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La conservation de la nature en Afrique centrale entre théorie et pratiques. Des espaces protégés à géométrie variable.

Binot, Aurélie 30 March 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse propose une analyse des projets intégrant conservation de la faune sauvage et développement en Afrique centrale, dans la mouvance des approches participatives qui se sont développées à partir des années 1980 au sein de projets de coopération multilatérale. Nous mettons en évidence la représentation des espaces à enjeux de conservation qui domine très nettement le paysage de la conservation intégrée. Cette représentation est produite sur la base d'une opposition de type centre/périphérie entre les espaces naturels à conserver et les aires de production attenantes. Elle génère des modèles de développement et de gouvernance locaux stéréotypés, ainsi que des approches de zonage en profond décalage avec les pratiques locales, notamment en termes de gestion foncière. C'est également cette représentation territoriale centripète qui est à l'origine de rapports de force et de conflits récurrents dans la gestion des aires protégées. Ces jeux de pouvoir s'érigent en obstacle à la participation active des communautés locales aux actions de conservation. Nous illustrons notre propos à partir d'une lecture critique de la rhétorique qui s'est construite autour des paradigmes du Développement Durable appliqués à la conservation de la biodiversité et sur la base de l'expérience de plusieurs projets de terrain mis en œuvre en Afrique centrale. Nous nous appuyons particulièrement sur l'étude de cas du parc national de Zakouma (Tchad) et sur son dispositif d'aménagement du territoire, caractéristique des pratiques conservationnistes en Afrique centrale.
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Espaces commerciaux, centralités et logiques d'acteurs à Beyrouth : les cas de Hamra et de Verdun

Boudisseau, Guillaume 01 July 2001 (has links) (PDF)
Le quartier Hamra et la rue Verdun, situés dans la partie occidentale de Beyrouth, constituent deux espaces marchands radicalement différents. Apparu à la fin des années 1940, Hamra est le produit de nouveaux réseaux socio-économiques (commerçants libanais, arméniens et palestiniens) et des succursalistes du centre-ville. Espace moderne, Hamra attire les activités ludiques, les compagnies internationales et les pétrodollars du Golfe. La rue Verdun émerge à la fin des années 1980. Espace des franchises, des galeries marchandes de luxe et expression de l'économie globale, elle s'affirme comme le nouvel espace commercial de la ville alimenté par des capitaux issus de l'émigration africaine et du Golfe. Ce travail souligne les différents processus de production inscrits dans des logiques multiples : stratégies économiques pour lesquelles l'acteur se positionne dans un environnement favorable (densité, diversité et proximité de ses concurrents), stratégies d'intégration pour lesquelles l'acteur projette à travers un commerce et un lieu symbolique un moyen d'être inséré dans la ville, stratégies de respectabilité et de visibilité pour lesquelles l'acteur recherche une adresse commerciale pour paraître et apparaître à travers son enseigne, son nom et sa fortune, initiatives des associations de commerçants qui défendent leurs intérêts et qui se substituent aux autorités publiques absentes de la scène urbaine. Ce travail définit "l'espace centre" comme le lieu où se chevauchent, se coupent, s'entrecoupent, se parasitent même différents réseaux d'acteurs. Ainsi la production de centralités commerciales à Beyrouth peut se mesurer au degré de densité et de diversité des réseaux socio-économiques fonctionnant à différentes échelles.
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Analogies et disparités du fait urbain au Maghreb

