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L'attitude des dirigeants est-allemands envers la perestroïka de 1985 à 1989

Vallières, Julie January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Berlin(s) à l'écran de 1961 à 1989. Essai de topographie cinématographie cinématographique : la représentation de Berlin divisé dans les cinémas est- et ouest-allemands / Berlin(s) on screen from 1961 to 1989. Essay on cinematic topography : the representation of divided Berlin in Eastern and Western German cinemas

Barbe, Diane 12 December 2016 (has links)
Berlin, de 1961 à 1989, est une ville divisée, partagée par un mur de béton séparant l'Est, capitale de la République démocratique allemande, de l'Ouest, îlot isolé de la République fédérale d'Allemagne. Front de la Guerre froide, les caméras s'en sont emparées. Filmer Berlin, ce n’était pas seulement montrer un territoire urbain précis et délimité, c'était porter à l’écran un espace régi par un contexte historique, social et politique extrêmement prégnant traduisant de fortes spécificités. Deux systèmes de représentation de l’espace urbain ont coexisté dès 1945 nourris d’éléments propres à chaque partie de la ville et de formes esthétiques spécifiques. À partir du 13 août 1961, date de la construction du Mur, la réalité de la division de la ville s'acte dans le béton. Le cinéma s'en est fait le témoin. Ces images, celles de Soi, celles de l’Autre peuvent être envisagées comme des produits de deux sociétés avec leurs symbolismes propres, leurs codes socioculturels et leurs histoires parallèles. Elles sont à ce titre révélatrices de la manière dont a été montré Berlin. Ces deux imageries participent à la construction d’une identité urbaine plurielle, tendant parfois à revêtir un caractère protéiforme dont il importe de questionner les aspects. C’est aux expressions filmées de cette altérité, de cet espace urbain singulier, que cette thèse d'études cinématographiques s'attache. Au carrefour de plusieurs observatoires disciplinaires et avec une démarche géo-centrée, elle propose un essai de topographie cinématographique. / From 1961 to 1989, Berlin is a divided city, split by a concrete wall separating the eastern part, capital city of the German Democratic Republic, from the western one, isolated island of the German Federal Republic. Frontline of the Cold War, the cameras captured it.Filming Berlin was not only depicting a precise and bound urban territory, it was bringing to the screen a space ruled by a very significant historical, social and political context conveying strong specificities. Two systems of representation of the urban space coexisted as soon as 1945, fueled by each side of town’s own elements and specific aesthetic forms. From August 13th 1961, the day the Wall was built, the reality of the division of the city is made concrete-solid. Cinema was made the witness of this reality. These pictures, of the Self, of the Other, can be considered as products of both societies, with their own symbolisms, their sociocultural codes and parallel histories. As such, they are indicative of the way Berlin has been shown.Both imageries take part in the construction of a plural urban identity, that sometimes tends towards a shape-shifting hallmark, whose aspects it seems important to question. This PhD in cinematic studies endeavours to describe, analyse and interpret the filmed expressions of this alterity, this singular urban space. At the crossroad of several disciplinary fields and in a geo-centered approach, it offers an essay on cinematic topography.
