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S'opposer à l'Europe: quels rôles pour les eurosceptiques au Parlement européen? /cNathalie brack / Opposing Europe: what roles for Eurosceptics in the European Parliament?

Brack, Nathalie 11 January 2013 (has links)
Alors qu’une riche littérature se concentre sur l’euroscepticisme au sein des arènes politiques nationales, les oppositions à l’Europe au niveau supranational restent largement négligées. Afin de contribuer à combler cette lacune, cette recherche s’interroge sur la façon dont les députés eurosceptiques conçoivent et exercent leur mandat représentatif au sein du PE. Fondée sur l’approche motivationnelle des rôles, il s’agit, d’une part, d’appréhender les rôles joués par les eurosceptiques au sein de l’assemblée et, d’autre part, d’expliquer l’hétérogénéité des rôles endossés par ces élus. Mobilisant une pluralité de données, cette recherche repose sur une méthodologie mixte, combinant méthodes qualitative et quantitative ainsi qu’approches inductive et déductive. L’analyse s’articule autour de deux séquences. La première propose une typologie d’idéaux-types de rôles permettant de rendre compte des pratiques et conceptions du mandat développées par les parlementaires eurosceptiques. La seconde explique la variation des rôles au sein de cette typologie et teste l’hypothèse selon laquelle le rôle dépend d’une combinaison de facteurs institutionnels et individuels. L’étude démontre que les eurosceptiques peuvent endosser quatre rôles, correspondant à une stratégie de défection ou de prise de parole, et que le rôle qu’ils jouent dépend à la fois des règles régissant le fonctionnement du PE et de leurs préférences relatives à l’intégration et à l’architecture institutionnelle de l’UE. Ce faisant, la recherche constitue une réflexion sur deux enjeux très distincts. Premièrement, alors que l’on assiste, dans de nombreux pays européens, à l’émergence de revendications d’acteurs contestant les structures institutionnelles en place, cette thèse permet de contribuer à l’étude, encore restreinte, de l’opposition antisystème au sein d’institutions parlementaires, le PE servant ici de laboratoire privilégié pour l’étude des stratégies de ces acteurs antisystème. Deuxièmement, à l’instar des travaux de sociologie de l’intégration européenne, cette recherche repose sur le postulat qu’analyser de façon microscopique un groupe restreint d’acteurs permet de s’interroger, de façon différente, sur le déficit démocratique et de légitimité du régime européen, en déplaçant la focale du niveau institutionnel au niveau individuel. Il s’agit alors d’appréhender les défis de légitimation de l’UE en se concentrant sur les acteurs hostiles à la construction européenne. Une analyse de leurs pratiques concrètes au sein de l’assemblée représentative permet de dégager des pistes de réflexion quant à leur capacité de légitimation du régime politique. <p><p>While an abundant literature focuses on Euroscepticism in the national political arenas, oppositions to Europe at the supranational level remain largely under-studied. In order to contribute to fill this gap, this research examines how Eurosceptic Members of the European Parliament (MEPs) conceive and carry out their representative mandate in the European Parliament (EP). Inspired by the motivational approach of role theory, the study aims first at understanding the roles played by Eurosceptics within the assembly and second at explaining the heterogeneity of the roles played by these actors. Using a plurality of data, this research is based on mix-methods, combining qualitative and quantitative methodologies as well as inductive and deductive approaches. The analysis proceeds in two steps. The first proposes a typology of ideal-types of roles that allows understanding the ways Eurosceptics conceive and carry out their parliamentary mandate. The second explains the variation between the roles and tests the hypothesis that the role played by an actor depend on the combination of institutional and individual factors. The study demonstrates that Eurosceptics may assume four roles, corresponding to an exit or voice strategy, and that the role they play depends both on the EP’s rules and MEP’s preferences concerning European integration and the EU’s institutional design. The research contributes to on-going debates on two very different issues. First, while we witness in many European countries, the emergence of anti-system actors, this thesis can contribute to the study of the anti-systemic opposition within parliamentary institutions, the EP being here a special laboratory for the study of the strategies of anti-system actors. Second, like recent studies focusing on the sociology of European integration, this research is based on the premise that analysing a small group of actors allows to question in a different way, the democratic and legitimacy deficit of the EU, moving the focal from the institutional to the individual level. The aim is then to understand the challenges of legitimacy of the EU by focusing on actors hostile to the European project. An analysis of their actual practices in the EP allows us to reflect on their ability to legitimize the political system.<p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La démocratisation du gouvernement représentatif en Belgique, une promesse oubliée

