Spelling suggestions: "subject:"stratégique"" "subject:"stratégiques""
11 |
L'influence de l'utilisation des technologies de l'information sur la fonction ressources humainesLafleur, Geneviève January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
12 |
Communication de l'information stratégique en management de projet et de programme : une application de la dynamique des systèmesBilodeau, Christian January 2008 (has links) (PDF)
Les technologies de l'information (TI) ont permis de créer un système global d'échange d'information et de connaissance et à transcender les contraintes d'espace et de temps (Scott Morton, 1995). Les TI offrent un support inestimable à l'intelligence de l'organisation et à la prise de décision. Les outils de bureautique permettent encore plus de latitude que jamais en ouvrant la voie à l'innovation des usagers, mais également à la perte de contrôle de l'information pour l'organisation. Les systèmes d'information de gestion formels et informels sont de plus en plus présents dans l'organisation. Les rapports de force innovation -contrôle et prédominance usager -prédominance Tl y occupent une place centrale et donnent lieu à la prolifération de systèmes d'information de gestion (SIG) tangibles (formels) et intangibles (informels). Cependant, la gestion efficace des flux d'information est nécessaire afin de permettre à l'organisation d'atteindre ses objectifs d'affaires grâce à de l'information de qualité. La présente recherche a pour objectif de comprendre la relation entre la disposition de l'organisation à gérer et utiliser l'information et sa capacité à atteindre ses objectifs d'affaires. Plus précisément, elle tente d'expliquer la dynamique qui existe entre sa façon de gérer le déploiement de systèmes formels et informels et sa disposition à prendre en considération différents rapports de forces. En raison de son caractère dynamique et de l'importance de l'information pour le processus de prise de décision, le management par programme et par projet est utilisé comme contexte de recherche. Les principes de la dynamique des systèmes sont utilisés afin de modéliser et de comprendre l'échange informationnel et le rôle des SIG dans le management par programme et par projet. Un diagramme d'influence est présenté afin de mettre en lumière les différentes composantes du système à l'étude. Il sert de référence à l'élaboration d'un système de simulation (modèle niveaux-taux) qui permet aux gestionnaires de simuler un environnement de management par programme et par projet afin de mesurer les effets à long terme sur les objectifs d'affaires d'une organisation. Le système de simulation, utilisé dans le cadre d'une séance de simulation, sert également à déterminer la capacité de l'organisation à devenir « apprenante » ou sa capacité à apprendre des erreurs du passé. Cette recherche complète les études existantes sur la dynamique d'échange informationnel dans le contexte du management par programme et par projet. Les résultats montrent comment la dynamique des systèmes peut aider une organisation dans sa décision de déployer des SIG formels ou informels grâce à l'utilisation conjointe du diagramme d'influence et du modèle niveau-taux. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Système d'aide à la prise de décision, Théorie des systèmes, Flux d'information, Management par projet et par programme, SIG formels et informels.
|
13 |
Sélection stratégique et vieillissement cognitif : rôle du changement stratégique intra-itemArdiale, Éléonore 13 September 2011 (has links)
Les travaux en psychologie ont mis en évidence que les jeunes et âgés utilisent différentes stratégies pour accomplir des tâches cognitives. La question qui se pose alors est comment nous choisissons une stratégie parmi plusieurs stratégies disponibles. Afin de mieux comprendre la sélection stratégique, l’objectif de cette thèse était d’étudier le phénomène de changement stratégique intra-item et son évolution au cours du vieillissement, d’une part, et de mettre en évidence les mécanismes impliqués lors du choix d’une stratégie, d’autre part. Nos données montrent que différentes variables, intrinsèques et extrinsèques aux problèmes, influencent la capacité de changement stratégique intra-item au cours du vieillissement. Les jeunes et les âgés interrompent une stratégie en cours d’exécution et choisissent une stratégie différente que celle précédemment exécutée. Les participants changeaient plus fréquemment de stratégies afin de choisir la meilleure stratégie, et ce d’autant plus que la stratégie était facile à exécuter. Les âgés avaient de plus difficultés que les jeunes à changer de stratégies et par conséquent, ils choisissaient moins fréquemment la meilleure stratégie. Nous montrons aussi que la sélection stratégique est associée à une augmentation de l’activité cérébrale dans des régions préfrontales bien connues pour être le siège des fonctions exécutives. Enfin, nous discutons en quoi ces résultats ont d’importantes implications concernant, les modèles théoriques de la sélection stratégique, et concernant le vieillissement cognitif. / Psychology research has shown that young and older adults used different strategies to accomplish a cognitive task. Thus, the issue of how we choose a strategy among several available strategies is raised. In order to further understand strategy selection, the goal of this thesis was to investigate the within-item strategy switching and its evolution with age, on one hand, and to highlight mechanisms involved in the selection strategy, on other hand. Our data show that different variables, intrinsic and extrinsic to the problems, affect the ability of switching strategies within item during aging. Young and older adults interrupt a mid-execution strategy and choose a different strategy than previously executed. Participants switched strategies more frequently to choose the best strategy, and especially when the strategy was easy to execute. Older adults had more difficulties than young adults to switch strategies and therefore, they chose less frequently the best strategy. We also show that the strategy selection is associated with increased brain activities in prefrontal regions, well known to be the seat of executive functions. Finally, we discuss how these results have important implications for theoretical models of strategy selection, and for cognitive aging.
