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Essentia indifferens: études sur l'antériorité, l'homogénéité et l'unité dans la métaphysique de Jean Duns Scot

Gilon, Odile 25 November 2009 (has links)
Ce travail porte sur l'application et l'utilisation par Jean Duns Scot de la théorie de l'indifférence de l'essence, issue du péripatétisme arabe, et se donne pour enjeu d'en comprendre le fonctionnement conceptuel. Solution conjointe aux questions de la constitution ontologique des choses, des rapports entre le langage et la réalité et du mode d'appréhension des notions générales dans l'abstraction, la théorie de l'indifférence de l'essence sert de sous-bassement à la métaphysique de Duns Scot. C'est au moyen de cette théorie qu'il est possible, comme le montre cette recherche, de relire certains grands thèmes de la métaphysique scotiste: la théorie de la nature commune et de l'haeccéité, la connaissance abstractive (cognitio abstractiva), et la théorie de la non identité formelle. Le travail tente surtout de dégager le caractère proprement méthodologique de la théorie des trois états de l'essence (triplex status essentiae), répondant à la question du statut de l'essence indifférente, à celle des prédicats d'ordre supérieur et au problème de la séparation dans l'abstraction. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Boèce de Dacie : pour une perspective nouvelle concernant la double vérité dans son De aeternitate mundi

Pelland, Karl-Alexandre 12 1900 (has links)
Deux questions largement discutées par les médiévistes concernant Boèce de Dacie consistent à savoir quels sont les enjeux de la censure dont ce philosophe fut l'une des principales cibles lors de la condamnation promulguée à Paris en 1277 par l'évêque Étienne Tempier et s'il a effectivement défendu, dans son De aeternitate mundi, une doctrine qualifiée par ces mêmes historiens de « double vérité ». Si cette expression n'a pas été forgée par Étienne Tempier lui-même, on retrouve néanmoins, dans le prologue de la condamnation de 1277, une formulation qui traduit l'esprit de cette expression en affirmant que certains enseignants disaient qu'une même chose est vraie selon la philosophie, mais fausse selon la foi catholique, de sorte que nous sommes en présence de deux vérités contraires. Malgré le consensus établi chez les historiens du XXe siècle voulant que Boèce de Dacie n'ait jamais défendu une telle doctrine, nous pensons que cette question reste d’actualité dans la mesure où le texte lui-même ne semble pas totalement clair en affirmant que si la foi dit vrai absolument, le philosophe dit également vrai, mais de manière relative à ses principes. Or, une telle conception ne va pas sans problème au regard de l’interprétation des principes régissant l’épistémologie de Boèce. Notre recherche a donc pour unique question d'éclaircir et d'élucider cette mise en accusation de « double vérité » au vu de ses différents textes ainsi que les différentes interprétations que son modèle a reçu. / There are two questions widely discussed by the medievalists about Boethius of Dacia. The first consist in knowing what are the stakes of the censorship of which this philosopher was one of the main targets during the condemnation promulgated in Paris in 1277 by the bishop Etienne Tempier. The second ask if Boethius actually uphold, in his De aeternitate mundi, a doctrine qualified by these same historians as ‘‘double truth’’. If this expression was not coined by Etienne Tempier himself, we nevertheless find, in the prologue to the condemnation of 1277, a formulation which translates the spirit of this expression by affirming that certain teachers said that the same thing is true according to philosophy, but false according to the Catholic faith, so that we are in the presence of two contradictory truths. Despite the consensus, established among historians of the twentieth-century, that Boethius of Dacia never defended such a doctrine, we believe that this question remains topical insofar as the text itself does not seem completely clear when it states that if faith absolutely says the truth, the philosopher also says the truth, but in a manner relative to his principles. However, such a conception is not without problems in regard to the interpretation of the principles governing the epistemology of Boethius. The sole question of our research is therefore to clarify and elucidate this indictment of ‘‘double truth’’ in view of its different texts as well as the different interpretations that his model received.
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Normes et objets du savoir dans les premiers essais leibniziens / Norms and objects of knowledge in Leibniz’s early writings

Picon, Marina 11 December 2015 (has links)
La doctrine leibnizienne de la science repose-t-elle sur une théorie de la connaissance? Après avoir montré, dans des travaux préalables, qu’une telle dépendance ne se rencontre pas dans l’œuvre de la maturité, nous nous intéressons ici aux premiers écrits de Leibniz. La Nova Methodus discendae docendaeque Jurisprudentiae (1667) dresse, suivant l’exemple de Bacon, un inventaire raisonné des disciplines que doit réunir la nouvelle encyclopédie. Comme dans les projets leibniziens ultérieurs, cet inventaire est précédé de la distinction entre types de savoir en fonction des critères logiques selon lesquels les propositions se répartissent entre histoires, observations et théorèmes. Nous nous attachons en particulier à la définition de ceux-ci comme propositions « démontrables ex terminis ». Cette norme de la science étant posée, quels fondements in re Leibniz entend-t-il donner au savoir démonstratif ? Prenant pour fil conducteur sa polémique avec l’humaniste Marius Nizolius, nous étudions sa tentative pour fonder la validité des propositions de vérité éternelle sur des universaux subsistant indépendamment de l’existence des individus. Ce n’est cependant que dans les premiers écrits parisiens (1672-1673) que se dégage sa réponse définitive à ce problème : apparue d’abord comme un autre nom de la signification qu’« exprime » une définition, la notion d’idée y prend consistance en tant qu’archétype subsistant en Dieu. Les principaux traits de la théorie leibnizienne de la science sont ainsi fixés, indépendamment de toute « doctrine de l’entendement ». / Does Leibniz’s doctrine of demonstrative knowledge rest upon a theory of cognition? Having shown in previous articles that such was not the case in his mature works, we now turn to his early writings. The Nova Methodus discendae docendaeque Jurisprudentiae (1667) contains a reasoned inventory of the disciplines that should constitute the new encyclopaedia. As in later projects, Leibniz precedes this inventory with a classification of the types of knowledge based on the logical criteria according to which propositions are divided in histories, observations and theorems. Particular attention is given to the definition of the latter as propositions « demonstrable ex terminis ».This norm of scientific necessity once defined, what real (in re) foundation does Leibniz give to demonstrative knowledge? Following the various threads offered by his polemic against the Italian humanist Marius Nizolius, we study Leibniz’s attempt to ground the validity of propositions of eternal truth on universals subsisting independently of the existence of individuals. But one has to wait until the first Paris writings (1672-1673) to see the emergence of his mature answer to that problem: first conceived after the model of the significatio which a definition « expresses », the notion of idea reaches its latter ontological status as an archetype subsisting in God’s mind. The principal features of Leibniz’s theory of demonstrative knowledge are thus in place, prior to and independently of what he will later call his « doctrine of the understanding ».

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