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LOGIQUE PROCÉDURALE ET DISPOSITIFS DE MESURE Ethnographie d'une ONG de conservation et développement au PérouMerveille, Nicolas 20 January 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse invite, au travers de six chapitres, à se familiariser avec les situations de travail de praticiens d'une organisation non gouvernementale qui se sont fixés comme objectif de protéger les écosystèmes de montagne les plus représentatifs du globe ainsi que valoriser les modes de vie des populations qui y vivent. En retraçant des trajectoires de vie d'un collectif renommé l'Institution Internationale des Sommets, de Huaraz au Pérou à Franklin en Virginie Occidentale, cette ethnographie tente d'éclairer les modalités d'organisation et d'intervention d'un collectif d'une ONG américaine qui interagit avec d'autres collectifs qui administrent et exploitent les ressources renouvelables et non renouvelables d'un territoire qualifié, par l'Etat péruvien et l'UNESCO, de Réserve de Biosphère Huascaran en région Ancash au Pérou. Il s'agit ici de décrire la routine organisationnelle et évaluer les impacts produits par les interventions mises en oeuvre. Mais aussi, à travers la sociologie des agents qui composent le collectif de l'Institution Internationale des Sommets, essayer de déterminer le statut et le rôle de l'individu dans la création de réseaux qui facilitent l'obtention de financements et la réussite ou l'échec d'un projet. Tandis que les sciences sociales ont eu tendance à critiquer l'insuffisance des approches et des instruments d'intervention adoptés par les ONG ; ce travail opte pour l'analyse des relations qui unissent à la fois les approches conceptuelles au dispositif de régulation organisationnelle ainsi qu'aux logiques individuelles du personnel de l'Institution Internationale des Sommets.
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Les relations entre les sciences environnementales et les politiques dans le Programme MAB de l´UNESCO en Amérique Latine et son adaptation au Mexique, au Chili et en Haïti / The relationship between environmental science and policy-making in UNESCO's MAB Programme in Latin America and its adaptation to Mexico, Chile and HaitiHernandez Salinas, Alberto 27 June 2018 (has links)
Les impacts environnementaux sont un défi global. Le programme sur l’Homme et la Biosphère de l’UNESCO (MAB) peut donner un appui international à un de ces défis que l’humanité doit relever : comment arriver à promouvoir un développement économique, social et politique tout en conservant les ressources naturelles limitées dont nous disposons. Cette thèse propose une vision historique du programme afin de comprendre son évolution et de mettre en avant la relation entre les sphères politique et scientifique qui l´ont dirigé. Les cas d´étude du Mexique, du Chili et de la République d´Haïti, mettront en lumière les défis que ces pays doivent relever et la manière dont le Programme a été adapté au niveau national. Deux groupes d´acteurs, scientifiques et instances politiques, ont façonné le programme tout au long de son histoire et maintenu le dialogue pour adapter les principes du Programme MAB dans les Réserves de Biosphère. Par ailleurs, la toute récente création d´une Réserve de Biosphère transfrontalière entre la République d´Haïti et la République Dominicaine est un exemple de la collaboration et du rôle qu´ont joué d´autres instances de l´UNESCO telles que les Commissions Nationales et les Délégations Permanentes. / Environmental challenges have a significant impact. The Man and the Biosphere (MAB) Programme of UNESCO provides international support to one of the challenges facing humanity; that is how to achieve economic, social and political development and to promote the conservation of limited natural resources at the same time.This thesis takes into account a historical vision of the programme at the global level to understand its evolution and to highlight the relationship between the political and scientific spheres of the programme.On the other hand, it presents three study cases in different countries: Mexico, Chile and the Republic of Haiti to demonstrate how the programme has been adapted on the national level and the challenges they face. Two groups of actors have shaped the programme throughout its history, scientists and political bodies. They have maintained dialogues to adopt the principles of the MAB Programme in the Biosphere Reserves. Moreover, the recent creation of a Transboundary Biosphere Reserve between the Republic of Haiti and the Dominican Republic is an example of collaboration, but also it highlights the importance of other bodies of UNESCO such as the National Commissions and Permanent Delegations in policy-making.
