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L'«ABC» d'une économie politique de la sécurité : pour une analyse féministe des politiques américaines de lutte contre le VIH/SIDA en Afrique subsaharienne sous l'administration de George W. BushD'Aoust, Anne-Marie January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire vise à étudier de manière critique les politiques de l'Administration de George W. Bush face au problème de sécurité posé par l'enjeu du VIH/sida en Afrique subsaharienne. Dans un premier temps, il évalue la pertinence d'une approche féministe pour rendre compte du problème du VIH/sida en Afrique subsaharienne. Pour ce faire, il met en évidence la consolidation et les limites d'une position hégémonique au sein de la communauté de sécurité en ce qui a trait au traitement de l'enjeu du VIH/sida en Afrique subsaharienne. Dans un second temps, il examine comment les États-Unis activent des structures de pouvoir basées sur des expressions symboliques, discursives et culturelles de la masculinité dans le cadre de la lutte contre le VIH/sida. Ces structures maintiennent une certaine représentation identitaire de l'État américain, mise en évidence lorsqu'on analyse la fonction performative des logiques binaires de masculinité/féminité qui sous-tendent les discours américains. Les politiques américaines de lutte contre le VIH/sida favorisent également la mise en place d'une économie politique de la sécurité. Une analyse des clauses du President's Emergency Plan for AIDS Relief (PEPFAR) illustre ce point. Enfin, pour juger de la portée des politiques américaines, le rôle central des États-Unis au sein des autres institutions internationales dédiées à lutte contre le VIH/sida, comme ONUSIDA, la Banque mondiale et le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, est examiné de manière critique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : VIH/sida, Sécurité, Afrique subsaharienne, Féminisme, États-Unis, President's Emergency Plan for AIDS Relief (PEPFAR), Théories des relations internationales.
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La politique antinarcotique des États-Unis envers la Colombie durant l'administration Clinton (1992-2001) : la sécurisation du narcotrafic ou sécurisation de la crise colombienne?Rave, Jorge Andrés January 2009 (has links) (PDF)
Dans ce travail, nous nous intéresserons au processus de. sécurisation de la crise colombienne pendant l'administration de Bill Clinton (1993-2001), notamment en ce qui concerne la politique antinarcotique américaine à l'égard de la Colombie, comme sa principale représentation, dans les années 1990. Par sécurisation, nous entendons le processus par lequel une question commence à être perçue comme une menace existentielle exigeant des mesures extraordinaires (souvent militarisées) afin d'y remédier. Nous avons choisi le cas colombien parce que nous considérons que l'étude de la politique étrangère américaine envers ce pays andin permet de montrer que cette dernière est, d'abord et avant tout, le résultat du processus de sécurisation du narcotrafic amorcé par Ronald Reagan, soit une politique qui se veut prohibitionniste et militariste et qui semblerait exclure toute approche qui en prônerait une vision non militaire. Par la suite, l'analyse du processus de sécurisation du narcotrafic nous amène à considérer l'impact qu'a eu cette approche sur l'identité collective des États-Unis, les aspects sociopolitiques dudit processus à partir de son début, ainsi que le rôle des différents acteurs et institutions américains dans la formulation et dans l'application, voire la légitimation auprès de l'opinion publique américaine du Plan Colombie à la fin des années 1990. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sécurisation, Guerre antidrogue, Narcotrafic, États-Unis, Plan Colombie.
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Les initiatives du Canada en matière d'allégement de la dette des pays en développement les plus pauvres : un leader qui ne fait pourtant pas bande à partMarcoux, Aude Marie January 2009 (has links) (PDF)
La « crise de la dette » des années 1980 a suscité une vaste littérature sur le thème de l'endettement des pays en développement. L'intérêt de ce mémoire est de retracer la trajectoire d'un créancier en particulier ayant participé, unilatéralement, bilatéralement ou multilatéralement, aux stratégies de désendettement de ces pays: le Canada. En regard du frappant constat d'inefficacité des mesures d'allégement de dette des pays les plus pauvres auxquelles adhère le Canada depuis le début de la crise, notamment l'IADM de 2005 qui ne règle pas leurs blocages en termes de développement, l'objectif de cette étude est de démontrer si le Canada se distingue des autres bailleurs de fonds en matière d'allégement de la dette des PED. Le cadre d'analyse utilisé s'inspirant des travaux de Roy Culpeper et de John E. Serieux qui préconisent que la debt overhang est un obstacle au développement des PED s'avère un outil essentiel dans l'évaluation et l'interprétation des initiatives de désendettement auxqueIles le Canada a pris part. Par une approche historique et une analyse documentaire, cette étude retrace l'endettement au niveau qualitatif et quantitatif et procède à un véritable état des lieux et des faits et ce, en trois temps: présentation de la problématique de l'endettement des PED, revue des initiatives d'allégement de dette et ce, en focalisant sur l'expérience canadienne de 1978 à 1995, puis état des initiatives d'allégement de dette auxquelles a pris part le Canada après le tournant de l'année 1996, marqué par l'initiative jusqu'alors la plus significative en matière de réduction de dette et ce, jusqu'à 2008. Cette démarche empirique et déductive permet de conclure que malgré certaines déclarations qui pourraient laisser supposer le contraire, à quelques exceptions près, le Canada ne se démarque pas des autres bailleurs de fonds quant à ses initiatives en matière d'allégement de la dette des PED, puisque la majorité des mesures adoptées dans ce domaine s'alignent sur les stratégies que préconisent les IFI. En effet, si le Canada a certes assumé un rôle d'initiateur de mesures, il a également adopté une approche suiviste en ne contribuant pas aux débats et à la réflexion sur les stratégies de développement mises en place par les mécanismes d'allégement de dette prônés par les IFI. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Dette, Endettement, Canada, Pays en développement.
