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Les arts martiaux Shaolin en spectacles vivants : dans Sutra, Chun Yi - The Legend of Kung Fu et Shaolin Warriors - The Legend Continues

Gagné, Sylvain 04 January 2022 (has links)
Cette thèse propose une étude du langage des arts martiaux Shaolin (Shàolín 少林) en spectacles vivants dans trois œuvres des arts de la scène. Deux spectacles sont d'origine chinoise, et se situent sous un paradigme ouvert, dit de spectacles populaires ou grand public, à savoir Chun Yi: The Legend of Kung Fu et Shaolin Warriors: The Legend Continues. Le second paradigme est plus fermé, puisque Sutra est un spectacle de danse contemporaine dont la valeur artistique est reconnue. Sutra a été créé par une équipe sinoeuropéenne, dans la chorégraphie de Sidi Larbi Cherkaoui avec des moines du temple Shaolin (Shàolín Sì 少林寺). Nous avons utilisé la théorie de l'anthroposémiotique (Jacques Fontanille et Nicolas Couégnas, 2018) et des méthodes hybrides d'investigation relevant de l'Observation-Analyse du mouvement (OAM de Nicole Harbonnier, 2014), de la sémiotique de la martialité (Mahamadou Lamine Ouédraogo, 2018), des sciences de la culture (Joseph Melançon, 2002) et du Soft Power (Joseph Nye, 1990). Les deux grilles d'analyse que nous avons construites en fonction des différents apports théoriques et méthodologiques, nous ont permis de mettre au jour la structure d'un récit canonique et les moyens de la mise en scène des arts martiaux Shaolin, les usages politiques de ces spectacles et, finalement, les fonctions de la puissance culturelle douce chinoise (PCDC) telle que manifestée dans les trois spectacles du corpus. Les codes culturels de la Chine et de l'Occident se retrouvent en situation de dialogisme interculturel, soit dans la structure même des spectacles ou dans les usages qui en sont faits. Cette fonction dialogique du Kung Fu Shaolin (Shàolín gōngfu 少林功夫 ) dans les arts de la scène s'est manifestée à plusieurs niveaux de lecture et d'analyse des spectacles. Entre autres, nous avons établi que la puissance culturelle douce chinoise participe d'une stratégie de mise en valeur de la culture traditionnelle chinoise via la représentation des valeurs de la culture socialiste avancée, par la culture d'harmonie, par le « rêve chinois », par le « consensus de Pékin » et, finalement, par le socialisme avec des caractéristiques chinoises. La Chine ne valorise pas uniquement les outils traditionnels de la culture Shaolin (Shàolín 少林), elle favorise aussi les innovations culturelles par les coopérations internationales, notamment avec l'Europe. Le spectacle Sutra du corpus en fait foi. Les codes culturels Shaolin (Shàolín 少林) y sont modifiés, restructurés, éclatés dans une explosion (Juri Lotman) de nouveauté et d'ouverture vers l'Autre. Cette conscience dialogique de l'ipséité et de l'altérité dans un produit culturel transgénique fait preuve d'une ouverture commune vers l'Autre et d'une collaboration constructive dans un échange égalitaire. La valeur de prestige mise en place dans les produits culturels chinois rend compte de phénomènes reliés au continu de la tradition ou bien au discontinu de l'explosion d'une nouveauté. Notre regard de spectateur et d'analyste nous a permis de saisir l'ampleur du phénomène de la puissance culturelle douce chinoise dans un discours politique officiel émanant du président Xi, Jinping ou de la politique culturelle chinoise mise en place par Xi, Chinese Culture Going Global, visant à combler le déficit de la soft power chinoise. Ces discours prônent la culture socialiste aux caractéristiques chinoises tant à l'intérieur de la sémiosphère de la Chine qu'à l'extérieur du pays sur la scène internationale, soulignant ainsi son désir d'affirmation de son statut de superpuissance à l'échelle