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Militants de l’autrement : sociologie politique de l’engagement et des carrières militantes chez Les Verts et Europe écologie-Les Verts (EELV) / Activists of the alternative : political sociology of the commitment and of the militant careers of the green (Les Verts/EELV)

Jérome, Vanessa 11 July 2014 (has links)
Mêlant approche biographique et enquête ethnographique, et combinant les concepts d'habitus, d'institution et de carrière, nous avons analysé l'ensemble des logiques sociales, biographiques et partisanes qui structurent l'engagement et les carrières des militants verts. Retraçant leurs trajectoires sociales depuis la création du parti en 1984, nous avons découvert la présence prépondérante d'(ex)-catholiques et de plusieurs générations distinctes de soixante-huitards. En ascension sociale et souvent politisés très tôt, il partage les dispositions à l'ascèse et à l'empathie avec les minorités actives qui leur permettent de résister à la dureté du processus d'idéologisation et de socialisation partisane. Forts de la restructuration de leur habitus sur le monde "minoritaire", les militants s'envisagent comme une avant-garde politique et sociale, et entendent se distinguer dans l'espace des (prise de) positions politiques en incarnant un idéal de "politique autrement". Ils forment un collectif toujours renouvelé - mais numériquement constant - de militants intéressés à l'élaboration d'une offre politique autonome et à la compétition électorale. Acquérant ou reconvertissant quelques capitaux, ils entrent en politique, en faisant le plus souvent valoir quelque expertise sectorielle, et élaborent et mettent en œuvre les politiques publiques dont ils ont la charge. Mais rapidement cantonnés dans des "niches" politiques et institutionnelles malgré un apprentissage réussi du métier politique et une capacité à jouer stratégiquement de leurs différents rôles, ils ne parviennent généralement qu'à se maintenir dans le statut coûteux de (semi)professionnels de la politique. / Mixing biographic approach and ethnographical survey, and combining habitus, institution and career, we analysed all the social, biographic and partisan logics which ctructure the commitment and the careers of the green activists. Redrawing their social trajectories since the creation of the party in 1984, we discovered the dominating presence of (ex)-Catholics and of several different generations from participants in the student and workers' protest movement of May 1968. In upward social mobility and often politicized very early, they share capacities in the asceticism and in the empathy with the active minorities which allow them to resist the hardness of the processes of ideologization and the partisan socialization. Forts of the restructuring of their habitus on the "minority" mode, the activists envisage as a political and social avant-garde ans claim to distinguish themselves in the space of the grips of political positions by embodying and ideal of "politics otherwise". They form a collective always renewed - but numerically constant - interested in the elaboration of an autonomous political offer and in the electoral competition. Acquiring or reconverting some ressources, they enter politics, by asserting most of the time some sectorial expertise, and develop and elaborate then the policies they are responsible for. But quickly confined in political and institutional "niches" in spite of a successful learning of the political job and a capacity to strategically play their various roles, they succeed generally only in remaining in the expensive status of (semi) professionals of the politics.
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Profession : eurodéputé. <br />Les élus français au Parlement européen et l'institutionnalisation d'une nouvelle figure politique et élective (1979-2004)

Beauvallet, Willy 26 November 2007 (has links) (PDF)
Cette thèse appréhende les élus européens comme des acteurs insérés dans un espace politique multidimensionnel. Acteurs élus dans des contextes nationaux, les eurodéputés sont dans le temps insérés dans un univers européen, régulé par des logiques propres et pourvoyeur de nouvelles ressources politiques. L'objet de ce travail est de montrer comment se dessine progressivement dans ce cadre une nouvelle catégorie de spécialistes du travail politique et représentatif dont la compréhension est indissociable, non seulement de l'étude des processus d'institutionnalisation du Parlement européen lui-même mais aussi de l'Union européenne dans son ensemble. L'étude des eurodéputés français entre 1979 et 2004 montre que cette professionnalisation doit cependant moins à des évolutions juridiques ou à des choix idéologiques qu'à des processus sociaux et politiques marqués par la transformation de la place du mandat européen dans les carrières politiques et la transformation des usages qui en découlent. L'émergence de « carrières européennes » doit moins à une volonté ou une ambition préexistante des acteurs qu'au résultat, même inattendu, des logiques pratiques qu'ils sont conduits à adopter du fait de leur trajectoire dans le champ politique national d'un côté, de la spécificité des jeux qui se déroulent au niveau européen de l'autre. Si la sociohistoire du politique a depuis longtemps souligné que la professionnalisation des élus renvoyait, dans un cadre national, à un processus par lequel des acteurs vivant « pour » la politique en arrivent à vivre « de », il s'agit de montrer que c'est en quelque sorte un processus inverse qui se joue ici : des acteurs vivant « de » l'Europe en arrivent progressivement à vivre « pour » l'Europe, travaillant ainsi, sans même qu'ils en aient forcément la volonté, à son objectivation politique et sociale. Par ce biais, les acteurs participent à la construction d'un univers partiellement différencié (et néanmoins toujours clivé) de pratiques et de représentations du monde, du temps et de l'espace.
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« Les changements d'une organisation. Le Parti socialiste, entre configuration partisane et cartellisation (1971-2007) »

