• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 373
  • 84
  • 51
  • 21
  • Tagged with
  • 623
  • 623
  • 404
  • 404
  • 331
  • 265
  • 222
  • 118
  • 89
  • 81
  • 73
  • 69
  • 67
  • 63
  • 61
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
391

Habileté de mentalisation chez les mères présentant un trouble de personnalité limite : orientation mentale maternelle lors d’interactions mère-bébé.

Marcoux, Andrée-Anne 04 1900 (has links)
Contexte : Les personnes atteintes de trouble de personnalité limite (TPL) présenteraient un déficit de mentalisation, soit la capacité de percevoir et interpréter les états mentaux chez soi et chez l’autre. Dans le cadre de la relation mère-bébé, un tel déficit est susceptible d’entraîner des perturbations relationnelles ayant des conséquences néfastes sur le développement de l’enfant. L’orientation mentale se mesure par le biais des verbalisations du parent au sujet des états mentaux de son enfant et constitue donc un reflet de la mentalisation du parent durant cette interaction. Toutefois, aucune étude n’a encore investigué l’orientation mentale chez des mères avec TPL durant l’interaction avec leur bébé. Objectif : Le but de cette étude était d’évaluer l’orientation mentale de 38 mères en interaction avec leur enfant âgé de 12 mois, incluant 10 mères atteintes de TPL et 28 sans diagnostic psychiatrique. Méthode: L’orientation mentale maternelle fut évaluée à partir de vidéos d’interaction mère-enfant dans un contexte de jeu libre. Le TPL a été identifié à l’aide du Structured Clinical Interview for DSM-III-R Personality Disorders (SCID-II). Résultats: Les mères atteintes de TPL ne se sont pas distingué concernant la fréquence de commentaires faisant référence aux états mentaux de leur bébé. Toutefois, les commentaires mentaux des mères souffrant de TPL se sont avérés être 4.7 fois plus fréquemment jugés non-appropriés à l’état mental de l’enfant comparés à ceux des mères sans diagnostic psychiatrique. Conclusions : Les commentaires mentaux des mères atteintes de TPL semblent plus fréquemment empreints d’erreurs d’interprétation des états mentaux de leur enfant, ce qui pourrait poser un risque pour le développement de l’enfant. / Background. Mothers with Borderline Personality Disorder (BPD) have been theorized to have decreased mentalization ability, which is the capacity to perceive and interpret mental states. This could potentially increase the risk for troubled relationships with their infants and therefore have adverse consequences on the social and emotional development of the child. Mind-mindedness (MM), assessed through the mother’s references to her infant’s mental states during an interaction, is one aspect of maternal behavior that relies heavily on the mother’s mentalizing ability. However, research has yet to examine MM in mothers with BPD. Aims. Our objective was to assess the MM ability of 38 mothers during interactions with their 12 month-old infants, including 10 with BPD and 28 without a psychiatric diagnosis. Method. Trained observers assessed maternal MM from 2 minutes of videotaped mother-infant free play. BPD was assessed by the Structured Clinical Interview for DSM-III-R-Personality Disorders (SCID-II). Results. Mothers with and without BPD did not differ in the frequency of comments referring to infant mental states. However, the mind- related comments made by mothers with BPD were 4.7 times more frequently judged as non- attuned to her infant’s mental state by a trained observer compared with those of controls without a psychiatric diagnosis. Conclusions. Mothers with and without BPD appear equally likely to envision and refer to mental states in their infants. However, mothers with BPD appear more likely to misread the mental states of their infants. This could put the child at risk for adverse developmental outcomes.
392

La stimulation du nerf vague pour le traitement de la dépression réfractaire : les résultats après un an de suivi

