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Représentation matricielle implicite de courbes et surfaces algébriques et applicationsLuu Ba, Thang 12 July 2011 (has links) (PDF)
Dans cette thèse, nous introduisons et étudions une nouvelle représentation implicite des hypersurfaces rationelles et des courbes rationnelles plongées dans un espace projectif de dimension arbitraire. Nous illustrons les avantages de cette représentation matricielle en abordant plusieurs problèmes importants intervenant en conception géométriqueassistée par ordinateur: les problèmes d'intersection entre deux courbes, entre une courbe et une surface ou bien encore entre deux surfaces, le problème d'appartenance d'un point à une courbe ou une surface, le problème du calcul de la pré-image d'un point donné par une paramétrisation et enfin le problème du calcul des singularités d'une courbe rationnelle. L'approche développée dans ce travail de thèse est basée sur la combinaison de méthodes symboliques et numériques. En effet, un première étape symbolique consiste à transformer le problème considérer en un pinceau de matrices. La deuxième étape consiste alors à calculer les valeurs propres généralisées de ce pinceau à l'aide de méthodes numériques. Pour cela, un algorithme d'extraction de la partie régulière d'un pinceau univarié, respectivement bivarié, de matrices non carrées est présenté. Une implémentation de ces travaux dans les systèmes de calcul formel Mathemagix et Maple est présentée en appendice. Le dernier chapitre est conscré à un algorithme qui, étant donné un ensemble de polynômes univariés f1 , ..., fs construit un ensemble de polynômes u1 , ..., us dont les degrés sont prescrits, tels que le degré du pgcd(f1 + u1 , ..., fs + us ) est supérieur ou égal à un entier donné sous des hypothèses de généricité.
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Musée en peinture : discontinuité / continuité / extension : souffle et résonance d'une pratique artistique entre peinture chinoise et occidentale / Museum in painting : discontinuity / continuity / extension : breath and resonance of an artistic practice between Chinese and Western painting.Lin, Shen-Te 25 January 2018 (has links)
La relation entre les peintures chinoise et occidentale apparait comme une rencontre entre l’eau et l’huile. Mélanger les deux étant impossible, comment, dès lors, un artiste entre deux cultures, peut-il faciliter leur dialogue et devenir un passeur ? Cette recherche tente d’associer la technique des matériaux occidentaux avec l’expression du pinceau et de l’encre liés au concept du plein et du vide afin d’explorer des oppositions complémentaires, en créant une réalité diluée dans un contraste harmonisé. La réflexion s’est concrétisée par des peintures en trois formats : la série, le rouleau et l’album, intitulées Musée en peinture. Formats qui permettent d’aborder aussi bien les questions de l’écoulement du temps, de la circulation du regard, de la dynamique spatiale, que celles de l’extension et de la suggestion. Ces peintures interrogent le phénomène du musée en portant un regard ironique, critique et empathique sur les spectateurs et leurs travers. Elles témoignent aussi de la conversation avec les maîtres anciens et d’un cheminement dans les musées. La réalisation de ce musée des musées consiste en un processus de transfert de la photographie vers la composition photographique, puis vers la peinture. Ce processus se rapproche de la structure cinématographique, à partir du montage filmique d’Eisenstein, et de la notion de continuité et de discontinuité de Raoul Ruiz. Avec la boîte de Poussin numérique, on joue à la fois le rôle de peintre, de metteur en scène et de documentariste. Exploré, le passé se mue en espace, en reconstituant le passage du monde réel au monde virtuel, du ça-a-été de Roland Barthes à la notion du ça n’a pas été. / The relationship between Chinese and Western painting appears as a meeting of water and oil. Mixing the two seems impossible, so how can an artist create a dialogue between two cultures and media, effectively becoming a cultural conduit ? This research attempts to combine the techniques of Western materials with the expression of Chinese brush and ink, which is linked to the concept of fullness and tangible versus emptiness and abstract. From here, we explore the complementary opposition, create a “diluted reality” in a harmonized contrast. This reflection, entitled Museum in Painting, is represented in three different formats: the series, the scroll, and the album. These formats allow us to explore ideas of the flow of time, the circulation of the gaze, the spatial dynamics, as well as the topic of Extension and Suggestion. From the satirical, critical, and empathic point of views, we investigate the audience and their quirks, questioning the phenomenon of museum. These works exhibit my intellectual journey through the museum, and the conversation with the old masters. The realization of this museum of museums is a transfer process from photography to digital composition, and then to the painting. It takes the concepts of Eisenstein's film montage and Raoul Ruiz’s continuity and discontinuity to explore its relevance to the cinematographic composition and structure. With the “Digitized Box of Poussin”, we played the role of painter, director and documentary filmmaker to explore the idea of past events becoming a space to re-create a pathway from the real world to the virtual world, from Roland Barthes’ concept of “what happened” to the concept that is put forward that “it didn’t happen”.
