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Le Mot et la Chose Revisités: le Cas de la Polysémie Systématique

Arapinis, Alexandra 19 December 2009 (has links) (PDF)
La polysémie systématique, qui occupe une place grandissante dans les débats de sémantique lexicale depuis les années 1990, semble remettre à l'ordre du jour la question fondamentale du rapport entre les mots et les choses. Partant du constat que ces phénomènes de multi-sens n'impliquent pas de réel changement de référence, mais semblent au contraire mettre en jeu différentes parties ou aspects d'un même référent, ce travail propose une relecture métaphysique de deux modèles typés de la polysémie systématique (le Generative Lexicon de Pustejovsky et la Type Composition Logic de Asher), visant à clarifier les notions d'aspect/partie/constituant d'un objet, mobilisées dans la formulation des règles compositionnelles de génération des significations contextuelles.
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Représentations du sens lexical en lexicologie explicative et combinatoire : étude de trois formalisations spécifiques

Samson-Fauteux, Mélissa 08 1900 (has links)
Cette étude porte sur les différentes formalisations du sens linguistique dans le cadre de la théorie Sens-Texte (TST) ; elle s’intéresse notamment à la représentation sémantique, la représentation la plus importante dans la modélisation du sens d’énoncés et d’unités lexicales de la langue. Cette étude a trois objectifs : premièrement, décrire trois formalisations de la représentation sémantique existant dans la TST – les réseaux sémantiques, les définitions lexicographiques et les définitions de la BDéf (des définitions très formalisées) ; deuxièmement, identifier les disparités et les décalages entre les formalisations choisies ; troisièmement, proposer des modifications aux formalisations existantes pour réduire au maximum ces disparités. / This study explores the different formalisations of linguistic meaning as encountered in the Meaning-Text Theory (MST) framework. Its main interest is semantic representation, which is the most important representation in the modeling of the meaning of utterances and lexical units. This study has three objectives: first, describing three existing formalisations of semantic representation in the MST – semantic networks, lexicographical definitions, and BDéf definitions (definitions that are extremely formalized); second, identifying the discrepancies between these formalisations; finally, proposing modifications to these formalisations in order to reduce the disparities as much as possible.
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Lexique et analyse sémantique de textes - structures, acquisitions, calculs, et jeux de mots

Lafourcade, Mathieu 07 December 2011 (has links) (PDF)
L'analyse sémantique de textes nécessite en préalable la construction d'objets relevant de la sémantique lexicale. Les vecteurs d'idées et les réseaux lexicaux semblent de bons candidats et constituent ensemble des structures complémentaires. Toutefois, faut-il encore être capable dans la pratique de les construire. Les vecteurs d'idées peuvent être calculés à partir de corpus de définitions de dictionnaires, de thésaurus ou encore de textes. Ils peuvent se décliner en des vecteurs conceptuels, des vecteurs anonymes ou des vecteurs lexicaux - chaque type présentant un équilibre différent entre précision, couverture et praticité. Quant aux réseaux lexicaux, ils peuvent être acquis efficacement via des jeux, et c'est précisément l'objet du projet JeuxDeMots. L'analyse sémantique peut être abordée par l'analyse thématique, et ainsi servir de moyen de calcul à des vecteurs d'idées (bouclage). Nous pouvons modéliser l'analyse comme un problème d'activation et de propagation. La multiplicité des critères pouvant intervenir dans une analyse sémantique, et la difficulté inhérente à définir une fonction de contrôle satisfaisante, nous amène à explorer l'usage de métaheuristiques bio-inspirées. Plus précisément, nous introduisons un modèle d'analyse par colonies de fourmis artificielles. A partir d'un texte, l'analyse vise a construire un graphe contenant les objets du texte (les mots), des objets identifiés comme pertinents (des syntagmes, des concepts) ainsi que des relations pondérées et typées entre ces objets.