LaGarde, Elise 08 1900 (has links)
La stimulation du nerf vague (SNV) a reçu l’approbation de Santé Canada en 2001, comme en Europe, pour le traitement de la dépression réfractaire et en 2005 aux États-Unis. Les études européennes et américaines rapportent un taux de réponse de 50% et de rémission de 30% après un an de traitement. La sélection des patients, encadrée par la recherche de marqueurs biologiques et des critères de résistance, pourrait contribuer à améliorer les taux de réponse. Cette étude décrit le suivi des patients ambulatoires souffrant de dépression réfractaire, d’un spectre unipolaire ou bipolaire (n=13) sous SNV. Une révision exhaustive de l’histoire médicale et thérapeutique précède une évaluation clinique intensive. Si un consensus d’équipe est obtenu, une investigation clinique à la recherche des marqueurs biologiques est effectuée. Ceci inclut une tomographie par émission de photons simples (SPECT), une tomographie par émission de positrons (TEP), une formule sanguine complète, un test de suppression à la dexaméthasone (DST), une collecte d’urine 24h (catécholamines et cortisol), une polysomnographie et une évaluation neuropsychologique abrégée. Après 1 an de traitement, 61,5% (8/13) des patients ont atteint le seuil de réponse (diminution de 50% des symptômes), dont 87.5% (7/8) en rémission. Les patients diagnostiqués d’un trouble bipolaire, présentant un DST anormal et/ou avec déficits cognitifs ont répondu au traitement et poursuivent leur rémission après 2 ans. Une sélection minutieuse des patients pour le SNV serait une méthode efficace pour traiter les dépressions réfractaires, notamment pour prévenir les rechutes, amenant un état euthymique durable pour la plupart des patients. / Since 2001, Vagus Nerve Stimulation (VNS) has been used in treatment-resistant depression (TRD) in Europe and Canada, and in 2005 in the USA. European and American studies have shown a 50% response rate and 30% remission rate respectively after one year. Patient selection, driven by biological correlates and resistance criteria, may contribute to improved response and remission rates. This naturalistic study describes the follow-up of outpatients with TRD in individuals with unipolar or bipolar spectrum disorder (type 1 or 2) (n=13) treated with VNS. An exhaustive review of the medical and treatment history precedes an intensive clinical evaluation consisting of an individual evaluation and a subsequent team evaluation. A consensus is pursued, and if reached, an investigation of putative biological correlates of depression follows. This include a single photon emission computed tomography (SPECT) and a positron emission tomography (PET), a brain magnetic resonance imaging (MRI), a complete blood count, a dexamethasone suppression test (DST), a 24h urine collection; a polysomnography, and a limited neuropsychological evaluation. After one year of treatment, 61,5% (8/13) responded to treatment with at least a 50% reduction of their symptoms. Of those who responded 87.5% (7/8) are in remission. All patients with bipolar disorder, and/or abnormal baseline DST and/or baseline memory deficit responded to VNS therapy and continue to be in remission at the 24 months mark. Careful selection of patients for VNS treatment can be a very effective method of treatment of TRD and subsequent prevention of relapse, resulting in a sustained normothymic state in most responders.
393

Facteurs contextuels influençant l’implantation d’un modèle de hiérarchisation des soins en santé mentale : une étude de cas en milieu montréalais

Wilson, Veronique 07 1900 (has links)
Cette étude de cas vise à comparer le modèle de soins implanté sur le territoire d’un centre de santé et des services sociaux (CSSS) de la région de Montréal aux modèles de soins en étapes et à examiner l’influence de facteurs contextuels sur l’implantation de ce modèle. Au total, 13 cliniciens et gestionnaires travaillant à l’interface entre la première et la deuxième ligne ont participé à une entrevue semi-structurée. Les résultats montrent que le modèle de soins hiérarchisés implanté se compare en plusieurs points aux modèles de soins en étapes. Cependant, certains éléments de ces derniers sont à intégrer afin d’améliorer l’efficience et la qualité des soins, notamment l’introduction de critères d’évaluation objectifs et la spécification des interventions démontrées efficaces à privilégier. Aussi, plusieurs facteurs influençant l’implantation d’un modèle de soins hiérarchisés sont dégagés. Parmi ceux-ci, la présence de concertation et de lieux d’apprentissage représente un élément clé. Néanmoins, certains éléments sont à considérer pour favoriser sa réussite dont l’uniformisation des critères et des mécanismes de référence, la clarification des rôles du guichet d’accès en santé mentale et l’adhésion des omnipraticiens au modèle de soins hiérarchisés. En somme, l’utilisation des cadres de référence et d’analyse peut guider les gestionnaires sur les enjeux à considérer pour favoriser l’implantation d’un modèle de soins basé sur les données probantes, ce qui, à long terme, devrait améliorer l’efficience des services offerts et leur adéquation avec les besoins populationnels. / The purpose of the present study was to compare the care model of one Montreal local territory to the stepped-care model and to investigate factors influencing the implementation of this model. A qualitative case-study approach was employed involving 13 semi-structured interviews with services providers and managers from primary and specialist mental healthcare. Results showed that the hierarchical care model in place in this territory is compared in several points with the stepped-care model. However, some elements of these models have to be integrated to improve efficiency and quality of care, including the introduction of objective evaluation criteria and the specification of evidence-based interventions. Furthermore, some factors influenced the implementation of this hierarchical care model. Thus, the presence of collaborative working and learning strategies were identified to be a key condition. However, some elements must be considered to facilitate its success like the standardization of the referral criteria and process, the clarification of the mental health guichet d’accès (centralized access point) roles and the general practitioners' adherence to the care model. In conclusion, the use of the reference and analysis frames of this study may guide managers on issues to be considered to support the implementation of an evidence-based care model which may facilitate mental healthcare efficiency and its adequacy with the population needs.
394

