prisonniers de l'oeil et de la conscience

Mandia, Valérie January 2012 (has links)
Le premier volet de cette thèse en création littéraire, un récit, s’appuie sur une logique orientée à bâtir des passerelles là où c’est possible, et à mettre à plat les disciplines artistiques afin d’en révéler les limites. Cette difficulté particulière au coeur de la thèse met en place des stratégies d’hybridité susceptibles de renforcer l’intensité artistique inhérente à chaque discipline. Intitulé Décorps, le récit devenu ainsi hybride opère donc un rapport de synergie plastico-textuelle. Plus précisément, ce récit, à la frontière entre l’image et les mots, présente une narratrice, Valérie M., dont la voie/voix aboutit à une démarche non conventionnelle ouvrant un espace agonistique entre deux paroles artistiques, entre le même et l’autre, et entre le réel et la fiction. Le deuxième volet de cette thèse en création littéraire, une réflexion au sujet de l’entreprise artistico-littéraire, compte trois chapitres expliquant les raisons sous-jacentes au travail de création hybride. Pour ce faire, le premier chapitre examine les difficultés auxquelles doit faire face l’auteur-artiste dans un monde opaque. L’hybridité s’y découvre comme un outil herméneutique capable parfois d’introduire un minimum de sens dans un univers promis au chaos. Le deuxième chapitre explore pour sa part le métissage générique à partir de la notion d’autofiction à laquelle participe en partie Décorps. Il s’interroge sur les limites et la portée de ce type de représentation littéraire. Enfin, le troisième chapitre consiste en un retour sur Décorps en vue de comprendre ses processus d’hybridation et les tensions survenues au cours de la démarche artisticolittéraire. Ce dernier chapitre se penche sur le langage confronté à ses limites, touchant une forme de mort, de nécrose, là où il n’a plus de prise.
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Réalisme pictural : pour une étude anthropo-comparative transculturelle sur l'expérience esthétique / Pictorial realism : for an anthropo-comparative transcultural study on the aesthetic experience

Hwang, Ju-Yeon 01 June 2018 (has links)
Le réalisme pictural peut être conçu, par-delà la pensée ontologique dualiste, comme expérience perceptive cognitive du spectateur d’avoir l’impression de voir le « réel » dans une configuration imagée picturale. Cette impression de réel n’est pas illusoire, mais subjectivement factuelle, sans être nécessairement consciente. Elle pourrait résulter de la facilité perceptive ou de la fluidité opérationnelle du processus perceptif cognitif. Lorsque l’activité perceptive cognitive opérante dans l’expérience du réalisme pictural est régulée par la valence hédonique immanente à cette fluidité opérationnelle sous-jacente à l’impression de réel, cette expérience « subjective » peut être également « esthétique » pour cette autosuffisance fonctionnelle de la « conduite cognitive » du spectateur. Cependant, l’expérience du réalisme pictural comporte une dimension anthropo-transculutrelle, comme on peut le constater notamment dans les récits littéraires des spectateurs coréens du 18e siècle qui illustrent leurs expériences visuelles des peintures occidentales « illusionnistes » réalisées par des missionnaires jésuites à Pékin. La culture est néanmoins opérante dans l’expérience « esthétique » du réalisme pictural. Son effet est double. D’une part, la culture fonctionne comme une des variables de la fonction complexe de l’apprentissage perceptif qui pourrait modifier la dynamique du processus perceptif cognitif ainsi que l’attention perceptive visuelle. D’autre part, elle pourrait opérer un effet dans la valence hédonique globale en participant à la modélisation de l’« affect idéal » distingué de l’« affect effectif ». / The pictorial realism can be conceived, beyond ontological dualistic thought, as beholder’s perceptual cognitive experience to have the impression of seeing the “real” in a picture. This impression or feeling of real is not illusory, but subjectively factual, without being necessarily conscious. It may result from perceptual easiness or from perceptual cognitive processing fluency. When the perceptual cognitive activity working in the pictorial realism experience is regulated by hedonic valence immanent in this processing fluency that underlies the impression of real, this subjective experience can also be “aesthetic” by functional self-sufficiency of beholder’s “cognitive conduct”. However, the experience of pictorial realism contains an anthropo-transcultural dimension, as we can observe especially in the stories written by 18th century Korean beholders, which illustrate their visual experiences of the western “illusionist” paintings produced by jesuit missionary painters in Beijing. Nevertheless, the culture comes into play in the “esthetic experience” of pictorial realism. Its effect is double. On the one hand, the culture acts as one of the variables of the complexe function of perceptual learning which could make difference in the perceptual cognitive processing dynamics and in the visual or perceptual attention. On the other hand, the culture might influence the global state of hedonic valence by participating in the modeling of “ideal affect” distinguished from “actual affect”.

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