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Macht-(W)Orte : Kulturelle Geographien des Rechts und der Ökonomie am Beispiel südasiatischer Migrationsgeschichte(n) / Mots et lieux de pouvoir : géographies culturelles du droit et de l'économie à l'exemple d'histoires de migration de l'Asie du SudSchwegmann, Raphael 02 May 2018 (has links)
L´économie et le droit caractérisent de nombreux aspects divers de nos réalités de vie postmodernes : ils sont à parts égales constituants de notre compréhension du monde de travail et de la profession, de la société, de la culture et des sciences. Dans ce contexte, les deux catégories continuent souvent à produire leurs effets inconscients : Non seulement de manière manifeste dans les bilans, les contrats et les règlements, dans des législations codifiées les plus variées et dans des instru-ments de calcul quantifiés – elles jouent aussi et surtout implicitement des rôles clé dans l´attribution inhérente de valeur/s dans de multiples débats et discours actuels ainsi que dans le cadre de diverses réalisations pratiques. Ainsi, l´économie et le droit finissent par prendre un effet performatif grâce à leur réalisation dans la pré-sentation et permettent enfin d´entrer dans de maints processus de pensée et de distinction ou d´entamer des actions concrètes ou bien excluent de tels processus et actions. Ce projet de thèse de doctorat vise à tracer ces (im-)possibilités de prise d´effet et de taux de réalisation dans les histoires de vie de migrants d´Asie du Sud. Paral-lèlement, il est prévu de fonder les recherches sur l´idée ambitieuse d´intégrer des objets du droit et de l´économie et d´y faire converger des disciplines variées fai-sant partie des sciences humaines et sociales, dans le but de pouvoir les repenser dans l´ambiance constructive d´une approche multi-perspectiviste et transdiscipli-naire. / In the global context of our heterogenous postmodern world, new perspectives on the historical as well as geographical dimensions of normative orders are crucial. Using up-to-date dispositif-theoretical views on law and economy in order to analyze its diverse meanings and reproductions on various scales, this PhD theses aims at developing a theoretical research agenda as a starting point for further interdisciplinary work in contexts of mobiliy, migration and exchange. It argues that it is especially the intersection between Law, Economics, History and Human Geography which might, in conjunction with Cultural Studies, create fruitful understandings of a global environment of power.
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Le travail, voie royale vers la santé mentale ? / Work, royal road to the mental health ?Widart, Frédéric 19 January 2017 (has links)
Notre époque se caractérise par une généralisation des logiques managériales à tous les domaines de l'activité humaine. Jugée trop passive et inefficace, la logique protectrice et indemnisation de l'Etat-providence évolue en direction de politiques d'activation et de responsabilisation. Ces dernières visent, à l'instar des entreprises, à faire de l'individu l'entrepreneur de sa vie, le gestionnaire de sa réinsertion socio-professionnelle comme de sa trajectoire de soins et de son rétablissement. Le modèle dominant actuellement l'organisation des soins en santé mentale est celui de la réhabilitation psychosociale. Ses principes se retrouvent, via l'OMS, au cœur des politiques nationales notamment belges et françaises. Cette approche met clairement l'accent sur la vie professionnelle en intervenant préférentiellement au niveau comportemental (acquisition de nouvelles compétences) tout en laissant sensiblement de coté les approches thérapeutiques basées sur la parole. Cependant, dans le contexte socio-économique actuel (mondialisation, productivité, burn-out, chomage), le travail peut-il véritablement constituer la voie royale