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L'avant-garde russe face à la "terreur de l'histoire" : historiosophie et historiographie dans les Doski sub'by de Velimir Xlebnikov et dans l'art analytique de Pavel Filonov

Cloutier, Geneviève January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Le contextualisme en histoire des idées politiques

Lapointe, Alexis January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'avant-garde russe face à la "terreur de l'histoire" : historiosophie et historiographie dans les Doski sub'by de Velimir Xlebnikov et dans l'art analytique de Pavel Filonov

Cloutier, Geneviève January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Force et résistance dans la philosophie politique de Hegel / Force and resistance in Hegel's political philosophy

Burgess, James Peter 26 March 2010 (has links)
L’objet de la recherche est de développer une interprétation du couple conceptuel de « force » et de « résistance » comme déterminant de l’unité entre les deux grands domaines du Système de la Science de Hegel, celui de la logique et celui de l’histoire. Le point de départ du travail est l’ambition du projet hégélien qui vise à mettre en évidence la nécessité systématique et la cohérence historique de toute la réalité empirique. A travers tout le Système de la Science Hegel trace la montée d’un même esprit à travers les étapes d’un unique parcours dialectique. Le présupposé du projet est donc l’homogénéité conceptuelle des termes et la continuité du champ de l’objet. Le défi de Hegel consiste à relier, sous la même égide, tout ce qui est. L’hypothèse centrale de la recherche est que la dialectique hégélienne ne se laisse réduire ni à une logique purement métaphorique de « force » et de « résistance », ni à une logique purement physique ou mécanique de ce même couple. Cette hypothèse est conforme au projet de Hegel. / The aim of the research is to develop an interpretation of the conceptual pair ‘force’ and ‘resistance’ as a determinant of the unity between to major areas of Hegel’s System of Science, namely, logic and history. The point of departure for the work is the ambition of the Hegelian project, which seeks to clarify the systematic necessity and historical coherence of all empirical reality. Hegel traces, across the entire System of Science, the ascension of a single spirit following all the stage of the dialectical progress. The presupposition of the Hegel project is the conceptual homogeneity of the terms and the continuity of the of object’s field. Hegel’s challenge consists of uniting under the egis, everything that exists. The central hypothesis of the research is that the Hegelian dialectic can neither be reduced to a purely metaphorical logic of ‘force’ and ‘resistance’, nor to a purely physical or mechanical logic of this pair. This hypothesis stands in conformity with Hegel’s project.
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La philosophie de l'histoire chez Marcel Gauchet : les apports théoriques de la phénoménologie, du structuralisme et de l'herméneutique

Morisset, Charles January 2009 (has links) (PDF)
Le pari que nous avons pris ici, consiste à éclairer la question de la philosophie de l'histoire chez Marcel Gauchet à l'aide d'une analyse des apports de trois sources théoriques qui déterminent l'anthroposociologie transcendantale soit la phénoménologie, le structuralisme et l'herméneutique. Notre hypothèse se situe dans le désir de vérifier la justesse des thèses qui imputent une philosophie de l'histoire déterministe et téléologique à la pensée historique de Marcel Gauchet. Si tel était le cas, l'histoire serait alors réduite à être celle d'un processus structural qui, en dernière analyse, déterminerait de manière absolue les possibles des phénomènes politiques aussi différents que la religion chez les peuples primitifs et la modernité politique. Notre intuition fut que braquer l'analyse sur la question de l'origine abolirait la thèse selon laquelle, au