Rousseaux, Vanessa 27 January 2000 (has links) (PDF)
A partir d'une base de données statistiques homogènes et de fonds cartographiques à différents niveaux spatiaux élaborés par nos critères, nous avons dressé un constat du fait urbain au Maghreb. La population urbaine progresse à un rythme soutenu mais donne lieu à une urbanisation qui est loin d'être un processus uniforme dans les territoires et entre les pays. La diversité des situations nationales, l'existence de traditions citadines... expliquent l'hétérogénéité des contextes urbains. L'explosion urbaine fulgurante que connaît l'ensemble du Maghreb est un phénomène récent mais dont le processus a démarré au début du 20ème siècle engendré par la colonisation et les mutations démographiques. Le système urbain des pays du Maghreb se modifie, les mutations sont particulièrement vigoureuses et elles affectent tous les échelons de la hiérarchie urbaine qui tend vers un équilibre. La volonté étatique de diffuser et d'harmoniser le fait urbain dans leur territoire s'est traduit par une stratégie reposant principalement sur les politiques économiques et administratives. Les littoraux concentrent toujours l'essentiel des villes, mais un début d'équilibrage des disparités régionales se met progressivement en place. Les dernières décennies ont vu exploser les tissus urbains et croître les populations urbaines, apparaître des métropoles, émerger des réseaux dynamiques de petites villes ce qui a profondément bouleversé l'armature urbaine de chaque pays. Cependant en près de 40 années, les pays du Maghreb ont construit et organisé des armatures urbaines répondant davantage à leurs objectifs.
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L'humanisme géographique

Brun-Picard, Yannick 01 March 2005 (has links) (PDF)
La thèse part du postulat d'une géographie science des espaces terrestres des hommes, afin de tendre en direction de l'existence, donnée comme hypothèse, d'un noyau commun : l'humanisme géographique. La multitude des influences, la reconnaissance d'auteurs incontournables, ainsi que l'existence d'un nuage complexe dans lequel se développe la géographie, permettent d'accéder à une base conceptuelle constituée des concepts de différenciation, de réentrée, de rupture/continuité et de moindre contrainte, liée à la géographicité. Cette base est articulée sur la temporalité qui favorise l'accès à l'objet de la géographie l'interface humanité/espaces terrestres. Cet ensemble contribue à l'émergence des enjeux épistémologiques d'une géographie dynamique avec trois outils : l'espace, le paysage et le territoire. Ceux-ci facilitent la maîtrise des espaces terrestres en prenant pour référence un noyau commun : l'humanisme géographique.
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Pour une conservation dynamique de l'agrobiodiversité : Gestion locale de la diversité variétale d'un arbre « des Blancs » (cocotier, Cocos nucifera L.) et d'une plante « des ancêtres » (taro, Colocasia esculenta (L.) Schott) au Vanuatu