Media coverage outside the courtroom : public opinion of restrictions imposed on news journalists and psychological effects on crime victims

Fusco, Nina Marie 10 1900 (has links)
Comme les études sur la couverture médiatique ont démontré qu’elle influence pratiquement toute personne qu’elle touche, des consommateurs aux jurés aux témoins, les deux études de cette thèse doctorale ont respectivement examiné l’opinion du public sur l’imposition de restrictions sur les médias dans les palais des justices et l’impact de la couverture médiatique sur la santé mentale des victimes de crime. Le gouvernement québécois a récemment introduit des restrictions sur les médias dans les palais de justice afin de minimiser l’influence des journalistes et des caméramans. Bien que l’affaire a atteint la Cour suprême du Canada, une étude préliminaire a trouvé que le public est largement favorable à ces restrictions (Sabourin, 2006). La première partie de cette thèse doctorale cherchait à approfondir ce sujet avec un échantillon plus représentatif de la population. Deux cent quarante-trois participants comprenant six groupes expérimentaux ont rempli des questionnaires mesurant leur opinion de ces restrictions. Les participants ont été divisé en deux conditions expérimentales où ils ont visionné soit des clips audiovisuels démontrant une atmosphère de débordement dans des palais de justice ou des clips plutôt calmes. Un troisième groupe n’a visionné aucun clip audiovisuel. De plus, il y avait deux versions du questionnaire ayant 20 items où les questions ont été présenté en sens inverse. L’étude a trouvé qu’une grande majorité des participants, soit presque 79 pourcent, ont supporté la restriction des médias dans les palais de justice. Il est intéressant de noter qu’un des groupes n’a pas supporté les restrictions – le groupe contrôle qui a lu les énoncés supportant l’absence des restrictions en premier. La deuxième composante de cette thèse doctorale a examiné l’impact des médias sur les victimes de crime. De nombreuses études expérimentales ont démontré que les victimes de crime sont particulièrement susceptibles à des problèmes de santé mentale. En effet, elles ont trois fois plus de chances de développer un trouble de stress post-traumatique (TSPT) que la population générale. Une étude a confirmé cette conclusion et a trouvé que les victimes de crimes qui avaient une impression plutôt négative de leur couverture médiatique avaient les taux les plus élévés de TSPT (Maercker & Mehr, 2006). Dans l’étude actuelle, vingt-trois victimes de crimes ont été interviewé en utilisant une technique narrative et ont complété deux questionnaires mésurant leur symptômes du TSPT et d’anxiété, respectivement. Une grande proportion des participantes avaient des symptômes de santé mentale et des scores élévés sur une échelle évaluant les symptômes du TSPT. La majorité des narratives des participants étaient négatives. Les thèmes les plus communs incluent dans ces narratives étaient l’autoculpabilisation et une méfiance des autres. La couverture médiatique ne semblaient pas être liée à des symptômes de santé mentale, quoique des facteurs individuels pourraient expliquer pourquoi certains participants ont été favorables envers leur couverture médiatique et d’autres ne l’été pas. Les résultats de ces deux études suggèrent que le public approuve la restriction des médias dans les palais de justice et que des facteurs individuels pourraient expliqués comment la couverture médiatique affecte les victimes de crime. Ces résultats ajoutent à la littérature qui questionne les pratiques actuelles qu’utilisent les médias. / As media coverage has been shown to influence virtually everyone that it reaches, from its consumers to jurors in cases with pretrial publicity to eyewitnesses, the two studies that comprise the present dissertation respectively investigated the public’s opinion on imposing restrictions on the media in courthouses and the impact of media coverage on the mental health of crime victims. The Quebec government recently imposed restrictions on the media in courthouses in order to reduce the interference of journalists and cameramen. While the issue reached the Supreme Court of Canada, the public were found to be largely in favour of these restrictions in a preliminary study (Sabourin, 2006). The first part of this dissertation sought to further investigate this topic with a more representative sample of the population. Two hundred forty-three participants in six experimental groups filled out questionnaires that measured their opinion of these restrictions. There were two conditions with audiovisual clips showing either a media circus-like atmosphere or relatively calm proceedings in Quebec courthouses. A third control group did not view any audiovisual clips. There were also two versions of the twenty-item questionnaire where the questions were presented in reverse order. This study also found overwhelming support for the restrictions; nearly 79 percent of participants supported restricting media presence in courthouses. Interestingly, one experimental group did not – the control group that read statements that supported an absence of restrictions first. The second component of this dissertation examined the impact of the media on crime victims. Crime victims have been shown to be especially susceptible to mental health problems. Indeed, they are three times as likely as the general population to develop Post-traumatic Stress Disorder (PTSD). One study confirmed this finding and found that crime victims who had negative impressions of the media coverage of their cases had the highest rates of PTSD (Maercker & Mehr, 2006). In the present study, twenty-three crime victims were interviewed using a narrative technique and completed two questionnaires that respectively measured their PTSD symptoms and anxiety. A great proportion of participants were found to have mental health symptoms and high scores on the Impact of Events Scale-Revised (IES-R). The majority of the narratives of these participants were negative. The most common themes included in these narratives were self-blame and suspiciousness of others. Media coverage did not appear to be related to any mental health symptoms, although individual factors may explain why some participants were favourable towards the coverage and others were not. The findings of these two studies suggest that the public approves of restricting media presence in courthouses and that individual factors may explain how media coverage impacts crime victims. These results add to the literature that calls current practices used by the media to gain coverage into question.
395