|
14 |
La différenciation professionnelle des diplômés universitaires en psychologieCorriveau, Marie-Josée January 1994 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
15 |
L'intérêt national et la politique étrangère canadienne en Arctique : une tentative d'explication étatisteTremblay, Jérémie 18 April 2018 (has links)
Ce mémoire prend comme point de départ l’observation selon laquelle l’attention politique envers la question arctique, croissante depuis 2006, suit une logique cyclique. Cette étude explore une explication théorique de cette mise à l’agenda récurrente. Nous proposons donc un cadre analytique déductif d’inspiration étatiste postulant que la politique étrangère consiste en la gestion des menaces aux intérêts nationaux par un État autonome, représenté par des dirigeants centraux. Ainsi, quatre cas sont à l’étude : l’épopée du Manhattan (1968-1970), le voyage du Polar Sea (1985), la création du Conseil de l’Arctique (1987-1992) et la course à l’Arctique (2006-2008). La recherche démontre que presque tous les regains d’attention de la part des dirigeants centraux envers l’Arctique semblent avoir été causés par des menaces aux intérêts nationaux canadiens. Un premier pas vers une théorisation explicative de la politique étrangère canadienne en Arctique est ainsi franchi. / This master’s thesis views the rising interest towards the Arctic since 2006 as part of cyclical phenomena. We explore a theoretical explanation of this redundant agenda-setting fact. An analytical frame inspired by the statist approach is proposed. Our postulate is that foreign policy consists in the management, by the autonomous State, of threats to the national interests. The autonomous State is in return represented by core decision-makers. Four cases are tested: the Manhattan voyage (1968-1970), the Polar Sea transit (1985), the creation of the Arctic Council (1987-1992) and the race for the Arctic (2006-2008). Research shows that almost all increases in Arctic political attention by core decisions-makers appear to have been caused by the presence of threats to the Canadian national interests. A first step towards an explanatory theory of Canadian foreign policy in the Arctic is thereby taken.
|
16 |
Stratégies des entreprises chinoises dans le secteur extractif dans l'ArctiqueTêtu, Pierre-Louis 24 July 2024 (has links)
Poussée par une croissance économique rapide ces trente dernières années, la demande chinoise en matières premières a considérablement augmenté au cours de cette période. Premier importateur mondial de nombreux minerais depuis le début du XXIe siècle, la Chine, qui n’est pas un État côtier de l’Arctique, semble attentive au potentiel économique de la région, et notamment en ce qui a trait à l’exploitation des gisements miniers. Avec l’ouverture relative des accès maritimes à travers les passages arctiques, les entreprises chinoises seraient en mesure d’effectuer des économies sur les coûts de transport et pourraient plus aisément accéder aux gisements miniers du Groenland et de l’Arctique canadien. La montée en puissance de l’économie chinoise, qui s’est concrétisée depuis le début du siècle, son affirmation politique sur la scène mondiale, et sa diplomatie des ressources perçue comme agressive a contribué à développer une perception négative de la Chine au sein des opinions publiques canadiennes, danoises, groenlandaises, et islandaises. Dans un contexte de débats et d’inquiétudes sur les questions de souveraineté dans l’Arctique, les presses canadiennes, groenlandaises et danoises ont contribué à construire, dans leurs opinions publiques respectives ces dernières années, une certaine sinophobie face aux investissements directs à l’étranger chinois, qui débutent réellement en 2005. Par exemple, un sondage mené en 2015 par l’Asia Pacific Foundation of Canada faisait ressortir que près de 76% de la population canadienne était hostile à l’acquisition d’entreprises canadiennes par des entreprises chinoises, tous secteurs confondus. Au Groenland, la perspective d’opérations minières dirigées par des entreprises chinoises a provoqué l’ire des médias danois et groenlandais. Alors que certains dénoncent une stratégie géopolitique chinoise plus large dans cette région du monde, d’autres mettent l’accent sur les implications de la venue de nombreux travailleurs chinois, de même que sur les questions d’une Chine cherchant à