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La synthèse des éléments visuels et l'influence des thèmes littéraires dans la peinture indo-persane pendant la période d'Akbar Shâh (1542-1605) / The synthesis of the visual elements and the influence of literary themes on the lndo-Persian painting during the period of Akbar Shah (1542-1605)

Salehi Lorestani, Sharareh 29 September 2015 (has links)
La relation entre la peinture et la littérature persane était étroitement liée pendant toute l'histoire del'Iran après la conquête de l'Islam. Ce sont souvent les sujets mystiques qui dominent la littérature persane et ils se manifestent également dans la peinture par l'illustration des divans et des ouvrages soufis. C'est ainsi que la peinture persane est le grand témoin de l'approche gnostique et elle possède une dimension mystique transcendante. Les éléments et les symboles, inspirés des métaphores sublimes de la littérature soufie persane, nous orientent vers des interprétations mystiques dont on trouve la manifestation explicite dans la plupart des suppléments de la peinture persane. Les conceptions soufies se sont manifestées également dans la peinture des écoles dérivées de la peinture persane comme l'école de la peinture inde-persane et l'école de la peinture moghole. Il faut souligner que la circulation de la langue persane avait un rôle remarquable dans ce parcours. Notamment, d'une part le persan était la langue officielle de l'Inde sous le règne d'Akbar, l'empereur moghole passionnée de la culture persane, et de l'autre part les vagues d'émigrations des poètes et des peintres iraniens vers l'Inde, sous la pression des docteurs religieux safavides développaient l'influence de la culture persane dans le sous-continent indien.Les deux raisons essentielles qui préparaient la base d'un grand mouvement artistique. L'affection des rois moghols envers les confréries soufies, hérité de leur grand ancêtre Tamerlan, se manifestait par le respect qu'ils avaient pour les soufies et, en particulier, pour les Sheikh (s) naqšbandî. / Persian painting and Persian literature were closely linked during the history of Iran after the conquest of Islam. lt is often the mystical topics of Persian literature, which have an effect on the Persian painting. During the Timurid dynasty, Sufism has occupied a central place in the society of Iran. The Sufism ideology, in particular the naqsbandî beliefs, has brought a transcendent mystical dimension to the illustrations of this period of history of Persian art. We can find the explicit mystical influence of the big naqshbandî master and the last great medieval mystic, Jami, on the painting of Kamâl al-Dîn Bihzâd. Obviously, the success of Bihzâd disciples, who were under his influence, gave birth to the lndo-Persian painting in Mughal court.Moreover, Akbar (1542-1605) and his great passion for the Persian language and culture had adecisive role in the development of the Persian mystical thoughts in lndia. The Persian language became the official language of the lndian Mughal Empire du ring his reign.The devotion of Akbar for the Sufism was particularly manifested in his special respect toward naqsbandî Sheikhs. At the same time, under the religious pressure of the Safavid dynasty some of the lranians were obliged to leave their country. The big passion of Akbar in one hand and the immigration waves of lranians, especially Sufis, poets and artists to the lndia, on the other hand,prepared the society for intellectual and artistic movements.ln fact, the naqsbandî traditions and ideas have travelled from Iran to the northern lndia. Bokhara played a great role in the circulation of beliefs and ethics of the naqsbandî order between Persia and India.
