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Childhood poverty and behavior problems in early adolescence : examining the links over time and potential mechanisms

Mazza Sampaio Elesbao, Julia Rachel 02 1900 (has links)
No description available.
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La prise de médicaments antiasthmatiques pendant la grossesse et le risque de diabète gestationnel

Baribeau, Véronique 05 1900 (has links)
L’asthme est une maladie respiratoire chronique fréquente pendant la grossesse avec une prévalence de 8 %. Il a été démontré que l’asthme maternel augmente le risque de diabète gestationnel (DG), mais il y a peu d’évidences sur l’impact des médicaments antiasthmatiques d’entretien sur le risque de cette complication de grossesse. Un projet de recherche a été développé afin d’évaluer si le risque de DG est associé à la dose de corticostéroïdes inhalés (CSI) ou l’utilisation de β2-agonistes à longue durée d’action (BALA) chez les femmes enceintes asthmatiques. Pour ce faire, nous avons utilisé un devis cas-témoins niché dans une cohorte de grossesses de femmes asthmatiques qui ont accouché entre 1998 et 2010 reconstruite à partir de deux banques de données administratives de la province de Québec (Canada) : Maintenance et exploitation des données pour l’étude de la clientèle hospitalière (MED-ECHO) et Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ). Le DG était défini par au moins un diagnostic de diabète gestationnel ou mellitus ou une ordonnance remplie d’un médicament antidiabétique après la 20e semaine de grossesse. Chaque cas était apparié à 30 témoins selon l’année calendrier et l’âge gestationnel. Des modèles d’équations d’estimation généralisées ont été utilisés pour estimer les rapports de cotes (aOR) et les intervalles de confiance à 95 % (IC 95 %) de DG ajustés pour la sévérité et la maîtrise de l’asthme et d’autres facteurs de risque de DG. L’association entre le DG et la dose de CSI a été estimé parmi les femmes non exposées aux BALA tandis que l’association avec les BALA a été estimée parmi les femmes exposées aux CSI à la date de survenue de l’issue pour les cas et à la date de sélection pour les témoins. Dans la cohorte de 12 587 grossesses de femmes asthmatiques, 1001 cas de DG (8 %) ont été identifiés. Nous n’avons observé aucun risque accru de DG avec une augmentation des doses de CSI parmi les non-utilisatrices de BALA avec des aOR (IC 95 %) de 0,95 (0,74-1,23) pour les faibles doses (<251 μg en équivalence de fluticasone), 1,14 (0,80-1,64) pour les moyennes doses (251 à 500 μg) et 1,13 (0,71-1,81 pour les hautes doses (>500 μg) de CSI. De plus, le risque de DG n’était pas plus élevé quand un BALA était ajouté à un CSI (aOR=0,99; IC 95 % : 0,69-1,44). Nos résultats ajoutent de l’évidence concernant l’innocuité des BALA et des doses de CSI pendant la grossesse, mais de plus amples études sont nécessaires pour examiner les associations potentielles entre les plus hautes doses de CSI et le risque de DG. / Asthma is a chronic respiratory disease that is frequent in pregnancy with a prevalence of 8%. Maternal asthma is known to increase the risk of gestational diabetes (GD), but the evidence is scarce regarding the impact of asthma controller medications on the risk of this pregnancy complication. A research study was developed to evaluate whether the risk of GD is associated with the dose of inhaled corticosteroids (ICS) or the use of long-acting β2-agonists (LABA) in pregnant women with asthma. To achieve our goals, we used a case-control design nested within a cohort of pregnancies from asthmatic women who delivered between 1998 and 2010 reconstructed from the linkage of two administrative databases from the province of Québec (Canada): Maintenance et exploitation des données pour l’étude de la clientèle hospitalière (MED-ECHO) and Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ). GD was defined as at least one recorded diagnosis of gestational or chronic diabetes or a prescription for an antidiabetic medication filled after week 20 of gestation. Each case was matched to 30 controls according to calendar year and gestational age. Generalized estimating equation models were used to estimate odds ratios (aOR) and 95% confidence interval (95% CI) of GD adjusted for asthma severity and control and other risk factors of GD. The association between GD and ICS doses was estimated among women unexposed to LABA, while the association with LABA was estimated among women exposed to ICS at the date of the outcome for cases and the date of selection for controls. The cohort included 12 587 pregnancies from asthmatic woman and 1001 cases of GD (8.0%) were identified. The risk of GD showed no trend towards a higher risk with increasing dose of ICS among non-users of LABA with aOR (95% CI) of 0.95 (0.74 to 1.23) for low doses (<251 μg in fluticasone propionate equivalents), 1.14 (0.80 to 1.64) for medium doses (251 to 500 μg), and 1.13 (0.71 to 1.81) for high doses (>500 µg) of ICS. Moreover, the risk did not increase when LABA was added to an ICS (aOR=0.99; 95% CI: 0.69 to 1.44). Our results provide further evidence for the safety of LABA and ICS doses during pregnancy, but more studies are needed to examine the potential association between higher ICS doses and the risk of GD.
