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Between truth and traume : the work of art and memory in AdornoDolgoy, Rebecca C. 09 1900 (has links)
En analysant les processus dialectiques par lesquels l’art repense le passé, Between Truth and Trauma : The Work of Art and Memory work in Adorno traite du concept adornien de la mémoire. Je postule que l’œuvre d’art chez Adorno incarne un Zeitkern (noyau temporel). Je démontrerai que l’immanence réciproque de l’histoire dans l’œuvre d’art et l’immanence de l’œuvre d’art dans l’histoire permettent de repenser le passé. Le premier chapitre examine la manière par laquelle le passé est préservé et nié par l’œuvre d’art. Le deuxième chapitre montre comment, à l’aide du processus interprétatif, le passé est transcendé à travers l’œuvre d’art. Le dernier chapitre évoque la lecture adornienne d’écrits de Brecht et de Beckett dans le but d’illustrer la capacité de l’œuvre d’art à naviguer entre la vérité et le trauma. / Analyzing the dialectical processes through which art works through the past, Between Truth and Trauma: The Work of Art and Memory in Adorno examines Adorno’s concept of memory. I argue that, for Adorno, the work of art both has and is a Zeitkern (temporal nucleus). I demonstrate that the reciprocal immanence of history in the work and immanence of the work in history allows for the past to be worked through. The first chapter examines how the past is preserved and negated by the work of art. The second chapter examines how the past is transcended through the work of art via the interpretive process. The final chapter looks at Adorno’s reading of work by Beckett and Brecht in order to illustrate the ability of the work of art to navigate between truth and trauma.
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L'anthropologie feuerbachienne : philosophie et praxis / Feuerbachian anthropology : philosophy and social praxisDurand, Anne 26 November 2014 (has links)
La critique feuerbachienne de la philosophie idéaliste de Hegel a beaucoup influencé ses contemporains et les matérialistes et humanistes du 19eme siècle. Cependant, les études françaises ne rendent pas compte de sa contribution à l'histoire de la philosophie autant qu'elles le devraient. Le but de ce travail est de présenter l'évolution de la pensée de Feuerbach de sa jeunesse hégélienne jusqu'à son matérialisme anthropologique et humaniste. Cette évolution est le résultat de la remise en cause progressive puis du renversement de la philosophie spéculative. Sa critique de la religion diffère profondément de celle des Lumières françaises dans le sens où loin de ne voir dans la religion qu'erreur, tromperie et fanatisme, il reconnaît que le religion exprime un trait anthropologique essentiel: l'essence de l'homme. La pensée de Feuerbach réside essentiellement alors dans une nouvelle interprétation du phénomène religieux en lui donnant une explication anthropologique. L'être humain est un mélange de rationalité et de sensibilité, d'affectivité et de passivité, qui doit être considéré en même temps en tant qu'individu et qu'être social. En opposition à l'interprétation de Marx, j'étudie plus particulièrement dans cette thèse, le rôle de la praxis sociale dans l'anthropologie feuerbachienne. Enfin, méthodologiquement, en plus d'une lecture attentive de l'ensemble du corpus feuerbachien, je re-contextualise sa pensée au sein du mouvement jeune-hégélien, et après la révolution de 1848. / Feuerbach's anthropological critique of Hegel's idealism has strongly influenced German materialists and humanists in the nineteenth-century as well as the following generations of thinkers. Even so particularly French scholars may still not recognize his contribution as central in the history of thought. The aim of my work is to present the development of Feuerbach's thought in particular how Feuerbach's early Hegelianism evolved into professing an empirical realism and materialist humanism, resulting in what was considered by Feuerbach himself as the negation of speculative German idealism. His critique of religion is fundamentally different from that of the French Enlightenment since according to him religion is not only fraudulent and deceptive, but also an essential anthropological feature. Essentially the thought of Feuerbach consists in a new interpretation of religion's phenomena, giving an anthropological explanation. For Feuerbach, the human subject was a complex weave of rationality and sensuality, affectivity and passivity, sociality and individualism. Contrasting with Marx's interpretation of Feuerbach, in this work 1 will study the role of the social praxis in Feuerbach's anthropology. Besides including a thorough reading of Feuerbach's work, my thesis will present a re-contextualisation of it in the Left Hegelian mouvement and after the March Revolution, as an additional rnaterial for my interpretation.