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Comprendre l'édification de la cour pénale internationale : l'exemple canadienDaoud-Kayal, Mona January 2009 (has links) (PDF)
Le régime de droit pénal international (DPI) a évolué depuis les Procès de Tokyo et de Nuremberg, devenant graduellement plus restrictif pour les États. La dernière innovation en la matière est la Cour pénale internationale (CPI), une cour théoriquement permanente et indépendante chargée d'enquêter, de poursuivre et de juger des prétendus criminels ayant perpétré les pires atrocités que l'humanité ait connues. La CPI semble enfreindre le concept de souveraineté étatique puisque cette compétence était, jadis, uniquement l'apanage des systèmes juridiques nationaux.
Lorsqu'on examine les motivations qui poussent les États à créer la CPI, cette dernière institution ne satisfait guère les principes utilitaristes mis de l'avant par les théories dominantes des Relations Internationales (RI). Au contraire, à la lumière du principe de la souveraineté étatique, la CPI génère davantage de coûts que de bénéfices. Il est ainsi nécessaire de comprendre sa formation en analysant les considérations internes des États et en appliquant les concepts illustrés par les théories constructivistes. Le cadre analytique de cette étude révèle l'importance des considérations matérielles et immatérielles qui influencent les États à adhérer ou à rejeter la CPI. En ce sens, la prise de décision d'un État reflète des considérations identitaires, intentionnelles, éthiques et stratégiques. À cet égard, le cas du Canada est évocateur, car il s'est rapidement illustré en tant que fervent promoteur de la CPI en 1998 lors de la Conférence de Rome, laquelle mena à l'adoption du traité constitutif de la Cour. Si le discours canadien s'inscrit dans une logique éthique internationaliste, il demeure que le Canada s'est satisfait d'initiatives diplomatiques telles que la signature de traités ou la promotion de la CPI dans les cercles de discussions internationaux. En effet, à travers ses projets défendant les principes de la sécurité humaine, le Canada a tenté de maintenir un certain prestige international tout en coupant drastiquement dans les activités du Ministère des Affaires étrangères, les dépenses associées aux négociations internationales étant moins dispendieuses que celles attribuables à l'aide au développement ou à l'imposition de sanctions à l'encontre des États participant à l'« insécurité humaine ». ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Cour pénale internationale, Institutions internationales, Théories des Relations internationales, Canada, Politique étrangère.
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Le sport comme continuation de la politique : la tournée du Dinamo de Moscou en Grande-Bretagne, 1945Hamelin, Guillaume January 2009 (has links) (PDF)
Longtemps négligée par les historiens, l'histoire du sport, et de son rôle au sein de la société, fait l'objet d'un nouvel intérêt depuis le début des années 1980. Cette attention venait en partie du fait que le sport permet de toucher aussi bien l'aspect économique, politique ou social d'une société. À une époque aussi politisée que le XXe siècle, où s'affrontaient deux systèmes antagonistes, aucun secteur de la société n'était laissé au hasard. Ainsi, en étudiant une nation comme l'URSS, il est intéressant de voir comment un État aussi idéologisé pouvait l'utiliser et surtout à quelles fins. En ce sens, si au XIXe siècle le théoricien militaire Clausewitz soutenait que la « guerre n'est que le prolongement de la politique par d'autres moyens », au XXe siècle, c'est le sport qui se voudra la continuation de la politique, prenant ainsi la place de la guerre. En se concentrant sur un événement précis, à savoir la tournée du Dinamo de Moscou en Grande-Bretagne, effectuée à l'automne 1945, l'utilisation du sport à des fins de propagande démontrera le caractère utilitaire que les dirigeants soviétiques donnaient au sport. Équipe commanditée par les services de sécurité soviétique, le Dinamo était tout désigné pour ce périple, en raison de sa relation avec le pouvoir, car après la guerre, il apparaissait, en compagne des équipes de l'armée, comme les piliers de mouvements sportifs socialistes. Présentés comme des ambassadeurs de bonne volonté, les joueurs du Dinamo arrivaient en Angleterre avec pour objectif de consolider le sentiment d'amitié qui avait permis à ces deux nations de vaincre le nazisme. Cependant, loin d'améliorer leurs relations, ces rencontres vont créer un sentiment d'animosité. Si cette tournée s'est révélée un succès sur le plan sportif, elle n'aura pas permis le rapprochement espéré. Peu de temps après, la Guerre froide divisa le monde en deux blocs et il faudra attendre plusieurs années avant que l'URSS ne ressorte à l'extérieur de ses frontières. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Football, Staline, U.R.S.S., Arsenal F.C., Chelsea F.C., Stanley Rous, F.I.F.A., Football Association, Moscou, XXe siècle, Yakushin, Vsevolod Bobrov, Guerre froide.