vers la santé mentale ? En reprenant à leur compte l'idéal de l'entrepreneur, les nouvelles politiques de soins en santé mentale peuvent-elles favoriser la (re)mobilisation subjective à l'égard du "travail" (ordinaire et psychique) de façon à relancer la quête identificatoire, àdépasser les entraves de la psychopathologie ou du conflit identificatoire ? Si l'on considère que le travail de sublimation n'est pas d'une utilisation générale et n'est accessible qu'à peu d'homme, cet impératif est-il approprié à chacun et appropriable par tous ? / Our era is characterised by a generalisation of managerial rationale to all areas of human activity. Deemed too passive and ineffective, the protective and compensatory mindset of the welfare state is changing towards activation and accountability policies. Following the corporate example, the latter aim to make an individual the entrepreneur of their life, the manager of their re-integration into the workplace as well as their care path and their recovery. The model currently dominating the organisation of mental health care is psychosocial rehabilitation. Its principles can be found at the heart of national policies, via WHO, notably in Belgium and France. This approach clearly puts the accent on working life by preferably being involved at a behavioural level (skills training) while leaving therapeutic approaches based on words essentially to one side. However, within the current socio-economic context (globalization, productivity, burn-out, unemployment), can work truly be the royal way to mental health? By committing to the entrepreneur ideal, can the new mental health care policies promote subjective (re-)modelling with regard to "work" (ordinary and psychic) so as to restart the identificatory quest, to go beyond the restrictions of psychopathology or identity crisis? If it is considered that sublimation work is not for general use and is only accessible to a few people, is this imperative appropriate to everyone and transferable by everyone?
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Contribution de la psychanalyse freudienne à l'étude de la personnalité politiqueLaureti, David January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Vérité, pouvoir, subjectivation : la formalisation d'un système chez Michel FoucaultGaron-Carrier, Julien 02 February 2024 (has links)
L’œuvre de Michel Foucault est vaste et éclectique. Il n'est donc pas surprenant que les spécialistes de divers horizons des sciences sociales l'utilisent à la pièce, en fonction du domaine dans lequel ils exercent. Pensons, par exemple, à l'utilisation du concept de pouvoir-savoir dans les études post-coloniales ou dans les études féministes. Une telle manière d'employer les concepts foucaldiens peut produire des résultats intéressants. Cependant, elle semble limitative à l'égard de l'ensemble de l'ouvrage de Michel Foucault. En effet, tel que le montre ce mémoire, il se dégage de l'œuvre de Foucault une tripartition thématique qui rassemble l’entièreté de sa théorie selon trois moments théoriques, soit un cycle sur le thème de la vérité, un cycle sur le thème du pouvoir et un cycle sur le thème de la subjectivation. Ces différents moments théoriques procèdent à chaque fois par un réinvestissement des concepts élaborés précédemment, à l’aune des implications du nouveau thème traité. La vérité requiert du pouvoir et vice-versa, la subjectivation fait appel tant à la vérité qu’au pouvoir et, à l’évidence, il n’y aurait ni vérité ni pouvoir sans sujet. Dès lors, nous affirmons que Michel Foucault a laissé derrière lui un système théorique rendant compte de l’expérience du monde tel qu’il se présente dans toute son historicité (du moins pour l’Occident), ainsi que des modalités de la connaissance telles qu’elles s’établissent normativement et encadrent de manière holistique les normes de la sociabilité.