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Acquisition de la polysémie du verbe "prendre" par des apprenants du français L2 / Acquisition of the polysemy of the verb "prendre" by french as a second language learners

Redmond, Leslie 24 May 2017 (has links)
Cette thèse se consacre aux enjeux de la polysémie verbale pour l’acquisition des langues secondes. Nous nous intéressons plus particulièrement à la polysémie du verbe prendre. Cette thèse poursuit deux objectifs complémentaires. D’une part, notre premier objectif est de décrire la polysémie du verbe prendre au moyen d’une analyse en sémantique lexicale dans une approche cognitive. D’autre part, notre second objectif est d’évaluer l’incidence de la polysémie du verbe prendre sur les connaissances qu’ont les apprenants de ce verbe et d’isoler les différentes acceptions de prendre mises au jour par notre analyse sémantique, qui s’avèrent problématiques pour les apprenants du français L2. Par ailleurs, nous cherchons également à savoir si les problèmes liés à la polysémie chez les anglophones peuvent être liés à l’influence translangagière.L’analyse sémantique du verbe prendre porte sur l’ensemble des acceptions prédicatives du verbe. Notre corpus d’analyse provient de données lexicales issues de plusieurs dictionnaires de référence. Afin de délimiter le corpus d’acceptions soumis à l’analyse sémantique, nous avons effectué une analyse syntaxique permettant de départager les différents emplois du verbe prendre : les constructions à verbe support, les locutions verbales et les acceptions prédicatives. Puis, nous proposons une analyse sémantique monosémique des acceptions prédicatives du verbe prendre qui s’articule autour d’un noyau de sens tripartite qui ne correspond à aucune des acceptions spécifiques du verbe, mais qui est présent dans l’ensemble de ces acceptions. Chacune des parties du noyau de sens peut faire l’objet d’un fenêtrage de l’attention, qui nous permet de mettre au jour les différents sens du verbe. Nous avons également émis des hypothèses sur les différences entre le verbe prendre et ses équivalents en anglais. Pour atteindre le second objectif de notre travail, nous avons mené une expérimentation auprès de 191 apprenants du français langue seconde. Tous les participants ont complété trois tâches expérimentales : un test de closure afin de mesurer leur niveau de compétence langagière en français, une tâche de production écrite et une tâche de jugement d’acceptabilité. Les résultats des analyses de régression logistique et multinomiale montrent non seulement que l’analyse sémantique que nous avons proposée permet de prédire la connaissance des différentes acceptions du verbe par les apprenants du français L2, mais aussi que les apprenants anglophones et allophones ont un comportement différent par rapport aux types d’acceptions du verbe prendre, comportement que nous avons pu expliquer par l’influence translangagière chez les participants anglophones. / The present dissertation focuses on the acquisition of highly polysemous verbs by French as a second language learners. I am particularly interested in the polysemy of the verb prendre. This dissertation has two complementary objectives. On the one hand, the first objective is to describe the polysemy of prendre through a lexical semantic analysis within a cognitive framework. On the other hand, the second objective is to evaluate the impact of this polysemy on learners' knowledge of the verb’s different senses in order to isolate those which are the most problematic for French L2 learners. Furthermore, I also investigate whether the problems associated with polysemy for Anglophone learners can be explained through cross-linguistic influence. The semantic analysis of the verb prendre describes all the predicative uses of the verb and is based on lexical data from several dictionnaires. Prior to carrying out the semantic analysis, a battery of syntactic tests was used in order to categorize the different uses of the verb prendre into the following categories: support verb constructions, idiomatic expressions and predicative uses. I propose that the verb prendre has an abstract core meaning which can be divided into three parts. While this abstract core meaning does not correspond to any of the specific senses of the verb, it is present in all of them. I use the cognitive semantic concept of the windowing of attention in order to explain how each of the parts of the core meaning can be windowed in order to obtain the different senses of the verb. Moreover, this analysis allowed me to formulated hypotheses about the differences between the verb prendre and its equivalents in English.In order to meet the second objective of this dissertation, I conducted an experiment on 191 learners of French as a second language. All participants completed three tasks: a cloze test to measure their proficiency level in French, a guided written production task and an acceptability judgement task. The results of the logistic and multinomial regression analyses show not only that the semantic analysis proposed can predict participants’ knowledge of the different senses of the verb, but also that participants whose first language is English behave differently from those whose first language is another language, confirming the presence of cross-linguistic influence for the English-speaking participants.