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Le bleu dans la miniature safavide avant Shah Abbas / The blue in Safavid miniatures before Shah Abbas

Ghoochani, Ghazaleh 31 January 2014 (has links)
Ces travaux portent sur plusieurs facettes de l’emploi du bleu dans les miniatures persanes. Ils se fondent sur un corpus constitué de 56 manuscrits à peintures, appartenant à la période qui va de l’accession au trône des Safavides jusqu’au règne de Shah Abbâs (soit de 1501 à 1588), et conservés à la Bibliothèque Nationale de France et à la British Library. Ce travail s’articule autour de deux grands axes. Le premier aborde les questions préliminaires relatives aux matériaux et techniques utilisés pour fabriquer la couleur bleue qui se rencontrent dans la peinture persane du XVIe siècle. Cette étude exigeait aussi une définition exacte des noms des nuances de la couleur bleue. Deux catégories de sources textuelles fournissent des informations sur la nature des pigments et le chromatisme employés dans la miniature persane, à savoir les traités techniques et les œuvres scientifiques. L’autre partie de cette thèse présente dans un premier temps une étude picturale détaillée en vue de définir les divers emplacements de la couleur bleue sur les peintures du corpus ; dans un second temps, il est procédé à une analyse textuelle des ouvrages dudit corpus, permettant de confirmer la corrélation des textes avec leurs illustrations quant aux indications liées au choix de la couleur bleue. Ces deux analyses nous mènent vers une synthèse qui aide à comprendre l’aspect symbolique et métaphorique de cette couleur dans l’ensemble de ses représentations picturales. Certaines sources telles que les récits de voyages et les recueils de biographies ou les textes littéraires et mystiques comportent des renseignements précieux sur l’emploi de la couleur bleue dans la société et son contexte culturel. / This research deals with several aspects of the use of blue in Persian miniatures. It is based on a corpus of 56 illustrated manuscripts, dating from the beginning of rule of the Safavids until the reign of Shah Abbas (i.e. from 1501 to 1588 A.D.), preserved in the Bibliothèque nationale de France and the British Library. This work contains two major developments. At first, come the preliminary questions about the materials and techniques used to make the colour blue met in the paintings of the XVIth century. This study also required an exact definition of the names of shades of blue. Two categories of textual sources provide information about the nature of the pigments and the chromatics used in the Persian miniature; they are technical treaties and scientific works. The other part of this thesis is made up of pictorial studies which allow us to determine the location of the colour blue in painting. This approach is coupled with an analysis of the illustrated texts in order to confirm the correlation between pictures and texts when dealing with the colour blue. Both analyses lead to a synthesis that helps us understand the symbolic and metaphorical aspects of this colour in all its pictorial uses. Some sources such as travelogues and biographies or literary and mystical texts contain information on the use of blue in society and its cultural context.
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Le mythe du Graal : étude comparative sur l’origine de mythe du Graal dans la littérature arthurienne et persane / Myth of the Grail : comparative study on the origin of the myth of the Grail in Arthurian and Persian literature

Kuhestani, Cyrus 25 October 2014 (has links)
Cette thèse consiste à une étude comparative entre les romans arthuriens d’un côté et le Shâh-Nâme de Ferdowsi de l’autre coté sur le sujet de Graal. L’enjeu est d’étudier l’origine du Mythe du Graal et essayer d’expliquer la ressemblance entre le mythe du Graal avec le Khvarnah l’équivalent de mythe dans la littérature persane. Dans une première partie, la thèse se concentre sur une étude du mythe de Graal chez Chrétien de Troyes, Wolfram von Eschenbach et Ferdowsi. Les différentes manifestations du mythe, le sens spirituel tout autour de ce mythe seront l’objet de cette recherche dans cette partie. Dans un second temps, la thèse fait porter l’analyse sur l’origine de ce mythe tellement contesté chez les chercheurs de différentes écoles, soit l’origine celtique ou irano-aryenne. Cette thèse défendra la théorie d’origine iranienne en prenant en considération l’influence celtique du mythe. Selon ce travail, dans la structure du roman de Graal, il existe une base du folklore Alano-celtique que le néo manichéisme cathare, en l’utilisant comme la matière première, construit une couche d’initiation propre à la conviction dualiste afin d’ajouter le personnage de Perceval/Parzival à l’histoire du roi Arthur. Parzival, de ce point de vue, est plus proche de sa modèle persane Kay Khosrow. La divergence entre l’auteur français par rapport à son homologue allemand dépend de leur situation sociale ; Chrétien est l’artiste proche du pouvoir religieux de l’église catholique et Wolfram, le