planétaire. L'initiative de la Ceinture et de la Route de la soie et des projets associés contribuent à l'affirmation nationale et au discours de propagande dissimulé dans la structure et les usages des divers produits culturels chinois ou en co-productions avec des artisans de l'Occident. / This thesis proposes a study of the language of Shaolin (Shàolín 少林) martial arts in live performances in three works of the performing arts. Two shows are of Chinese origin and fall under an open paradigm known as popular or mainstream shows, namely Chun Yi: The Legend of Kung Fu and Shaolin Warriors: The Legend Continues. The second paradigm is more closed, since Sutra is a contemporary dance show whose artistic value is recognized. Sutra was created by a Sino-European team, in the choreography of Sidi Larbi Cherkaoui with monks from the Shaolin temple (Shàolín Sì 少林寺). We used the anthroposemiotic theory (Jacques Fontanille and Nicolas Couégnas, 2018) and hybrid methods of investigation relating to the Observation-Analysis of movement (OAM by Nicole Harbonnier, 2014), the semiotics of martiality (Mahamadou Lamine Ouédraogo, 2018), cultural sciences (Joseph Melançon, 2002) and Soft Power (Joseph Nye, 1990). The two analysis grids that we have built according to the different theoretical and methodological contributions, have enabled us to bring to light the structure of a canonical narrative and the means of staging Shaolin (Shàolín 少林) martial arts, aesthetic uses, performance policies and, ultimately, the functions of Chinese Soft Cultural Power (CSCP) as manifested in the three shows in the corpus. The cultural codes of China and the West are therefore found in intercultural dialogism, either in the very structure of performances or in the uses made of them. This dialogical function of Shaolin Kung Fu (Shàolín gōngfu 少林功夫) in the performing arts has been shown to be at several levels of performance reading and analysis. Among other things, we have established that the Chinese soft cultural power participates in a strategy of enhancing traditional Chinese culture through the representation of the values of advanced socialist culture, through the culture of harmony, through the "Chinese dream", by the "Beijing consensus" and, finally, by socialism with Chinese characteristics. China not only values the traditional tools of Shaolin (Shàolín 少林) culture, it also promotes cultural innovations through international cooperation, especially with Europe. The show Sutra of the corpus proves this. Shaolin (Shàolín 少林) cultural codes are modified, restructured, shattered in an explosion (Juri Lotman) of novelty and openness to the Other. This dialogical awareness of ipseity and otherness in a transgenic cultural product demonstrates a common openness to the Other and a constructive collaboration in an egalitarian exchange. The prestige value put in place in Chinese cultural products accounts for phenomena linked to the continuation of tradition or to the discontinuity of the explosion of a novelty. Our gaze as spectator and analyst has allowed us to grasp the extent of the phenomenon of Chinese soft cultural power in an official political discourse emanating from the president Xi, Jinping or from Chinese cultural policy implemented under Xi, as Chinese Culture Going Global, aiming to fill the deficit of Chinese soft power. Those discourses advocate socialist culture with Chinese characteristics both inside the Chinese semiosphere and outside the country on the international stage, thus affirming its desire to assert its status as a superpower. The Belt and Road Initiative and associated projects contribute to national affirmation and the propaganda discourse hidden in the structure and uses of various Chinese cultural products or in co-productions with artisans from the West.