Barboni, Thierry 27 November 2008 (has links) (PDF)
En 1971, le Parti socialiste est refondé. L'objectif est alors de conquérir le pouvoir. En 2007, le PS perd des élections présidentielles devenues son objectif « naturel » : il est aujourd'hui un parti de gouvernement et dispose d'une implantation électorale sans précédent. Cette réussite électorale n'a pas été sans générer de profondes mutations du parti. Celui-ci a été structuré sur le modèle du parti de masse et ses membres le pensent intrinsèquement comme un parti de militants. Mais, tiraillés entre ce qu'est effectivement le PS et ce qu'il devrait être, ses dirigeants ont dû adapter l'organisation socialiste à son statut. Cette adaptation est étroitement liée aux rapports qu'entretiennent désormais les socialistes à l'Etat : il a fallu intégrer les contraintes du pouvoir et surtout ajuster le parti à la professionnalisation croissante de ses élites. Or, si la croissance du financement public dans son budget, la recomposition de son organisation centrale, ou bien encore le poids des élus sur le parti semblent corroborer cette idée, l'imbrication croissante du PS dans l'Etat, sa cartellisation donc, ne saurait s'effectuer mécaniquement. L'organisation du PS est avant tout l'objectivation de la configuration partisane socialiste, c'est-àdire le produit des interdépendances qui lient l'ensemble des membres du parti entre eux. L'accession au pouvoir et la réussite électorale ont profondément bouleversé cette configuration, heurtant ainsi directement la forme et les représentations de l'organisation socialiste. La cartellisation de l'organisation constitue donc la traduction contrariée et toujours inachevée dans sa forme des transformations qui affectent la configuration partisane socialiste. Autrement dit, s'il est dorénavant « normal » que le Parti socialiste prétende au pouvoir, cette évidence n'a été rendue possible qu'au prix de la cartellisation de son organisation, condition nécessaire au bon fonctionnement d'une configuration partisane lentement – et parfois douloureusement – adaptée aux exigences que le statut du parti requiert. Aussi, au terme de cette évolution, même si les représentations du PS comme « parti de militants » perdurent encore, celui-ci est désormais bel et bien, et avant tout, une véritable entreprise partisane.
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« La femme politique paradoxale ». Étude comparative sur la représentation des femmes dans les assemblées politiques en Guadeloupe et en Jamaïque depuis 1944. : Étude comparative sur la représentation des femmes dans les assemblées politiques en Guadeloupe et en Jamaïque depuis 1944 / “The Paradox of the Female Politician”A Comparative Study of Women’s Representation in Political Assemblies in Guadeloupe and Jamaica Since 1944. : A Comparative Study of Women’s Representation in Political Assemblies in Guadeloupe and Jamaica Since 1944