chevalier qui gagne sa vie en chantant, était proche des hérésies cathares et des templiers. Enfin, ce travail essaie de montrer que ce mythe d’origine aryenne, est déformé par les religions à leur fin et que le vrai sens de la quête n’est pas le salut mais le surhomme. / This thesis is a comparative study of the Arthurian romances on the one side and the Shâh-Nâmeh of Ferdowsi on the other side, referring to the subject of the Grail. The challenge is, to study the origin of the Grail myth and try to explain the similarity between the myth of the Grail and Khvarna, the equivalent myth in Persian literature. In the first part, the thesis focuses on a study of the Grail myth in the work of Chrétien de Troyes, Wolfram von Eschenbach and Ferdowsi. Different manifestations of the myth, the spiritual sense around this myth will be the subject of this research in this part. In a second step, the thesis focuses the analysis on the origin of this myth much disputed among researchers of different schools, either Irano-Aryan or Celtic origin. This thesis defends the theory of Iranian origin, taking into account the Celtic myth too. According to this work, the structure of the Grail novel is based on Alano-Celtic folklore. Thereafter, Catharism, using it as the raw material, built a layer initiation specific to dualistic belief, in order to add the character of Perceval/ Parzival to the story of King Arthur. From this point of view, Parzival is closer to the Persian Kay Khosrow model. The divergence between the French author in relation to his German counterpart depends on their different social situation; Chrétien was an artist close to the religious authority of the Catholic Church and Wolfram, the knight who earned his living by singing, was close to Cathare heresy and the Templers. Finally, this work tries to show that the origin of this Aryan myth is that distorted by religions to achieve their ends and that the true meaning of the quest is not salvation but the “Übermensch”.
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De rythme et de raison. Lecture croisée de deux traités de poétique persans du XIIIe siècle / Of Rhythm and Reason. Cross-Reading of Two 13th Century Persian Treatises on Poetics

Landau, Justine 12 December 2012 (has links)
Pour les historiens de la Perse, le XIIIe siècle est celui des invasions mongoles et des bouleversements considérables qu’elles entrainèrent sur tout le plateau iranien. Pour l’histoire de la littérature, cependant, ces temps de grande violence définissent un épisode unique et fondateur : la naissance de la théorie littéraire en Iran. De fait, rien ne laissait présager l’éclosion, à quelques années de distance, aux marges opposées de la Perse (Shiraz, Alamut), de deux artes poetica à part entière, intégralement conçus et rédigés pour la première fois en persan. Avec son Livre de la somme, sur les étalons des poésies des Persans (Ketāb al-mo‘jam, fī ma‘āyīr aš‘ār al-‘ajam), Šams-e Qeys-e Rāzī (circ. 1175-1240) livrait sans conteste l’ouvrage le plus complet de la tradition. L’Étalon des poésies, de la science de la métrique et des rimes (Me‘yār al-aš‘ār, dar ‘elm-e ‘aruḍ va qavāfī) du grand savant et polygraphe Naṣīr al-Dīn Ṭūsī (1201-1274), proposait quant à lui une analyse ambitieuse de l’essence de la poésie. À eux deux, ils signent le testament inaugural de la tradition poétologique persane. Ils déterminèrent en outre les deux grandes orientations de la tradition artigraphique ultérieure : l’approche esthético-littéraire, et l’approche philosophique. En proposant une lecture croisée de ces ouvrages, le présent travail espère contribuer à éclairer cet événement considérable que constitue l’avènement, en Iran, d’une véritable pensée du fait poétique. / From the point of view of Persian historiography, the 13th century identifies with the considerable changes brought about by the Mongol invasions throughout the Iranian plateau. For the history of literature, however, this sour era dates a single founding episode: the advent of literary theory in Iran. In fact, the emergence of two full-fledged artes poetica, entirely conceived and composed in the Persian language, just a few years apart, at opposite ends of the Persian lands (Shiraz, Alamut), could not easily be predicted. With his Compendium on the Standards of the Poetry of the Persians (Ketāb al-mo‘jam, fī ma‘āyīr aš‘ār al-‘ajam), Šams-e Qeys-e Rāzī (circ. 1175-1240) delivered the indisputable classic of the genre. As for The Standard of Poetry, on Metrics and Rhyme (Me‘yār al-aš‘ār, dar ‘elm-e ‘aruḍ va qavāfī) by the great scholar and polymath Naṣīr al-Dīn Ṭūsī (1201-1274), it offered a far-reaching discussion of the essence of poetry. Together, these two works embody the inaugural legacy of Persian literary theory. They further defined the two major trends followed by later authors: the estheticliterary and the philosophical approach to poetry. With this cross-reading of the texts, we hope to shed some light on an event of no little importance: the emergence, in Iran, of a genuine endeavor to account for poetry as such.