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Fonder la philosophie. Essai sur les aspects logiques et systématiques de la théoriehégélienne de la fondation / Grounding philosophy. On the logical and systematical aspects of Hegel's theory offoundationBéguin, Victor 23 November 2018 (has links)
L'objectif de cette thèse est d'interroger la manière dont Hegel conçoit la fondation absolue de la philosophie, c'est-à-dire la manière dont la philosophie fournit, à l'intérieur d'elle-même, la justification intégrale de la vérité absolue de son discours, justification qui, d'après Hegel, la caractérise en propre. Pour ce faire, après avoir brièvement replacé, à titre introductif, cette tentative hégélienne dans le cadre de la problématique de la fondation de la philosophie propre à la philosophie post-kantienne, nous étudions d'abord la manière dont Hegel rend compte de la genèse historique de l'exigence d'une auto-fondation absolue de la philosophie dans ses Leçons sur l'histoire de la philosophie, qui s'avèrent un espace hybride de position des problèmes philosophiques, à la fois historiquement donnés et toujours déjà philosophiquement construits. Nous interrogeons ensuite, à partir de la Doctrine de l'essence, le concept logique de fondement (Grund) dans ses tensions propres, pour montrer qu'il dégage l'espace des problèmes posés par la notion de fondation sans pouvoir leur apporter par lui-même une solution définitive : cette dernière nous paraît bien plutôt énoncée dans la Doctrine du concept, dont le mouvement d'ensemble (concept subjectif, objectivité, idée) fait l'objet d'une lecture permettant d'y faire ressortir à la fois l'Aufhebung interne du fondement et l'émergence de la notion d'auto-fondation, qui apparaît in fine dans la définition de l'idée comme processus de « développement progressif » et « fondation régressive » de soi. La fondation est alors définie comme un processus consistant à rendre raison de soi dans ses manifestations, ce que nous interprétons comme rupture avec le concept de fondement hérité de la métaphysique d'entendement, dont la logique hégélienne produit l'Aufhebung. L'idée ayant été ainsi définie, de manière formelle, comme processus de rendre raison de soi, nous étudions, dans une troisième partie, la manière dont la philosophie de la nature et la philosophie de l'esprit concourent au processus d'auto-fondation réelle de l'idée, c'est-à-dire, en dernière instance, à son effectuation comme esprit absolu ; à cette occasion, nous étudions plusieurs occurrences significatives de la notion de fondement dans la Realphilosophie, ainsi que le rapport du discours philosophique aux réalités dont il traite (rapport que Hegel nous semble prendre soin de distinguer d'une justification extérieure). Une quatrième partie vient alors étudier la manière dont la philosophie se pense elle-même comme fondation systématique de sa propre vérité : on soulève la question de savoir si le système a besoin d'un fondement externe pour garantir sa vérité (fondement que certains interprètes ont pu trouver dans la Phénoménologie de l'esprit ou dans l'histoire de la philosophie), et on étudie les syllogismes finaux de l'Encyclopédie pour y lire une réflexion de la philosophie sur sa propre fondation systématique. La thèse que nous soutenons au terme de ce parcours est que le profond remaniement spéculatif du concept de fondement qui aboutit à l'idée d'une autofondation au sens de « rendre raison de soi » (en rupture donc avec tout principe ou fondement réel ou formel tel qu'on en rencontre dans l'histoire de la philosophie), converge avec une redéfinition de la philosophie comme savoir rendant absolument raison de sa propre vérité, et même, au sens strict, ne fondant que sa propre vérité comme système, ce qui lui permet en même temps de libérer le sens vrai des objets qu'il parcourt et ordonne dans son déploiement systématique. / This thesis aims at questioning the way Hegel conceives the absolute foundation of philosophy, that is to say the way philosophy provides, within itself, the integral justification of its discourse's absolute truth, which, according to Hegel, characterizes it in specific. To do so, after sketching the historical frame of