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Un modèle et son revers : la cogestion des réserves de biosphère de Waza et de la Bénoué dans le Nord-CamerounSaleh, Adam 06 December 2012 (has links) (PDF)
La cogestion des aires protégées a été conçue comme un modèle innovant àimplementer dans le but d'ameliorer les conditions de vie des populations riveraineset d'assurer une conservation durable des ressources biologiques. Cette theseconfronte ce modèle à la réalité de son application dans les réserves de biosphère deWaza et de la Bénoué, au Nord du Cameroun. Afin de mettre en évidence les raisonsdu contraste entre les resultats attendus et ceux obtenus, notre methode s'appuiesur l'analyse des donnees bioécologiques, des relevés sur le terrain, des enquêtes etinterviews auprès de différents acteurs et l'examen des terroirs des zones àcogestion. Les résultats montrent que la cogestion a permis de désamorcer unesituation conflictuelle entre les parties prenantes, et qu'elle a aussi favorise lacomprehension par les acteurs en charge des deux reserves, de l'interet qu'accordentles communautés riveraines aux ressources naturelles. Toutefois, ces résultatsrévèlent que les retombées de la cogestion en matière de protection de labiodiversite et de survie des populations riveraines n'ont pas ete a la hauteur dutemps et des moyens (financiers, matériels) investis et des espoirs placés en ceprocessus par les riverains. La situation de cogestion a provoqué de violents conflits,des rancoeurs et la decrepitude des entites biologiques, objets meme de cettecogestion. Cette étude montre comment les acteurs se servent de manièredetournee, comme d'une passerelle pour atteindre des fins personnelles, de lacogestion, prise en tenaille entre ses acteurs prêts à lui faire obstacle si besoin. Sontegalement mises en lumiere les responsabilites de l'Etat engage dans ce processussans étude de faisabilité et contraint de céder une partie de ses pouvoirs à desreprésentants sur le terrain. Sur le plan local, l'analyse des relations montre desstructures étatiques restées rigides, sans concession et sans ménagement face auxpopulations. Celles-ci, galvanisées par les ONG nationales et internationales,entendaient jouer pleinement le jeu, tout en masquant leurs activites d'exploitantsillégaux. Les deux parties se découvrent sur le terrain de la cogestion avec leursidentités de maître et de sujet, de répresseur et de braconnier. Ce jeu de dupes nepouvait être associé à la gestion participative. Les phases d'elaboration du conceptthéorique de cogestion qui auraient pu prévenir cette situation, ont étéappréhendées superficiellement par les parties prenantes, hypothéquant ainsi lesrésultats du processus à moyen et long terme. Effectivement, la perte de plus dutiers du potentiel faunique des deux réserves pendant la phase de cogestion et legain insignifiant de 400 frs CFA/an par habitant dans la réserve de la Bénoué ne sontpas de nature a stimuler l'avancee et l'appropriation du processus. La manière dontla cogestion dans les réserves de biosphère de Waza et de la Bénoué a été menée,met en évidence les limites des politiques préconçues, appliquées sur le terrain sanstenir compte des savoirs autochtones et des contextes particuliers. Notre étudedemontre l'importance d'une exploitation et d'une fusion reflechies et preparees dessavoirs et des compétences locaux et exogènes, afin de relever le défi de la gestiondurable des ressources naturelles.
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Impact des changements d'usage sur la viabilité d'une population menacée dans un espace multi-protégé : le Crave à bec rouge (Pyrrhocorax pyrrhocorax) sur l'île d'OuessantKerbiriou, Christian 04 December 2006 (has links) (PDF)
L'objectif de cette étude a été d'évaluer la viabilité d'une population de Crave à bec rouge (Pyrrhocorax pyrrhocorax), dans un contexte d'espaces protégés confrontés à de profonds changements d'usages des sols. Cet oiseau, espèce emblématique, est en effet susceptible d'être affecté par les modifications des relations société-nature, telles l'abandon des pratiques agricoles et le développement touristique.<br />L'étude s'est dans un premier temps focalisée sur l'identification des facteurs susceptibles d'influencer les paramètres démographiques de cette espèce. Le nombre de sites de reproduction apparaît comme un facteur très probablement limitant. Le succès reproducteur est quant à lui influencé par la superficie d'habitats favorables à proximité des sites de reproduction ainsi que par l'abondance des ressources alimentaires au printemps. Enfin la limitation de l'accès aux zones d'alimentation et la réduction du temps d'alimentation des oiseaux, occasionnées par la fréquentation touristique estivale du littoral, affectent la survie des jeunes Craves. <br />Dans un second temps, la viabilité démographique de cette population a été évaluée à l'aide de différents modèles et au travers de comparaisons de différents scénarios plausibles d'évolution et d'impacts des activités humaines. Dans l'éventualité d'une stabilisation de la fréquentation touristique et du processus d'enfrichement aux niveaux actuels, la population semble viable. Mais comparativement au contexte passé particulièrement favorable, la population semble désormais sur "le fil du rasoir", une diminution même légère d'un des paramètres démographiques conduirait à une extinction inéluctable. Compte-tenu des dynamiques actuelles, le dérangement touristique estival semble impacter le plus la population à court terme. Différents scénarios de gestion ont donc été envisagés, via notamment un modèle démographique spatialement explicite, développé au sein d'un Système Multi-Agents.