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A lexical semantic study of Dene Suliné, an Athabaskan language

Holden, Joshua 08 1900 (has links)
Cette thèse constitue une étude systématique du lexique du déné sųłiné, une langue athabaskane du nord-ouest canadien. Elle présente les définitions et les patrons de combinatoire syntaxique et lexicale de plus de 200 unités lexicales, lexèmes et phrasèmes, qui représentent une partie importante du vocabulaire déné sųłiné dans sept domaines: les émotions, le caractère humain, la description physique des entités, le mouvement des êtres vivants, la position des entités, les conditions atmospheriques et les formations topologiques, en les comparant avec le vocubulaire équivalent de l'anglais. L’approche théorique choisie est la Théorie Sens-Texte (TST), une approche formelle qui met l’accent sur la description sémantique et lexicographique empiriques. La présente recherche relève d'importantes différences entre le lexique du déné sųłiné et celui de l'anglais à tous les niveaux: dans la correspondence entre la représentation conceptuelle, considérée (quasi-)extralinguistique, et la structure sémantique; dans les patrons de lexicalisation des unités lexicales, et dans les patrons de combinatoire syntaxique et lexicale, qui montrent parfois des traits propres au déné sųłiné intéressants. / This work constitutes a systematic lexical semantic study of Dene Sųłiné, an Athabaskan language from northwestern Canada. As such, it presents the lexicographic definitions, syntactic and lexical combinatorial patterns of over 200 lexical units (lexemes and idioms) representing part of the core Dene Sųłiné vocabulary for seven semantic fields: terms to describe emotions, human character, physical description, position of an object, atmospheric conditions and topographical features. The theoretical approach used is Meaning-Text Theory (MTT), a formal linguistic approach with a strong empirical focus on semantics and lexicography. This work finds significant differences between Dene Sųłiné and English at all levels: in the relationship between of (quasi-)extralinguistic concepts and linguistic meanings, in the lexicalization or conflation patterns one finds in meanings of lexical units, and finally in the syntactic and lexical combinatorial patterns, which also show interesting language-specific tendencies.
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Prédicats statifs, causatifs et résultatifs en discours. Sémantique des adjectifs évaluatifs et des verbes psychologiques

Martin, Fabienne 19 September 2006 (has links) (PDF)
Cette thèse analyse les propriétés sémantiques et discursives des prédicats d'état ('laid, généreux') ainsi que des prédicats causatifs et résultatifs, et plus particulièrement des verbes psychologiques à Expérienceur objet ('stimuler, encourager'). Le cadre adopté est celui de la sémantique néo-davidsonienne (Parsons, 1990) et de la sémantique du discours (Kamp & Reyle 1993, Asher 1993). La première partie (chap 1-7) est consacrée aux prédicats d'état, et la seconde aux prédicats causatifs et résultatifs (chap. 8-9). Dans le chapitre 1, on expose les arguments en faveur de l'idée que les verbes d'état ont un argument implicite davidsonien comme les verbes d'action. Abordant ensuite les constructions en 'by/in' ('by/in smoking, he broke his promise'), l'auteur propose de considérer, avec Goldman et contre Davidson, que celles-ci décrivent deux événements distincts, liés par une relation de génération. L'analyse goldmanienne de ces constructions est ensuite étendue aux prédicats d'état ('in doing this, he was clever'), ce qui permet de distinguer les prédicats qui dénotent un état dépendant d'une action, comme 'clever' en usage occurrentiel, des prédicats qui dénotent un état indépendant d'une action, comme beautiful (cf. '??in doing this, he was beautiful'). Le chapitre 2 fait le point sur les spécificités des prédicats d'état par rapport aux prédicats d'activité. Y est notamment montré que certains prédicats d'état acceptent le "progressif interprétatif" ('tu es en train de croire au Père Noël!'). Ce type de progressif est distingué du progressif standard et du