terme d'une succession progressiste de l'histoire, l'hétéronomie mènerait nécessairement à l'autonomie. Ainsi, une analyse de la philosophie de l'histoire chez Gauchet demande de s'interroger sur la condition de possibilité de l'histoire, soit l'ontologie du social historique qui sous tend, chez Gauchet, le devenir historique du politique au sein du monde social-humain. Pour y arriver, nous avons pris une distance par rapport aux interprétations qui étaient faites jusqu'alors de la pensée de Marcel Gauchet. En effet, celles-ci se limitaient principalement à deux types d'analyses, soit son approche politique du fait religieux, soit son interprétation de l'histoire comme avènement progressif des sociétés de l'autonomie. Nous avons plutôt décidé de replacer la pensée gauchetienne au coeur des débats théoriques et épistémologique plus fondamentaux qui touchaient la philosophie et les sciences humaines françaises de la deuxième moitié du XXe siècle. L'oeuvre de Gauchet est donc replacée d'emblée au sein des débats qui touchent la pensée française des années 1960-70 -débats qui avaient pour enjeux principal le statut de l'hégélano-marxisme. Au delà d'une ressaisie détaillée du devenir historique et de sa mécanique, la philosophie de l'histoire est à comprendre chez Gauchet en fonction des apports théoriques et des débats entourant l'influence de la phénoménologie, du structuralisme et de l'herméneutique au sein des sciences humaines. Comprendre ces apports théoriques s'avère nécessaire afin de ressaisir le sens originaire, ontologique et historique que prend le fait social et politique chez Gauchet. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Gauchet, Structuralisme, Phénoménologie, Herméneutique, Origine.
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L'influence de la phénoménologie wébérienne de Raymond Aron sur la pensée de Francis Fukuyama

Lévesque, Pier-Luc 05 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire explore la possibilité d'une parenté insoupçonnée entre deux penseurs des Relations Internationales, Raymond Aron et Francis Fukuyama. Traditionnellement associées aux écoles libérale et réaliste, leurs idées pouvaient effectivement apparaître comme parfaitement inconciliables. Or, les deux grandes sections de notre texte essaient plutôt de montrer, qu'en dépit de certaines différences, l'argumentation des deux auteurs se rejoint sur plusieurs questions. En ce qui concerne leurs conceptions de l'histoire, nous verrons qu'Aron et Fukuyama adhéraient au principe de «rationalisation du monde» cher à différents sociologues occidentaux, et particulièrement à Max Weber. L'analyse du parcours universitaire de l'auteur français permettra de repérer des influences phénoménologique ou néokantienne sur le plan épistémologique et wébérienne sur le plan ontologique. Nous nous pencherons également sur le passage de Francis Fukuyama à l'Université Cornell où il fit la connaissance d'Allan Bloom. C'est par l'intermédiaire de ce dernier que l'auteur nippo-américain entra en contact avec Alexandre Kojève, Léo Strauss et Raymond Aron. Une fois ces éclaircissements faits, il sera question du rôle joué par le concept wébérien de rationalisation du monde dans la philosophie fukuyamienne de l'histoire. Par la suite, nous verrons comment ces philosophies de l'histoire déterminent la vision des Relations Internationales des deux auteurs. Plus précisément, nous nous attarderons sur les changements que la société industrielle sont susceptibles d'amener dans les rapports que les États entretiennent entre eux. Tant chez Fukuyama qu'Aron, on pourra constater que les notions de guerre ou de paix se transforment radicalement à partir du Traité de Vienne. Nous consacrerons la dernière section à la praxéologie des deux auteurs, ou à la politique étrangère idéale qu'ils proposent aux nations occidentales. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Raymond Aron, Francis Fukuyama, Relations Internationales, Philosophie de l'Histoire.