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L'image de la Perse et des Perses au IVème siècle chez Ammien Marcellin : tradition romaine et tradition arabo-persane : regards croisés / The image of Persia and Persians at the 4th century at Ammien Marcellin : roman tradition and arabo-persian tradition : cross glances

Bousleh, Wijdene 05 January 2016 (has links)
L’image de la Perse et des Perses occupe une place importante dans l’œuvre d’Ammien Marcellin, un Syrien hellénisé du IVe siècle, auteur d’un ouvrage historique écrit en latin. La présente recherche, qui replace le sujet dans le reste de la tradition romaine et la tradition arabo-persane, s’articule en trois parties : « Ammien, une source majeure ? », « L’image de la Perse chez Ammien : l’art de la description », et enfin « Les Perses dans le récit du conflit romano-perse de 354 à 378 : l’art du portrait et de la narration ». Il en ressort qu’Ammien a adopté un point de vue romain, tout en se distinguant de la tradition historiographique romaine antérieure. Il se démarque également de la tradition arabo-persane. Ammien, auteur atypique de par ses origines et du sujet qu’il traite, l’est aussi par son écriture. / The image of Persia and Persians occupies an important place in the work of Ammianus Marcellinus, a hellenized Syrian of the 4th century, author of a historical written in latin. The present research, which replaces the subject in the rest of the roman tradition and the arabo-persian tradition, is articulated in three parts : « Ammianus, a major source ? », « The image of Persia at Ammianus : the art of description », and finally, « The Persians on the account of the Romano-Persia conflict from 354 to 378 : the art of the portrait and the narration ». This reveals that Ammianus adopted a roman point of view, while being distinguished from the former roman historiographical tradition. He also dissociates arabo-persian tradition. Ammianus, author atypical from his origins and the subject which it treats, is also by its wrinting.
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L'art du conteur en Iran : la récitation des histoires du "Sâh-nâme" dans les cafés traditionnels iraniens / The art of storytelling in Iran : the recitation of the history "Book of the Kings" of Ferdowsi in Iran's traditional cafes

Oliaei, Shadi 02 July 2010 (has links)
L’art du naqqâli en Iran est basé sur une longue tradition de récits épiques portant sur des héros de la légende nationale iranienne. La principale source de ces épopées, Le Livre des rois de Ferdowsi, est un œuvre fondamentale de la culture nationale. Les conteurs professionnels «naqqâl» récitent, en les adaptant, les passages du Livre des rois pendant des heures à l’assistance dans certaines maisons de thé, plus connues sous l'appellation de cafés traditionnels. La représentation du naqqâli qui dure approximativement une heure et demi comporte trois parties d’environ une demi-heure chacune. Une session habituelle commence par une introduction poétique suivie d’une entrée en matière pour introduire l’histoire et s’achève par l’histoire proprement dite. Le début et la fin de chaque partie sont marqués par une combinaison de salavât (prière récitée en chœur) et de récitations de poèmes classiques qui ne sont pas nécessairement liés à l’histoire elle-même, mais servent en général à retenir l’attention du public pendant la représentation. Les qualités de la récitation du naqqâl reposent sur un ensemble de méthodes complémentaires permettant de donner plus de relief au spectacle : les méthodes oratoires, gestuelles et l’approche musicale. Les naqqâl utilisent les rouleaux de parchemin appelés tumâr pour préparer la représentation et s’aider pendant la récitation tout en prenant des libertés par rapport au texte dans le but de retenir l’attention de leur auditoire. Les caractéristiques formelles spécifiques de ce genre de représentation qui se rapporte à ses contraintes minimales sont : la durée fixe d’une représentation et son découpage sérialisé, l’influence plus ou moins directe de la structure du tumâr et en particulier sa division en trois niveaux d’unités structurelles : le chapitre, la partie et l’épisode. / The art of naqqâli in Iran is based on a long tradition of epics involving heroes of the Iranian National legend. The main source of these epics, Ferdowsi’s Book of the Kings, is a cornerstone of the national culture. Over long hours, professional naqqâl recite passages from the Book of the Kings to the audience in tea-houses, known as traditional cafes. The naqqâli performance lasts about one and half hours and up to three parts for about half an hour each. A session usually begins with an introduction followed by a poetic prelude to outline the story and ends with the story itself. The beginning and end of each part are salavât (prayer recited in unison) and recitations of classic poems which are not necessarily related to the history itself, but in general serve the purpose of gaining the public attention during the performance. The quality of the naqqâl’s recitation based on a set of methods to give a larger dimension to the show such as: oratory techniques, gesture and musical approach. Naqqâl use parchment scroll called tumâr prepared for the performance which help with the recitation while taking liberties with respect to the text in order to attract the attention of their audience. The formal features of this type of performance which refer to its minimal constraints are : the fixed duration of performance and its serial form, the more or less direct influence of the structure of the tumâr, particularly its division into 3 levels of structural units : chapter, instalment and episode.