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Influence of Chinese management soft power on African skills development

Abodohoui, Alexis 25 September 2019 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’influence du soft power managérial chinois sur les africains. La question fondamentale de recherche est : comment les africains ayant étudié en Chine ont-ils été influencés par le soft power chinois? Ont-ils développé des capacités managériales à l’instar des managers ou des entrepreneurs chinois? Afin de répondre à la question de recherche, le premier article offre une perspective synthétique des travaux réalisés sur la Chine-Afrique entre 2014-2015. Dans cette revue de littérature, les investissements chinois en Afrique, les acteurs, les motivations, le mode d'entrée, les impacts et les défis de gestion, ont été analysés à la lumière des théories en management international. Cette revue offre de nouvelles perspectives pour explorer les investissements chinois dans les pays africains et contribue à l'ensemble des connaissances sur les relations sino-africaines. Dans le second article, en raison de l’intégration croissante des deux régions, une comparaison des pratiques managériales entre la Chine et les pays africains a été faite. Le but de cet article est de faciliter cette compréhension par une analyse analytique de la littérature. D'après notre analyse, certaines similitudes et divergences liées principalement aux fondations de la gestion, aux styles managériaux, au réseautage et à l'entrepreneuriat ont été identifiées. En raison de la croissance des Africains en Chine, il devient de plus en plus opportun et pertinent d’étudier comment ils sont influencés par les valeurs culturelles chinoises. Ce troisième article analyse, à travers la théorie de l'acculturation, l'influence de la culture chinoise sur les pratiques managériales des Africains formés en Chine. Divers documents suggèrent que l'adaptation peut conduire à la performance et à la créativité. Nous étendons ceci pour inclure le réseau en tant que variable modératrice. À partir d’une enquête auprès de 378 managers africains, nous avons constaté que les adaptations socioculturelles, psychologiques et académiques influençaient de manière positive les compétences entrepreneuriales des Africains. En termes d’effets modérateurs, on considère que le réseau active ou renforce l’effet direct de l’adaptation sur le développement des compétences en entrepreneuriat. Quant au dernier article, il permet d’identifier les capacités managériales et entrepreneuriales développées par les africains lors de leur séjour en Chine. À partir d’une approche méthodologique interprétative basée sur la théorie du Soft Power, les thèmes qui émergent du répertoire cognitif des managers africains et qui reflètent les capacités développées sont entre autres le développement du réseau, la prise de risque, l'optimisme et le pragmatisme. Les résultats de cette étude fournissent de nouvelles perspectives pour l'exploration du soft power chinois en Afrique. Ils montrent que la Chine n'influence pas seulement à travers les aides, les investissements, le modèle économique, etc., mais qu'elle inspire aussi de nombreux pays en raison de ses idées de gestion connues sous le nom de gestion chinoise Soft Power. Mots-clés : pratiques managériales ; soft power ; management africain ; management chinois ; transfert de connaissances ; entrepreneuriat, renforcement de capacités ; adaptation culturelle ; investissements. / This thesis focuses on the Influence of Chinese management soft power on African skills development. The fundamental research question is: how were Africans who studied in China influenced by Chinese soft power? Have they developed managerial skills like Chinese managers or entrepreneurs? To answer these questions, the first article offers a synthetic perspective of the works done on China-Africa between 2014-2015. Based on this literature review, Chinese investments in Africa, the actors, and motivations, mode of entry, impacts and management challenges were analyzed in the light of theories in international management. This review offers new perspectives for exploring Chinese investments in African countries and contributes to the body of knowledge on Sino-African relations. In the second article, due to the growing integration of the two regions, a comparison of managerial practices between China and African countries was made. The purpose of this article is to facilitate this understanding through a critical analysis of the literature. Based on our analysis, some similarities and divergences related mainly to management foundations, managerial styles, networking and entrepreneurship were identified. The third article analyzes, through acculturation theory, the influence of Chinese culture on the managerial practices of Africans trained in China. Based on multiple linear regression, this article analyzes not only the effect of acculturation on the development of entrepreneurial capacities but also the moderating role of networking on the different on acculturation. As for the last article, it makes it possible to identify the managerial and entrepreneurial capacities developed by Africans during their stay in China. Using an interpretive methodological approach and based on the Soft Power theory, the themes that emerge from the cognitive repertoire of African managers and that reflect the capacities developed are: network development, risk-taking, optimism and pragmatism. The results of this study provide new perspectives for the exploration of Chinese soft power in Africa. They show that China does not only influence through aids, investments, economic model, etc. but it also inspires many countries due to its management ideas known as Chinese Management Soft Power. Keywords: managerial practices; soft power; African management; Chinese management; knowledge transfer; entrepreneurship, capacity building, cultural adaptation; investments.