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La perception qu'a le Congrès américain de la sécurité à la frontière canado-américainePaquet, Nicolas January 2009 (has links) (PDF)
Dans un contexte de lutte au terrorisme mais aussi d'intégration des marchés en Amérique du Nord, la gestion de la frontière terrestre devient un des lieux principaux de la redéfinition des rapports politiques, économiques et sociaux entre le Canada et les États-Unis. S'inscrivant dans ce contexte sécuritaire « nouveau », le but de la recherche est d'approfondir notre compréhension des idées, et plus précisément des discours, à l'origine des politiques frontalières canadiennes et américaines post 11 septembre 2001. En examinant de près la perception qu'a le Congrès américain de la sécurité à la frontière canado-américaine, nous tentons d'abord de définir les idées reçues sur le Canada, la frontière, le terrorisme et la sécurité. Dans un second temps, nous mettons en relief ces perceptions avec l'ensemble des écrits scientifiques sur la sécurité à la frontière canado-américaine. Quant à ces écrits, nous tentons également d'identifier un courant de pensée dominant sur les questions de sécurité frontalière. Ainsi nous espérons démontrer l'existence d'une convergence entre le discours du Congrès américain et un corpus littéraire spécifique de la théorie sur la politique étrangère canadienne et la sécurité frontalière. À ce titre, une analyse quantitative d'audiences publiques du Congrès américain révèle une vision dichotomique de la sécurité, partagée entre le désir de créer une forteresse imperméable et l'idée d'améliorer les échanges commerciaux entre les deux pays. Pris dans cette dichotomie, nous démontrons comment la sécurisation de la frontière devient un concept politique vague et englobant. Ainsi, la lutte au terrorisme devient davantage une lutte aux insécurités, fondées ou non, que représentent l'immigration illégale et le trafic de drogue ou de marchandises illicites. Par ailleurs, une analyse qualitative de la littérature pertinente sur le sujet révèle une tendance à la réification de la sphère politique ayant pour effet d'ignorer le caractère profondément mercantile des nouvelles politiques frontalières. En effet, si la technologisation de la frontière et un apport majeur en ressources supplémentaires font craindre à beaucoup de chercheurs une diminution des échanges économiques, il semblerait que ce soit plutôt les individus qui sont les premières victimes du discours sur la sécurité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Canada, États-Unis, Congrès américain, Frontière, Sécurité, Terrorisme.
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Les sanctions économiques canadiennes outil de construction identitaireCastonguay, Guillaume January 2010 (has links) (PDF)
La théorie générique des sanctions économiques internationales prévoit que les États imposent des sanctions économiques contre d'autres dans le but de faire changer leur comportement en politique étrangère ou interne. Or, les études empiriques de l'efficacité des sanctions économiques à atteindre ces buts montrent un taux de réussite très faible. Pourtant, le Canada continue d'utiliser les sanctions dans sa politique étrangère, et la population canadienne continue de réclamer leur utilisation lors de crises internationales.
L'hypothèse que ce mémoire défend est que les sanctions, lorsqu'elles sont étudiées à travers la lunette des approches constructiviste critique et post-structuraliste, répondent à d'autres impératifs que leur simple efficacité, ce qui permet d'expliquer leur utilisation et leur popularité. Le Canada, dans un épisode de sanctions, contribue à développer et renforcer son identité internationale de puissance moyenne internationaliste et multilatéraliste. Du même coup, le Canada contribue au maintien et au renouvellement d'un environnement normatif international qui soit à son avantage. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sanctions économiques, Politique étrangère du Canada, Théories des Relations Internationales, Constructivisme, Droit international.