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Les prisonniers de l'oeil et de la conscienceMandia, Valérie 23 August 2012 (has links)
Le premier volet de cette thèse en création littéraire, un récit, s’appuie sur une logique orientée à bâtir des passerelles là où c’est possible, et à mettre à plat les disciplines artistiques afin d’en révéler les limites. Cette difficulté particulière au coeur de la thèse met en place des stratégies d’hybridité susceptibles de renforcer l’intensité artistique inhérente à chaque discipline. Intitulé Décorps, le récit devenu ainsi hybride opère donc un rapport de synergie plastico-textuelle. Plus précisément, ce récit, à la frontière entre l’image et les mots, présente une narratrice, Valérie M., dont la voie/voix aboutit à une démarche non conventionnelle ouvrant un espace agonistique entre deux paroles artistiques, entre le même et l’autre, et entre le réel et la fiction. Le deuxième volet de cette thèse en création littéraire, une réflexion au sujet de l’entreprise artistico-littéraire, compte trois chapitres expliquant les raisons sous-jacentes au travail de création hybride. Pour ce faire, le premier chapitre examine les difficultés auxquelles doit faire face l’auteur-artiste dans un monde opaque. L’hybridité s’y découvre comme un outil herméneutique capable parfois d’introduire un minimum de sens dans un univers promis au chaos. Le deuxième chapitre explore pour sa part le métissage générique à partir de la notion d’autofiction à laquelle participe en partie Décorps. Il s’interroge sur les limites et la portée de ce type de représentation littéraire. Enfin, le troisième chapitre consiste en un retour sur Décorps en vue de comprendre ses processus d’hybridation et les tensions survenues au cours de la démarche artisticolittéraire. Ce dernier chapitre se penche sur le langage confronté à ses limites, touchant une forme de mort, de nécrose, là où il n’a plus de prise.
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Les prisonniers de l'oeil et de la conscienceMandia, Valérie 23 August 2012 (has links)
Le premier volet de cette thèse en création littéraire, un récit, s’appuie sur une logique orientée à bâtir des passerelles là où c’est possible, et à mettre à plat les disciplines artistiques afin d’en révéler les limites. Cette difficulté particulière au coeur de la thèse met en place des stratégies d’hybridité susceptibles de renforcer l’intensité artistique inhérente à chaque discipline. Intitulé Décorps, le récit devenu ainsi hybride opère donc un rapport de synergie plastico-textuelle. Plus précisément, ce récit, à la frontière entre l’image et les mots, présente une narratrice, Valérie M., dont la voie/voix aboutit à une démarche non conventionnelle ouvrant un espace agonistique entre deux paroles artistiques, entre le même et l’autre, et entre le réel et la fiction. Le deuxième volet de cette thèse en création littéraire, une réflexion au sujet de l’entreprise artistico-littéraire, compte trois chapitres expliquant les raisons sous-jacentes au travail de création hybride. Pour ce faire, le premier chapitre examine les difficultés auxquelles doit faire face l’auteur-artiste dans un monde opaque. L’hybridité s’y découvre comme un outil herméneutique capable parfois d’introduire un minimum de sens dans un univers promis au chaos. Le deuxième chapitre explore pour sa part le métissage générique à partir de la notion d’autofiction à laquelle participe en partie Décorps. Il s’interroge sur les limites et la portée de ce type de représentation littéraire. Enfin, le troisième chapitre consiste en un retour sur Décorps en vue de comprendre ses processus d’hybridation et les tensions survenues au cours de la démarche artisticolittéraire. Ce dernier chapitre se penche sur le langage confronté à ses limites, touchant une forme de mort, de nécrose, là où il n’a plus de prise.
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Les prisonniers de l'oeil et de la conscienceMandia, Valérie January 2012 (has links)
Le premier volet de cette thèse en création littéraire, un récit, s’appuie sur une logique orientée à bâtir des passerelles là où c’est possible, et à mettre à plat les disciplines artistiques afin d’en révéler les limites. Cette difficulté particulière au coeur de la thèse met en place des stratégies d’hybridité susceptibles de renforcer l’intensité artistique inhérente à chaque discipline. Intitulé Décorps, le récit devenu ainsi hybride opère donc un rapport de synergie plastico-textuelle. Plus précisément, ce récit, à la frontière entre l’image et les mots, présente une narratrice, Valérie M., dont la voie/voix aboutit à une démarche non conventionnelle ouvrant un espace agonistique entre deux paroles artistiques, entre le même et l’autre, et entre le réel et la fiction. Le deuxième volet de cette thèse en création littéraire, une réflexion au sujet de l’entreprise artistico-littéraire, compte trois chapitres expliquant les raisons sous-jacentes au travail de création hybride. Pour ce faire, le premier chapitre examine les difficultés auxquelles doit faire face l’auteur-artiste dans un monde opaque. L’hybridité s’y découvre comme un outil herméneutique capable parfois d’introduire un minimum de sens dans un univers promis au chaos. Le deuxième chapitre explore pour sa part le métissage générique à partir de la notion d’autofiction à laquelle participe en partie Décorps. Il s’interroge sur les limites et la portée de ce type de représentation littéraire. Enfin, le troisième chapitre consiste en un retour sur Décorps en vue de comprendre ses processus d’hybridation et les tensions survenues au cours de la démarche artisticolittéraire. Ce dernier chapitre se penche sur le langage confronté à ses limites, touchant une forme de mort, de nécrose, là où il n’a plus de prise.
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