Bourgaux, Anne-Emmanuelle 16 October 2013 (has links)
Au lendemain de la Première Guerre Mondiale, les travaux de révision de la Constitution de 1919-1921 s’ouvrent sur des promesses substantielles de démocratisation du gouvernement représentatif hérité de 1831. Que deviennent ces promesses par la suite ?En privilégiant une approche interdisciplinaire, nous analysons l’évolution du droit positif belge qui régit la participation politique des citoyens et le lien entre électeurs et élus de 1831 à nos jours. Au terme de notre recherche, nous montrons que le constat posé par Bernard Manin dans son ouvrage Principes du gouvernement représentatif, selon lequel «la démocratie s’est assurément étendue, mais il est au mieux incertain qu’elle se soit approfondie » ,se vérifie dans le cas de la Belgique. Celle-ci a assurément augmenté le nombre de bénéficiaires de la participation politique mais, pour une large part, elle semble avoir perdu de vue l’approfondissement du contenu de celle-ci. A partir de 1919-1921, s’impose peu à peu la conviction selon laquelle la Belgique aurait basculé dans la démocratie grâce à l’universalisation du droit de vote. La face démocratique solaire du suffrage universel (masculin) tend à plonger dans l’ombre l’héritage aristocratique hérité de 1831. Nous montrerons que, pourtant, les attentes et les promesses de démocratisation formulées à cette date étaient plus substantielles que l’abolition du suffrage censitaire. Par la suite, sous l’influence du scénario selon lequel la Belgique aurait une fois pour toutes basculé dans la démocratie depuis l’universalisation du suffrage, les promesses de démocratisation semblent tomber dans l’oubli: l’approfondissement de la démocratisation n’est plus à l’ordre du jour et certains acquis démocratiques hérités des temps passés font l’objet d’inattentions. <p> / Doctorat en Sciences juridiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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The EU Foreign policy towards the korean peninsula crisis, 1993-2006

Doh, Jong Yoon 09 December 2011 (has links)
The EU’s notable transformation over the past five decades is obviously an event of modern state concepts. However, the EU’s matter of concern has placed too much emphasis on economic and trade issues, while its capability and power have achieved remarkable growth with far-reaching ramifications in both economic and political affairs. This also means that studies of the EU foreign policy have hardly reached North East Asia because of geographical limit between them, the EU’s weak institutional capacity and vestige of the Cold War. Therefore the EU and the Korean Peninsula did not have chance to build a critical relationship. This time could be defined as ‘standstill’ between Europe and the Korean Peninsula or ‘quiet diplomacy’. 1993 marked a turning-point in relations between the EU and the Korean Peninsula. Firstly, European countries have launched the Maastricht Treaty since they had signed in 1992. The Treaty implies the EU’s more strengthened international role in the political and economic area in accordance with its increased capability and reinforced power. Secondly, North Korea announced its intention to withdraw from the NPT on 12 March 1993 and then the Korean Peninsula was compelled to face a political crisis. Since the EU took unofficial Humanitarian Aids for North Korea in 1994-1995, KEDO and the EU in 1997 agreed to the terms and conditions of the accession to KEDO of its nuclear regulatory body. This was the first challenge of the EU political engagement of the Korean Peninsula question. In the context, this research seeks to answer the question of “What are the EU priorities in its strategy for Korean Peninsula?” that includes broadly the EU’s regional strategy for North East Asia in line with its foreign policy agenda. To tell the conclusion, the EU’s intervention to North Korea was firstly encouraged in dimension of economic interests through vitalization of international trade after the Korean Peninsula would be reunified. The EU considered that Asian nuclear market is an important factor in order to build nuclear technical standard as well as to obtain commercial interests although the European nuclear firms did not obtain chance enough to construct for North Korea nuclear facilities construction. The EU’s political incentives for political change-seeking in North East Asia must also be considered. Actually, the EU diplomatically opened the door of Pyongyang and led the isolated regime to a channel that communicates with international community although the EU did not take a seat at Six-Party Talks to engage itself in the Korean Peninsula question. As a result, the EU could increase the image of a ‘peaceful mediator’ or an ‘honest blocker’ in the term of ‘reputation’ through engagement continued for the Korean Peninsula Crisis. The EU’s foreign policy has been partly successful in context that Europe succeeds in promoting its existence as a global actor. Therefore, its foreign policy would gradually be reinforced to bolster the EU’s credibility and influence in the Korean Peninsula. The EU’s role is surely reduced in the Korean Peninsula issues with the termination of the KEDO project. However, the EU’s role is expected to be performed in different ways under its confidence and capability. The EU’s next engagement depends on where its new incentives will be, and then its question will be how to realize them in accordance with its institutional conditions and actual capacity. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La diplomatie énergétique de la Fédération de Russie: forces et limites / Energy diplomacy of the Russian Federation: strenghts and limits

