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Projets, développement territorial et pérennisation des actions : le cas du Niger et de la lutte contre la pauvreté / Projects, territorial development and perpetuation of Actions : case of Niger and the fight against poverty

Abdoulkarimou, Saïdou 08 December 2010 (has links)
Depuis plus de 40 ans, des Projets ont été conçus et mis en œuvre au Niger pour assurer le développement socio-économique mais force et de constater que les résultats atteints n’ont pas été à la hauteur des espoirs. Quinze années durant, le doctorant a travaillé au sein de Projets et programmes en qualité d'agent de développement. Le doctorant voulait à travers cette thèse comprendre les raisons de la prédominance et des limites de l’approche projet/programme à pérenniser les actions qu’ils initient et à avoir des impacts durables sur la pauvreté. A partir de l’analyse de la littérature et des expériences de projet auquel il a participé, il a exploré le concept de pauvreté en l’appliquant au Niger et a caractérisé la notion de projet et programme. Il a illustré ses propos à travers l’analyse de l’évolution sur quarante ans du village de M’Bida, en terme de pauvreté. La recherche engagée a permis d’aboutir à un certain nombre de résultats. Au Niger, la pauvreté est un phénomène dynamique, complexe, multidimensionnelle avec interactions entre facteurs. Toutefois, c’est la dimension socio-culturelle qui est déterminante dans la lutte contre la pauvreté. Les projets constituent un univers d’acteurs et de pratiques sociales. Les agents des projets et programmes manquent d’outils pour intégrer dans leurs modes d’intervention les stratégies des individus et groupes sociaux, localement dominants d’une part et extrêmement vulnérables d’autre part. Le manque d’évaluation post-projet ne permet pas d’appréhender les impacts durables, et de capitaliser les « bonnes pratiques ». Face à ces différentes contraintes, le doctorant propose la généralisation de l’approche territoriale pour contribuer à lever les blocages des approches projets et programmes. / Since more than forty years, projects have been elaborated and implemented in Niger to insure the socioeconomical development. But unfortunately the expected results have not been satisfactory.For fifteen years, the doctorand has been working with programs and projects as an agent of development. Through this Thesis, he wanted to understand the reasons of the predominance and limits of the program|project approach to perpetuate actions that they initiated so as to have sustainable impacts on poverty. Through an analysis of literature and experiences of the projects in which he participated, he explored the concept of poverty by applying it in Niger and has characterized the concept of program and project. He has justified his words through the analysis of the evolution of the village of M’BIDA within a period of forty years as regards to poverty. The research that has been implemented helped in achieving some results. In Niger, poverty is a multidimensional, complicated and dynamic phenomenon with interactions among factors. However, the socio-cultural dimension is a determining factor in the fight against poverty Projects constitute a world of actors and social practices. Projects and programs agents do not have means to integrate in their methods of intervention strategies of population and social groups that are locally important on one hand and those of extremely vulnerable population on the other hand. The lack of post project evaluation does not help in evaluating the sustainable impacts and to capitalize the good practices. Considering the various contrasts the doctorand suggests the generalization of the territorial approach to contribute in solving difficulties related to the approaches of projects and programs.
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Banque mondiale et droit au développement des pays d'Afrique subsaharienne : l'impact des programmes mis en oeuvre au Bénin, au Cameroun et au Togo / World Bank and Right to development : the impact of programs implements in Benin, Cameroon and Togo

Ntolo Bekoa, Martine Nadège 11 December 2014 (has links)
La pauvreté est un phénomène qui touche tous les continents et plus particulièrement l’Afrique. Elle affecte surtout les populations des pays sous développés. Malgré la lutte de ces derniers au lendemain de la seconde guerre mondiale en faveur de l’établissement d’un nouvel ordre économique international qui assurerait leur droit au développement, force est de constater que la question de la lutte contre la pauvreté est encore d’actualité. La Banque mondiale est l’un des acteurs centraux qui accompagnent les pays africains, entre autres, à réaliser leur développement socio-économique à travers la mise en œuvre de projets et programmes de développement. Cependant, la reconnaissance du droit au développement et de ses principes par la Banque mondiale ne s’est pas opérée sans réticence au début. C’est seulement à partir des années 1990 et plus encore au début des années 2000 avec les Objectifs du Millénaire pour le Développement, que l’institution a changé sa vision du développement, élargi ses objectifs, adopté de nouvelles politiques et posé de nouvelles conditionnalités d’octroi de son financement respectueux des principes ou exigences de la Déclaration du droit au développement. Ce changement traduit l’échec des politiques appliquées par la Banque Mondiale en Afrique subsaharienne avant les années 1990. Quels étaient ces politiques ? L’évolution institutionnelle, idéologique de l’institution et ses nouvelles conditionnalités contribuent-elles à assurer un impact plus positif des projets ou programmes de développement en Afrique en général, et plus particulièrement au Bénin, au Cameroun et au Togo ? La décentralisation des compétences et attributions de l’Etat dans la plupart des pays d’Afrique subsaharienne en faveur des collectivités locales constitue-t-elle un cadre plus favorable à la réalisation du droit au développement ? / The poverty is a phenomenon which touches all the continents and more particularly Africa. It affects especially the populations of countries under developed. In spite of the fight of these last ones after the second world war in favour of the establishment of a new international economic order which would ensure their right for the development, the forces is to notice that the question of the fight against the poverty is still of current events. The World Bank is one of the central actors who accompany the African countries, among others, to realize their socioeconomic development through the application of projects and programs of development. However, the recognition of the right for the development and of its principles by the World Bank did not take place without hesitation at the beginning. It is only from 1990s and more still at the beginning of 2000s with the Objectives of the Millennium for the Development, that the institution changed its vision of the development, widens its objectives, adopts new policies and poses of news conditions of granting of its respectful financing of the principles or the requirements of the Declaration of the right for the development.This change translates the failure of the policies applied by the World Bank in sub-Saharan Africa before 1990s. What were these policies? The institutional, ideological evolution of the institution and does its new conditionality contribute to ensure a more positive impact of the projects or the development programs in Africa generally, and more particularly in Benin, in Cameroon and in Togo? Does the decentralization of the skills and the attributions of the State, in most of the countries of sub-Saharan Africa in favour of local authorities, constitute a limit more favorable to the realization of the law for the development?

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