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Filosofia e história no pensamento de Eric Weil / Philosophy and history in the thought of Eric Weil

Branco, Judikael Castelo January 2017 (has links)
BRANCO, Judikael Castelo. Filosofia e história no pensamento de Eric Weil. 2017. 279f. Tese (Doutorado) - Universidade Federal do Ceará, Pós-Graduação em Filosofia, Fortaleza (CE), 2017. / Submitted by sebastiao barroso (jrwizard2209@hotmail.com) on 2017-11-07T13:18:12Z No. of bitstreams: 1 2017_tese_jcbranco.pdf: 3150731 bytes, checksum: dbcb5cdd41e80f945f0aa2bf66338b88 (MD5) / Approved for entry into archive by Márcia Araújo (marcia_m_bezerra@yahoo.com.br) on 2017-11-08T13:47:37Z (GMT) No. of bitstreams: 1 2017_tese_jcbranco.pdf: 3150731 bytes, checksum: dbcb5cdd41e80f945f0aa2bf66338b88 (MD5) / Made available in DSpace on 2017-11-08T13:47:37Z (GMT). No. of bitstreams: 1 2017_tese_jcbranco.pdf: 3150731 bytes, checksum: dbcb5cdd41e80f945f0aa2bf66338b88 (MD5) Previous issue date: 2017 / A filosofia de Eric Weil apresenta uma estrutura sistemática cuja interpretação dos componentes não é facilmente concebível. O título “Filosofia e história no pensamento de Eric Weil” propõe uma leitura abrangente do sistema weiliano visando sua compreensão através de um elemento que atravessa toda a sua obra: a história. Nossa hipótese fundamental é a de que se encontra subjacente, em Weil, uma forma original de pensar a história, que, mesmo sem constituir uma “filosofia particular”, é uma princípio hermenêutico para a interpretação do seu pensamento. A nosso ver, o tema ainda não encontrou o aprofundamento merecido entre os que se dispuseram a pensar a filosofia weiliana tanto pela forma como normalmente se põe a questão da relação entre a filosofia e a história ou como um tema tangente na obra ou como uma marca do seu “hegelianismo”. Mostramos que a questão da história é tomada numa perspectiva filosófica original por se distanciar tanto da “inspiração” hegeliana como do pensamento heideggeriano; e fundamental, porque o pensamento de Weil não pode ser compreendido sem referência à reflexão sobre a história e sobre o homem que por ela se interessa. Nossa tese se desenvolve a partir da tarefa que demanda tanto a apresentação dos problemas inerentes ao projeto de uma filosofia da história, como a determinação do fio condutor que aponta para a sua unidade interna e para a sua articulação com o restante do sistema. Portanto, a cada novo passo retoma-se a hipótese de que a reflexão sobre a história serve de chave hermenêutica legítima da obra weiliana. Uma primeira exigência tem caráter histórico-expositivo: elencar os textos que abordam as questões próprias do pensamento sobre a história. Deve-se também ler sistematicamente o conjunto dos textos e da sua relação com o sistema da filosofia articulado na Lógica da filosofia, assumindo a ideia de sistema como pedra de toque da validade de qualquer interpretação. Não se trata, portanto, de recortar o corpus weiliano em vista da indicação dos lugares em que a questão aparece, mas de reconstruir a unidade entre as diferentes partes da sua obra. Nossa investigação toma a obra de Weil concentrando-nos sobre a história na sua dimensão lógico-filosófica sem prescindir daquela histórico-política. Trata-se, então, de uma perspectiva lógico-argumentativa que tenta compreender uma filosofia que se pretende dialética e crítica. Para tanto, dividimos o trabalho em quatro capítulos. O primeiro aborda a metafilosofia no pensamento weiliano a partir da sua inspiração kantiana. Nossa hipótese fundamental é o retorno à afirmação do kantismo de Weil, kantismo retomado por um filósofo que leu e compreendeu Hegel. Partimos da definição da filosofia como ato humano próprio de quem escolheu, livremente, compreender o mundo numa busca de sentido entendida como atividade eminentemente científica e comunicável, e, acima de tudo, essencialmente histórica. O segundo, insere Eric Weil na esteira dos filósofos