Caillon, Sophie 09 December 2005 (has links) (PDF)
Treize ans après le sommet de la Terre, cette thèse souligne les contradictions entre diversité culturelle et diversité biologique lorsqu'il s'agit de conserver un patrimoine de plantes cultivées. La présentation du contexte conceptuel de recherche, des sites d'étude au Vanuatu (principalement Vêtuboso sur Vanua Lava) et des espèces (le cocotier et le taro), ainsi que les méthodes s'appuyant sur des outils de l'agronomie, de l'anthropologie, de la génétique et de la géographie, ont été regroupées dans une première partie. La deuxième partie apporte des éléments de réponses aux trois questions principales de la thèse : 1. Quel est le statut social des deux espèces étudiées ? 2. De quelle agrobiodiversité parle-t-on ? et 3. Comment s'élabore-t-elle et se diffuse-t-elle ? La biologie de la plante mais aussi son histoire dans la communauté conditionnent son statut social et ainsi les modalités de sa gestion. Qualifié de « plante des Blancs » bien que présent avant l'arrivée des premiers colons, le cocotier, a quitté le statut d'arbre fruitier pour celui de culture de rente pérenne malgré ses nombreux usages et les mythes fondateurs qui lui sont associés. Son espace de culture, la cocoteraie, rappelle le temps du colonialisme, du travail forcé, et évoque la pénibilité de la production du coprah. Elle est accusée de « voler » l'espace de la forêt où vivent les esprits. La base génétique du cocotier est large même si l'on relève peu de catégories nommées. Le taro, une plante annuelle de subsistance identifiée localement par de nombreux noms correspondant à des morphotypes distincts, est socialement valorisé en tant que porteur de mémoire des ancêtres et vitrine des savoir-faire individuels. Cependant sa base génétique est étroite, et malgré l'attention que lui portent des horticulteurs passionnés, il ne pourra survivre à l'introduction de la maladie attendant aux portes du Vanuatu (TLB). Ainsi, la valorisation de la biodiversité, aussi bien du point de vue des représentations locales que des sciences, dépend des formes de socialisation des plantes comme des finalités recherchées : protéger la mémoire d'un lieu par les liens aux ancêtres, une diversité culturelle, une variabilité phénotypique ou un potentiel d'évolution. De plus, du point de vue de la conservation de la biodiversité, une même communauté peut être considérée, en raison de sa gestion des taros, comme une société qui possède de véritables « savoirs naturalistes locaux », et dans sa gestion des cocotiers, comme une société ayant préféré s'investir dans une économie de marché prônant l'intensification. L'intégration des diversités biologique et culturelle au sein du concept de biodiversité peut constituer une liaison dangereuse, si les savoirs, réduits au rang de recettes, sont abstraits de leur cadre cognitif et socioculturel. En s'appuyant sur les résultats précédents, la troisième partie passe en revue les sources d'érosion de l'agrobiodiversité au Vanuatu et s'intéresse aux politiques de sa conservation telles que la conservation in situ et la sélection participative. Sachant que les principales raisons pour lesquelles les agriculteurs conservent un matériel ancestral dépendent de sa relation aux ancêtres, le scientifique ou le développeur a peu d'influence sur l'évolution des pratiques locales garantissant une agrobiodiversité dynamique. Finalement ce serait en protégeant une espèce végétale « sociale » quitte à la « moderniser » en améliorant son potentiel d'adaptation, que l'on conserverait la diversité culturelle. La sélection participative serait alors un moyen d'allier conservation et amélioration, soit conservation et sécurité alimentaire, et de ce fait, conservation et développement. Dans ce cadre, une approche interdisciplinaire s'impose afin d'optimiser l'efficacité des programmes de conservation et de développement auprès des populations, parce qu'elle permet d'établir les bases d'une coopération avec les communautés locales qui les laisse libres de décider du sens et des modalités de leur inscription dans les processus de globalisation auxquelles elles sont désormais confrontées.
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Les îles Eparses [Texte imprimé] : un avenir à inventer : étude géopolitique de l'espace constitué par les îles Europa, Bassas da India, Juan de Nova, les Glorieuses et Tromelin

Michel, Charles 15 March 2004 (has links) (PDF)
Le 1er avril 1960 la République Française, lors des négogiations préalables à l'indépendance de Madagascar, maintient sa souveraineté sur les îles d'Europa, de Bassas da India, de Juan de Nova, Glorieuse et Tromelin, désignées sous le nom d'îles Eparses. Elles ne possèdent aucun intérêt économique majeur, mais à l'époque un grand intérêt stratégique. Elles sont découvertes par les Portugais dès leur arrivée dans l'océan Indien. Elles ont fait l'objet d'une prise de possession par la France à la fin du XIXe siècle. Elles sont gérées depuis les années 60 sous un régime juridique particulier dans le but d'éviter les tensions avec Madagascar, la République de Maurice et les Comores, qui ont des revendications territoriales sur ces îles. La faune et la flore sont la richesse de ces îles et la possibilité de les inscrire au patrimoine mondial de l'humanité. Cette solution permettrait de sortir de la crise par une gestion commune évoquée par le Président français à Saint-Denis en 1999.
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DE LA « TERRE DES ANCÊTRES » AUX TERRITOIRES DES VIVANTS : Les enjeux locaux de la gouvernance sur le littoral sud-ouest de Madagascar