Au carrefour de l’intégration socio-professionnelle : perspectives et questionnements de personnes vivant avec des problèmes de santé mentale

Roche, Jeanna 10 1900 (has links)
Ce travail de mémoire porte sur le processus d’insertion sociale et économique des personnes vivant des problèmes de santé mentale. Le travail est devenu un important véhicule d’intégration sociale. En effet, on prétend que la pratique d’un métier serait pour les personnes souffrant de problèmes de santé un outil de rétablissement et de mieux-être, car elle permet de réduire les symptômes et l’incidence des hospitalisations. Le travail permet, également, d’augmenter les interactions sociales et de contribuer activement à la société. Il existe, toutefois, d’autres véhicules d’intégration qui semblent, sous certains angles, apporter les mêmes avantages. Les activités bénévoles améliorent la qualité de vie, favorisent les interactions sociales et donnent, à l’individu, l’occasion de contribuer à sa communauté. Par ailleurs, le retrait social peut être un moyen de s’éloigner des pressions sociales et de s’accorder une pause bénéfique. On soutient que les personnes ayant un problème de santé mentale qui ont une lecture positive de leur situation de marginalité tendent à être moins hospitalisées. S’appuyant sur une démarche qualitative, ce travail de recherche a tenté de cerner les perspectives, les questionnements et les perceptions des personnes ayant un trouble mental à l’égard d’un processus d’intégration socioprofessionnelle, de participation sociale et de retrait social. Des entrevues semi-dirigées ont été menées auprès de onze personnes, et grâce à ces entretiens, un portrait au regard de leurs parcours social et professionnel a pu être brossé. Les entretiens ont permis d’explorer l’impact des problèmes de santé mentale sur leur réalité et sur leur identité, leurs représentations du marché de l’emploi et les motifs qui justifient le choix de s’engager ou de renoncer à un processus d’intégration socioprofessionnelle. Les résultats de cette recherche ont permis d'identifier cinq facteurs qui peuvent influencer la décision des personnes qui sont le rapport à l'environnement social, l'identité, le rapport aux institutions de l'État, les discours de légitimation et les perspectives d'avenir. Les résultats démontrent que l'on ne peut isoler les notions de vulnérabilité, d'autonomie, de bien-être ou de stabilité dans une phase spécifique. La vulnérabilité, l'autonomie, le bien-être et la stabilité sont des états que l’on peut vivre en situation de retrait social, de participation sociale et d’intégration socioprofessionnelle. Selon les circonstances et l’état émotif, ils peuvent être des modes adaptés ou inadaptés. / This theisis explores the social and economic integration of people with mental health problems in regard to paid work. Work has become an important vehicle for social integration. Indeed, it is argued that having an occupation could be a tool to recovery and wellness in that it can reduce symptoms and prevent hospitalisation. Work also allows for increased social interactions and active participation in society. There are however, other vehicles for social integration that have the possibility of providing the same advantages as work. Volunteer activities improve the quality of life, promote social interaction and provide opportunities to contribute to community life. Moreover, social withdrawal can be viewed as a way to attain a sense of distance from social pressures and thus provide a beneficial break. It is argued that persons with mental health problems who have a positive perception of their marginal situation have a lower tendency for hospitalisation. Based on a qualitative approach, this research has attempted to identify the reasons why people with a mental disorder engage in a process of socio-professional integration, social participation and social withdrawal. Semi-structured interviews were conducted with 11 people, and through these interviews, a portrait of their social and professional process has been presented. The interviews explored the impact of mental health problems on their reality and their identity, what the labour market represents, and the reasons that justify the decision to commit or to abandon a process of socio-professional integration. This research has demonstrated that there are five factors that can influence people’s decisions: the relationship to the social environment, identity, the relationship to state institutions, legitimizing discourses and future perspectives. The results show that we can isolate the notions of vulnerability, autonomy, well-being or stability in a specific phase. Vulnerability, autonomy, well-being and stability are states that can be lived in a situation of social withdrawal, social participation and professional integration. Depending on the circumstances and the emotional state of the person, they may be considered adaptive or inadequate modes of adaptation.
396

