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L’acte de commencer : étude comparée de débuts d’œuvre dans plusieurs genres poétiques de la période augustéenne / Beginning : comparative study of the opening of works from several poetic genres of the Augustan period

Hubert, Gwenaelle 15 December 2016 (has links)
Cette thèse s'inscrit dans une démarche de comparaison – encore peu entreprise malgré l'intérêt que suscitent les débuts d’œuvre – entre des œuvres des genres épique, didactique et élégiaque de la période augustéenne. Nous cherchons à saisir les principes guidant la composition des débuts d’œuvre en poésie et à expliquer les variations apparaissant dans la pratique. En resituant les œuvres augustéennes dans une tradition, nous établissons qu’il existe à cette époque des rituels de début différenciés entre les proèmes épiques et didactiques, à tel point qu’ils contribuent à l’inscription des œuvres dans deux genres distincts. Puis en mobilisant les éléments que les comparaisons font apparaître comme marqueurs de début en raison de leur récurrence, mais aussi les outils de la pragmatique et le concept de paratexte, nous mettons en évidence les caractères qui, au-delà d’une représentativité programmatique, qualifient les pièces liminaires des recueils élégiaques pour ouvrir l’œuvre. Il apparaît alors que seul Ovide se positionne par rapport à l’épopée en jouant avec les codes de début de celle-ci, parce qu’il écrit à un moment où le genre élégiaque a gagné en maturité et où le proème de l’Énéide a établi un modèle de début épique de référence en latin. Mais au stade du premier livre de Properce et de Tibulle, aucun rituel de début d’œuvre spécifiquement élégiaque n’est institué, le positionnement de l’élégie par rapport à l’épopée ne se traduit pas dans la forme du début d’œuvre, et il ne sera formulé plus explicitement en termes méta-littéraires que dans les livres suivants. D’une manière générale, le premier début est moins réflexif que les débuts de livres intermédiaires. / This thesis aims at comparing different epic, didactic and elegiac writings from the Augustan period. Although the beginnings of literary works have been extensively studied, comparisons are still needed. We try to understand the principles at work in the beginning of poetry writings. We also explain the variations observed between them.By placing Augustan texts in a tradition, we notice that there are characteristic differences between the rites of epic and didactic proems. These differences are so important that they contribute to the identification of a work's genre.Then mobilizing elements that comparisons reveal as markers for their recurrence, but also the tools of pragmatics and the concept of paratext, we highlight the characters which, beyond programmatic representativity, qualify the poems opening elegiac collections as beginnings.It appears that only Ovid describes his position in relation to epic, by playing with beginning codes of that genre, because he wrote at a time when the elegiac genre had matured and when the proem of the Aeneid had established a Latin model for epic proems. But at the time of the first book of Propertius and Tibullus, no specific ritual of beginning is established for elegiacs. Elegy's relationships to epic do not appear in the form of the beginning and they will be described more explicitly in metaliterary terms in the following books. Generally speaking, the first beginning is less metapoetic than the beginnings of intermediate books.
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La pensée médiévale du double dans Le Tournoi de L'Antéchrist de Huon de Méry

Godin-Bastarache, Alex 02 February 2024 (has links)
Ce mémoire porte sur le texte de Huon de Méry intitulé Le Tournoi de l’Antéchrist. Il s’agit d’un ouvrage de 3544 vers dont la date d’écriture est estimée à la première moitié du XIIIe siècle. Ce texte a retenu notre attention pour son utilisation de la psychomachia comme matrice principale et son écriture en langue vernaculaire. Le Tournoi relate l’aventure de Huon qui va assister à l’affrontement de l’armée du Christ, composée de vertus, contre celle de l’Antéchrist où s’alignent les vices. La narration conjugue écriture autobiographique, romanesque et récit allégorique, présentant ainsi une figure de narrateur-auteur intéressante. La singularité de l’écriture de Huon réside dans cette articulation d’éléments hétérogènes. L’auteur fait intervenir deux autorités littéraires, Chrétien de Troyes et Raoul de Houdenc, qui ont une influence majeure sur son oeuvre. L’univers romanesque et allégorique est combiné à des éléments mythologiques, littéraires et bibliques. Cette convocation de traditions différentes pose un problème de généricité qu’il faut adresser pour la compréhension du texte. C’est le point de départ de notre réflexion qui nous permettra d’exposer la relation entre la structure d’affrontement du texte, l’écriture allégorique et les visées didactiques de l’auteur. Ces trois éléments s’articulent autour d’un principe double, commun dans la pensée médiévale. Ce principe est à la base de notre hypothèse qui soutient l’idée selon laquelle la pensée du double permet de former une dynamique entre les éléments hétérogènes du Tournoi et met en lumière le message de conversion de l’auteur. / The subject of this master’s thesis is Huon de Méry’s Le Tournoi de l’Antéchrist. This book is composed of 3544 verses and the writing date is estimated to be around the first half of the 13th century. This subject caught our attention because of the author Huon de Mery’s unusual use of the psychomachia as the principal matrix of the text and because of his writing in vernacular. The Tournoi describes the adventures of Huon who in the story is destined to be the spectator of the confrontation between Christ’s army, which represents virtues, against the Antichrist’s which represents vices. The narrative achieves an interesting author-narrator representation by combining elements of autobiographica land Romanesque writing, along with an allegorical storyline. The singularity of Huon’s writing resides in the articulation of heterogeneous elements. Chrétien de Troyes and Raoul de Houdenc as literary authority are major influences for the book. The fictionaland allegorical universes combine, with mythological elements, different literary traditions and biblical influences. This diversity of traditions poses the question of the genericity which is essential to address for a better understanding of the text. This is the starting point of our reflection which allows us to expose the relationship between the text’s confrontational structures, its allegorical writing and the shared principle in medieval’s binary thinking culture. This articulation is the basis of our hypothesis which puts forward the idea that medieval binary thinking forms a dynamic among the elements of the Tournoi and highlights the religious conversion message of the author.
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Le mouvement chez Lucrèce : de la voluptas au fluctus