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Pour une sociologie du pouvoir : essai de définition du phénomène du pouvoir et de sa caractérisation typologique à partir de l'ontologie de CastoriadisLépine, Patrice 19 April 2018 (has links)
L’essai à caractère théorique qu’on présente ici développe une définition générique du concept de pouvoir, une première typologie de ses modes d’effectuation et une seconde, de ses formes réalisées. Pour penser le pouvoir dans ce qu’il a de plus spécifique, nous avons construit la notion d’« un imaginaire social et historique » à partir de celle, plus diffuse, de « signification imaginaire sociale » proposée par Castoriadis. Ni une capacité institutionnelle et politique de la société globale, ni une simple relation asymétrique stabilisée, le pouvoir, qui existe dans toute société humaine, doit d’abord être compris comme un imaginaire incarné par un groupe « porteur », qui trouve un « support » dans la société dont il vise à infléchir la destinée, soit en élaborant un idéal à réaliser soit de façon plus pragmatique en contraignant l’effectivité de son devenir. Il suppose toujours la liberté des individus, il lui donne ainsi immanquablement des limites, mais son exercice n’inclue ni n’exclue nécessairement la violence, laquelle est seulement une de ses stratégie possibles. L’action, la norme, la volonté et l’identité, que ceux sur lesquels il s’exerce voient se transformer, permettent de penser les types de ses modes d’effectuation. Mais la typologie des formes générales du pouvoir s’établit plutôt selon le caractère immanent ou non du fondement des significations dont il est tissé, et selon la finalité, idéale ou pragmatique, que ces mêmes significations font apparaître. C’est ainsi que nous distinguons quatre types formels de pouvoir, la démocratie, la tyrannie, le pouvoir autoritaire transcendant, qui s’exerce dans les sociétés traditionnelles ou religieuses, et le pouvoir autoritaire immanent, qui correspond aussi bien aux totalitarismes qu’au type de pouvoir à l’œuvre dans plusieurs sociétés archaïques, dans l’empire ou les sociétés du monde contemporain soumises au pouvoir du capital. / This thesis is a theoretical essay on the question of power. There are two main perspectives in the traditional approach of power, the institutional perspective and the relational one. The definition we develop does not correspond to the two traditional perspectives, which neglect imaginary significations when defining power. Rooted in the philosophy of Castoriadis, our theory clearly distinguishes the concept of power from those of society and of politics. Instead of a capacity of the whole society or even a relation, we believe it must first be understood as the product of actors who are the embodiment of historically determined collective meanings. It is a social-historical imaginary embodied by a social group, which also receives broad support in society. This phenomenon exists in all societies, past, present or future. It supposes and aims for the freedom of individuals. Moreover, it does not include nor exclude violence, which is only a possible strategy, neither essential nor against its nature. The exercise of power involves four dimensions that are widely discussed in sociology and political science, namely the action, the norm, the will and the identity. Types stand at the crossroads of the foundation and the finality of the social-historical imaginary of each power. Thus we distinguish democracy, tyranny and two kinds of authority, transcendent authoritarian power, which takes place in traditional or religious societies, and immanent authoritarian power, which corresponds to totalitarianism as well as some archaic societies, empires and contemporary societies that are subject to the immanent authoritarian power of capital.
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La papauté et le pouvoir politique dans l'Italie de la Renaissance / Papacy and politic powers in the Renaissance ItalyFernandez, Meghann 21 December 2018 (has links)
Italie phare selon les mots de Jacques Le Goff, Italie proie durant les invasions étrangères ou simple « expression géographique » selon le prince de Metternich, l’Italie a depuis son premier souffle offert à l’histoire du monde de nombreux visages. A ce titre, elle fait figure de véritable étrangeté dans le paysage européen actuel. Une Italie politique et religieuse dans une Europe intensément laïque. Une toute jeune nation au milieu de patries millénaires. Un pays où, encore aujourd’hui, politique et religion marchent main dans la main. Où les consciences s’éveillent à la messe comme dans l’isoloir. Un pays où l’humain cherche désespérément à toucher du doigt le divin. Où le divin lui-même devient humain en la personne des successeurs de Saint-Pierre, pendants aussi appréciés que redoutés des dirigeants temporels italiques. Or, si l’Italie occupe une telle place pour notre humanité, c’est avant tout du fait de la dichotomie qui l’a toujours habitée. Âme