Psychological impact of parenting style and acculturation in Vietnamese young adults from Montreal

Trân, Diêu-Ly 08 1900 (has links)
Les trois études recensées sur le style parental et la santé mentale chez des jeunes Vietnamiens démontrent qu’une perception du style autoritaire parental était reliée à une plus faible estime de soi ainsi qu’à un plus haut niveau de dépression. Dans cette étude, nous examinons l’acculturation et les styles parentaux des mères et des pères en relation avec la santé mentale chez de jeunes adultes Vietnamiens âgés de 18 à 25 ans (N = 53). Les résultats obtenus indiquent que le modèle de style parental que les jeunes attribuent le plus à leurs parents est autoritaire. Le niveau de fermeté (authoritativeness) des mères est plus élevé que celui des pères. Les styles parentaux n’ont aucun effet sur le niveau d’estime de soi, de détresse psychologique et d’affiliation ethnique chez les jeunes. Ceux qui adoptent une stratégie de marginalisation démontrent une plus faible estime de soi que ceux qui adoptent celle d’intégration, d’assimilation ou d’ethnocentrisme. Les résultats sur le style parental démontrent que les jeunes ayant des parents autoritaires ne sont pas plus maladaptés que ceux ayant des parents fermes ou permissifs. Les résultats concernant les différences entre les quatre modes d’acculturation selon la détresse psychologique ne sont pas significatifs. Adopter une stratégie de marginalisation semble être associé à une plus faible estime de soi, mais non à une plus faible adaptation psychologique chez les jeunes Vietnamiens. / The three studies that have been carried out on parenting style and mental health outcomes in Vietnamese youth showed that adolescents’ perception of their parents using the authoritarian style was related to lower self-esteem and higher depression. In this study, we examined acculturation and parenting styles of mothers and fathers in relation to mental health outcomes in Vietnamese young adults aged 18 to 25 years old (N = 53). It was found that the parenting style youth attributed the most to their parents was authoritarian. Mothers’ levels of authoritativeness were higher than fathers’. Parenting styles had no effect on youth levels of self-esteem, psychological distress and ethnic affiliation. Youth who adopted the marginalization strategy showed lower self-esteem than those who adopted integration, assimilation or ethnocentrism. Parenting style results show that youth with authoritarian parents are not less maladjusted compared to youth with authoritative or permissive parents. Differences between the four acculturation modes on psychological distress were not significant. Adopting the marginalization strategy seems associated with lower self-esteem but not with poorer psychological adjustment in Vietnamese youth.
397

L’apport des savoirs expérientiels à la compréhension des dépendances : le cas de personnes avec une expérience d’itinérance participant au projet Chez Soi à Montréal