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Occupational risk factors for pancreatic cancer in Montreal

Manthorp, Emily 06 1900 (has links)
Problématique. L’étiologie du cancer pancréatique est encore peu caractérisée, notamment quant au rôle des expositions environnementales modifiables. L’objectif de cette étude est d’examiner si les expositions chimiques dans les milieux de travail sont des facteurs de risques pour ce cancer le plus souvent mortel. Méthodes. Une étude cas-témoin populationnelle à Montréal incluant 19 types de cancer a été réalisée entre 1979 et 1985. Pour chaque participant, un historique de travail détaillé a été obtenu ainsi que des données sur des variables sociodémographiques et des habitudes de vie. Les antécédents de travail ont été examinés par des chimistes et hygiénistes de travail afin de déterminer le statut d’exposition de chaque participant pour environ 300 substances d’intérêt. Pour ce rapport, les 116 cas participants de cancer pancréatique ont été comparés avec les autres cas de cancers et des témoins populationnelles. Des analyses préliminaires ont été effectuées pour repérer les substances qui démontraient des indices d’association avec le cancer du pancréas. Celles-ci, en plus des substances qui sont réputées être associées avec le cancer du pancréas dans la littérature, ont été retenues pour des analyses statistiques plus approfondies. Pour chaque substance, deux catégories d’exposition ont été établies : « exposé » et « substantiellement exposé ». Les ratios de cotes entre le cancer pancréatique et chaque substance ont été estimés par régression logistique tout en contrôlant pour des facteurs de confusion possibles. Des analyses semblables ont été réalisées pour des catégories industrielles et occupationnelles. Résultats. Parmi toutes les expositions étudiées, la majorité d’entre eux n’ont pas démontré une association avec le cancer du pancréas. Cependant, des associations positives ont été repérées pour quelques substances, notamment pour les produits de combustion du charbon (RC 2,6, IC 95 % [1,3- 5,3]), la suie (RC 3,4, IC 95 % [1,3-8,6]), les cires et agents de polissage (RC 2,7, 95 % [1,1-4,1]), les produits de nettoyage (RC 1,9, IC 95 % [1,1-3,2]) et pour la catégorie des concierges et nettoyeurs (RC 2,8, IC 95 % [1,5-5,1]). Conclusion. Malgré que plusieurs des associations observées dans cette étude ne sont pas suffisamment appuyées directement par la littérature existante, nos résultats représentent une ressource utile pour diriger les futurs projets de recherche et notamment pour les éventuelles méta- analyses. / Background. Pancreatic cancer is a fatal disease in most cases. Unfortunately, little is known about the etiology of pancreatic cancer and whether modifiable environmental chemical exposures may play an important role. The purpose of this study is to explore whether chemical exposures in the workplace may be risk factors for pancreatic cancer. Methods. A population-based case-control study including 19 types of cancer was conducted in Montreal between 1979 and 1985. Detailed occupational histories were obtained from all subjects as well as information on several socio-demographic and lifestyle variables. Occupational histories were assessed by industrial hygienists and chemists to determine whether exposure had occurred to any of nearly 300 substances from a checklist. For this report, the participating 116 pancreatic cancer cases were compared with other cancer controls and population controls. Preliminary analyses were conducted to identify agents from the checklist showing evidence of an association with pancreatic cancer. These were selected for more in-depth statistical analyses together with agents reported in the literature as being potentially associated with pancreatic cancer. For each agent, “any” and “substantial” exposure metrics were defined. Unconditional logistic regression methods were used to estimate odds ratios between pancreatic cancer and each of the selected exposures while controlling for potential confounders. Similar analyses were conducted for occupation and industry groups. Results. Of all the exposures assessed, the majority did not reveal an association with pancreatic cancer. However, suggestive positive associations were found for several agents including coal combustion products (OR 2.6, 95% CI [1.3-5.3]), soot (OR 3.4, 95% [1.3-8.6]), waxes and polishes (OR 2.7, 95% [1.1-4.1]), cleaning agents (OR 1.9, 95% [1.1-3.2]) and for the occupational category “janitors and cleaners” (OR 2.8, 95% CI [1.5-5.1]). Conclusion. For most of the agents revealing an association with pancreatic cancer in our study, there is a paucity of direct evidence published by other authors to corroborate our findings. However, parallels can be made with previously observed excesses in occupational groups making our findings useful for guiding future research efforts, notably for meta-analyses, to uncover the specific chemical exposures that may account for these excesses.