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Réception de Hâfez de Chirâz en France : examen critique de la première traduction intégrale française du Divân de Hâfez / Reception of Hafiz of Shiraz in France : critical review of the first complete French translation of the Divan of Hafiz

Mohseni, Saber 19 June 2017 (has links)
Cette thèse se propose de faire une critique traductologique de la première traduction complète du Divân de Hâfez en français qui, dès sa parution, a suscité admirations et reproches et qui a valu au traducteur, Charles-Henri de Fouchécour, plusieurs prix et titres littéraires. Dans la première partie, intitulée « À la recherche du traducteur », on s’intéresse à C. H. de Fouchécour en tant que chercheur et spécialiste de la littérature classique persane et traducteur du Divân de Hâfez. Dans le premier chapitre, on étudie sa carrière dès ses commencements afin de révéler la manière dont il aborde et conçoit les œuvres persanes. Le deuxième chapitre est consacré au traducteur qu’est C. H. de Fouchécour et on révèle ce qu’il pense de l’acte de traduire (sa position traductive), le projet traductif qu’il a adopté pour traduire l’œuvre de Hâfez et enfin l’horizon traductif, c’est-à-dire la situation de la traduction poétique en France et surtout l’historique de la traduction des poèmes hâféziens en français. La deuxième partie de cette recherche, « La traduction et la poésie », est consacrée au texte à traduire et au texte traduit ; c’est-à-dire que dans le troisième chapitre, on présente une nouvelle lecture de la pensée hâfézienne en prêtant une attention privilégiée à la forme de sa poésie. Dans le quatrième chapitre, après avoir établi une méthode de confrontation tridimensionnelle fondée sur la lecture présentée dans le chapitre précédent, on aborde la confrontation de cinq ghazals hâféziens avec leurs traductions françaises d’A. Guy, G. Lazard et C. H. de Fouchécour. / This thesis intends to offer a “traductological critique” of the first complete translation of the Divan of Hafiz in French, which, upon its publication, aroused both admiration and criticism and earned its translator, Charles-Henri de Fouchécour, several literary awards and titles. In the first part, entitled "In Search of the translator," we focus on C. H. de Fouchécour as a researcher and specialist in classical Persian literature and translator of the Divan of Hafiz. In the first chapter, we examine his career from its beginning, to reveal how he approaches and presents Persian works. The second chapter is devoted to the translator that is C. H. de Fouchécour and reveals how he conceives translation, the specific perspective he adopted to translate the Divan of Hafiz and finally his “horizon traductif”, in other words the situation of the poetic translation in France and especially the history of the translation of Hafiz’s poems in French. The second part of this research, "Translation and poetry", is devoted to the source text and the translated text; that is to say, in the third chapter, we present a new reading of the Hafizian thought, paying a special attention to the form of his poetry. In the fourth chapter, having established a three-dimensional method of comparison, based to the reading presented in the previous chapter, we compare five ghazals of Hafiz with their French translations by A. Guy, G. Lazard and C. H. de Fouchécour.