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Biodiversité et développement durable : quels indicateurs ?Levrel, Harold 23 October 2006 (has links) (PDF)
La science de la durabilité serait la science de l'intégration. Intégration des échelles, des disciplines et des intérêts des acteurs. Une piste pour intégrer ces différents éléments est de développer des indicateurs de développement durable. Parmi ces indicateurs, les indicateurs d'interactions ont une importance clé car ils doivent permettre de relier entre eux les objectifs sociaux, les dynamiques écologiques et les activités humaines. <br />Cette thèse cherche à évaluer la pertinence des indicateurs d'interactions existants ainsi que des méthodes de construction innovantes qui se fixent pour objectif de développer des outils de co-gestion adaptative de la biodiversité
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Relations sociétés-nature et stratégies intégrées de conservation et du développement : cas de la Réserve de Biosphère Intercontinentale de la MéditerranéeBoushaba, Kamal 01 1900 (has links)
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Un modèle et son revers : la cogestion des réserves de biosphère de Waza et de la Bénoué dans le Nord-Cameroun / A model and its counter : comanagement of the Waza and Benue biosphere reserves in Northern CameroonSaleh, Adam 06 December 2012 (has links)
La cogestion des aires protégées a été conçue comme un modèle innovant àimplementer dans le but d’ameliorer les conditions de vie des populations riveraineset d’assurer une conservation durable des ressources biologiques. Cette theseconfronte ce modèle à la réalité de son application dans les réserves de biosphère deWaza et de la Bénoué, au Nord du Cameroun. Afin de mettre en évidence les raisonsdu contraste entre les resultats attendus et ceux obtenus, notre methode s’appuiesur l’analyse des donnees bioécologiques, des relevés sur le terrain, des enquêtes etinterviews auprès de différents acteurs et l’examen des terroirs des zones àcogestion. Les résultats montrent que la cogestion a permis de désamorcer unesituation conflictuelle entre les parties prenantes, et qu’elle a aussi favorise lacomprehension par les acteurs en charge des deux reserves, de l’interet qu’accordentles communautés riveraines aux ressources naturelles. Toutefois, ces résultatsrévèlent que les retombées de la cogestion en matière de protection de labiodiversite et de survie des populations riveraines n’ont pas ete a la hauteur dutemps et des moyens (financiers, matériels) investis et des espoirs placés en ceprocessus par les riverains. La situation de cogestion a provoqué de violents conflits,des rancoeurs et la decrepitude des entites biologiques, objets meme de cettecogestion. Cette étude montre comment les acteurs se servent de manièredetournee, comme d’une passerelle pour atteindre des fins personnelles, de lacogestion, prise en tenaille entre ses acteurs prêts à lui faire obstacle si besoin. Sontegalement mises en lumiere les responsabilites de l’Etat engage dans ce processussans étude de faisabilité et contraint de céder une partie de ses pouvoirs à desreprésentants sur le terrain. Sur le plan local, l’analyse des relations montre desstructures étatiques restées rigides, sans concession et sans ménagement face auxpopulations. Celles-ci, galvanisées par les ONG nationales et internationales,entendaient jouer pleinement le jeu, tout en masquant leurs activites d’exploitantsillégaux. Les deux parties se découvrent sur le terrain de la cogestion avec leursidentités de maître et de sujet, de répresseur et de braconnier. Ce jeu de dupes nepouvait être associé à la gestion participative. Les phases d’elaboration du conceptthéorique de cogestion qui auraient pu prévenir cette situation, ont étéappréhendées superficiellement par les parties prenantes, hypothéquant ainsi lesrésultats du processus à moyen et long terme. Effectivement, la perte de plus dutiers du potentiel faunique des deux réserves pendant la phase de cogestion et legain insignifiant de 400 frs CFA/an par habitant dans la réserve de la Bénoué ne sontpas de nature a stimuler l’avancee et l’appropriation du processus. La manière dontla cogestion dans les réserves de biosphère de Waza et de la Bénoué a été menée,met en évidence les limites des politiques préconçues, appliquées sur le terrain sanstenir compte des savoirs autochtones et des contextes particuliers. Notre étudedemontre l’importance d’une exploitation et d’une fusion reflechies et preparees dessavoirs et des compétences locaux et exogènes, afin de relever le défi de la gestiondurable des ressources naturelles. / The co-management of protected areas can be approached through an innovativemodel making it possible to improve