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L'influence et représentations de la France au Venezuela : les enjeux autour des relations politiques et culturelles de 1870 à nos jours / France Influence and representation in Venezuela from 1870’s up to present times : the key issues around the political and cultural relations

Uzcategui Moncada, Maria 23 September 2015 (has links)
À la différence d’autres régions du tiers monde où l’influence de la France a été déterminante et ininterrompue (Moyen-Orient, Maghreb, les anciennes colonies françaises en Afrique centrale ou encore d'autres pays de l’Amérique latine), au Venezuela, il n’y a eu de véritable politique étrangère de coopération culturelle qu’à la fin des années 1950. L'avènement du boom pétrolier pendant l'entre deux guerres a fait décliner l'influence française. À la fin de la Seconde guerre, les diplomates français prennent conscience du potentiel énergétique du Venezuela, observant qu’il est possible de remédier la perte de l’influence économique en encourageant une véritable coopération culturelle. Cette coopération culturelle va utiliser les réseaux politiques intégrés par des élites francophiles, lesquelles revendiquent une histoire commune à la France et au Venezuela. L'étude sur la longue durée permet d'observer les permanences de l'histoire politique vénézuélienne, dans lesquelles s'insèrent les éléments qui ont servi à la construction du sentiment national vénézuélien et les influences des idées françaises sur le projet de modernisation de l’État. Notre étude soulève des questions telles que l'émigration, les échanges et les relations commerciales. Nous nous sommes particulièrement intéressés à l’étude des correspondances diplomatiques car la lecture minutieuse de celles-ci permet de soulever, en filigrane, bon nombre d’éléments liés aux représentations et à l’histoire politique des deux pays. De même, elle permet d’approcher ce que les élites considèrent comme identité et affinité culturelle. Nos sources se rapportent donc, pour la plupart aux correspondances diplomatiques conservées aux archives de La Courneuve et au Ministère des Relations Extérieures à Caracas. Nous les avons croisées avec d’autres sources documentaires, visuelles et littéraires ainsi qu’avec un certain nombre d’entretiens réalisés entre la fin de l’année 2010 et le début de 2011. Notre étude s’inspire des travaux de Pierre Renouvin et Jean Baptiste Duroselle en histoire des relations internationales, revisités par Robert Frank en 2011. Nous prenons en considération le poids des images, de la culture officielle et du rayonnement des modèles culturels, dans le but de tenter de mesurer « la puissance » des États (soft power). En ce sens, la valeur que les élites vénézuéliennes donnent au rayonnement culturel et scientifique français, au XIXe et au début du XXe siècle (1870-1935), permet d’expliquer en partie pourquoi la France a réussi à renforcer sa présence au Venezuela. En effet, le déclin de l'influence culturelle française, à une époque où les relations entre les deux pays s’étaient considérablement distendues (1936-1960), est concomitant à la perte de son influence économique et commerciale. Cette évolution a donné lieu à l'institutionnalisation progressive de la stratégie de la diplomatie culturelle (1961 à nos jours). Grâce à cette stratégie la France a récupérée le terrain qu'elle avait perdu devant la concurrence commerciale anglo-saxonne. Nous avons souhaité répondre à deux questions fondamentales : dans quelle mesure les élites vénézuéliennes, « influencées » par le modèle culturel français, ont réussi à opérer des appropriations/assimilations/adaptations de ce modèle au Venezuela ? Et, en contrepartie, dans quelle mesure la construction d’un « outil culturel » franco-vénézuélien a servi les intérêts de la politique étrangère française au Venezuela ? / Unlike other regions of the Third World, where the influence of France was decisive and uninterrupted (Middle East, Maghreb, former French colonies in Central Africa and other countries of Latin America), in Venezuela, there was only a real foreign cultural cooperation policy by the late 1950s. The advent of the oil boom during the interwar period caused the declining of French influence. By the end of the Second World War, French diplomats were aware of Venezuela’s energetic potential, remarking that it was possible to overcome the loss of economic influence by encouraging a genuine cultural cooperation.This cultural cooperation would use political networks joined by Francophile elites, who claimed a common history between France and Venezuela. The study on the