guerrière et conquérante autant qu’émanation sanctifiée de la religion catholique, elle est la terre qu’humain et divin se sont disputés pendant des décennies. Et c’est à la Renaissance que ce combat atteint son apex. Car temporel et spirituel furent animés d’une même tension créatrice dans leur âpreté à « faire l’Italie » et leurs affrontements incessants allaient façonner l’essence même de l’Italie d’aujourd’hui, lui donnant ce caractère bicéphale qui est probablement l’un des aspects les plus constitutifs de l’identité italienne actuelle. Et lui confère une spécificité sans pareille en Europe / Italy lighthouse according to Jacques Goff’s words, Italy prey during the French and Spanish invasions ou simple « geographic expression » according to the prince of Metternich ; Italy has since her very first breath given the world history many visages. As such, Italy is a true strangeness in our modern European landscape, deeply proud of still exposing today the two side of her personnality. A politic and religious Italy in a very secular Europe. A very young nation among millenial homelands. A country transcended by its stormy story, by its intrinsic fragilities. A country where today, politic and religious are walking together. Where the minds awakes during the mass or in the voting booth. A country where human is begging for divine. Where divine himself becomes human in the sanctified person of St-Peters’s successors, equivalent as appreciated as feared of Italic secular leaders. And whose power exceeds the Vatican confines to radiate in the whole world, making Italy a real beacon illuminating the whole planet. Or, if Italy occupies such a place in our humanity, it is because of the dichotomy who always inhabited it. Warrior soul and hallowed emanation of catholicity, Italy is the place that human and divine have fought about during centuries. And this quarrel reaches its climax during the Renaissance era. Where temporal and spiritual power were also guided by a same creative strenght in their acerbity to do Italy et their ceaseless quarrels were going to shape the very soul of modern Italy, giving her this two-headed dimension which is likely the most constituent aspect of Italian identity. And gives this Nation an unparalleled specificity in Europe
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Sécurité publique, démocratisation et autonomie de l'état : leçons du SalvadorBeauregard, Raphaëlle January 2009 (has links) (PDF)
La criminalité qui prévaut au Salvador, et plus généralement l'insécurité, menace la stabilité de la région et constitue une préoccupation pour plusieurs acteurs tant nationaux, qu'internationaux. Même si les politiques de sécurité publique sont au rang des priorités pour le gouvernement salvadorien, elles sont élaborées et mises en application d'une telle façon qu'elles en demeurent impuissantes à réduire les taux de criminalité. Pour expliquer cette faillite de l'État à produire des politiques de sécurité publique qui soient efficaces, c'est-à-dire qui répondent, totalement ou en partie, aux objectifs pour lesquels elles furent élaborées, ce mémoire utilise notamment les concepts de démocratie délégative et d'autonomie de l'État. lci, l'analyse porte essentiellement sur la structure politique du pays, sur les caractéristiques du système politique, sur les relations entre le pouvoir législatif et exécutif, et entre ces derniers et la société salvadorienne. Les résultats de cette analyse convergent vers une explication du phénomène qui soit structurelle plutôt que conjoncturelle. Les stratégies de recherche utilisées sont la revue de la littérature, l'observation directe, la réalisation d'entretiens semi-directifs et une recherche documentaire menée au Salvador. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : El Salvador, Amérique latine, Démocratisation, Sécurité publique, Autonomie de l'État, Criminalité, Pouvoir législatif, Pouvoir exécutif.
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Parteiherrschaft in der Nationalen Volksarmee : zur Rolle der SED bei der inneren Entwicklung der DDR-Streitkräfte (1956 bis 1971) /Hagemann, Frank, January 2002 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Universität Potsdam, 2001. / Bibliogr. p. [245]-263. Index.
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Die SED und ihre Armee : die NVA zwischen Politisierung und Professionalismus 1956-1965 /Giese, Daniel. January 2002 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--Berlin--Humboldt-Universität, 2001. / Bibliogr. p. [271]-280. Index.
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Le pouvoir exécutif dans le constitutionnalisme des États d'Afrique /Fall, Ismaïla Madior. January 1900 (has links)
Thèse--Droit--Dakar--Université Cheikh Anta Diop, 2001. Titre de soutenance : La condition du pouvoir exécutif dans le nouveau constitutionnalisme africain : l'exemple des États d'Afrique subsaharienne francophone. / Bibliogr. p. 279-305.
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