Gutiérrez-Araya, Marcio 04 1900 (has links)
Dans la littérature sur les dépendances, les auteurs mettent souvent l’accent sur les dimensions biologique, psychologique, sociologique, ou sur une combinaison de celles-ci, sans prendre en considération la perception des personnes dépendantes. De plus, il semblerait y avoir des divergences entre les différents modèles explicatifs qui peuvent être situés entre deux pôles principaux : dans le premier, la consommation prend source à partir de facteurs individuels; dans le second, ce sont les conditions sociales qui créent le terreau propice à l’usage de drogues. Cette dichotomie est incarnée par la divergence entre les modèles sociologique et les approches psychologique et biologique. Or, tel que le suggèrent Allué (1999) et Griffiths (2005), il faut s’intéresser à la perception des individus pour en saisir toute l’entièreté et l’intensité de leur expérience. Dans cette recherche, la parole de douze participants du projet Chez Soi, un projet d’intervention ayant pour objectif d’offrir un logement subventionné et un suivi intensif par des équipes d’intervenants à des personnes en situation d’itinérance ayant des problèmes de santé mentale, sera analysée afin de voir quel est l’apport de leurs savoirs expérientiels à la compréhension de la consommation. Comment perçoivent-ils leurs problèmes de consommation? Quelle est la contribution des savoirs expérientiels de ces personnes à la compréhension de la toxicomanie? Quels liens peut-on faire entre la perception des participants et la littérature consultée? Ce mémoire permet de constater que les participants et leurs savoirs expérientiels nous apportent une compréhension holistique de la consommation car ils conjuguent les dimensions sociologique, psychologique et biologique dans leurs explications. Bien que la dimension relationnelle soit prédominante, la perception qu’ont les participants de leurs dépendances est notamment abordée à travers la thématique de la santé mentale. En contextualisant les éléments soulevés par les participants au sujet de leur consommation dans leurs histoires de vie, nous pouvons nous rendre compte que ceux-ci sont pris dans une sorte d’engrenage qui les enferme dans la consommation. / In the literature on addictions, authors often put the emphasis on the biological, psychological, or sociological dimensions or some combination of them, without taking into consideration people’s own perspectives on their drug use. Moreover, there seem to be divergences amongst the various explicative models, which may be situated between two majors poles: in the first, addiction takes source in individual factors; in the second, social conditions create propitious grounds for drug usage. This dichotomy is incarnated by the divergence between the sociological models and the psychological and biological models. However, as suggested by Allué (1999) and Griffiths (2005), one must take into consideration the individual’s perception in order to appreciate the wholeness and intensity of their experience. In this research, testimonies of twelve participants from the At Home project, an intervention project whose aim is to offer subsidized housing and an intensive follow-up by teams of interveners to homeless people with mental health issues, will be analyzed in order to pin down the contribution of their experiential knowledge to the understanding of addiction. How do they perceive their addiction problems? How can one relate the participants’ perception to the existing literature? This thesis highlights that participants and their experiential knowledge bring us a holistic understanding of addiction because they tend to combine the sociological, psychological and biological dimensions in their explanations. Even though the relational dimension is predominant, the perception that the participants have of their addictions is addressed under the thematic of mental health. By putting into context the elements brought up by the participants regarding addiction throughout their life, we can realize that they are caught up in a spiral of addiction.
398

Impact de l’ajout d’une équipe de proximité intensive pour jeunes itinérants souffrant de psychose et de toxicomanie à une clinique d’intervention précoce pour la psychose