Post-Kantian debates about the foundation of philosophy, we first study the way Hegel relates, in his Lectures on the History of Philosophy, the historical genesis of the requirement of an absolute self-foundation of philosophy. We then question the logical concept of Grund within the Doctrine of Essence in order to show, that neither it or its subsequent specifications (e.g. cause) suffice to give an account of the process of foundation, whose truth we take to be stated instead in the Doctrine of the Concept ; we study Begriffslogik's overall movement (subjective concept, objectivity, idea) in order to bring out the notion of self-foundation (Selbstbegründung), which appears in fine in the definition of Idea as a process of “progressive development” and “regressive foundation” of itself. Foundation is thus defined as a process consisting in the justification of itself in its own moments, which we take to be a split from metaphysics' concept of foundation, of which the Hegelian Logic carries out the Aufhebung. In a third part, we try to study the way philosophy of nature and philosophy of spirit contribute to the process of a real self-foundation of the Idea, that is to say its realization as Absolute Spirit ; on that occasion, we study multiple occurrences of “foundation” in the Realphilosophie, and also the connection between philosophical discourse and the realities it deals with, which Hegel seems to distinguish from an external justification. The fourth part then studies the way philosophy thinks itself as systematical foundation of its own truth : we raise the question of knowing if the system needs an external foundation to guarantee its truth (which could be provided by the Phenomenology of Spirit or the history of philosophy), and we read the “syllogisms of philosophy” as philosophy looking back at its own foundation. The thesis we support at the end of this demonstration is that the profound speculative reshuffle of the concept of foundation that leads to the idea of a self-foundation within the meaning of “justifying itself” (breaking thus with every real or formal principle or foundation as we know them in the history of philosophy), converges with a redefinition of philosophy as knowledge justifying its own truth in an absolute manner, and even, in a precise meaning, founding only its own truth as a system, which allows it meanwhile to free the true meaning of the objects that it browses and orders in its systematical deployment.
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Between truth and traume : the work of art and memory in AdornoDolgoy, Rebecca C. 09 1900 (has links)
En analysant les processus dialectiques par lesquels l’art repense le passé, Between Truth and Trauma : The Work of Art and Memory work in Adorno traite du concept adornien de la mémoire. Je postule que l’œuvre d’art chez Adorno incarne un Zeitkern (noyau temporel). Je démontrerai que l’immanence réciproque de l’histoire dans l’œuvre d’art et l’immanence de l’œuvre d’art dans l’histoire permettent de repenser le passé. Le premier chapitre examine la manière par laquelle le passé est préservé et nié par l’œuvre d’art. Le deuxième chapitre montre comment, à l’aide du processus interprétatif, le passé est transcendé à travers l’œuvre d’art. Le dernier chapitre évoque la lecture adornienne d’écrits de Brecht et de Beckett dans le but d’illustrer la capacité de l’œuvre d’art à naviguer entre la vérité et le trauma. / Analyzing the dialectical processes through which art works through the past, Between Truth and Trauma: The Work of Art and Memory in Adorno examines Adorno’s concept of memory. I argue that, for Adorno, the work of art both has and is a Zeitkern (temporal nucleus). I demonstrate that the reciprocal immanence of history in the work and immanence of the work in history allows for the past to be worked through. The first chapter examines how the past is preserved and negated by the work of art. The second chapter examines how the past is transcended through the work of art via the interpretive process. The final chapter looks at Adorno’s reading of work by Beckett and Brecht in order to illustrate the ability of the work of art to navigate between truth and trauma.