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Persian Verbs in Spatial Events : with a Specific Focus on Complex Predicates / Verbes persans dans les événements spatiaux : avec un accent particulier sur les prédicats complexes

Nouri, Catherine 02 April 2019 (has links)
Cette thèse a un double objectif : 1) Étudier le comportement sémantique et syntaxique des verbes simples persans par rapport aux prédicats complexes dans les événements spatiaux respectant la typologie de Talmy sur cadrage verbal ou cadrage satellitaire ; et 2) Analyser la systématicité sémantique dans la formation des prédicats complexes basée sur une approche constructionnelle et expliquer leurs comportements exacts, à savoir leur productivité, la causalité, leur durée, et le comportement syntaxique de leurs pré-verbes en fonction de leurs significations. Dans la première partie de l’analyse, nous parlons du comportement des verbes simples par rapport aux prédicats complexes dans les événements spatiaux. Notre analyse est basée sur un vaste corpus. Les prédicats complexes expriment fréquemment le comportement et d’autres informations sémantiques tandis qu’une fréquence élevée de verbes simples apparaît comme des constructions neutres sans exprimer aucune information spécifique. La distribution syntaxique des prédicats complexes respecte la règle de l’« économie de la langue » étant donné que toutes les informations sémantiques sont aussi encodées dans la construction elles-mêmes. Par ailleurs, les verbes simples exigent, dans la majorité des cas, des clauses dépendantes pour exprimer le comportement. En outre, les prédicats complexes encodent, à la fois, le mouvement et les événements d’emplacement, tandis que les verbes simples sont pour la plupart intransitifs et se réfèrent aux événements locatifs. Les lacunes mentionnées ci-dessus sur des verbes simples ont conduit au remplacement de ces derniers par des prédicats complexes au fil du temps. Dans la deuxième partie de notre analyse, nous traitons les caractéristiques sémantiques de prédicats complexes dans des événements spatiaux à la lumière de la théorie de Grammaire de Construction et des approches fondées sur le corpus. Selon Goldberg, nous considérons des constructions de prédicats complexes à part entière. Kardan, "Faire" ; dādan, 'Donner'; zadan, 'Frapper' ; et bordan, 'Prendre', sont les verbes supports étudiés dans cette thèse. Ces verbes supports sont parmi ceux les plus fréquents ayant le plus de pré-verbes en commun dans notre corpus. Premièrement, nous avons identifié les extensions sémantiques de chaque verbe support. Cette catégorisation nous a permis de révéler un certain degré de productivité sémantique ainsi que la généralisation entre chaque verbes supports et le type de pré-verbes avec lesquels il pourrait co-se produire. Autrement dit, chaque verbe support se combine avec un type spécifique de pré-verbe. Il est à note que même des extensions métaphoriques ont un certain degré de productivité et les locuteurs peuvent ainsi les généraliser. Nous tenons également à noter que les prédicats complexes dans les événements spatiaux font partis de la famille de constructions résultatives. Certains comportements des prédicats complexes, tels que leur causalité et la durée de l’activité, sont expliqués en fonction de leur sémantique, et il est démontré que toute la construction est responsable de tels comportements. La comparaison entre les combinaisons qui ont des verbes supports différents mais des pré-verbes identiques évoque quelques différences sémantiques et syntaxiques, ce qui est la preuve de la systématicité existante dans la formation des prédicats complexes. Grâce à une analyse collostructionnelle, nous parlons du degré d’attraction de chaque verbe support par rapport aux catégories sémantiques. Enfin, le type de fréquences de prédicats complexes révèle le degré de productivité dans chaque verbe support, qui ressemble à: Kardan=Zadan > dādan > bordan. / The purpose of this dissertation is twofold : 1) to investigate the semantic and syntactic behavior of Persian simplex verbs vs. CPs in spatial events with respect to Talmy’s typology of satellite-framed and verb-framed languages ; and 2) to analyze the semantic systematicity in the formation of CPs based on a constructional approach and explain their certain behaviors, namely, their productivity, causativity, duration, and syntactic behavior of their PVs through the meaning of the construction.In the first part of the analysis, we discuss the behaviour of simplex verbs vs. CPs in spatial events. Our analysis is based on an extensive corpus. CPs express manner and other semantic information frequently while a high frequency of simplex verbs appears as neutral constructions without expressing any specific information. The syntactic distribution of CPs follow the ‘economy of language’ rule since all the semantic information is encoded in the construction