que pensam a história, sempre segundo a inspiração kantiana, o que implica associá-lo à tradição de uma “crítica da razão histórica” que parte de Dilthey e se prolonga até Weber e Aron. O terceiro leva as condições dos discursos sobre o sentido da história ao sistema das categorias discursivas. Dito de outro modo, seguimos a sucessão categorial da Lógica da filosofia. De um lado, discernimos os motivos que impedem um discurso histórico da Verdade ao Eu, e de outro, acompanhamos o desenvolvimento dos discursos fundantes de uma compreensão da história da categoria Deus até a Sabedoria. O último constitui uma segunda parte do trabalho e retoma a tarefa anunciada como a recuperação da função social do filósofo, a partir da leitura weiliana da Revolução francesa / La philosophie d’Eric Weil présente une structure systématique dont l’interprétation des composants n’est pas facilement concevable. Le titre “Philosophie et histoire dans la pensée d'Eric Weil” propose une lecture complète du système weilian visant à sa compréhension à travers un élément qui traverse tout son travail : l’histoire. Notre hypothèse est que Weil présente une manière originale de penser à l’histoire qui, sans constituer une “philosophie particulière”, peut être un principe herméneutique pour l’interprétation de sa pensée. Nous voulons montrer que la question de l’histoire représente une position originale en s’éloignant de l’inspiration hegelienne et de la pensée heideggerienne; et fondamental, parce que la pensée de Weil ne peut être comprise sans référence à la réflexion sur l’histoire et à l’homme qui pose des questions sur l’histoire. Notre thèse se développe à partir de la tâche qui exige à la fois la présentation des problèmes inhérents à la conception d’une philosophie de l’histoire et la détermination du fil qui pointe vers son unité interne et son articulation avec le reste du système. Par conséquent, à chaque nouvelle étape, l’hypothèse est prise : la réflexion sur l’histoire sert de clé herméneutique légitime à approcher le travail weilien. Une première exigence a un caractère historique-exposant : énumérer les textes qui abordent les questions de la réflexion sur l’histoire. Il faut également lire systématiquement l’ensemble des textes et leur relation avec le système de philosophie articulé dans la Logique de la philosophie, en supposant que l’idée du système est la pierre angulaire de la validité de toute interprétation. Il ne s’agit donc pas de découper le corpus weilien en vue de l’indication des lieux où apparaît la question, mais de reconstruire l’unité entre les différentes parties de son travail. Notre enquête prend le travail de Weil en se concentrant sur l’histoire dans sa dimension logique-philosophique sans dispenser de la perspective histoire-politique. C’est donc une approche logique-argumentative qui tente de comprendre une philosophie qui est à la fois dialectique et critique. Nous avons divisé le travail en quatre chapitres. Le premier abordait la métaphilosophie dans la pensée weilienne à partir de son inspiration kantienne. Notre hypothèse fondamentale est le retour à l’affirmation du kantisme de Weil. Nous commençons par la définition de la philosophie en tant qu’acte humain de celui qui a librement choisi de comprendre le monde, une activité éminemment scientifique et transmissible et essentiellement historique. Le deuxième insère Eric Weil parmis les philosophes qui pensent l’histoire, plus précisément, il rélie Weil à la tradition d’une “critique de la raison historique” qui s’étend de Dilthey à Weber et à Aron. Le troisième prend les conditions des discours sur le sens de l’histoire dans le système des catégories discursives. Autrement dit, nous suivons la succession catégorielle de la Logique de la philosophie. Ce dernier constitue une deuxième partie du travail et reprend la tâche annoncée comme la récupération de la fonction sociale du philosophe, de la lecture weilienne de la Révolution française.