progressif actif anglais ('he was being clever'); sont définis également les "prédicats interprétatifs" qui n'acceptent que ce progressif. Le chapitre 3 élabore une typologie aspectuelle des prédicats d'état. Sont d'abord distingués quatre types d'états en fonction de l'intervalle pendant lequel l'état en cause est vérifié. On montre que cette quadri-partition rend mieux compte des données linguistiques que la dichotomie classique en 'stage level predicates' et 'individual level predicates'. Ensuite sont définis les "prédicats d'état pur" comme beau, qui dénotent un état indépendant de toute action, et les "prédicats d'état endo-actionnel" comme 'généreux/bruyant' en usage occurrentiel, qui dénote un état généré par une action. On présente des arguments contre l'assimilation de ces derniers prédicats à des prédicats d'action. Est alors analysée l'ambiguïté des prédicats comme "généreux" dans l'emploi occurrentiel: 'Pierre m'a donné des bonbons. Il a été généreux' peut vouloir dire soit que Pierre a été généreux de (décider de) me donner des bonbons (lecture-d), soit qu'il a été généreux dans la manière de me les donner (lecture-m). Dans la foulée, on examine la relation temporelle qui prend place entre un état s et l'action e dont il dépend. Enfin, on montre que l'analyse proposée peut rendre compte de la concurrence entre passé composé et imparfait dans les phrases dénotant un état occurrentiel. A partir de la typologie aspectuelle élaborée au chapitre 3, le chapitre 4 revisite le problème que soulèvent certains prédicats d'état dans les constructions à prédicat second descriptif ('Pierre a donné des bonbons saoul/??généreux') et propose une nouvelle solution. On montre ensuite que cette solution peut être adaptée pour résoudre un problème moins étudié, à savoir celui que posent certains prédicats d'état dans les subordonnées temporelles en 'quand '(cf. 'Il était généreux, quand il a distribué les bonbons' versus '??Il a distribué des bonbons quand il était généreux'). Enfin, on fait le point sur la difficulté qu'éprouvent les prédicats évaluatifs à entrer dans les constructions présuppositionnelles, parmi lesquelles les subordonnées temporelles, mais les GN définis ('La femme rousse/??généreuse commanda une bière'). Le chapitre 5 est consacré aux relations rhétoriques qui s'établissent entre la description d'un état et la description d'un événement, aux combinaisons possibles entre ces relations rhétoriques, et à la manière dont tel ou tel prédicat d'état, vu ses propriétés sémantiques, contribue à établir telle ou telle relation rhétorique avec la description d'événement. Le chapitre 6 revient sur le problème que soulève l'indéfini des en lecture non générique avec certains prédicats d'état, notamment les prédicats évaluatifs ('Des livres étaient sales' versus '??Des livres étaient merveilleux'). En se fondant sur les outils de la 'Decision Theoretic Semantic's (Merin 1999), l'auteur fait l'hypothèse qu'un prédicat P n'accepte des que si la quantité des éléments satisfaisant P dans le contexte est non pertinente pour les fins du discours, et s'il est clair, par ailleurs, que les qualités implicites que peuvent instancier les dits éléments ne contribuent en aucune façon à expliquer qu'ils satisfont P. On montre que ces deux conditions sont respectées (resp. violées) avec les prédicats d'état compatibles (resp. incompatibles) avec des dans sa lecture non générique. Le chapitre 7 est consacré à la sémantique qu'il faut assigner aux prédicats d'état évaluatifs. On expose tout d'abord les arguments en faveur d'une sémantique "réaliste", qui analyse les prédicats évaluatifs comme des prédicats unaires dénotant de vraies propriétés. On distingue ensuite, dans le contenu informationnel des énoncés évaluatifs, un composant assertif et deux implicatures associées. On termine par l'analyse des prédicats évaluatifs superlatifs ('merveilleux'); est argumentée l'idée que ces prédicats ont un composant expressif, en ce sens que le locuteur, en les utilisant, implicite qu'une entité satisfaisant le prédicat a déclenché en lui une émotion, vécue ou rejouée lors de l'énonciation. On montre en quoi ce composant expressif contribue à expliquer