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Prématurité et futur risque de fracture orthopédique

Michaud, Jonathan 08 1900 (has links)
Objectif: La prématurité a lieu pendant une période critique de la minéralisation osseuse. Nous avons évalué si la naissance prématurée se traduit par un risque plus élevé de fracture orthopédique chez les enfants. Méthodes: Nous avons mené une étude de cohorte rétrospective sur 788 903 enfants nés entre 2006 et 2016 au Québec, Canada, avec 5 436 400 personnes-années de suivi. Nous avons distingué les enfants nés prématurés (<37 semaines) et nés à terme (≥ 37 semaines). Nous avons identifié les hospitalisations futures pour fractures osseuses nécessitant un traitement chirurgical avant 2018. Nous avons calculé les taux d'incidence et les hazard ratios estimés (HR) avec des intervalles de confiance (IC) à 95% pour mesurer l'association entre la prématurité et les fractures à l'aide de modèles de régression de Cox ajustés pour les caractéristiques de l’enfant et maternelles. Nous avons déterminé si le risque de fracture variait en fonction de l'âge de l'enfant. Résultats: Il y avait 51 212 nouveau-nés prématurés dans cette étude (6,5%). L'incidence de fracture était de 17,9 par 10 000 personnes-années chez les enfants prématurés et de 15,3 par 10 000 personnes-années pour les enfants nés à terme. Comparativement aux enfants nés à terme, les enfants prématurés présentaient un risque de fracture 1,08 fois plus élevé lors du suivi (IC 95% 0,99-1,18). Les associations étaient plus fortes pour le fémur (HR 1,27, IC 95% 1,01-1,60) et les fractures liées à une agression (HR 2,27, IC 95% 1,37-3,76). Les associations variaient également avec l'âge, les enfants prématurés ayant deux fois le risque de fracture du fémur entre 6 et 17 mois (HR 2,20, IC 95% 1,45-3,35), mais aucune association par la suite. Conclusion: La prématurité est associée à un risque accru de certaines fractures osseuses et de fractures liées à des agressions avant l'âge de 18 mois. Les familles d'enfants prématurés pourraient bénéficier de conseils et de soutien pour la prévention des fractures au cours de la petite enfance. / Objective: Preterm birth occurs during a critical period of bone mineralization. We assessed whether preterm birth translates into a higher risk of orthopedic fracture in childhood. Methods: We conducted a retrospective cohort study of 788,903 infants born between 2006 and 2016 in Quebec, Canada, including 5,436,400 person-years of follow-up. We distinguished preterm (<37 weeks) and term (≥37 weeks) infants and identified future hospitalizations for bone fractures that required operative treatment before 2018. We calculated incidence rates and estimated hazard ratios (HR) and 95% confidence intervals (CI) for the association of prematurity with fractures using Cox regression models adjusted for maternal and infant characteristics. We determined if the risk of fracture varied by the child’s age. Results: There were 51,212 preterm infants in this study (6.5%). The incidence of fracture was 17.9 per 10,000 person-years in preterm children and 15.3 per 10,000 person-years in term children. Compared with term, preterm children had 1.08 times the risk of fracture during follow-up (95% CI 0.99-1.18). Associations were stronger for femur (HR 1.27, 95% CI 1.01-1.60) and assault-related fractures (HR 2.27, 95% CI 1.37-3.76). Associations also varied with age, with preterm children having 2 times the risk of femur fracture between 6 and 17 months of age (HR 2.20, 95% CI 1.45-3.35), but no association thereafter. Conclusion: Preterm birth is associated with an increased risk of certain bone fractures and assault-related fractures before 18 months of age. Families of preterm children may benefit from counselling and support for fracture prevention during early childhood.