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Thomas Babington Macaulay et la Révolution française : la pensée libérale whig en débat / Thomas Babington Macaulay and the French Revolution : The Issue of Whig Liberal Thought

Attuel-Hallade, Aude 12 December 2014 (has links)
Le « père de l'histoire whig » Thomas Babington Macaulay a été dès son vivant, et après sa mort, traduit dans nombre de pays, en Europe (Allemagne, France, Pays-Bas), comme hors des frontières européennes (Mexique). Incarnant à partir de la fin du XIXe siècle une histoire libérale progressiste et surtout non scientifique, attaquée par les historiens « professionnels », il n'en demeure pas moins très présent dans les manuels scolaires et universitaires jusqu'après la Seconde Guerre mondiale voire jusque dans les discours politiques contemporains. En 1931, puis en 1944, Herbert Butterfield tente de définir son interprétation de l'histoire. Ce dernier veut démontrer comment action politique et vision de l'histoire whigs incarnent un modèle, pragmatique, réformiste, à l'antithèse du modèle révolutionnaire français, qui explique l'exceptionnelle stabilité politique anglaise, britannique voire impériale du Royaume-Uni, depuis la Glorieuse Révolution. Dès lors les successeurs de Butterfield, en premier lieu J. G. A. Pocock et John Burrow, éclairent cette tradition libérale whig, devenue nationale, bientôt synonyme d'interprétation burkéenne de l'histoire. Pourtant, en s'appuyant sur le dialogue entre libéraux britanniques (whigs comme Millar, Mackintosh, utilitaristes comme les Mill, père et fils) et libéraux français (comme Constant, Guizot et Tocqueville), illustrant par ailleurs les riches échanges entre Royaume-Uni et France au XIXe siècle – avant que l’oeuvre de Macaulay ne soit que très épisodiquement traduite et commentée au XXe siècle en France –, et sur une étude minutieuse des écrits de Macaulay portant sur la Révolution française, cette thèse entend démontrer qu'au - delà de la division politique du parti whig lors de la période révolutionnaire, l'histoire whig de Macaulay incarne une pensée politique, une interprétation des révolutions anglaises et françaises et une philosophie libérale de l'histoire nouvelles rompant avec Hume et avec Burke. En mettant au coeur de l'histoire l'émancipation politique et religieuse des individus, Macaulay défend la démocratisation et la laïcisation des sociétés et illustre une histoire libérale post-Révolutionnaire, un nouveau paradigme whig, qui ne peuvent être qualifiés de conservateurs ni de contre-Révolutionnaires. / The "father of Whig History", Thomas Babington Macaulay, was, during his lifetime and after his death,translated in numerous European countries ( Germany, France, The Netherlands ) as well as outside Europe(Mexico). Embodying, from the end of the nineteenth century, a liberal, progressive and especially nonscientifichistory, denounced by "professional " historians, he remained no less highly present in school anduniversity textbooks up to the Second World War, and even in contemporary and current political speeches.In 1931, and then in 1944, Herbert Butterfield attempted to define his interprétation of history and sought todemonstrate how political action and historical vision embody a pragmatic and reformist model, theantithesis of the French revolutionary model, which explains the exceptional English, British, even imperial,political stability of Great Britain since the Glorious Revolution. Since then, Butterfield's successors, andfirst among them, J. G. A. Pocock and John Burrow, have been shedding light on this liberal, becomenational, whig tradition, soon to be synonymous with the Burkean interpretation of history. However, basedon the dialogue between British liberals ( Whigs such as Millar and Mackintosh, Utilitarians such as theMills, father and son ), and French liberals ( such as Constant, Guizot and Tocqueville), while illustrating inother respects the fruitful exchange between Great Britain and France during the nineteenth century - beforeMacaulay's work was only very episodically translated and commented on in the twentieth century in France- and on a thorough exploration of Macaulay's work on the French Revolution, this study intends todemonstate that beyond the political division of the Whig party during the revolutionary period, Macaulay'sWhig history sanctions a new line of political thought, a new interprétation of the English and FrenchRévolutions and liberal philosophy of history, breaking with Hume and Burke. By placing the political andreligious emancipation of individuals at the heart of history, Macaulay defended the democratization and thesecularization of society and illustrated a post-Revolutionary liberal history, a new Whig paradigm, thatcannot be called conservative nor counter- revolutionary.