pourquoi de tels prédicats sont difficilement utilisables à l'impératif ou dans certains types de questions. Le chapitre 8 répertorie trois classes parmi les verbes, dits "résultatifs", qui présupposent l'occurrence d'un événement e causant ou générant l'événement asserté e'. On présente d'abord le problème que pose la définition de cette présupposition, puis une nouvelle solution est exposée. On montre alors que la présupposition des verbes résultatifs -- achèvements droits et accomplissements strictement forts --- est de nature scalaire et peut s'expliquer par la Loi d'exhaustivité de Ducrot. Le chapitre 9 est consacré aux verbes psychologiques à Expérienceur objet (VPEO). Après avoir classé ces verbes en fonction de leur structure événementielle, on fait le point sur les différentes lectures qu'ils peuvent accepter. On montre ensuite qu'à la différence des VPEO acceptables dans les constructions agentives, les VPEO qui y sont peu acceptables exhibent deux propriétés cruciales. D'abord, ils présupposent toujours, à l'instar des verbes étudiés dans le chapitre 8, l'occurrence de l'événement impliquant le sujet; ensuite, certains d'entre eux sont "interprétatifs", en ce sens que l'assertion du changement d'état psychologique ne s'avère pertinente pour les fins du discours que si l'interprétant connaît, par ailleurs, l'événement qui cause ce changement. Cela permet d'expliquer pourquoi les verbes en question ne peuvent faire avancer la narration comme le ferait un prédicat d'action normal, et pourquoi ils sont peu compatibles avec les adverbes de manière orientés sur l'agent, les pseudo-clivées ou les compléments de lieu. On termine par l'analyse aspectuelle de la classe des VPEO, en montrant qu'on y trouve des membres des cinq classes aspectuelles distinguées dans le chapitre précédent.
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A lexical semantic study of Dene Suliné, an Athabaskan language

Holden, Joshua 08 1900 (has links)
Cette thèse constitue une étude systématique du lexique du déné sųłiné, une langue athabaskane du nord-ouest canadien. Elle présente les définitions et les patrons de combinatoire syntaxique et lexicale de plus de 200 unités lexicales, lexèmes et phrasèmes, qui représentent une partie importante du vocabulaire déné sųłiné dans sept domaines: les émotions, le caractère humain, la description physique des entités, le mouvement des êtres vivants, la position des entités, les conditions atmospheriques et les formations topologiques, en les comparant avec le vocubulaire équivalent de l'anglais. L’approche théorique choisie est la Théorie Sens-Texte (TST), une approche formelle qui met l’accent sur la description sémantique et lexicographique empiriques. La présente recherche relève d'importantes différences entre le lexique du déné sųłiné et celui de l'anglais à tous les niveaux: dans la correspondence entre la représentation conceptuelle, considérée (quasi-)extralinguistique, et la structure sémantique; dans les patrons de lexicalisation des unités lexicales, et dans les patrons de combinatoire syntaxique et lexicale, qui montrent parfois des traits propres au déné sųłiné intéressants. / This work constitutes a systematic lexical semantic study of Dene Sųłiné, an Athabaskan language from northwestern Canada. As such, it presents the lexicographic definitions, syntactic and lexical combinatorial patterns of over 200 lexical units (lexemes and idioms) representing part of the core Dene Sųłiné vocabulary for seven semantic fields: terms to describe emotions, human character, physical description, position of an object, atmospheric conditions and topographical features. The theoretical approach used is Meaning-Text Theory (MTT), a formal linguistic approach with a strong empirical focus on semantics and lexicography. This work finds significant differences between Dene Sųłiné and English at all levels: in the relationship between of (quasi-)extralinguistic concepts and linguistic meanings, in the lexicalization or conflation patterns one finds in meanings of lexical units, and finally in the syntactic and lexical combinatorial patterns, which also show interesting language-specific tendencies.