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La consommation d'alcool à vie et le risque de cancer épithélial de l'ovaire

L'Espérance, Kevin 08 1900 (has links)
Contexte: Le cancer de l'ovaire est le cancer gynécologique le plus meurtrier chez les Canadiennes. Compte tenu de son mauvais pronostic et de ses méthodes de dépistage précoce limitées, il est nécessaire de mener des recherches pour identifier les facteurs susceptibles d'empêcher le cancer de l'ovaire de se développer. L’alcool est un facteur de risque pour de nombreux cancers, mais sa relation avec le cancer de l’ovaire demeure floue. Nous avons décidé d’étudier la relation entre la consommation d'alcool au cours de la vie et le risque de cancer de l'ovaire. Méthodes: Dans une étude cas-témoins basée sur la population à Montréal (2011-2016), 497 cas et 904 témoins ont rapporté leur consommation au cours de leur vie de vin rouge, de vin blanc, de bière et de spiritueux, ainsi que d'autres variables. Pour la consommation totale d'alcool et pour chaque type d'alcool spécifique, les rapports de cotes ajustés (OR) et les intervalles de confiance (IC) à 95% pour l'association avec le risque de cancer de l'ovaire ont été estimés à l'aide de la régression logistique inconditionnelle. Résultats: Le lien entre la consommation totale d'alcool au cours de la vie et le risque de cancer de l'ovaire explicitait une relation en forme de U: comparées à celles qui n'ont jamais bu, l’OR (IC à 95%) était de 0,72 (0,52-0,99) pour les participantes qui buvaient >0 à <1 consommation par semaine, de 0,83 (0,61-1,15) pour 1 à <3 consommations/semaine et de 0,98 (0,72-1,33) pour ³3 consommations/semaine. Une relation en forme de U a été suggérée pour la consommation de bière et de spiritueux au cours de la vie, mais les OR étaient plus proches de la valeur nulle. Les analyses par comportement tumoral ont suggéré que la consommation totale d'alcool au cours de la vie était associée à un risque réduit de cancer de l'ovaire invasif, mais à un risque accru de cancer de l'ovaire limite. Une tendance similaire a été observée pour la consommation de bière, mais pas pour les spiritueux, le vin rouge ou le vin blanc. Conclusion: La consommation d'alcool pourrait être associée de manière non linéaire au cancer de l'ovaire et cette association pourrait varier en fonction du comportement tumoral. / Background: Ovarian cancer is the deadliest gynecological cancer among Canadian women. Given its poor prognosis and limited methods of early detection, research is necessary to identify factors that may prevent ovarian cancer from occurring in the first place. Alcohol is a risk factor for many cancer sites, but its relationship with ovarian cancer remains unclear. We investigated the relation between lifetime alcohol consumption and ovarian cancer risk. Methods: In a population-based case-control study in Montreal (2011-2016), 497 cases and 904 controls reported their lifetime consumption of red wine, white wine, beer and spirits and other variables. For total alcohol intake and each specific alcohol type, adjusted odds ratios (OR) and 95% confidence intervals (CI) for the association with ovarian cancer risk were estimated using unconditional logistic regression. Results: The association between lifetime total alcohol intake and ovarian cancer risk was U-shaped: compared to lifetime never drinkers, the OR (95% CI) was 0.72 (0.52-0.99) for drinking >0 to <1 drink/week, 0.83 (0.61-1.15) for 1-<3 drinks/week and 0.98 (0.72-1.33) for 3+ drinks/week. A Ushaped relationship was suggested with lifetime consumption of beer and spirits but ORs were nearer the null value. Analyses by tumour behaviour suggested that lifetime total alcohol intake was associated with a reduced risk of invasive ovarian cancer but an increased risk of borderline ovarian cancer. A similar pattern was observed for intake of beer, but not spirits, red or white wine. Conclusion: Alcohol consumption may be non-linearly associated with ovarian cancer and the association may vary by tumour behaviour.