Bachkatov, Nina 05 May 2011 (has links)
La diplomatie énergétique russe qui est au cœur de ce travail diffère des politiques industrielles classiques adoptées régulièrement par les États afin de développer leur pays, relancer son économie ou certains secteurs industriels. Elle entend en effet utiliser les ressources naturelles de la Russie, et singulièrement son potentiel énergétique (sachant que la Russie est à la fois producteur, consommateur, pays de transit) afin de retrouver son statut de grande puissance. Ce retour de puissance devant permettre à la Russie de sortir de la période de transition pour redevenir un acteur de premier rang dans un monde global redessiné par la fin de la guerre froide. Il s’agit pour elle de faire entendre sa voix, de participer en qualité de partenaire égal aux décisions et à l’élaboration des nouvelles normes rendues nécessaires par le bouleversement engendré par la fin de la guerre froide.<p><p>La diplomatie énergétique russe s’affirme pendant les années 2003-2004, comme une démarche pragmatique, un moyen opportuniste de rencontrer un projet politique en utilisant un des rares leviers dont dispose ce pays appauvri et affaibli – sa puissance énergétique qu’il s’agit de transformer un outil de puissance politique, raison pour laquelle la politique étrangère russe va être mise au service de ce projet. Le travail fait donc référence aux spécificités internes de la Russie et au contexte international afin d’identifier les faiblesses et les forces de cette diplomatie spécifique.<p><p><p>Russian energy diplomacy, with which this work is uniquely concerned, differs from the classic industrial policies adopted by states in order to re-launch their economies or certain industrial sectors. It has consisted of putting Russia’s natural resources and particularly its energy potential (as a producer, a consumer, and a transit country) to the practical purpose of restoring its status as a great power. For Russia, the return to power would permit the country to emerge from its period of transition and become a leading actor in the world reshaped by the ending of the cold war. It is a matter of making its voice heard, as an equal partner in international decisions and the formulation of the new political norms necessitated by post-cold war upheaval. <p><p>In 2002-2004 Russia developed this energy diplomacy as a pragmatic and opportunistic means of attaining a political objective with one of the few levers at the disposal of an impoverished and enfeebled country – that is to say, its energy potential, which it turned into a political tool. To this effect, Russian foreign policy has been made to serve the same project. Consequently this work deals with internal specificities and the international energy context, in order to probe both the weakness and the strength of this particular form of diplomacy. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Politique et politiques urbaines dans la Roumanie (post)socialiste: perdants et bénéficiaires des processus de nationalisation et de restitution des immeubles nationalisés / Politics and urban policies in (post)socialist Romania: winners and losers of nationalization and restitution

Otoiu, Damiana Gabriela 30 June 2010 (has links)
Notre examen de la reconfiguration de la propriété privée durant les régimes communistes et postcommunistes a comme point de départ une interrogation banale qui, depuis l’ouvrage canonique de Laswell, Politics. Who gets what, when, and how ?est considérée essentielle pour la compréhension des processus politiques :qui sont les principaux bénéficiaires / perdants de ces métamorphoses du régime de la propriété ?<p><p>Pour formuler une réponse à cette interrogation, nous avons structuré notre analyse en trois parties.<p><p>La première partie, "La Propriété urbaine dans la Roumanie (post)socialiste. Politique et politiques publiques", dresse un tableau général de la transformation socialiste et postsocialiste de la propriété privée en milieu urbain. Ce tableau général concerne tant le cadre normatif et institutionnel, que les acteurs socio-politiques qui essaient de s’impliquer dans l’élaboration des politiques publiques. <p><p>Les deux études de cas qui constituent la deuxième et la troisième partie de la thèse examinent la construction juridico-politique des « gagnants » et des « perdants » de ces processus de reconfiguration de la propriété :La propriété et « l’ethno-nation » dans la Roumanie (post)socialiste. Le cas de la communauté juive (2e partie), respectivement Métamorphoses (post)socialistes d’un « quartier rouge ». Propriété et élites politiques en Roumanie (3e partie). <p><p>Pour analyser la construction des « perdants », le rapport qui s’établit entre "La propriété et « l’ethno-nation » dans la Roumanie (post)socialiste. Le cas de la communauté juive" nous a semblé un observatoire privilégié. La principale raison tient à l’ingéniosité des méthodes d’expropriation imaginées par les communistes pour la spoliation économique des différentes minorités ethniques ou religieuses et à la diversité des raisons invoquées par les législateurs postcommunistes pour différer la restitution de certaines de ces propriétés. Nous présumons que dans l’histoire de la « propriété juive » nous pourrions également appréhender un processus de construction (post)socialiste d’une « communauté imaginée », homogène, ethno-nationale, d’un « rapport particulier qui existerait entre l’État, la propriété et l’identité nationales » (Verdery 1998 :298).<p><p>Après des reconfigurations radicales de la sphère économique et l’étatisation des propriétés (industrielles, immobilières, foncières), l’unique catégorie sociale qui pouvait disposer discrétionnairement de la propriété nationalisée était la nomenklatura communiste. La 3e partie de la thèse, "Métamorphoses (post)socialistes d’un « quartier rouge ». Propriété et élites politiques en Roumanie", retrace l’histoire du quartier de la nomenklatura, situé au nord de Bucarest, de ses habitants d’avant 1989 et de leurs avatars postcommunistes. L’histoire politique du quartier se superpose à l’histoire des élites dirigeantes de la Roumanie et est révélatrice pour les rapports entre les différentes factions formées à l’intérieur du Parti, les épurations, les réhabilitations. Elle représente également un observatoire privilégié pour les rapports que le Parti Communiste Roumain entretient avec Kremlin, ainsi qu’avec d’autres partis communistes. Finalement, l’histoire postcommuniste du même quartier peut fournir une réponse à une question apparemment très simple, à savoir « qu’est-ce qui change après 1989 » ?Par cette étude de cas nous nous proposons de « tester » la thèse du « capitalisme politique », selon laquelle on assisterait après 1989 à une transmutation du capital politique que la nomenklatura communiste détenait en capital économique.<p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La Roumanie, du placard à la libération: éléments pour une histoire socio-politique des revendications homosexuelles dans une société postcommuniste