itself; on the other hand, simplex verbs require dependent clauses to express manner in the majority of cases. Furthermore, CPs encode both motion and location events while simplex verbs are mostly intransitive and refer to locative events. The above-mentioned shortcomings of simplex verbs have led to the replacement of these verbs by CPs over time. In the second part of our analysis, we deal with the semantic features of CPs in spatial events in the light of Construction Grammar theory and corpus-based approaches. Following Goldberg we consider CPs constructions in their own right. Kardan, ‘do’ ; dādan, ‘give’; zadan, ‘hit’; and bordan, ‘take’, are the LVs under the study in this thesis. These LVs found to be among the most frequent ones with the most PVs in common in our corpus. Firstly, we identified the semantic extensions of each LV. This categorization reveals a certain degree of semantic productivity and generalization between each LV and the type of PVs with which it can co-occur. In other words, each LV combines with a specific type of PVs. Even metaphorical extensions have a certain degree of productivity and speakers can generalize about them. We also argue that CPs in spatial events are a family of resultative constructions. Certain behaviors of CPs, namely, their causativity, and the duration of the activity, are explained based on their semantics, and it is shown that the whole construction is responsible for such behaviors. The comparison between combinations that have different LVs but identical PVs reveals certain semantic and syntactic differences, which is evidence for the existing systematicity in the formation of CPs. Through a collostructional analysis we discuss the degree of attraction of each LV with respect to the semantic categories.
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La morphologie du pluriel nominal du persan d’après la théorie Whole Word Morphology

Faghiri, Pegah 08 1900 (has links)
Ce mémoire présente une étude de la morphologie de ce qui est généralement appelé le pluriel nominal du persan (parler de Téhéran) dans le cadre d’une théorie de la morphologie basée sur le mot : Whole Word Morphology, développée par Ford et Singh (1991). Ce modèle lexicaliste adopte une position plus forte que les modèles proposés par Aronoff (1976) et Anderson (1992) en n’admettant aucune opération morphologique sur des unités plus petites que le mot. Selon cette théorie, une description morphologique consiste en l’énumération des Stratégies de Formation de Mots (SFM), licencées chacunes par au moins deux paires de mots ayant la même covariation formelle et sémantique. Tous les SFM suit le même schéma. Nous avons répertorié 49 SFM regroupant les pluriels et les collectifs. Nous constatons qu’il est difficile de saisir le pluriel nominal du persan en tant que catégorie syntaxique et que les différentes « marques du pluriel » présentées dans la littérature ne constituent pas un ensemble homogène : elles partagent toutes un sens de pluralité qui cependant varie d’une interprétation référentielle à une interprétation collective non-référentielle. Cette étude vise la déscription de la compétence morphologique, ce qui ne dépend d’aucune considération extralinguistique. Nous argumentons notamment contre la dichotomie arabe/persan généralement admise dans la littérature. Nous avons également fourni des explications quant à la production des pluriels doubles et avons discuté de la variation supposée du fait d’un choix multiple de « marques du pluriel ». / This thesis presents a word-based study of what is generally called the nominal plural morphology of Persian (Tehrani dialect) within the framework of the Whole Word Morphology developed by Ford & Singh (1991). This lexicaliste model takes up a stronger position than that proposed by Aronoff (1976) and Anderson (1992), by not allowing any morphological operation on units smaller than the word. According to this theory a morphological description consist of the listing of the Word Formation Strategies (WFS), each licensed by at least two pairs of words having the same formal and semantic covariation. All WFS’s follow the same schema. We have listed 49 WFS’s of plurals and collectives. We note that it is difficult to understand the import of the plural nominal as a syntactic category in Persian and that different “marks of plural” presented in the literature do not make a homogeneous unity: they all share a plurality meaning but it varies from referential interpretation to collective and non-referential interpretation. This study’s aim is to describe the morphological competence, which does not depend on any extra-linguistic criteria. In particular, we argue against the generally admitted Arabic/Persian dichotomy. We also provide explanation with regards to the utterance of double plurals and to the variation assumed since more than one choice of “plural marks” are available.