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Phénoménologie des kinesthèses et ontologie du geste : Constitutions originaires du monde et de la chair chez Husserl / Phenomenology of Kinesthesis and Ontology of Gesture : Originary Constitutions of the World and the Flesh in the Work of HusserlHardy, Jean-Sébastien 13 June 2014 (has links)
Cette thèse se donne pour tâche d’expliciter et de déployer, à partir de l’œuvre de Husserl, les diverses conceptions phénoménologiques directrices du mouvement de la chair. En un premier temps, nous cherchons à préciser le contexte d’origine du concept de « kinesthèse », élaboré une première fois à l’été 1907 dans le cadre des leçons de Husserl sur la chose et l’espace. En un deuxième temps, il nous apparaîtra nécessaire d’élargir la signification technique et restreinte que possède le se-mouvoir dans la phénoménologie statique de la perception, afin de prendre en compte le mouvement en tant qu’action pratique du sujet dans divers horizons du monde. L’étude de certains textes qui relèvent de la phénoménologie génétique semble alors permettre de parler d’une co-constitution pratique entre la mobilité de la chair et la choséité, et ainsi de considérer à neuf l’hypothèse d’une historicité de la chair. Dans un troisième et dernier temps, il s’agira d’opérer une radicalisation de la compréhension du mouvement de la chair, afin de la ressaisir comme « geste », c’est-à-dire non plus simplement comme officiant des projets intentionnels de l’ego, mais bien comme origine et support des structures cardinales du monde. La lecture croisée de divers textes tardifs de Husserl et de Heidegger nous permettra de dégager une compréhension ontologique, et non plus strictement sensualiste ou pratique, de la mobilité charnelle. Au travers de ces études, le mouvement se révèle originairement impliqué dans les divers niveaux de la constitution de la mondanéité, mais aussi constitué en retour. / This thesis sets itself the task of clarifying and deploying the various phenomenological conceptions of bodily movement within Husserl’s work. As a first step, we seek to shed light on the context which guided the formation of the concept of “kinesthesis” in the 1907 summer lectures on thing and space. As a second step, it will appear necessary to expand the narrow and technical meaning that this “moving-oneself” has in the static phenomenology of perception, in order to take into account the movement thought as a practical action throughout various horizons of the lifeworld. Some texts pertaining to Husserl’s genetic phenomenology seem to allow us to speak of a practical “co-constitution” between the mobility of the flesh and the handiness of the thing and, in doing so, to consider anew the hypothesis of a historicity of the flesh. As a third and final step, we will operate a radicalization of the understanding of bodily movement, in order to grasp it as a “gesture”, that is to say, not only as a mere implement of the intentional projects of the ego, but as the very origin and support of the cardinal structures of the world. The cross-reading of different later texts by Husserl and Heidegger seems to support the project of setting forth an ontological understanding of mobility that is no longer in any way sensualistic or pragmatic. Through these meanings, bodily movement reveals itself as being originally involved in the various constitutive levels of worldliness.
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L’évolution du concept de contradiction dans l’œuvre de Karl Marx (1845-1867)Gagnon-Richard, Christophe 12 1900 (has links)
Le présent mémoire retrace l’évolution du concept de contradiction dans l’œuvre de Karl Marx de la rédaction de L’Idéologie allemande (1845-1846) à la publication du Capital (1867). Il se concentre sur le rôle de la contradiction dans l’explication du processus par lequel un mode de production peut produire les conditions de son propre dépassement. Au-delà de la formule générale selon laquelle les forces productives entrent en contradiction avec les rapports de production au sein desquels elles se développent, nous verrons une transformation de l’appareil conceptuel marxien qui modifie la manière dont est pensée la contradiction. Cette transformation, déterminée principalement par la construction de sa critique de l’économie politique, conduit Marx à penser la contradiction du capital à partir de catégories lui étant spécifiques et non seulement à partir de catégories applicables à l’ensemble des modes de production. Ce changement de perspective centre le caractère contradictoire d’un rapport donné sur ses modalités de reproduction le rendant intenable et pousse à interroger les conséquences tirées des premières utilisations marxiennes du concept de contradiction. En suivant une pensée en constante évolution, ce mémoire permet de situer les origines d’un concept clé autant dans l’œuvre de Marx que dans les traditions s’inspirant de celle-ci. / This master’s thesis follows the evolution of Karl Marx’s concept of contradiction from the German Ideology (1845-1846) to the publication of the Capital (1867). It focuses on the role of contradiction in explaining how a mode of production can produce the conditions of its own overcoming. Beyond the general view according to which the development of the forces of production ‘‘contradicts’’ the actual relations of production, we will also examine how this contradiction is conceived at different points in Marx’s intellectual trajectory. We will see how this evolution is essentially a result of the development of Marx’s critique of political economy. In particular, progress at the level of theory leads him to conceive the contradiction of capital in terms of categories specific to this mode of production, instead of categories applicable to all modes of production. With this shift and from that point forward, the contradiction is based on the modes of reproduction of given relations of production which prevent their sustainability. By following a theoretical production in constant evolution, this master’s thesis specifies the origins of a key concept both in Marx’s work and in the traditions inspired by it.