Tremblay-Lemieux, Charlotte 04 1900 (has links)
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Poésie et pédagogie dans l'oeuvre d'Aratos de Soles / Poetry and pedagogy in Aratus of Soli’s work

Lorgeoux-Bouayad, Laetitia 21 June 2014 (has links)
Au-delà d’être un poème didactique, les Phénomènes d’Aratos sont un poème pédagogique qui unit étroitement le fond et la forme. On y trouve une conscience méthodique de la construction d’un savoir ; l’analyse du vocabulaire, pourtant issu de la poésie homérique, révèle une réflexion sur la transmission scientifique déjà définie comme un processus dynamique, à une époque où les écoles et leurs méthodes sont encore jeunes : percevoir, délimiter, nommer, et enfin assurer la conservation d’un objet de science. Cette idée de transmission prouve la préoccupation pédagogique d’Aratos, qu’il met en scène dans le poème à travers des figures de maîtres et d’élèves. Il s’y lit, notamment dans le mythe de l’Âge d’Or, une foi en la collaboration entre tous les vivants, fondée sur un respect qui tranche avec la dureté des poèmes didactiques archaïques. La pédagogie devient dans les Phénomènes un enjeu poétique : Aratos définit le poète comme un des membres de cette collaboration universelle, derrière laquelle il doit s’effacer, dans une éthique et une esthétique de l’anonymat qui remettent en question le kléos archaïque. La tradition poétique peut désormais être bousculée au nom de la transmission scientifique, et cette nouvelle conception n’est pas sans rappeler les récentes critiques opérées par Platon. Tout se passe comme si Aratos avait voulu relever le défi que Platon a lancé aux poètes de son temps : chanter le Dieu et sa création selon le Vrai ou le Vraisemblable, et devenir par son chant l’éducateur de la cité idéale. C’est probablement la réussite de cette gageure qui a assuré la gloire des Phénomènes dans les siècles où la philosophie de Platon a été suivie et admirée. / The Phaenomena by Aratus are not only a didactic, but also pedagogical poem, in which form and content are tightly bound. One may find in it a methodical conscience of how knowledge is built; the analysis of vocabulary, although taken from Homeric poetry, shows that scientific transmission is already understood as a dynamic process, in a time when schools and their proceedings were still young : to perceive an object of science, to delimitate it, to name it, and at last to guarantee his preservation. This idea of transmission proves that Aratus is concerned with pedagogy, which is illustrated in the poem through different figures of masters and pupils. We can observe, especially in the myth of the Golden Age, all his faith in the collaboration between all kinds of living being bound together by a respect that is really different from the harsh tone of archaic didactic poetry. In the Phaenomena, pedagogy becomes a poetic matter: Aratus defines the poet as a member of this universal collaboration, behind which he has to fade because of an ethic and an aesthetic of namelessness; so is the archaic kleos questioned. Poetic tradition can be shaken up in the name of scientific transmission, and this new conception may remind us of Plato’s recent criticism. Apparently, Aratus did want to take up Plato’s challenge to the poets of his time: to sing the God and his creation according to Truth or Verisimilitude, and to become the teacher of an ideal state, thanks to his song. In all likelihood, Aratus’fame came from the success of this wager, during all the centuries when Plato’s philosophy was followed and admired.

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