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La pratique de la diplomatie publique selon le développement socio-économique de l'État ciblé : le cas du Canada de 1998 à 2008Hamel, Annie January 2010 (has links) (PDF)
L'environnement international changeant -guerre au terrorisme, révolution dans le secteur des technologies de l'information et des communications -a permis à la diplomatie publique, soit une diplomatie d'État-à-population de réémerger comme une pratique de la politique étrangère de plusieurs États à travers le monde. Ce mémoire a posé la question de savoir si la diplomatie publique canadienne s'élaborerait de manière différente selon le type d'État ciblé, soit les pays développés, émergents et en déroute. Afin de pouvoir établir des comparaisons, deux pays ont été choisis pour chaque type d'États: la France, le Royaume-Uni, la Chine, l'Inde, Haïti et l'Afghanistan. La question a été analysée selon la théorie du « soft power » énoncée par Joseph S. Nye et évaluée empiriquement grâce à l'étude de documents gouvernementaux ciblés. Les résultats de cette étude démontrent que certaines tendances ressortent lorsque la pratique de la diplomatie canadienne est analysée en fonction des trois types d'État. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Diplomatie publique, Canada, États émergents, États développés, États en déroute.
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L'identité occidentale et la représentation de la Chine au sein de la littérature sur les relations étrangères chinoisesBernard, Alex January 2010 (has links) (PDF)
Si la fin de la Guerre froide a contribué à réduire l'insécurité politique nucléaire, elle a par contre engendré une forte insécurité identitaire. Quand le rideau de fer s'est levé, c'est le miroir au travers duquel se regardait l'Occident qui s'est envolé. Pendant près de 40 ans, le clan communiste renvoyait une image à l'Occident, et ce dernier se constituait une identité à partir de celle-ci. La Chine peut-elle remplir le rôle longtemps dévolu à l'URSS? La plupart des textes traitant de la Chine sont orientés autour des thèmes du changement: changements économiques, politiques, et sociaux. L'examen approfondi des textes traitant de la Chine nous révèle que ces changements possèdent une direction ou à tout le moins sont évalués à partir d'un modèle: les sociétés occidentales. La compréhension de la Chine est souvent faite en termes de succès ou d'insuccès par rapport au point de référence, c'est-à-dire plus positivement quand elle s'approche de l'original et plus négativement quand elle s'en éloigne. L'objet de ce mémoire est de vérifier si l'on peut établir un lien entre la perception de la Chine et un éventuel processus de formation identitaire occidental. Pour ce faire, nous avons procédé à une analyse documentaire d'écrits d'auteurs occidentaux s'intéressant à la Chine.
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La communautarisation graduelle du processus politique en matière de politique étrangère et de sécurité commune : l'exemple de l'Agence européenne de défenseSultana, Bogdan January 2007 (has links) (PDF)
Le but de ce mémoire est de faire valoir l'existence et l'importance des facteurs identitaires communs influençant le comportement des États membres au moment du processus politique au sein de l'Agence Européenne de Défense. L'objectif est de présenter un modèle de recherche qui sort du cadre d'analyse traditionnel et qui va permettre de comprendre (et de voir), de façon nouvelle l'ensemble de la politique extérieure commune. Nous posons l'hypothèse que le discours de l'Agence Européenne de Défense (AED) reflète une communautarisation et une européanisation graduelle de la Politique Étrangère de Sécurité Commune (PESC) ainsi que de la Politique Européenne de Sécurité et de Défense (PESD). En tout premier lieu nous illustrerons l'essor rapide de l'approche constructiviste depuis la chute de l'empire soviétique suivie des liens entre le contexte théorique et les normes européennes en matière de sécurité et de défense. En second lieu ce mémoire présente la construction sociale et le concept identitaire des institutions européennes en matière de défense avec une attention particulière sur la mise en place de la nouvelle Agence Européenne de Défense (AED). En troisième lieu nous étudierons le processus politique de cette nouvelle agence à travers son discours officiel ; interétatique et communautaire. Nous conclurons cette analyse en notant l'importance des normes et des valeurs communautaires dans le processus identitaire reflétant l'émergence de l'Union Européenne en tant qu'acteur de premier plan sur la scène internationale. En somme, dans son ensemble, la recherche présentée ci-dessus démontre une érosion progressive de la prépondérance traditionnelle de l'État nation comme principal acteur en Relations Internationales (RI) dans les aspects civils de la politique extérieure de l'Union Européenne (EU). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Union Européenne, Politique Européenne de Sécurité et de Défense (PESD), Politique Étrangère et de Sécurité Commune (PESC), Constructivisme, Normes, Agence Européenne de Défense (AED).
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