Carstocea, Andreea 27 April 2010 (has links)
<p>Après la chute du régime communiste en 1989, la société roumaine connaît l’émergence d’un nouveau type de revendications, celles relatives aux droits et aux libertés des personnes lgbt. Les questions homosexuelles deviennent dans le contexte roumain une thématique qui sollicite des réponses appropriées, qui impose des exigences adaptatives, qui provoque des affrontements, qui réclame des transformations. Ces revendications se focalisent principalement sur la dépénalisation des relations homosexuelles. L’article 200 du Code pénal roumain hérité du régime communiste criminalisait les relations homosexuelles entre adultes consentants, en privé ; cet article a été abrogé en 2001, par Ordonnance d’urgence du Gouvernement. <p>Ce changement législatif représente le point de départ pour cette analyse : nous nous sommes penchée sur les processus par lesquels l’ordre hétéronormatif imposé par le régime communiste commence à chanceler et cède petit à petit le terrain face à la légitimation d’un mode de vie alternatif, défini par l’option pour l’homosexualité. Le processus de déconstruction de ce dispositif répression / libération dans le cas roumain est analysé à la fois à travers les dynamiques politiques et les acteurs sociaux qui se sont investis dans l’action, à savoir les porteurs des revendications.Cette recherche revient donc à faire le point sur un univers social complexe et mobile, qui se déplace continuellement à la frontière de différentes espaces, tant au plan local ou national, qu’au plan global ou international. <p>Echappant à une focalisation exclusive sur un seul axe d’analyse, notre approche se propose donc de suivre les interactions entre des acteurs pluriels à travers des structures multiples qui influencent leurs actions. Une attention particulière est accordée aux individus, ce qui permet d’affiner l’analyse. Privilégier les variations des niveaux d’observations et la confrontation des logiques sociales sur diverses échelles nous permet au bout du compte de saisir à la fois la singularité du cas roumain, mais surtout son inscription dans un contexte global, transnational. <p>L’homosexualité constitue un phénomène qui s’inscrit dans une perspective politique et sociale et qui ne peut être compris que grâce à des facteurs d’ordre interne et externe à la communauté homosexuelle. Elle est, en même temps, un phénomène dont l’étude peut apporter un éclairage sur l’évolution de la société roumaine contemporaine, sur l’état de la démocratie, tout aussi bien que sur les dynamiques de l’européanisation. Les échanges autour de cette thématique révèlent la complexité des enjeux de la démocratisation : les décalages entre les normes et les mentalités, les déséquilibres entre les priorités de la politique interne et les priorités au niveau européen, les limites du domaine de la démocratie et les extensions de la morale dans la vie politique. Ces questions forment un ensemble complexe et hétéroclite dont cette recherche tente de donner les moyens de comprendre les logiques, les argumentaires, les transformations. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les résistances à l'Europe néolibérale: interactions, institutions et idées dans le conflit sur la Directive Bolkestein / Resisting neoliberal Europe :interactions, institutions and ideas in the conflict over the Bolkestein Directive