Brohan, Soizic 28 June 2019 (has links)
Les sociétés caribéennes de legs plantationnaire sont souvent associées à des sociétés « matrifocales » à tendance matriarcale où les femmes seraient détentrices d’un potentat féminin et les hommes dépossédés de leur autorité « naturelle ». Les femmes sont certes dotées d'une autorité féminine mais la « matrifocalité » ne nie pas des rapports de pouvoir inégaux entre les hommes et les femmes. Le champ politique en constitue un terrain d'expression privilégié. Le décalage paradoxal entre le pouvoir prêté aux femmes et leur position dans le système politique sert de point de départ à ce travail de thèse qui cherche à étudier les relations entre ordre social et représentation politique du point de vue du genre. Il analyse l'évolution de la représentation des femmes dans les assemblées politiques centrales en Guadeloupe (Conseil départemental et Conseil régional) et en Jamaïque (Chambre des représentants et Sénat) depuis 1944 au prisme des renégociations permanentes entre les contraintes structurelles des deux contextes politiques étudiés et les contraintes symboliques intériorisées par leurs acteur.rices.s porteur.se.s d'une histoire sociale particulière, ainsi que les modalités de professionnalisation politique des représentantes recouvrant une hétérogénéité de trajectoires personnelles, professionnelles et politiques. La méthode de recherche adoptée mobilise des sources archivistiques par le recueil de données de type statistique et monographique, donnant lieu à la réalisation d'une base de données sur les femmes siégeant dans les assemblées politiques et d'une typologie de leurs trajectoires, ainsi que la réalisation d’une série d'entretiens semi-directifs biographiques auprès de certaines d’entre elles afin d'approfondir l'analyse de leurs trajectoires. La perspective comparatiste entre la Guadeloupe et la Jamaïque souligne les spécificités de leurs systèmes de représentation politique en dépit de leurs similitudes socioculturelles. / The Caribbean plantation societies are often described as “matrifocal” or even matriarchal societies in which women hold a female power which deprives their male counterparts of their “natural” authority. Women indeed possess a female power but “matrifocality” does not prevent men from holding more power than women in some domains. The study of the political arena is insightful in this regard. This thesis considers the paradoxical gap between the power women are believed to have in society and their position within the political system, and studies the relationship between the Caribbean social order and its gendered political representation. It analyzes the evolution of women’s representation in the central political assemblies of Guadeloupe (Departmental Council and Regional Council) and Jamaica (House of Representatives and Senate) since 1944, drawing on the permanent evolutions between the structural constraints of the two studied political systems and the symbolic constraints interiorized by the parliamentarians that carry a specific social history; as well as their diversified pathways to political professionalization, echoing their different personal, professional and political trajectories. The research method uses archival data, through the collection of statistical and monographic data which enabled the construction of a database of women seated in the political assemblies of Guadeloupe and Jamaica, as well as interviews conducted with some of them in order to deepen the analysis of their trajectories. The comparative study between Guadeloupe and Jamaica highlights the specificities of their political representation systems despite their similar sociocultural history.
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Le parti des travailleurs brésilien : de son émergence à la conquête du Planalto (1979 - 2002) / The Brazilian Workers’ Party (PT) : from its emergence to the conquest of the Planalto Palace (1979-2002)

Degrave, Philippe 16 December 2016 (has links)
Le Parti des Travailleurs brésilien constitue une expérience marquante de construction d’un parti de gauche et de masse. Quand il nait en 1980, beaucoup se posent la question de sa nature. En 2002, quand Lula devient président du Brésil, cette question ne mérite sans doute plus la même réponse. Le PT s’est bureaucratisé, institutionnalisé et professionnalisé. Il a connu une sorte de social-démocratisation accélérée. L’étude part des spécificités du mouvement ouvrier, du syndicalisme et de la dictature (1964-1985) au Brésil. Le PT nait en 1979-80, de grandes luttes sociales, autour des syndicalistes « authentiques » (dont Lula) ; de la gauche catholique ; de militants d’extrême gauche; de l’intelligentsia de gauche ; des élus « progressistes ». Dès ses débuts, le parti s’implante dans la classe ouvrière industrielle, le secteur tertiaire (banques en particulier), les quartiers populaires, et une partie des campagnes. Le PT des années 1980 est militant, dans l’opposition sociale et politique. Après l’élection présidentielle de 1989, ratée de peu par Lula, le PT change : l’opposition parlementaire remplace la rupture; des dirigeants professionnels laissent moins de place à la base militante ; l’antilibéralisme se substitue à l’anticapitalisme; les alliances s’étendent toujours plus au centre. Jusqu’à 2001, le PT reste opposé aux politiques néolibérales. Mais le grand tournant aura lieu avec la campagne présidentielle de 2002. Le programme du parti connait une « dé-radicalisation » progressive, étudiée à travers cinq aspects significatifs du socialisme pétiste. L’étude des contenus et des styles de 4 campagnes présidentielles, de 1989 à 2002, complète ces conclusions. / The Brazilian Workers’ Party (PT) is an outstanding experience of a left-wing mass party. When it was born in 1980, many people wondered about its nature. In 2002, when Lula became the President of Brazil, this question did not deserve the same answer. The PT became bureaucratic, institutional and professional, experiencing a sort of accelerated Social-Democratization. As its starting point, this study takes the specificities of labour movement, trade unionism and the dictatorship (1964-1985) in Brazil. The PT originated in 1979-80 from mass social struggles around “authentic” trade unionists (such as Lula), left-wing Catholics, far-left activists, the left-wing intelligentsia and some “progressive” elected representatives. From the outset, the party established itself among the industrial working class, the tertiary sector (particularly the banking sector); in working-class neighbourhoods and some rural areas. The PT in the 1980s was militant, in the social and political opposition. After the 1989 presidential election narrowly missed by Lula, the PT changed: parliamentary opposition replaced the project of a clear social and political break; professional politicians left less room to the rank and file; opposing neo-liberalism took the place of anti-capitalism; its alliances increasingly broadened towards the centre. Until 2001, the PT opposed neoliberal policies. Yet the major turning point was to come with the 2002 presidential campaign. The party programme went through a gradual de-radicalization studied through 5 significant aspects of the Petista socialism. The study of contents and styles of 4 presidential campaigns from 1989 to 2002 completes these conclusions

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