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L'historiographie des Rébellions de 1837-1838 au XXe siècle : débats et rôle structurant dans la construction des grandes représentations de l'histoire du Québec

Arsenault, Mathieu 01 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire révèle le rôle joué par les représentations historiennes d'un des moments clefs de notre histoire, les Rébellions de 1837-1838, dans la structuration des grands récits – ou métarécits – dont s'est dotée la société québécoise au cours du XXe siècle. En démontrant que la question de la laïcité/religiosité a servi aux historiens à ranger les Patriotes dans le camp des apôtres de la société traditionnelle ou encore dans celui des pionniers de la modernité, cette étude permet de mesurer les variations dans le discours et d'établir ainsi une nouvelle classification de la production historique en fonction des philosophies de l'histoire plutôt que des « Écoles » historiques. L'analyse des interprétations des Rébellions les plus marquantes au XXe siècle permet de distinguer trois principaux métarécits : un national, un libéral et un républicain. Ciblant les interprétations des événements de 1837-1838 qui participent d'une philosophie de l'histoire cohérente et significative, ce mémoire classe les œuvres des historiens Lionel Groulx, Gérard Filteau, Maurice Séguin, Fernand Ouellet, Yvan Lamonde, Allan Greer, Louis-Georges Harvey et Gérard Bouchard à l'intérieur de ces métarécits qu'elles contribuent par ailleurs à définir et à alimenter. Chacun à leur manière, ces historiens ont formulé des interprétations globales de l'histoire québécoise en fonction de certains principes fondamentaux qui structurent les métarécits (une référence, un temps, une fin de l'histoire, des idéologies, etc.). Travaillant consciemment ou non à adapter les événements à une trame narrative orientée, ils élaborent des interprétations qui influencent de manière significative leur(s) lecture(s) des Rébellions. Sorte de baromètre sensible à ces variations du sens accordé à l'épisode insurrectionnel, la question de la religion des Patriotes permet de mettre en évidence les différentes caractéristiques des trois grands métarécits québécois. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Rébellions de 1837-1838, Patriotes, historiographie, philosophie de l'histoire, métarécit, religion.
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Philosophie et histoire dans la pensée d'Eric Weil / Filosofia e historia no pensamento de Eric Weil

Castelo Branco, Judikael 11 October 2017 (has links)
La philosophie d’Eric Weil présente une structure systématique dont l’interprétation des composants n’est pas facilement concevable. Le titre “Philosophie et histoire dans la pensée d'Eric Weil” propose une lecture complète du système weilian visant à sa compréhension à travers un élément qui traverse tout son travail : l’histoire. Notre hypothèse est que Weil présente une manière originale de penser à l’histoire qui, sans constituer une “philosophie particulière”, peut être un principe herméneutique pour l’interprétation de sa pensée. Nous voulons montrer que la question de l’histoire représente une position originale en s’éloignant de l’inspiration hegelienne et de la pensée heideggerienne; et fondamental, parce que la pensée de Weil ne peut être comprise sans référence à la réflexion sur l’histoire et à l’homme qui pose des questions sur l’histoire. Notre thèse se développe à partir de la tâche qui exige à la fois la présentation des problèmes inhérents à la conception d’une philosophie de l’histoire et la détermination du fil qui pointe vers son unité interne et son articulation avec le reste du système. Par conséquent, à chaque nouvelle étape, l’hypothèse est prise : la réflexion sur l’histoire sert de clé herméneutique légitime à approcher le travail weilien. Une première exigence a un caractère historique-exposant : énumérer les textes qui abordent les questions de la réflexion sur l’histoire. Il faut également lire systématiquement l’ensemble des textes et leur relation avec le système de philosophie articulé dans la Logique de la philosophie, en supposant que l’idée du système est la pierre angulaire de la validité de toute interprétation. Il ne s’agit donc pas de découper le corpus weilien en vue de l’indication des lieux où apparaît la question, mais de reconstruire l’unité entre les différentes parties de son travail. Notre enquête prend