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Neonatal intraventricular hemorrhage and hospitalization in childhood

Kaur, Amarpreet 08 1900 (has links)
Contexte: L’hémorragie intraventriculaire néonatale est associée à des séquelles neuro-développementales, mais le risque à long terme d'autres issues est inconnu. L'association entre l'hémorragie intraventriculaire néonatale et le risque de morbidité durant l’enfance a été évaluée. Méthodes: Une cohorte longitudinale de 794,384 bébés nés entre 2006 et 2016 au Québec, Canada a été analysé. Les nouveau-nés ont été suivis jusqu'à une période de 12 ans après leur naissance, pour identifier les hospitalisations subséquentes. Dans les modèles de régression de Cox, ajustés pour les caractéristiques maternelles et néonatales, les « hazard ratios » et intervalles de confiance (IC) à 95% ont été estimés pour l'association entre l'hémorragie intraventriculaire avec l’hospitalisation ultérieure. Résultats: Au total, 1,322 nourrissons (0,2%) ont développé une hémorragie intraventriculaire de grade I à IV. L'incidence de l'hospitalisation était plus élevée chez les bébés présentant une hémorragie intraventriculaire que chez les bébés sans hémorragie (23,8 vs 5,7 par 100 personnes-années). Comparés aux bébés sans hémorragie, les bébés affectés avaient un risque d'hospitalisation 1,56 fois plus élevé (IC à 95% 1,43-1,70). Le risque était 2,81 fois plus élevé pour les grades III/IV (IC à 95% 2,23 à 3,53) comparés à ceux nés sans hémorragie. Les hémorragies intraventriculaires pré-terme était associée à 1,82 fois le risque (IC 95% 1,66-2,00) comparés aux bébés nés termes sans hémorragie. Les hémorragies intraventriculaires à terme étaient associées à 3,19 fois le risque d'hospitalisation (IC 95% 2,55-4,00), comparativement à ceux nés termes sans hémorragie. Les raisons principales des hospitalisations comprenaient les maladies du système nerveux central, ophtalmologiques, musculo-squelettiques et cardiovasculaires. Conclusion: L'hémorragie intraventriculaire, notamment de grades sévères et parmi les bébés à terme, est un déterminant important du futur risque d’hospitalisation durant l’enfance. / Background: Neonatal intraventricular hemorrhage is associated with neurodevelopmental sequelae, but the long-term risk of other outcomes is unknown. The association between neonatal intraventricular hemorrhage and the risk of childhood morbidity was assessed. Methods: A longitudinal cohort of 794,384 infants born between 2006 and 2016 in Quebec, Canada was analyzed. Infants were tracked over time to identify later hospitalizations with follow-up extending up to 12 years after birth. In Cox regression models adjusted for maternal and infant characteristics, the hazard ratios and 95% confidence intervals (CI) were estimated for the association of intraventricular hemorrhage with future hospitalization. Results: A total of 1,322 (0.2%) infants developed grade I to IV intraventricular hemorrhage. The incidence of childhood hospitalization was higher in infants with intraventricular hemorrhage than in infants without hemorrhage (23.8 vs. 5.7 per 100 person-years). Compared with no hemorrhage, infants with intraventricular hemorrhage had 1.56 times the risk of hospitalization (95% CI 1.43-1.70). The risk was 2.81 times higher for grade III/IV hemorrhage (95% CI 2.23-3.53) compared to those born without hemorrhage. Preterm intraventricular hemorrhage was associated with 1.82 times the risk (95% CI 1.66-2.00) compared to term infants born without hemorrhage. Intraventricular hemorrhage at term was associated with 3.19 times the risk of hospitalization (95% CI 2.55-4.00) compared to those born term without hemorrhaging. Primary reasons for hospitalizations included central nervous system, ophthalmologic, musculoskeletal, and cardiovascular disorders. Conclusion: Intraventricular hemorrhage, especially of higher grades and in term neonates, is an important determinant of the future risk of child hospitalization.