Pascal, Benjamin 27 June 2008 (has links) (PDF)
Suite au profond renouvellement des paradigmes du développement et de la conservation de la nature, la gouvernance locale fait désormais l'objet d'un intérêt croissant de la part des administrateurs comme des scientifiques. C'est à ce vaste champ que notre étude entend s'intéresser ici sur la base de données empiriques collectées sur le littoral sud-ouest malgache. Dégagé de ses aspects prescriptifs qui sont désormais au cœur de la rhétorique des politiques publiques (à travers la notion de « bonne gouvernance »), nous verrons que ce concept recouvre une dimension analytique particulièrement intéressante. Il s'agit de considérer les processus dynamiques d'élaboration et d'interaction qui s'établissent entre plusieurs types d'acteurs et d'institutions impliqués dans la gestion et l'utilisation d'un même espace. L'analyse des modes locaux de gouvernance des ressources renouvelables nous conduira à prendre en compte l'ensemble des logiques qui, à l'échelle locale, concourent à produire les normes, les règles et les arrangements permettant d'organiser l'accès aux ressources et d'en réguler les usages. Conscient de la complexité de ces processus, nous explorerons alors les liens entre gouvernance locale et territorialité des acteurs. Nous montrerons d'une part l'aspect essentiel des dimensions collectives du territoire qui encadrent les pratiques et les processus de décision mais aussi, d'autre part, les rapports spécifiques de groupes d'acteurs au vécu particulier qui, selon leurs intérêts et leurs marges de manœuvre, vont dynamiser ces configurations. Localement, les effets des interventions exogènes seront alors analysés sous l'angle des dynamiques territoriales.
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LES DYNAMIQUES AGRICOLES DANS LES ESPACES URBAINS ET PERIURBAINS. DIVERSIFICATION ET STRATEGIES D'ADAPTATION DES AGRICULTURES. LES CAS DES PERIPHERIES SUD-EST DE LILLE ET NORD DE LENS.

Rouget, Nicolas 02 December 2008 (has links) (PDF)
L'agriculture des espaces périurbains est doublement contrainte (libéralisation économique accrue et effets de la proximité urbaine). Les contextes généraux et locaux lui offrent néanmoins l'opportunité de s'investir dans un renouvellement de ses fonctions (contextes de la durabilité et des programmes agriurbains). La question de l'engagement des exploitations dans le processus de « transition agricole » par la voie de la diversification, notamment par les services, et dans une perspective d'ancrage au territoire de la ville, constitua ainsi notre principale entrée. La typologie des trajectoires et stratégies d'adaptation établie en fonction des dynamiques des systèmes de production et de revenu et de l'intensité des relations de l'agriculture à la ville, distingue des trajectoires « d'occultation », de « spécialisation », d' « engagement dans une logique d'ouverture aux demandes citadines », de « conversion ». La territorialisation de l'agriculture, son inscription dans le territoire de la ville n'est pas la seule voie choisie d'adaptation aux contextes généraux et locaux. La diversification par les services n'est pas non plus la seule stratégie d'adaptation à la ville. La typologie des espaces agricoles souligne que la transition agricole s'opère très inégalement d'une agglomération à une autre et au sein d'une même périphérie urbaine. Les communes de la périphérie Nord de Lens et les cas belges envisagés sont très majoritairement caractérisés par une déterritorialisation des systèmes de production et de revenu. Les trajectoires observées ont été motivées, d'une part par le délitement d'un « modèle agricole minier », d'autre part par la ˝ nécessité ˝ d'assumer de volumineux quotas betteraviers. En revanche, les communes de Loos-en-Gohelle et de la périphérie lilloise sont caractérisées par des dynamiques d'appropriation de l'espace urbain par l'agriculture. A ces dynamiques contribue, au sein de l'espace lillois étudié, la valorisation des discontinuités introduites par la proximité de la frontière. Une dynamique de groupe à Loos, le « précédent endivier » en Pévèle-Mélantois ont été déterminants. L'agriculture dans ce contexte ne répond que partiellement aux attentes urbaines. L'étude, dans le cadre des agricultures déterritorialisées, souligne les difficultés de mise en concordance des représentations de l'espace entre élus et agriculteurs. En revanche, les partenariats engagés à Lille relèvent d'un processus de co-construction. Le principe d'une contractualisation entre décideurs et agriculteurs repose sur des politiques de confortement des trajectoires de diversification par les services. Les programmes engagés ne solutionnent néanmoins pas les facteurs de « décrochage » par ailleurs évoqués.
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MOBILITE, ENJEUX ET RISQUES DANS LE DISTRICT METROPOLITAIN DE QUITO (EQUATEUR)