the conditions of the people surrounding theprotected areas as well as to assure the sustainable conservation of its biologicalresources. The research in this thesis tests this model in the actual situation of thetwo biosphere reserves in the North of Cameroon: the Waza and Benoué NationalParks. In order to be able to explain differences between expected and obtainedresults we have developed a methodology analysing bio-ecological data, filedmeasurements, questionnaires and interviews with the different stakeholdersinvolved as well as an examination of the different co-managed territories. Theresults show that because of the application of co-management, potential conflictsituations between the different stakeholders have been prevented. Also it hasstimulated a better understanding of the actors in charge of the two reserves, aboutthe interest in the reserves’ natural resources by the people living around them.Nevertheless, the results show also that the benefits from the co-managementsystem in terms of protection of biodiversity and survival of the people living at theborders have not been promising in terms of financial and material means investedand in terms of the hope local people had in it. The co-management situation hasprovoked violent conflicts, resentment and decay of the biological entities, subject ofthis co-management. This research shows how actors have multiple agendas, likeusing co-management for their personal gain, while also tormenting other actors whostand in their way. It also puts some light on State stakeholders and theirengagement in this process without having done a feasibility study and with theconstraint of having to hand over part of their power to representatives in the field.At the local level, the analysis of the existing relationships shows that the statestructures stay rigid without compromising and without taking into consideration thelocal communities. The latter, being stimulated by national and international NGOs,understanding that the full game is played, while hiding their illegal exploitations.The two parties unfold in the field of co-management with their identities of beingmaster and subject, oppressor and poacher.This game of swindling cannot beassociated with participative management. The stages within the development of thetheoretical concept of co-management which could have prevented this situation hasbeen perceived as superficial by the different stakeholders, bringing in to discreditthe medium and long term process results. In fact, the loss of one third of thewildlife numbers in the two reserves during the co-management phase as well as theinsignificant gain of 400 FCFA per inhabitant of the Benoué reserve do not stimulatethe continuation and ownership of the process.The way the co-management in theBenoue and Waza biospheres reserves has been implemented , has shown the limitsof the preconceived policy, applied in the field without taking into consideration theknowledge of local people and its particular context. Our study shows the importanceof preparing and reflecting on the exploitation and integration of local and outsideknowledge and competences before setting up the challenging system of sustainablenatural resources co-management.
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Methodological investigations on vegetation typology and phytogeography of rain forests of tropical AfricaSenterre, Bruno B.M.L. 17 June 2005 (has links)
I. An original methodological discussion is proposed on the problem of the typology of tropical rain forest’s plant communities, based on the study of forest types across gradients of continentality and elevation, within Atlantic central Africa. These investigations were based on the statement that the main problems in forest typology are related to the non-zonal or zonal character of the different vegetation types and to non considering the relations and differences between forest strata.
II. Field data consisted in phytosociological homogeneous sample plots localized within different recognized phytogeographical entities, in a region of tropical Africa where these entities are known to be well conserved. A total of 37 such plots were inventoried in the region extending from the littoral forests of Ndoté, Equatorial Guinea, which are wet evergreen forests, to the continental forests of the Dja, Cameroon, known as evergreen seasonal forests. The studied region also included the oriental Atlantic forests of Equatorial Guinea, known as moist evergreen forests or caesalp forests. In various parts of this continentality gradient, some plots were localized within climax non-zonal formations, namely the submontane rain forests. The emphasis was put on the vegetation of the Monte Alén National Park.