le travail de Weil en se concentrant sur l’histoire dans sa dimension logique-philosophique sans dispenser de la perspective histoire-politique. C’est donc une approche logique-argumentative qui tente de comprendre une philosophie qui est à la fois dialectique et critique. Nous avons divisé le travail en quatre chapitres. Le premier abordait la métaphilosophie dans la pensée weilienne à partir de son inspiration kantienne. Notre hypothèse fondamentale est le retour à l’affirmation du kantisme de Weil. Nous commençons par la définition de la philosophie en tant qu’acte humain de celui qui a librement choisi de comprendre le monde, une activité éminemment scientifique et transmissible et essentiellement historique. Le deuxième insère Eric Weil parmis les philosophes qui pensent l’histoire, plus précisément, il rélie Weil à la tradition d’une “critique de la raison historique” qui s’étend de Dilthey à Weber et à Aron. Le troisième prend les conditions des discours sur le sens de l’histoire dans le système des catégories discursives. Autrement dit, nous suivons la succession catégorielle de la Logique de la philosophie. Ce dernier constitue une deuxième partie du travail et reprend la tâche annoncée comme la récupération de la fonction sociale du philosophe, de la lecture weilienne de la Révolution française. / The philosophy of Eric Weil presents a systematic structure whose interpretation of the components is not easily conceivable. The title “Philosophy and history in the thinking of Eric Weil” proposes a comprehensive reading of the Weilian system aiming at its comprehension through an element that crosses all his work: history. Our fundamental hypothesis is that Weil is the original way of thinking about history, which, even without being a “particular philosophy”, is a hermeneutical principle for the interpretation of its thought. In our view, the theme has not yet found the deserved deepening among those who have been willing to think about Weilian philosophy both by the way the question of the relationship between philosophy and history is usually raised or as a tangent theme in the work or as a brand of his “Hegelianism”. We show that the question of history is taken from an original philosophical perspective by distancing itself from both Hegelian “inspiration” and Heideggerian thought; and fundamental, because Weil’s thinking can not be understood without reference to the reflection on history and the man who is interested in it. Our thesis develops from the task that demands both the presentation of the problems inherent to the design of a philosophy of history, and the determination of the thread that points to its internal unity and to its articulation with the rest of the system. Therefore, with each new step the hypothesis is taken that the reflection on the history serves as legitimate hermeneutic key of the work weiliana. A first requirement has a historical-expository character: to list texts that deal with the questions of thought about history. One should also systematically read the set of texts and their relation to the philosophy system articulated in the Logique de la philosophie, assuming the idea of ​​system as the touchstone of the validity of any interpretation. It is not, therefore, a question of cutting the Weilian corpus in view of the indication of the places where the question appears, but of rebuilding unity between the different parts of his work. Our investigation takes Weil’s work by concentrating on history in its logical-philosophical dimension without dispensing with that historical-political. It is, then, a logical-argumentative perspective that tries to understand a philosophy that is intended dialectic and critical. To do so, we divided the work into four chapters. The first deals with metaphilosophy in Weilian thought from its Kantian inspiration. Our fundamental hypothesis is the return to the affirmation of Weil’s kantism, Kantianism taken up by a philosopher who read and understood Hegel. We start from the definition of philosophy as a human act of one who freely chose to understand the world in a quest for meaning understood as an eminently scientific and communicable activity and, above all, essentially historical. The second is Eric Weil in the wake of philosophers who think of history, always according to Kantian inspiration, which implies associating it with the tradition of a “critique of historical reason” that starts from Dilthey and