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Le fonctionnement sémantique des verbes de position en russe contemporain : stojatʹ, sidetʹ, ležatʹ / The semantical functioning of posture verbs in contemporary Russian : stojatʹ, sidetʹ, ležatʹ

Burlot, Franck 12 March 2014 (has links)
Les verbes de position sont décrits du point de vue d'une invariance mise au point pour chacun d'entre eux en fonction de la diversité des contextes dans laquelle on les trouve. Cela conduit d'une part à considérer que dans certains contextes leur sens n'est pas inutile au contenu informatif de l'énoncé et qu'il n'est pas équivalent à celui d'un verbe d'existence. Au contraire, l'emploi d'un verbe de position par un locuteur correspond à un choix motivé par la désignation de quelque chose de plus que l'être ou la présence du sujet. D'autre part, cette invariance mène à distinguer clairement le fonctionnement sémantique de chacun de ces verbes alors qu'ils semblent entrer en concurrence lorsqu'ils apparaissent dans des contextes visiblement similaires. / Posture verbs are described from the perspective of an invariance developed for each of them according to the diversity of the contexts where they can be found. It conduces, on the one hand, to consider that in some contexts their meaning is not ancillary to the informative content of the statement, and that it is not equivalent to the meaning of a being verb. In fact, the use of a posture verb by a speaker refers to a choice motivated by something more than the being or the presence of the subject. On the other hand, this invariance facilitates clear distinction of the semantical function of each of these verbs, while they may seem to have the same meaning, when they occur in contexts which seem similar at first glance.
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Verbing and nouning in French : toward an ecologically valid approach to sentence processing

Fromont, Lauren A. 05 1900 (has links)
La présente thèse utilise la technique des potentiels évoqués afin d’étudier les méchanismes neurocognitifs qui sous-tendent la compréhension de la phrase. Plus particulièrement, cette recherche vise à clarifier l’interaction entre les processus syntaxiques et sémantiques chez les locuteurs natifs et les apprenants d’une deuxième langue (L2). Le modèle “syntaxe en premier” (Friederici, 2002, 2011) prédit que les catégories syntaxiques sont analysées de façon précoce: ce stade est reflété par la composante ELAN (Early anterior negativity, Négativité antérieure gauche), qui est induite par les erreurs de catégorie syntaxique. De plus, ces erreurs semblent empêcher l’apparition de la composante N400 qui reflète les processus lexico-sémantiques. Ce phénomène est défini comme le bloquage sémantique (Friederici et al., 1999). Cependant, la plupart des études qui observent la ELAN utilisent des protocoles expérimentaux problématiques dans lesquels les différences entre les contextes qui précèdent la cible pourraient être à l’origine de résultats fallacieux expliquant à la fois l’apparente “ELAN” et l’absence de N400 (Steinhauer & Drury, 2012). La première étude rééevalue l’approche de la “syntaxe en premier” en adoptant un paradigme expériemental novateur en français qui introduit des erreurs de catégorie syntaxique et les anomalies de sémantique lexicale. Ce dessin expérimental équilibré contrôle à la fois le mot-cible (nom vs. verbe) et le contexte qui le précède. Les résultats récoltés auprès de locuteurs natifs du français québécois ont révélé un complexe N400-P600 en réponse à toutes les anomalies, en contradiction avec les prédictions du modèle de Friederici. Les effets additifs des manipulations syntaxique et sémantique sur la N400 suggèrent la détection d’une incohérence entre la racine du mot qui avait été prédite et la cible, d’une part, et l’activation lexico-sémantique, d’autre part. Les réponses individuelles se sont pas caractérisées par une dominance vers la N400 ou la P600: au contraire, une onde biphasique est présente chez la majorité des participants. Cette activation peut donc être considérée comme un index fiable des mécanismes qui sous-tendent le traitement des structures syntagmatiques. La deuxième étude se concentre sur les même processus chez les apprenants tardifs du français L2. L’hypothèse de la convergence (Green, 2003 ; Steinhauer, 2014) prédit que les apprenants d’une L2, s’ils atteignent un niveau avancé, mettent en place des processus de traitement en ligne similaires aux locuteurs natifs. Cependant, il est difficile de considérer en même temps un grand nombre de facteurs qui se rapportent à leurs compétences linguistiques, à l’exposition à la L2 et à l’âge d’acquisition. Cette étude continue d’explorer les différences inter-individuelles en modélisant les données de potentiels-évoqués avec les Forêts aléatoires, qui ont révélé que le pourcentage d’explosition au français ansi que le niveau de langue sont les prédicteurs les plus fiables pour expliquer les réponses électrophysiologiques des participants. Plus ceux-ci sont élevés, plus l’amplitude des composantes N400 et P600 augmente, ce qui confirme en