The sampling methodology was willing to be as "complete ", including all strata, "quantitative ", enumerating all individuals, and "representative ", within each stratum, as possible. These multi-layers plots were realised using nested sub-plots, with a sampling size of 100 individuals for every ligneous stratum recognized (dominant trees, dominated trees and shrubs) and a sampling size of 200m² for the herbaceous and suffrutex stratum.
Forest types were defined independently for each stratum and the differences were analysed. A method was proposed for the simultaneous analysis of all floristic data, converting and standardizing the values from ligneous strata, on the one hand, and from understorey strata, on the other hand.
III. Ten forest types were described using IndVal and discussed in the general context of the guineo-congolian region, from a syntaxonomic view point (agglomerative classification) and from a phytogeographical view point (divisive classification). Homologies between these two approaches are described. The proposed phytogeographical system is based on an "open " conception of hierarchical classifications, combining advantages of agglomerative and divisive classifications. In concrete terms, the non-zonal criteria, for example the submontane variants, are categorised separately and in analogy with the zonal criteria, related to the usual phytochoria.
Analysis of ecological relationships for the 10 communities showed that the main variables related to the floristic variability in our mainland rain forests are elevation, rainfall, hygrometry (estimated using bryophytes cover levels) and distance to the ocean. The two extremes on the vertical microclimatic gradient, dominant trees stratum and herbaceous stratum, give similar typologies, however canonical analysis showed that for the herbaceous layer, non-zonal variables (hygrometry and elevation) were gaining more importance when the influence of the two zonal variables was attenuated. In every case, spatial autocorrelation was less important than the environment in explaining floristic variability but its role increased in the spatial arrangement of understorey species, whose dispersal capacity is generally lower than canopy trees. The phytosociological, phytogeographical and ecological description of forest types is accompanied by a physiognomical description using biological types spectrum, as well as architectural models, leaf sizes, etc.
With regard to diversity, we have demonstrated that species richness was higher from upper to lower strata because of the accumulation in lower strata of species from various strata. On the other hand, the proper stratum diversity, i.e. the structural set, decreased from dominant trees to shrubs. The proper diversity of the herb layer showed relatively high figures mainly due to the higher individual density in relation to the existence of microstrata. Within the 37 sample plots, 1,050 taxa have been identified to species or morpho-species levels, for a total of 25,750 individuals. These taxa represent 442 genus among 104 families. The richest forest type is found on the foothills of the Niefang range, on the windward side. This forest type is also characterised by a high number of oligotypic genus and by species belonging to functional types indicators of glacial refuges. These functional types are defined on the basis of the dispersal capacity and on kind of stand needed for effective germination. We formulated the hypothesis that this kind of "foothills refuge ", characterised by his zonal nature, could have been one of the rare refuges for species from mainland rain forests, while montane and fluvial refuges would mainly have preserved species from non-zonal forest types: (sub)montane and riverine.
Based on indicator species of submontane forests, a potential distribution map of this forest type has been realised at the Atlantic central African scale. More than 400 submontane forest localities have been mapped. These forests begin at 400m of altitude near the ocean, and progressively at higher altitude for increasing distance to the ocean. Many lowland localities also comprised submontane species, which could indicate the existence of ecological transgressions. These transgressions would allow migratory tracks for submontane species between isolated mountain ranges, not only during glacial periods, through heights at the northern and southern borders of the congo basin, but also contemporarily through the lowland riverine forest network, in the centre of this basin. Finally, a special attention has been attributed to littoral forests and to some cases of choroecological transgressions, coupled to the ecological equalization phenomenon.