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Facteurs prédictifs d’utilisation chronique d’opioïdes dans la population non atteinte de cancer

Béliveau, Audrey 08 1900 (has links)
L’utilisation chronique d’opioïdes est associée à des méfaits graves tels que dépendance et surdosage. Ce mémoire vise à identifier les facteurs associés à l’utilisation chronique d’opioïdes dans une population adulte non atteinte de cancer et par là, à développer un modèle prédictif adapté à la pratique clinique. À partir des banques de données administratives du Québec (RAMQ), une étude de cohorte a été menée dans un échantillon aléatoire de 125,000 membres du régime général d’assurance médicaments (≥18 ans) ayant initié un opioïde entre le 1er janvier 2012 et le 31 décembre 2016. L'utilisation chronique a été définie par ≥90 jours consécutifs ou ≥120 jours cumulatifs pendant les 12 mois de suivi. Des modèles de régression logistique multivariés ont été effectués afin d’évaluer l’association entre les caractéristiques du patient ou du traitement et l’utilisation chronique. La performance prédictive des modèles a été évaluée par l’aire sous la courbe (AUC) de la «Receiver Operating Characteristic». Parmi les 124 664 nouveaux utilisateurs admissibles, 3,4% sont devenus utilisateurs chroniques et représentaient 51,1% des opioïdes délivrés à la cohorte. Le modèle prédictif le plus parcimonieux ayant une performance acceptable (AUC≥ 0,70) incluait: Durée de prescription initiale ≥30 jours et diagnostic associé à de la douleur chronique. De nombreux facteurs de risque d’utilisation chronique d’opioïdes ont été identifiés. Il est possible de prédire quels sont les patients qui évolueront vers une utilisation chronique uniquement à partir de la durée de l’ordonnance initiale et de l’indication. Ces prédicteurs seraient donc adaptés à la pratique clinique. / Chronic use of opioids can lead to well-known harms such as addiction and overdose. This thesis aims to identify the factors associated with chronic opioid use in the non-cancer adult population and thereby, to develop a predictive model adapted to clinical practice. Using the Quebec administrative databases (RAMQ), a cohort study was conducted in a random sample of 125,000 members of the public drug plan (≥18 years old) who initiated an opioid between 01 January 2012 and 31 December 2016. Chronic use was defined as ≥90 consecutive days or ≥120 cumulative days during the 12-month follow-up. Multivariate logistic regression models were performed to evaluate the association between patient or treatment characteristics and the likelihood of becoming a chronic user. The area under the curve (AUC) of the Receiver Operating Characteristic was used to evaluate the predictive performance of the models. Among the 124,664 new opioid users who were eligible, 3.4% transitioned to chronic use and accounted for 51.1% of all opioids dispensed to the cohort. The most parsimonious model with acceptable performance (AUC≥0.70) included the following factors: An initial dispensing of ≥30 days as well as a diagnosis associated with chronic pain. Many risk factors for chronic opioid use were identified. It is possible to predict which patients will transition to chronic use using the duration of the initial prescription and the indication. These predictors are therefore adapted to clinical practice.