Demoraes, Florent 05 July 2004 (has links) (PDF)
L'objectif de cette thèse de géographie est de proposer une réflexion sur les risques encourus par le District Métropolitain de Quito –DMQ– (Equateur) à partir de la question de la mobilité des personnes et de ses vulnérabilités en partie attribuables aux aléas en présence (séisme, éruption volcanique, inondation...). Inspirée des méthodes d'analyses antérieures du risque réalisées par des géographes de l'Université de Savoie sur les villes de Nice et d'Annecy, cette recherche élaborée de façon à être reproductible, ciblée sur les enjeux, propose une base de réflexion utile aux différents acteurs urbains dans une perspective de planification préventive ; elle fournit des pistes pour la réduction des vulnérabilités et apporte des orientations pour la gestion de crise. Enfin, elle propose une réflexion conceptuelle sur l'articulation des thématiques de la « mobilité » et des « risques » à partir des concepts de « vulnérabilité » et « d'accessibilité ».<br /><br />La démonstration se fonde sur un travail de terrain réalisé durant deux ans et demi à Quito, dans le cadre du programme de recherche « Système d'Informations et Risques dans le District Métropolitain de Quito » initié en 1999 par l'Institut de Recherche pour le Développement (IRD) en collaboration avec la Municipalité de Quito. Ce travail, avant tout méthodologique, a nécessité la constitution d'une base de données géoréférencées et documentées (métadonnées), appelée « Mobilité » structurée grâce au Système d'Information Géographique « Savane » développé par l'IRD.
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INFORMATION GÉOGRAPHIQUE ET IMAGES A TRÈS HAUTE RÉSOLUTION UTILITÉ ET APPLICATIONS EN MILIEU URBAIN

Puissant, Anne 15 December 2003 (has links) (PDF)
Depuis le milieu des années 1990, l'INFO-STRATEGIE, c'est-à-dire la stratégie de mise en place de l'Information Géographique, est au cœur des préoccupations des gestionnaires du territoire et des urbanistes. Elle nécessite des données multi-sources, multi-échelles et mises à jour régulièrement à une périodicité adaptée à l'évolution du milieu urbain. Les images d'Observation de la Terre représentent un potentiel important d'acquisition d'IG. Actuellement, le marché connaît une évolution majeure avec la mise en orbite de produits-systèmes Très Haute Résolution (THR) de résolution inférieure à 5 m. Cette évolution technologique débouche sur une abondance de données numériques, sources potentielles d'IG en milieu urbain, modifie les attentes des utilisateurs et transforme leurs applications. Une réflexion en termes de demande (formalisation des besoins) et non plus d'offre est indispensable pour répondre à la multiplication de l'utilisation d'IG à diverses échelles. Par ailleurs, répondre aux besoins des « utilisateurs finaux » (politiques, gestionnaires, techniciens) revient à préciser les ajustements nécessaires à la définition des capacités des nouveaux produits-systèmes. A partir d'une enquête auprès des utilisateurs d'IG, un cahier des charges précisant les besoins en information à grande échelle est établi. Des « niches potentielles d'utilisation » des images métriques sont identifiées. Des tests sont appliqués pour analyser les gains dans l'utilisation de ces nouveaux capteurs. L'un des enjeux de l'augmentation de la résolution spatiale est une nouvelle vision du territoire plus proche de la réalité. Les objets urbains s'individualisent (domaine de l'identification) et sont caractérisés par leurs éléments constitutifs (domaine de l'analyse). Cet apport de détails perturbe les procédures classiques d'extraction automatiques et complexifie l'attribution des objets aux nomenclatures existantes. Le test de plusieurs algorithmes classiques conduit à la formalisation de règles d'identification des objets urbains sur des images THR. Ces règles sont intégrées dans une procédure de classification « orientée-objets ».

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