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Recherches méthodologiques pour la typologie de la végétation et la phytogéographie des forêts denses d'Afrique tropicaleSenterre, Bruno 17 June 2005 (has links)
I. An original methodological discussion is proposed on the problem of the typology of tropical rain forest’s plant communities, based on the study of forest types across gradients of continentality and elevation, within Atlantic central Africa. These investigations were based on the statement that the main problems in forest typology are related to the non-zonal or zonal character of the different vegetation types and to non considering the relations and differences between forest strata.<p><p>II. Field data consisted in phytosociological homogeneous sample plots localized within different recognized phytogeographical entities, in a region of tropical Africa where these entities are known to be well conserved. A total of 37 such plots were inventoried in the region extending from the littoral forests of Ndoté, Equatorial Guinea, which are wet evergreen forests, to the continental forests of the Dja, Cameroon, known as evergreen seasonal forests. The studied region also included the oriental Atlantic forests of Equatorial Guinea, known as moist evergreen forests or caesalp forests. In various parts of this continentality gradient, some plots were localized within climax non-zonal formations, namely the submontane rain forests. The emphasis was put on the vegetation of the Monte Alén National Park.<p><p>The sampling methodology was willing to be as "complete ", including all strata, "quantitative ", enumerating all individuals, and "representative ", within each stratum, as possible. These multi-layers plots were realised using nested sub-plots, with a sampling size of 100 individuals for every ligneous stratum recognized (dominant trees, dominated trees and shrubs) and a sampling size of 200m² for the herbaceous and suffrutex stratum.<p><p>Forest types were defined independently for each stratum and the differences were analysed. A method was proposed for the simultaneous analysis of all floristic data, converting and standardizing the values from ligneous strata, on the one hand, and from understorey strata, on the other hand.<p><p>III. Ten forest types were described using IndVal and discussed in the general context of the guineo-congolian region, from a syntaxonomic view point (agglomerative classification) and from a phytogeographical view point (divisive classification). Homologies between these two approaches are described. The proposed phytogeographical system is based on an "open " conception of hierarchical classifications, combining advantages of agglomerative and divisive classifications. In concrete terms, the non-zonal criteria, for example the submontane variants, are categorised separately and in analogy with the zonal criteria, related to the usual phytochoria.<p><p>Analysis of ecological relationships for the 10 communities showed that the main variables related to the floristic variability in our mainland rain forests are elevation, rainfall, hygrometry (estimated using bryophytes cover levels) and distance to the ocean. The two extremes on the vertical microclimatic gradient, dominant trees stratum and herbaceous stratum, give similar typologies, however canonical analysis showed that for the herbaceous layer, non-zonal variables (hygrometry and elevation) were gaining more importance when the influence of the two zonal variables was attenuated. In every case, spatial autocorrelation was less important than the environment in explaining floristic variability but its role increased in the spatial arrangement of understorey species, whose dispersal capacity is generally lower than canopy trees. The phytosociological, phytogeographical and ecological description of forest types is accompanied by a physiognomical description using biological types spectrum, as well as architectural models, leaf sizes, etc.<p><p>With regard to diversity, we have demonstrated that species richness was higher from upper to lower strata because of the accumulation in lower strata of species from various strata. On the other hand, the proper stratum diversity, i.e. the structural set, decreased from dominant trees to shrubs. The proper diversity of the herb layer showed relatively high figures mainly due to the higher individual density in relation to the existence of microstrata. Within the 37 sample plots, 1,050 taxa have been identified to species or morpho-species levels, for a total of 25,750 individuals. These taxa represent 442 genus among 104 families. The richest forest type is found on the foothills of the Niefang range, on the windward side. This forest type is also characterised by a high number of oligotypic genus and by species belonging to functional types indicators of glacial refuges. These functional types are defined on the basis of the dispersal capacity and on kind of stand needed for effective germination. We formulated the hypothesis that this kind of "foothills refuge ", characterised by his zonal nature, could have been one of the rare refuges for species from mainland rain forests, while montane and fluvial refuges would mainly have preserved species from non-zonal forest types: (sub)montane and riverine.<p><p>Based on indicator species of submontane forests, a potential distribution map of this forest type has been realised at the Atlantic central African scale. More than 400 submontane forest localities have been mapped. These forests begin at 400m of altitude near the ocean, and progressively at higher altitude for increasing distance to the ocean. Many lowland localities also comprised submontane species, which could indicate the existence of ecological transgressions. These transgressions would allow migratory tracks for submontane species between isolated mountain ranges, not only during glacial periods, through heights at the northern and southern borders of the congo basin, but also contemporarily through the lowland riverine forest network, in the centre of this basin. Finally, a special attention has been attributed to littoral forests and to some cases of choroecological transgressions, coupled to the ecological equalization phenomenon.<p> / Doctorat en sciences agronomiques et ingénierie biologique / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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