partie les prédictions faites par l’hypothèse de la convergence. En conclusion, le modèle de la “syntaxe en premier” n’est pas viable et doit être remplacé. Nous suggérons un nouveau paradigme basé sur une approche prédictive, où les informations sémantiques et syntaxiques sont activées en parallèle dans un premier temps, puis intégrées via un recrutement de mécanismes contrôlés. Ces derniers sont modérés par les capacités inter-individuelles reflétées par l’exposition et la performance. / The present thesis uses event-related potentials (ERPs) to investigate neurocognitve mechanisms underlying sentence comprehension. In particular, these two experiments seek to clarify the interplay between syntactic and semantic processes in native speakers and second language learners. Friederici’s (2002, 2011) “syntax-first” model predicts that syntactic categories are analyzed at the earliest stages of speech perception reflected by the ELAN (Early left anterior negativity), reported for syntactic category violations. Further, syntactic category violations seem to prevent the appearance of N400s (linked to lexical-semantic processing), a phenomenon known as “semantic blocking” (Friederici et al., 1999). However, a review article by Steinhauer and Drury (2012) argued that most ELAN studies used flawed designs, where pre-target context differences may have caused ELAN-like artifacts as well as the absence of N400s. The first study reevaluates syntax-first approaches to sentence processing by implementing a novel paradigm in French that included correct sentences, pure syntactic category violations, lexical-semantic anomalies, and combined anomalies. This balanced design systematically controlled for target word (noun vs. verb) and the context immediately preceding it. Group results from native speakers of Quebec French revealed an N400-P600 complex in response to all anomalous conditions, providing strong evidence against the syntax-first and semantic blocking hypotheses. Additive effects of syntactic category and lexical-semantic anomalies on the N400 may reflect a mismatch detection between a predicted word-stem and the actual target, in parallel with lexical-semantic retrieval. An interactive rather than additive effect on the P600 reveals that the same neurocognitive resources are recruited for syntactic and semantic integration. Analyses of individual data showed that participants did not rely on one single cognitive mechanism reflected by either the N400 or the P600 effect but on both, suggesting that the biphasic N400-P600 ERP wave can indeed be considered to be an index of phrase-structure violation processing in most individuals. The second study investigates the underlying mechanisms of phrase-structure building in late second language learners of French. The convergence hypothesis (Green, 2003; Steinhauer, 2014) predicts that second language learners can achieve native-like online- processing with sufficient proficiency. However, considering together different factors that relate to proficiency, exposure, and age of acquisition has proven challenging. This study further explores individual data modeling using a Random Forests approach. It revealed that daily usage and proficiency are the most reliable predictors in explaining the ERP responses, with N400 and P600 effects getting larger as these variables increased, partly confirming and extending the convergence hypothesis. This thesis demonstrates that the “syntax-first” model is not viable and should be replaced. A new account is suggested, based on predictive approaches, where semantic and syntactic information are first used in parallel to facilitate retrieval, and then controlled mechanisms are recruited to analyze sentences at the interface of syntax and semantics. Those mechanisms are mediated by inter-individual abilities reflected by language exposure and performance.
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Construction et interrogation de la structure informationnelle d'une base documentaire en français

Jacquemin, Bernard 08 December 2003 (has links) (PDF)
Cette thèse présente une méthode originale pour identifier et structurer l'information de documents et pour l'interroger. Comme les méthodes linguistiques améliorent les résultats des systèmes actuels, cette approche se base sur des analyses linguistiques et des ressources lexicales. Une analyse grammaticale de haut niveau (morphologique, syntaxique et sémantique) identifie d'abord les éléments d'information et les lie entre eux. Puisque le contexte des requêtes est faible, les textes sont analysés. Puis le contenu des ressources confère aux informations de nombreuses actualisations grâce à des transformations contextuelles : synonymie simple et complexe, dérivations avec adaptation du contexte syntaxique, adjonction de traits sémantiques... Enfin, l'interrogation des textes est testée. Une analyse morpho-syntaxique de la question en identifie les éléments d'information et choisit le type de la réponse attendue. Le fragment de texte contenant ces données constitue la réponse à la question.

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