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Le Mur dans la tête, vingt ans plus tard : législation sur l'avortement et discours féministes

Héroux, Geneviève 08 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur l’avortement en Allemagne depuis les vingt dernières années. La première partie s’attardera d’une part, aux différentes lois en matière d’avortement des deux États allemands avant les événements de 1989 et d’autre part, à l’analyse du discours tenu par le mouvement féministe ouest-allemand et est-allemand face à l’avortement. La deuxième partie examinera le débat qui entoura l’avortement lors du processus de la Réunification. En effet, la loi sur l’avortement de la République démocratique allemande était beaucoup plus libérale que celle de la République fédérale d’Allemagne et la majorité des citoyens et politiciens d’ex-RDA refusèrent que la loi restrictive ouest-allemande soit tout simplement étendue à l’Allemagne réunifiée. Il s’ensuivit un débat qui devint rapidement une sorte de symbole du clivage présent entre les Allemands de l’Est et ceux de l’Ouest, mais aussi entre les féministes des nouveaux et des anciens Länder. C’est finalement en 1995 qu’une nouvelle loi fut votée par le Parlement, loi qui, encore aujourd’hui, régit l’avortement. Vingt ans après la chute du Mur, le débat sur l’avortement reprit sa place dans l’actualité avec un nouveau projet de loi visant à restreindre l’accès aux avortements pratiqués après la 12e semaine de grossesse. La troisième partie portera donc sur ce débat plus actuel et examinera si le clivage Est-Ouest face à l’avortement à l’époque de la Réunification, est toujours présent aujourd’hui en Allemagne, ce qui, selon les conclusions de ce mémoire, semble bien être le cas. / This MA thesis is about abortion in Germany over the past twenty years. The first part will focus on one hand on the different laws regarding abortion in the two German states before the events of 1989 and on the other hand on the analysis of the discourse held by West and East German feminist movements regarding abortion. The second part will examine the debate surrounding abortion during the Reunification process. Indeed, the abortion law of the German Democratic Republic was much more liberal than the one of the Federal Republic of Germany and the majority of citizens and politicians of the former GDR refused that the West German restrictive law was simply to be extended to the reunified Germany. A debate followed that quickly became a kind of symbol of the division that existed between East and West Germans but also between feminists from the new and old Länder. Finally, in 1995, a new law was passed by Parliament, legislation that still governs abortion today. Twenty years after the Berlin Wall fell, the debate about abortion rose up in the headlines again with a new bill aimed at restricting abortion access after the 12th week of pregnancy. The third part will therefore focus on this more topical debate and examine whether the East-West division regarding abortion at the time of the Reunification still exists today in Germany which, according to the findings of this MA thesis, seems to be quite the case. / Diese Magisterarbeit bezieht sich auf Abtreibung in Deutschland in den letzten zwanzig Jahren. Der erste Teil beschäftigt sich einerseits mit den unterschiedlichen Gesetzen der zwei deutschen Staaten bezüglich Abtreibung vor den Ereignissen von 1989 und andererseits mit der Analyse des jeweiligen feministischen Diskurses zu Abtreibung in Ost- und Westdeutschland. Der zweite Teil wird die Debatte über Abtreibung während des Wiedervereinigungsprozesses untersuchen. In der Deutschen Demokratischen Republik war das Abtreibungsgesetz liberaler als in der Bundesrepublik Deutschland und die Mehrheit der Bürger und Politiker der ehemaligen DDR lehnte es ab, das restriktive westdeutsche Gesetz auf das wiedervereinigte Deutschland einfach auszudehnen. Es folgte eine Debatte, die schnell eine Art Symbol der Spaltung wurde, nicht nur zwischen den Ost- und Westdeutschen, sondern auch zwischen den Feministinnen der neuen und alten Länder. 1995 verabschiedete schlieβlich das Parlament ein neues Gesetz, das bis heute die Abtreibung regelt. Zwanzig Jahre nach dem Mauerfall ist die Debatte über die Abtreibung durch einen Gesetzentwurf wieder entflammt, der die Verschärfung der Abtreibungsbestimmungen nach der 12. Schwangerschaftswoche vorsieht. Der dritte Teil der Magisterarbeit wird sich auf diese aktuelle Debatte beziehen und untersuchen, ob die Ost-West-Spaltung bezüglich der Abtreibung zur Zeit der Wiedervereinigung noch heute vorhanden ist. Nach den Schlussfolgerungen dieser Magisterarbeit scheint das der Fall zu sein.