extends to Weber and Aron. The third takes the conditions of discourses on the meaning of history to the system of discursive categories. Put another way, we follow the categorial succession of the Logique de la philosophie. On the one hand, we discern the motives that hinder a historical discourse from the Truth to the Self, and on the other, we follow the development of the foundational discourses of an understanding of the history of the category of God to Wisdom. The latter constitutes a second part of the work and takes up the task announced as the recovery of the social function of the philosopher, from the Weilian reading of the French Revolution. / A filosofia de Eric Weil apresenta uma estrutura sistemática cuja interpretação dos componentes não é facilmente concebível. O título “Filosofia e história no pensamento de Eric Weil” propõe uma leitura abrangente do sistema weiliano visando sua compreensão através de um elemento que atravessa toda a sua obra: a história. Nossa hipótese fundamental é a de que se encontra subjacente, em Weil, uma forma original de pensar a história, que, mesmo sem constituir uma “filosofia particular”, é uma princípio hermenêutico para a interpretação do seu pensamento. A nosso ver, o tema ainda não encontrou o aprofundamento merecido entre os que se dispuseram a pensar a filosofia weiliana tanto pela forma como normalmente se põe a questão da relação entre a filosofia e a história ou como um tema tangente na obra ou como uma marca do seu “hegelianismo”. Mostramos que a questão da história é tomada numa perspectiva filosófica original por se distanciar tanto da “inspiração” hegeliana como do pensamento heideggeriano; e fundamental, porque o pensamento de Weil não pode ser compreendido sem referência à reflexão sobre a história e sobre o homem que por ela se interessa. Nossa tese se desenvolve a partir da tarefa que demanda tanto a apresentação dos problemas inerentes ao projeto de uma filosofia da história, como a determinação do fio condutor que aponta para a sua unidade interna e para a sua articulação com o restante do sistema. Portanto, a cada novo passo retoma-se a hipótese de que a reflexão sobre a história serve de chave hermenêutica legítima da obra weiliana. Uma primeira exigência tem caráter histórico-expositivo: elencar os textos que abordam as questões próprias do pensamento sobre a história. Deve-se também ler sistematicamente o conjunto dos textos e da sua relação com o sistema da filosofia articulado na Lógica da filosofia, assumindo a ideia de sistema como pedra de toque da validade de qualquer interpretação. Não se trata, portanto, de recortar o corpus weiliano em vista da indicação dos lugares em que a questão aparece, mas de reconstruir a unidade entre as diferentes partes da sua obra. Nossa investigação toma a obra de Weil concentrando-nos sobre a história na sua dimensão lógico-filosófica sem prescindir daquela histórico-política. Trata-se, então, de uma perspectiva lógico-argumentativa que tenta compreender uma filosofia que se pretende dialética e crítica. Para tanto, dividimos o trabalho em quatro capítulos. O primeiro aborda a metafilosofia no pensamento weiliano a partir da sua inspiração kantiana. Nossa hipótese fundamental é o retorno à afirmação do kantismo de Weil, kantismo retomado por um filósofo que leu e compreendeu Hegel. Partimos da definição da filosofia como ato humano próprio de quem escolheu, livremente, compreender o mundo numa busca de sentido entendida como atividade eminentemente científica e comunicável, e, acima de tudo, essencialmente histórica. O segundo, insere Eric Weil na esteira dos filósofos que pensam a história, sempre segundo a inspiração kantiana, o que implica associá-lo à tradição de uma “crítica da razão histórica” que parte de Dilthey e se prolonga até Weber e Aron. O terceiro leva as condições dos discursos sobre o sentido da história ao sistema das categorias discursivas. Dito de outro modo, seguimos a sucessão categorial da Lógica da filosofia. De um lado, discernimos os motivos que impedem um discurso histórico da Verdade ao Eu, e de outro, acompanhamos o desenvolvimento dos discursos fundantes de uma compreensão da história da categoria Deus até a Sabedoria. O último constitui uma segunda parte do trabalho e retoma a tarefa anunciada como a recuperação da função social do filósofo, a partir da leitura weiliana da Revolução francesa.

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