long run allows observing the permanence of the Venezuelan political history, in which fits the elements used in the construction of the Venezuelan National sentiment and the influence of French ideas on the project of State modernization.Our study raises issues such as migration, trades and commercial relations. We are particularly interested in the study of diplomatic relationships, since a close up over these can highlight, watermark, many points related to their representations and the political history of both countries. Similarly, it allows approaching what the elite considered identity and cultural affinity. Our sources therefore relate mostly to diplomatic correspondence preserved in the files of La Courneuve and the Ministry of Foreign Affairs in Caracas. We cross checked with other documentaries, visual and literary sources as well as a certain number of interviews conducted by the end of 2010 and the beginning of 2011. Our study is based on the papers related to the history of international relations by Pierre Renouvin and Jean Baptiste Duroselle, revisited by Robert Frank in 2011. We take into consideration the contribution of images, official culture and the influence of cultural patterns, as an attempt to measure the "power" of States (soft power). On this matter, the value that the Venezuelan elites gave to the French cultural and scientific influence, in the XIX century and the beginning of XX (1870-1935), helps to explain to an extend the reason why France has managed to strengthen its presence in Venezuela. Indeed, the decline of the French cultural influence, at a time when relations between the two countries were considerably distended (1936-1960), is concomitant with the loss of its economic and commercial influence. This has resulted in the progressive institutionalization of the culturaldiplomacy strategy (from 1961 up to the present). Thanks to this strategy France has recovered part of the market share lost to the Anglo-Saxon competition.We wanted to answer two fundamental questions: To what extent the Venezuelan elites, "influenced" by the French cultural model, managed to operate appropriations / assimilation / adaptation of this model in Venezuela? And, in return, to what extent the construction of a "cultural tool" Franco-Venezuelan has served the interests of the French foreign policy in Venezuela?
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L'aide publique saoudienne au développement : instrument politique ou outil de promotion de développement ?

Barabba, Saleh 26 September 2012 (has links)
Notre recherche combine deux approches dans l’analyse de la politique étrangère saoudienne relative à l’octroi de l’aide au développement: i) une approche interne (analyse des politique générales : l’élaboration et la mise en œuvre des programmes d’aide publique au développement ; l’identification des principaux acteurs de l’APD et l’analyse des résultats de l’APD ? ii) et une approche internationale (en se basant sur la théorie des relations internationales, nous identifions les mécanismes qui sous-Tendent la politique d’aide saoudienne ainsi que le rôle du Fonds Saoudien de Développement dans l’efficacité et l’efficience de l’Aide Publique au Développement. Nous cherchons, tout au long de ce travail, à apporter des éléments de réponse quant à l’ambivalence qui plane sur le visé de l’APD saoudienne. Nous traitons la question des aides internationales et les programmes du développement présentés par le gouvernement saoudien. L’objectif de ce travail sera donc l’étude et l’analyse du rôle de l’APD saoudienne dans la lutte contre la pauvreté essentiellement dans les pays en développement. / Our research combines two approaches in the analysis of Saudi foreign policy on the granting of development assistance: i) an internal approach (general policy analysis: the development and implementation of assistance programs official development identifying the main actors of ODA and analysis of the results of ODA? ii) and an international approach (based on the theory of international relations, we identify the mechanisms that underlie Saudi aid policy and the role of the Saudi Development Fund in the efficiency and effectiveness of ODA. We seek, throughout this work, to provide some answers about the ambivalence that hovers over the target of ODA Saudi Arabia. We treat the issue of international aid and development programs presented by the Saudi government. objective of this work will be the study and analysis of the role of ODA Saudi in the fight against poverty mainly in developing countries.

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