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«Imagine, c’est le socialisme et personne ne s’en va» : l’intelligentsia littéraire est-allemande et la chute du mur de Berlin

Bellefeuille, Carol-Ann 03 1900 (has links)
En 1989, la Pologne, la Hongrie, la Tchécoslovaquie et la République démocratique allemande (RDA) furent secouées par des mouvements de protestations qui précipitèrent la dissolution de leur régime communiste. Il est souvent admis, dans l’historiographie comme dans la mémoire populaire, que les intellectuels, dont plusieurs écrivains, ont joué un rôle déterminant lors de ces bouleversements. Or, l’analyse de la révolution en Allemagne de l’Est et des prises de position de son intelligentsia littéraire démontre qu’une telle conclusion s’applique mal à cet État : les auteurs phares de la RDA, qui se sont pourtant présentés pendant et après la révolution comme des victimes et des opposants au régime, n’ont jamais partagé les revendications anticommunistes de leurs concitoyens et ont conservé un discours socialiste. Ce mémoire entend expliquer cette réaction particulière des écrivains les mieux établis de l’Allemagne de l’Est – soit Christa Wolf, Heiner Müller, Stefan Heym, Volker Braun et Christoph Hein. En étudiant leurs textes non fictifs et en analysant la relation qu’ils entretenaient avec le régime, la population et l’idéologie promue en RDA, nous démontrerons que ces auteurs avaient développé, avant l’ouverture du mur de Berlin, une stratégie d’action alliant loyauté socialiste et critique de l’autoritarisme, ce qui leur avait permis de cumuler un important capital social et culturel. À l’automne 1989 et lors du processus de réunification allemande, l’intelligentsia littéraire a en fait agi en fonction de cette même stratégie ; celle-ci, toutefois, n’était pas adaptée aux nouvelles conditions sociales. / In 1989, Poland, Hungary, Czechoslovakia and the German Democratic Republic (GDR) were shaken by protest movements that precipitated the dissolution of their communist regimes. It is often accepted in historiography as in the popular memory that intellectuals, amongst whom many writers, played a key role in these revolutionary changes. However, analysis of the revolution in East Germany and of its literary intelligentsia’s stance demonstrates that such a conclusion cannot apply to this state: the leading authors of the GDR, who presented themselves during and after the revolution as opponents and victims of the regime, never shared the anti-communist claims of the citizens, and maintained a socialist discourse. This master’s thesis intends to explain this particular reaction of the most influential East German writers – especially Christa Wolf, Heiner Müller, Stefan Heym, Volker Braun and Christoph Hein. By studying their non-fictional texts and analysing the relationship they had with the regime, the people and the ideology promoted in the GDR, we will demonstrate that these authors had developed, before the opening of the Berlin Wall, a strategy that combined a socialist loyalty and a critic of the authoritarianism, which allowed them to accumulate significant social and cultural capital. In the Fall of 1989 and during the process of German reunification, the literary intelligentsia acted accordingly to that same strategy which, however, was not adapted to the new social conditions.
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Le Parti social-démocrate allemand et la justice sociale dans les années 1980. Une identité social-démocrate à l'épreuve de l'unification (1989-1990) / The Social Democratic Party of Germany and the social justice in the 80's. A Social Democratic identity to the test of the unification (1989-1990)

Bouiller, Sophie 02 February 2018 (has links)
Cette thèse propose une analyse des notions de justice sociale et d'État-providence au prisme de la politique sociale du SPD dans les années 1980. À la fois parti d'opposition au Bundestag à Bonn et parti au pouvoir dans certains Länder en RFA, le SPD se trouvait dans une position ambiguë, propre au fédéralisme allemand. Afin de peser sur les réformes sociales initiées par le ministre du Travail Norbert Blüm (CDU) pour résoudre la crise de l'État-providence, les sociaux-démocrates adoptèrent une stratégie alternant opposition et coopération avec le gouvernement Kohl. Dans le même temps, ils engagèrent un travail de refondation programmatique en vue de reconquérir le pouvoir en 1990. Aux divisions générationnelles communément admises par la recherche se substitua une fracture entre une « aile sociale » adepte d'une politique traditionnelle et une « aile réformatrice » sensible aux valeurs post-matérialistes et « écosocialistes ». Du fait de son immédiateté, le processus d'unification de l'Allemagne (1989-1990) constitua un révélateur permettant de juger, à l'épreuve des faits, la validité des programmes et des discours sociaux-démocrates. Malgré les propositions concrètes de Rudolf Dreßler pour améliorer l'union sociale entre la RFA et la RDA, le SPD ne parvint ni à se faire entendre sur la question de l'unité allemande ni à imposer sa volonté de refonder l'État-providence. Les réserves d'Oskar Lafontaine sur l'emballement des coûts économiques et sociaux contribuèrent à entretenir la confusion concernant la position du SPD sur l'unité allemande. / This doctoral thesis analyses the concepts of social justice and the welfare state in light of the social policies of the Social