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Les inscriptions persanes de Ghazni, Afghanistan. Nouvelles sources pour l’étude de l’histoire culturelle et de la tradition épigraphique ghaznavides (Ve-VIe/XIe-XIIe siècles) / Persian Inscriptions from Ghazni, Afghanistan. New Sources for the Study of Ghaznavid Cultural History and Epigraphic Tradition (5th-6th/11th-12th Centuries)

Allegranzi, Viola 27 October 2017 (has links)
Les inscriptions persanes de Ghazni constituent des témoignages artistiques ainsi que des sources primaires originales sur l’histoire culturelle des Ghaznavides (366-582/977-1186). Leur étude nous informe sur l’apport de cette dynastie à l’affirmation du persan moderne comme langue épigraphique « nouvelle » complémentaire à l’arabe, et sur les spécificités de cette réalisation. Le corpus examiné réunit 228 fragments d’inscriptions poétiques en persan, dont 113 inédits. Ces textes sont sculptés sur des plaques en marbre relevées par la Mission Archéologique Italienne en Afghanistan dans les années 1950-1960 et provenant pour la plupart d’un palais royal fouillé à Ghazni. Forte d’une approche interdisciplinaire, nous poursuivons deux objectifs principaux : le premier est d’offrir une analyse exhaustive de ce corpus épigraphique, qui fasse ressortir toute information historique dont il est porteur. Le second vise à la mise en contexte des inscriptions et se traduit par une étude comparative des sources épigraphiques et littéraires produites à Ghazni et dans l’ensemble du monde iranien aux Ve/XIe et VIe/XIIe siècles. La diffusion de l’épigraphie persane dans la capitale ghaznavide est confirmée par certains documents inédits externes à notre corpus principal, qui posent des jalons pour une chronologie de cette pratique à l’échelle locale et régionale. Nous constatons en outre le rôle central joué par la poésie persane dans la tradition épigraphique des Ghaznavides, qui emprunte le vocabulaire des panégyristes pour célébrer l’idéologie royale et les valeurs de l’Islam. Cet usage trouve des échos dans les autres régions de l’Iran pré-mongol et donne une voix à la politique culturelle des dynasties musulmanes orientales. / Persian inscriptions from Ghazni may be regarded as both artistic testimonies and original primary sources for the cultural history of the Ghaznavid dynasty (366-582/977-1186). They provide evidence of the Ghaznavid contribution to the rise of New Persian as an epigraphic language complementary to Arabic, and of the distinctive features of its use. Our study focuses on a corpus composed of 228 fragments of Persian poetic inscriptions, 113 of which have remained unpublished until now. These texts, carved onto marble dado panels, were mostly retrieved from a royal palace in Ghazni and recorded by the Italian Archaeological Mission in Afghanistan in the 1950s and 1960s. Through an interdisciplinary approach, we pursue two main goals: firstly, to offer a comprehensive analysis of this epigraphic corpus in order to bring to light any historical data it may disclose. Secondly, to place the Persian inscriptions in context by means of a comparative study of epigraphic and literary sources produced in Ghazni and in the Persianate world between the 5th/11th and the 6th/12th centuries. The spread of Persian epigraphy in the Ghaznavid capital city is confirmed by a set of documents that falls beyond our main corpus and until now has remained unknown. This new evidence provides chronological benchmarks for the use of Persian epigraphy at local and regional levels. We also note the central role played by Persian poetry in the Ghaznavid epigraphic tradition, borrowing the vocabulary of court panegyrists to build up a celebration of royal and Islamic ideals. This particular use finds echoes in other regions of pre-Mongol Iran and gives voice to the cultural policy of Eastern Islamic dynasties.

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