Doré-Gauthier, Virginie 12 1900 (has links)
Au Canada, chaque nuit, en moyenne 6000 jeunes sont sans-abri. Ceux souffrant de psychose et de toxicomanie sont particulièrement à risque d’itinérance. La littérature suggère qu’il y a nécessité de soins adaptés pour cette population. Une équipe d’intervention intensive de proximité ÉQIIP SOL (ES) fut créée au CHUM en 2012 afin de mieux offrir une approche adaptée la clientèle des jeunes itinérants souffrants d’un premier épisode psychotique et de toxicomanie (JIPEPT). Objectif : Étudier l’impact de l’ajout de l’ES aux services de la Clinique spécialisée d’intervention précoce pour la psychose (CIP) sur l’évolution symptomatique et fonctionnelle et l’utilisation de services des JIPEPT. Méthode : Étude de suivi longitudinale comparant l’évolution des JIPEPT suivis par l’ES en ajout à une CIP depuis 2012 à ceux suivis dans une CIP (2005-2011). La stabilité à l’hébergement (issue primaire), l’autonomie en hébergement, l’évolution fonctionnelle (SOFAS) et clinique globale (GAF, CGI), la sévérité de la toxicomanie (AUS, DUS), et l’utilisation de services (consultations à l’urgence et hospitalisations) ont été collectées de manière prospective durant 24 mois. Résultats : Le suivi de l’ES+CIP est associé à un taux plus élevé de JIPEPT en hébergement stable que le traitement régulier CIP seul (RR=2,38, p=0,017). L’évolution fonctionnelle, clinique et de la toxicomanie des 2 groupes sont similaires. Conclusion : L’ajout de l’ES à une CIP semble permettre d'augmenter le taux de stabilité en hébergement chez les JIPEPT. Toutefois, les facteurs de mauvais pronostic prémorbides et l’intensité déjà élevée du traitement comparateur (CIP) expliquent possiblement que l’ES n’ait pas d’impact supplémentaire sur l’évolution du fonctionnement et de la toxicomanie à court terme. / In Canada, every night, about 6000 youths are homeless. Those suffering from psychosis and substance use disorder (SUD) are at higher risk for homelessness. Today’s literature suggests the need for dedicated interventions for this population. In 2012, an intensive outreach team (ÉQIIP SOL (ES)) was created at the CHUM, to help homeless youth suffering from psychosis and SUD (HYPS). Objective: Explore the impact of ES added to an early intervention for psychosis clinic (EIC) on service use and the symptomatic and functional outcome for the HYPS. Method: Longitudinal study comparing the outcome of HYPS who received care from ES in addition to an early intervention for psychosis clinic (EIPC) (2012-2015) to an HYPS historical cohort who received care from EIPC only (2005-2011). Housing stability (main outcome), living arrangement autonomy, global assessment of functioning scale (SOFAS), clinical global assessment scales (GAF, CGI), SUD severity (AUS, DUS) and services use (Emergency consultations and hospitalizations) have been collected prospectively for 24 months. Results: With ES + EPIC, there is a higher rate of HYPS in stable housing than with EIPC only (RR=2,38, p=0,017). Symptomatic and functional outcomes as well as drug and alcohol misuse are somewhat similar for the 2 groups. Conclusion: The addition of ES to an EIPC seems to benefit HYPS in increasing housing stability. However, poor prognostic factors of HYPS and the high intensity of the comparator treatment (EPIC) may explain why ES does not seem to have an additional impact on shortterm symptomatic, functional and SUD outcome.
399

Les conséquences des commotions cérébrales sur la variabilité de la fréquence cardiaque durant le développement

Lépine, Julien 08 1900 (has links)
Ce projet de recherche avait pour but d’évaluer les conséquences à long terme des commotions cérébrales d’origine sportive (CCOS) subies durant le développement sur la fonction cardio-autonomique. Nous avons comparé la variabilité de la fréquence cardiaque (VFC) de joueurs de hockey adolescents avec un historique d’une ou deux CCOS (commotion ; n = 39) à la VFC de joueurs de hockey adolescents n’en ayant jamais subi (contrôle ; n = 52). Les athlètes du groupe commotion ont été testés 26 mois (20) après leur dernière CCOS. L’électrocardiogramme des participants était mesuré durant, pendant et après un exercice sur ergocycle. La séance d’exercice consistait en un échauffement incrémenté de 6 minutes suivi de 20 minutes entre 60 et 70 % de la fréquence cardiaque maximale et finalement 2 minutes de retour au calme actif. Par la suite, un repos de 10 minutes était complété. Le logarithme naturel de l’écart-type des intervalles NN (lnETNN) et le logarithme naturel des basses fréquences (lnBF) étaient tous les deux plus élevés pour le groupe commotion que pour le groupe contrôle dans les trois conditions (repos, exercice et post-exercice) ( < 0,05). Cette différence était similaire pour toutes les conditions. Ces résultats suggèrent qu’une CCOS affecte la fonction cardio-autonomique différemment durant le développement qu’à l’âge adulte, renforçant la nécessité d’interventions post-commotion spécifiques durant développement. / This research project sought to evaluate long-term consequences of sport-related concussions (SRC) sustained during development on cardio-autonomic function. To do so, we compared the heart rate variability (HRV) of adolescents hockey players with a history of one or two sport-related concussion (HOC; n = 39) to the HRV of adolescents hockey players who never incurred a SRC (WHOC; n = 52). Athletes from the HOC group were 26 months (20) away from their last injury. Participants’ electrocardiogram was measured at rest, during and after an exercise session on ergocycle. The exercise session consisted of a 6 minutes incremental warm-up followed by 20 minutes between 60 and 70 % of maximal heart rate and finally a 2 minutes active cooldown. Then, a post-exercise rest of 10 minutes was completed. HRV linear and non-linear measures were calculated before, during and after the exercise session. Natural log of standard deviation of NN intervals (lnSDNN) and natural log of low frequencies (lnLF) were both higher for HOC group in the three conditions (rest, exercise, post-exercise) ( < 0.05). This difference was similar across all conditions. These results suggest that SRC might affect cardio-autonomic function differently during development than during adulthood thus reinforcing the need for specific post-concussion interventions for the developing population.
400