Democratic Party of Germany (SPD) in the 1980s. Both in the opposition in the Bundestag in Bonn and in office in some West German Länders, the SPD found itself in an ambiguous position, peculiar to German federalism. The Social Democrats took on a strategy based alternatively on opposition and cooperation with Helmut Kohl’s government, in order to influence the welfare reforms introduced by the Labour Minister Norbert Blüm (Christian Democratic Union, CDU). The SPD simultaneously started to overhaul its political platform with a view to taking back power in 1990. The generational conflicts, which have been widely established by researchers, gave way to a new divide between a “social wing” advocating a traditional policy and a “reforming wing” drawn towards post-materialist and “eco-socialist” values. By virtue of its immediacy, the German unification process (1989-1990) proved to be a litmus test, which allowed the efficiency of the SDP’s agenda and rhetoric to be evaluated. In spite of Rudolf Dreßler’s concrete propositions to improve the social union between East and West Germany, the SDP failed both to share its views on German unification and to impose its determination to overhaul the welfare state. Oskar Lafontaine’s reservations about the economic and social costs spiralling out of control contributed to a blurring of the lines on the SDP’s position on German unification.This doctoral thesis analyses the concepts of social justice and the welfare state in light of the social policies of the Social Democratic Party of Germany (SPD) in the 1980s. Both in the opposition in the Bundestag in Bonn and in office in some West German Länders, the SPD found itself in an ambiguous position, peculiar to German federalism. The Social Democrats took on a strategy based alternatively on opposition and cooperation with Helmut Kohl’s government, in order to influence the welfare reforms introduced by the Labour Minister Norbert Blüm (Christian Democratic Union, CDU). The SPD simultaneously started to overhaul its political platform with a view to taking back power in 1990. The generational conflicts, which have been widely established by researchers, gave way to a new divide between a “social wing” advocating a traditional policy and a “reforming wing” drawn towards post-materialist and “eco-socialist” values. By virtue of its immediacy, the German unification process (1989-1990) proved to be a litmus test, which allowed the efficiency of the SDP’s agenda and rhetoric to be evaluated. In spite of Rudolf Dreßler’s concrete propositions to improve the social union between East and West Germany, the SDP failed both to share its views on German unification and to impose its determination to overhaul the welfare state. Oskar Lafontaine’s reservations about the economic and social costs spiralling out of control contributed to a blurring of the lines on the SDP’s position on German unification.
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Le Mur dans la tête, vingt ans plus tard : législation sur l'avortement et discours féministes

Héroux, Geneviève 08 1900 (has links)
Ce mémoire porte sur l’avortement en Allemagne depuis les vingt dernières années. La première partie s’attardera d’une part, aux différentes lois en matière d’avortement des deux États allemands avant les événements de 1989 et d’autre part, à l’analyse du discours tenu par le mouvement féministe ouest-allemand et est-allemand face à l’avortement. La deuxième partie examinera le débat qui entoura l’avortement lors du processus de la Réunification. En effet, la loi sur l’avortement de la République démocratique allemande était beaucoup plus libérale que celle de la République fédérale d’Allemagne et la majorité des citoyens et politiciens d’ex-RDA refusèrent que la loi restrictive ouest-allemande soit tout simplement étendue à l’Allemagne réunifiée. Il s’ensuivit un débat qui devint rapidement une sorte de symbole du clivage présent entre les Allemands de l’Est et ceux de l’Ouest, mais aussi entre les féministes des nouveaux et des anciens Länder. C’est finalement en 1995 qu’une nouvelle loi fut votée par le Parlement, loi qui, encore aujourd’hui, régit l’avortement. Vingt ans après la chute du Mur, le débat sur l’avortement reprit sa place dans l’actualité avec un nouveau projet de loi visant à restreindre l’accès aux avortements pratiqués après la 12e semaine de grossesse. La troisième partie portera donc sur ce débat plus actuel et examinera si le clivage Est-Ouest face à l’avortement à l’époque de la Réunification, est toujours présent aujourd’hui en Allemagne, ce qui, selon les conclusions de ce mémoire, semble bien être le cas. / This MA thesis is about abortion in Germany over the past twenty years. The first part will focus on one hand on the different laws regarding abortion in the two German states before the events of 1989 and on the other hand on the analysis of the discourse held by West and East German feminist movements regarding abortion. The second part will examine the debate surrounding abortion during the Reunification process. Indeed, the abortion law of the German Democratic Republic was much more liberal than the one of the Federal Republic of Germany and the majority of citizens and politicians of the former GDR refused that the West German restrictive law was simply to be extended to the reunified Germany. A debate followed that quickly became a kind of symbol of the division that existed