Crespy, Amandine 17 March 2010 (has links)
The dissertation deals with the conflict over the EU Services Directive which is also known as the Bolkestein Directive. The general liberalisation and deregulation of the services markets in the EU has known the greatest politicisation of an EU issue ever seen in the history of European politics. It mobilised a wide range of political actors, including unions, diverse associations and citizen groups in several member states of the EU as well as in Brussels. The Commissioner for the internal market Frits Bolkestein and the directive proposal adopted in January 2004 have come to epitomize the neoliberal face of European integration. Due to its connection with the Eastern enlargement in May 2004 and with the ratification of the European constitutional treaty in France and The Netherlands in 2005, the directive proposal on services liberalization triggered a general debate over the economic and social nature of the EU polity far beyond a mere matter of public policy. After three years of debate and mobilization, the directive proposal was substantially amended in the European Parliament and clear limitations were put to liberalization of the services of general interest and to market deregulation.<p>\ / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Pratiques journalistiques en situation de crise: vers une éthique atypique dans la presse au Congo-Zaïre

Elongo Lukulunga, Vicky 03 March 2010 (has links)
La tâche de cette thèse consiste à cerner la crise du journalisme dans un contexte propre aux pays confrontés à des crises profondes, particulièrement celui de l’espace médiatique congolais. La période de transition politique – qui s’est déroulée entre 1990 et 2006 – a été privilégiée, en raison de son ouverture au pluralisme médiatique et du foisonnement des médias dans un État marqué jadis par un quasi-monopole étatique sur le secteur.<p>Partant de l’argument selon lequel le journalisme congolais s’exerce dans un environnement de crise – celle-ci étant comprise comme un lieu d’inversion des valeurs et, par conséquent, favorable à la transgression des normes –, notre thèse se structure autour de trois hypothèses. Premièrement, serait-il moralement, mieux éthiquement acceptable, pour les journalistes, de transgresser les règles de leur profession, étant donné qu’ils évoluent dans un environnement de crise ?Dans l’affirmative, au nom de quels principes et de quelle éthique ces pratiques transgressives seraient-elles justifiées ?Deuxièmement, ces pratiques, pour autant qu’elles sont susceptibles d’être légitimées au nom d’une certaine éthique, seraient-elles préjudiciables à la qualité de l’information ?<p>Pour répondre à ces interrogations, notre démarche vise, d’abord, à circonscrire la crise congolaise ;puis à identifier, grâce à une approche empirique, les pratiques journalistiques ;enfin, à mesurer les retombées de ces pratiques sur l’information livrée au public. / Doctorat en Information et communication / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Dynamiques de nation building et évolution d'une identité nationale en Ukraine: le cas d'Odessa

Polese, Abel 28 May 2009 (has links)
En utilisant le cas d’étude d’une grande ville ukrainienne, Odessa, multiculturelle et russophone, nous tâcherons de mettre en évidence la discordance entre les mesures politiques de «nation building » (et leur qualité) adoptées par le Parlement, leur renégociation et application au niveau local et la manière dont cela affecte l’identité de la population et la perception d’une « nation ukrainienne » dans la ville, de façon à nous concentrer sur l’importance de l’attitude de la population dans un projet de «nation building ». A ce propos nous allons montrer le rôle de première importance joué par les Ukrainiens dans le projet de construction nationale entamé par les élites politiques après l’indépendance ukrainienne de 1991. L’expression « nation building » est souvent utilisée dans la littérature pour se référer aux mesures politiques émises par le Parlement ;Par contre l’expression « construction nationale » ou « construction de la nation » semble se prêter à plusieurs interprétations et n’exclut pas la participation de la population au projet. Par exemple, tandis que le « nation building » est lié à des politiques mises en œuvre dans le cadre d’un État, si l’on parle d’une « construction nationale » on ne se réfère pas forcement à un État. C’est pourquoi, au cours de cette thèse on gardera les deux expressions pour suggérer que l’expression construction nationale montre une attitude plus ouverte à observer les différentes interactions entre la population et les élites politiques.<p> / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les relations de la Turquie avec les ex-républiques soviétiques eurasiennes et caucasiennes sous Turgut Özal: une tentative de soft power

Yakacikli, Lebriz 20 May 2008 (has links)
Il s'agit d'étudier la tentative de la Turquie de se positionner comme une puissance sur les échiquiers eurasiens et caucasiens sous la présidence de Turgut Ozal / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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