Étude exploratoire et comparative du trouble bipolaire et du trouble de personnalité limite à l'adolescence

Huynh, Christophe 08 1900 (has links)
Actuellement, le diagnostic différentiel du trouble bipolaire (TB) et du trouble de personnalité limite (TPL) à l’adolescence s’avère difficile et complique le choix thérapeutique. Portant sur le TB et le TPL, ce mémoire fait le point sur la littérature scientifique adulte et adolescente, vérifie la faisabilité et présente les résultats d’une étude exploratoire portant sur les variables cliniques (instabilité émotionnelle, hostilité, impulsivité, tempraément) et le rythme veille-sommeil à l’adolescence. L’étude exploratoire comprend sept adolescents TB et huit TPL (12-17 ans), évalués par questionnaires autoadministrés pour les variables cliniques, et par actigraphie et agenda de sommeil pour le rythme veille-sommeil. Aucune différence significative n’existe entre les deux troubles pour les variables cliniques. En moyenne, les adolescents TB ont porté l'actigraphie pendant 9,9 jours et ont rempli un agenda de sommeil pendant 5,7 jours; chez les TPL, les chiffres sont respectivement 9,8 et 8,9 jours. Comparés aux TPL, les TB ont un plus grand intervalle d’éveil (p=0,035), ont un plus grand intervalle de sommeil (p>0,05), et ont une plus grand variabilité intrajournalière (p=0,04). Les données subjectives (agenda de sommeil) semblent refléter les données objectives (actigraphie) : aucune différence statistique n’est observée entre les deux mesures pour le délai d’endormissement, la durée du dernier réveil et le temps total de sommeil. La recension de la littérature montre un manque de données chez l’adolescent quant aux deux troubles. La faisabilité de l’étude est démontrée par la présence de résultats analysables. Ceci encourage la poursuite des recherches sur ces variables, afin de distinguer les deux psychopathologies à l’adolescence. / Presently, differential diagnosis between bipolar disorder (BD) and borderline personality disorder (BPD) in adolescents remains difficult and affects therapeutic choices. This master’s thesis reviews current scientific literature, both in adults and adolescents. It examines feasibility and presents results of a study on clinical dimensions and endophenotypes in adolescent BD and BPD. Seven BD and eight BPD adolescents (12-17 years old) were evaluated by self-reported questionnaires for clinical variables (affective instability, impulsivity, hostility and temperament) and by actigraphy and sleep diary for sleep-wake circadian rhythm. No significant difference was found between BD and BPD for the clinical variables. BD adolescents wore actigraphic device for 9.9 days and completed the sleep diary for 5.7 days on average; for BPD subjects, the numbers were respectively 9.8 days and 8.9 days. Compared to BPD, BD patients had longer active interval (p=0.035), tended to sleep longer, and had more intradaily variability (p=0.04). Subjective data (sleep diary) and objective data (actigraphy) did not significantly differ on sleep onset latency, last awakening duration and total sleep time, which suggested that BD and BPD adolescents had a good estimate of their sleep patterns. Literature review showed a dearth of research done on adolescent BD and BPD. Feasibility of this study was verified, since data was successfully collected. Research on these variables should continue, so differential diagnosis can be done in adolescent BD and BPD.

Page generated in 0.0714 seconds