between East and West Germans but also between feminists from the new and old Länder. Finally, in 1995, a new law was passed by Parliament, legislation that still governs abortion today. Twenty years after the Berlin Wall fell, the debate about abortion rose up in the headlines again with a new bill aimed at restricting abortion access after the 12th week of pregnancy. The third part will therefore focus on this more topical debate and examine whether the East-West division regarding abortion at the time of the Reunification still exists today in Germany which, according to the findings of this MA thesis, seems to be quite the case. / Diese Magisterarbeit bezieht sich auf Abtreibung in Deutschland in den letzten zwanzig Jahren. Der erste Teil beschäftigt sich einerseits mit den unterschiedlichen Gesetzen der zwei deutschen Staaten bezüglich Abtreibung vor den Ereignissen von 1989 und andererseits mit der Analyse des jeweiligen feministischen Diskurses zu Abtreibung in Ost- und Westdeutschland. Der zweite Teil wird die Debatte über Abtreibung während des Wiedervereinigungsprozesses untersuchen. In der Deutschen Demokratischen Republik war das Abtreibungsgesetz liberaler als in der Bundesrepublik Deutschland und die Mehrheit der Bürger und Politiker der ehemaligen DDR lehnte es ab, das restriktive westdeutsche Gesetz auf das wiedervereinigte Deutschland einfach auszudehnen. Es folgte eine Debatte, die schnell eine Art Symbol der Spaltung wurde, nicht nur zwischen den Ost- und Westdeutschen, sondern auch zwischen den Feministinnen der neuen und alten Länder. 1995 verabschiedete schlieβlich das Parlament ein neues Gesetz, das bis heute die Abtreibung regelt. Zwanzig Jahre nach dem Mauerfall ist die Debatte über die Abtreibung durch einen Gesetzentwurf wieder entflammt, der die Verschärfung der Abtreibungsbestimmungen nach der 12. Schwangerschaftswoche vorsieht. Der dritte Teil der Magisterarbeit wird sich auf diese aktuelle Debatte beziehen und untersuchen, ob die Ost-West-Spaltung bezüglich der Abtreibung zur Zeit der Wiedervereinigung noch heute vorhanden ist. Nach den Schlussfolgerungen dieser Magisterarbeit scheint das der Fall zu sein.
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«Avec salutations socialistes» : lettres de plaintes et relations socio-étatiques en République démocratique allemande, 1953-1967

Auclair, Nadine 08 1900 (has links)
Ce mémoire de maîtrise consiste en une analyse des dynamiques relationnelles entre l'État de la République démocratique allemande et ses citoyen·ne·s à travers un échantillon de lettres de plaintes envoyées entre 1953 et 1967 concernant les problèmes liés au logement. Les plaignant·e·s ont adopté des « valeurs socialistes » tout au long de leurs discours pour justifier la légitimité de leurs demandes et ils ont utilisé les mots et les principes mêmes de l'État pour exiger des actions. Ce mémoire met en lumière non seulement ces différentes stratégies en utilisant une approche « par le bas », mais examine aussi examine également la réaction de l'État. On remarque notamment que les réponses envoyées par l’État aux plaignant·e·s étaient en général plus positives dans les années 1960 et 1950, ce qui montre d’une part une évolution dans le rapport entre l’État et la société, mais aussi d’autre part un certain changement quant à l’application même des principes socialistes. On remarque en outre que, dans les années 1960, le gouvernement de l’Est a davantage pris soin d'adapter la gestion de ses politiques intérieures aux besoins de la population. L'analyse de ces lettres se situe à la croisée de deux méthodes ; tout d'abord, une analyse discursive a permis de saisir les stratégies d'écriture récurrentes par lesquelles la population a tenté d’influencer l’État. Puis, une analyse statistique des réponses de l’État croisée à l’évolution des politiques intérieures a permis de saisir les changements d’attitude du gouvernement envers sa population. / This master’s thesis analyzes the dynamics between the German Democratic Republic and its citizens through complaint letters that East Germans sent to the State between 1953 and 1967 regarding housing problems. It argues that the complainants adopted “socialist values” throughout their discourses as a way of justifying the legitimacy of their complaints. In other words, they used the discourse and principles of the state against it in order to demand action and a resolution to their problems or concerns. This thesis not only highlight these various strategies, utilizing a “history from below” approach, but it also investigates the state’s reaction to the complaints of its citizens. It argues that the state responded overall better in the 1960s as it did in the 1950s, showing evolution in the relationship between state and society as well as a shift in the state’s way to understand socialism. By the 1960s the East German government had had time to slowly adapt its domestic politics towards the population’s needs. The analysis of these letters is at the crossroads of two methods: First I employ a discursive analysis that allows me to identify the recurring strategies by which the state and its citizens sought to influence each other. Second, I use a statistical analysis of the State’s responses coupled with an examination of domestic politics that allows me to capture the changing attitude of the government towards its population.

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