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Association entre la polypharmacie aux médicaments cardiovasculaires et non cardiovasculaires et le risque de mortalité chez les patients nouvellement diagnostiqués d’une insuffisance cardiaque au Québec

Disso, Eliane 02 1900 (has links)
Contexte : La polypharmacie et le taux de mortalité des patients atteints d’insuffisance cardiaque (IC) croissent avec l’âge. Cependant, le lien entre la polypharmacie et la mortalité des malades d’IC est peu documenté au Canada. Il paraît donc nécessaire d’étudier l’association entre la polypharmacie aux médicaments cardiovasculaires et non cardiovasculaires et le risque de mortalité chez les patients âgés (≥ 66 ans), dont un diagnostic récent d’IC a été posé. Méthodes : À partir de deux bases de données administratives du Québec, une cohorte de patients âgés avec un diagnostic récent d’IC entre 1998 et 2015 a été constituée. Un devis cas-témoin imbriqué dans cette cohorte a permis d’apparier les cas de décès aux contrôles sur l’âge, le sexe et leur durée de suivi. La polypharmacie a été évaluée dans les trois derniers mois précédant la date de décès des patients. La relation entre le risque de mortalité et la polypharmacie aux médicaments cardiovasculaires (≥5 médicaments) et non cardiovasculaires (≥ 6 médicaments) a été testée par application d’une régression logistique conditionnelle ajustée aux comorbidités et aux médicaments cardiovasculaires. Résultats : L’échantillon comportait 1530 cas d’âge moyen de 83,4 ans. Parmi eux, 98,6 % présentaient au moins une comorbidité. Leur prévalence d’exposition à la polypharmacie aux médicaments cardiovasculaires était de 65,0 % et celle aux médicaments non cardiovasculaires de 63,9 %. Les données montraient une réduction importante du nombre de médicaments dans le dernier mois précédant la date de décès. Les analyses, ajustées aux comorbidités et aux médicaments cardiovasculaires, ont révélé que les patients exposés à la polypharmacie ≥ 6 médicaments non cardiovasculaires avaient 1,43 fois le risque de mortalité (IC 95 % : 1,28-1,60), comparés aux patients avec une polypharmacie < 6 médicaments non cardiovasculaires. En revanche, cette association était non significative pour les aînés avec une polypharmacie ≥ 5 médicaments cardiovasculaires (OR=0,91; IC 95 % : 0,79-1,04). Conclusion : Cette étude a révélé une association positive entre la polypharmacie aux médicaments non cardiovasculaires et le risque mortalité chez les patients âgés nouvellement diagnostiqués d’une IC. / Background : Polypharmacy and the mortality rate of heart failure (HF) patients increase with age. However, the link between polypharmacy and HF patients mortality is poorly documented in Canada. Therefore, it’s necessary to study the association between polypharmacy with cardiovascular and non-cardiovascular drugs and the risk of mortality in elderly (≥ 66 years) newly diagnosed HF patients. Methods : Using two Quebec administrative databases, a cohort of elderly patients with a recent diagnosis of HF between 1998 and 2015 was established. A nested case-control design study allowed the cases of death to be matched to controls on age, sex and duration of the follow-up. Polypharmacy was assessed in the last three months prior to the date of patient death. The relationship between mortality risk and polypharmacy to cardiovascular (≥ 5 drugs) and non-cardiovascular (≥ 6 drugs) drugs was tested using conditional logistic regression adjusted for comorbidities and cardiovascular drugs. Results : The sample consisted of 1530 cases with a mean age of 83.4 years. Among them, 98.6% had at least one comorbidity. Their prevalence of polypharmacy to cardiovascular drugs was 65.0% and 63.9% to non-cardiovascular drugs. The data showed a significant reduction in medications was seen in the last month the date of death. Comorbidities and cardiovascular drugs adjusted analyses reported that patients with polypharmacy ≥ 6 non-cardiovascular drugs had 1.43 times the risk of mortality (95 % CI : 1.28-1.60) compared to patients with polypharmacy < 6 non-cardiovascular drugs. On the other hand, this association wasn’t statistically significant for elderly with polypharmacy ≥ 5 cardiovascular drugs (OR=0.91; 95 % CI : 0.79-1.04). Conclusion : This study found a positive association between polypharmacy with non-cardiovascular drugs and the risk of mortality in elderly patients newly diagnosed with HF.
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Liens entre l'histoire obstétrique, les facteurs de risque nutritionnels et génétiques, la santé mentale périnatale et la durée de la gestation

Shapiro, Gabriel 06 1900 (has links)
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Worldwide variations in sex ratio of cancer incidence : temporal and geographic patterns

Raza, Syed-Ahsan 04 1900 (has links)
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