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Sur l'interprétation Heideggérienne du chapitre "Du schématisme des concepts purs de l'entendement" de la critique de la raison pure de KantSt-Aubin Fréchette, Laurence 08 1900 (has links)
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Sur l'interprétation Heideggérienne du chapitre "Du schématisme des concepts purs de l'entendement" de la critique de la raison pure de KantSt-Aubin Fréchette, Laurence 08 1900 (has links)
Cette analyse porte sur le schématisme des concepts purs de l’entendement, tel que présenté par Emmanuel Kant dans la Critique de la raison pure et interprété par Martin Heidegger. La lecture proposée par Heidegger est critiquée par un bon nombre de commentateurs dans la
mesure où ils considèrent que son interprétation ne lui sert qu’à faire valoir ses propres
théories philosophiques au sujet du Dasein et de l’ontologie fondamentale. Notre approche se
distingue de la leur dans la mesure où nous tentons de comprendre les raisons qui ont poussé Heidegger à défendre l’interprétation du schématisme qui est la sienne. Notre étude s’attarde au texte de Kant de manière à en souligner les éléments qui ont permis à Heidegger d’établir sa lecture, telle qu’il la présente dans son ouvrage de 1929, ayant pour titre Kant et le
problème de la métaphysique. La méthode utilisée est comparative, car notre but est de
démontrer la valeur de l’interprétation heideggérienne contre celle des commentateurs qui le
critiquent pour des raisons insuffisantes. Bref, le thème du schématisme kantien est analysé de long en large et la conclusion à laquelle nous parvenons est que Heidegger a permis des
avancées philosophiques considérables par son herméneutique de la Critique et qu’il est
nécessaire de leur accorder l’attention qui leur est due. / The subject of this analysis is the schematism of the pure concepts of understanding, as
presented by Emmanuel Kant in The Critique of Pure Reason and interpreted by Martin
Heidegger. The reading proposed by Heidegger is criticized by a large number of commentators because they consider that his interpretation only serves to give value to his
own philosophical theories on Dasein and on fundamental ontology. Our approach is different
from theirs in that we are trying to understand the reasons that justify Heidegger in his
interpretation of schematism. Our study dwells on Kant's text in order to extract the elements
that allowed Heidegger to build up his thoughts, as he presented them in 1929 in Kant and the
Problem of Metaphysics. The method used is comparative, since our goal is to demonstrate the relevance of Heidegger's interpretation against the commentators who have insufficient
reasons to criticize him. In short, the theme of Kant's schematism is analyzed thoroughly and
the conclusion we come to is that Heidegger allowed for considerable philosophical progress
with his hermeneutics of the Critique and that it is necessary to give them the attention they
deserve.
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Dualisme et réflexion: le passage entre théorique et pratique dans la philosophie transcendantale d'Immanuel Kant / Transition between theoretical and practical Immanuel Kant's Transcendental PhilosophySpetschinsky, Sergueï 24 March 2012 (has links)
Le présent travail consiste en une étude de l’œuvre d'Immanuel Kant, avec pour objet la question du passage entre théorique et pratique. En étudiant méticuleusement chacune des étapes du développement de la pensée kantienne, ce travail abouti sur la mise au jour d'un principe fondamental, dit du double mouvement du dualisme et de la réflexion, d'après lequel se structure l'ensemble de la pensée kantienne, mais aussi plus généralement, la possibilité de toute philosophie transcendantale. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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De la psychologie descriptive à la phénoménologie transcendantale: essai sur la portée métaphysique de l'intériorité phénoménologique dans la pensée d'Edmund HusserlMazzù, Antonino January 2001 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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