assurer un accès à long terme aux ressources de la région, prétextant que le Groenland serait une région d’investissement majeur pour les entreprises chinoises. La Chine, par l’entremise de ses entreprises, chercherait-elle à faire main basse sur les ressources minières de l’Arctique ? L’Arctique canadien, le Groenland et le Grand Nord québécois sont-ils des territoires d’investissements majeurs pour les entreprises chinoises ? Comment les facteurs qui déterminent les choix des entreprises chinoises se sont-ils traduits dans l’Arctique ? Dans le cadre de cette recherche, trente-six entreprises et organes du gouvernement ont été consultés. Les résultats de l’enquête soulignent que ces territoires ne sont pas des régions où les entreprises chinoises investissent d’importantes sommes, mais demeurent attractifs en raison de la stabilité politique et du climat compétitif des affaires qui y règnent, ainsi que pour la qualité des ressources physiques qu’on y retrouve. Cependant, les acteurs chinois soulignent d’importants défis tels que le déficit en matière d’infrastructures maritimes et de communication dans l’Arctique, le manque d’informations sur les opportunités d’affaires, c’est le cas des projets disponibles au Groenland notamment, et les acteurs chinois soulignent également leur manque d’expérience à l’international, de même que le coût et la disponibilité de la main-d’oeuvre comme des défis importants pour les entreprises chinoises. En somme, les investissements des entreprises chinoises dans des projets miniers dans l’Arctique canadien et au Groenland s’insèrent, certes, dans les stratégies globales des entreprises chinoises qui visent à diversifier et sécuriser leurs sources d’approvisionnements. En revanche, s’il apparaît que les territoires arctiques ne sont pas des régions d’investissements majeurs pour les entreprises chinoises dans le secteur extractif, les acteurs chinois sondés raisonnent, de manière générale, selon une logique de marché et recherchent donc, pour la plupart, à assurer la rentabilité de leur entreprise par la réalisation de gains. Outre les fluctuations des prix des matières premières sur les marchés mondiaux qui affectent grandement les opérations minières globales, de nombreux facteurs dans l’Arctique tels que l’éloignement, les conditions météorologiques extrêmes, et le manque d’infrastructures augmentent considérablement le coût de faire des affaires dans le secteur minier dans l’Arctique, qui demeure un marché niche. / Driven by rapid economic growth over the past thirty years, the Chinese demand for raw materials has experienced a rapid and sustained growth. As the largest net importer of many commodities from the beginning of the 21st century, China, which is not a coastal State of the Arctic Region, seems to be interested to the economic opportunities and potential of the region, particularly with regard to the exploitation of mineral deposits. The opening of maritime access through the Northwest Passage in the Canadian Arctic Archipelago might be an opportunity for Chinese mining companies to save on transportation costs and to more easily access mineral deposits in Greenland and in the Canadian Arctic. The rise of China’s economic growth since the beginning of the 21st century, its political affirmation in the world’s affairs, and its resource diplomacy perceived as aggressive contribute to develop a negative perception of China from Artic Coastal States Public Opinions. In a context of debates over issues of sovereignty in the Arctic, there were concerns in Canadian, Danish and Greenlandic Medias on Chinese investment abroad which have prevailed since the early 2000s. For example, a survey conducted in 2015 by the Asia Pacific Foundation of Canada revealed that nearly 75% of the Canadian population was hostile to a Canadian-based take-over bid by a Chinese entity. In Greenland, the prospect of mining operations led or run by Chinese companies were denounced in both the Danish and Greenlandic Medias. While some analysts fear a wider Chinese geopolitical strategy in this region, others focus on the implications of massive arrival of Chinese workers, as well as the risk that China seeks to ensure a long term access to the mineral resources of the Arctic, pretexting that Greenland is a priority investment area for Chinese mining companies. It is thus possible to ask the question whether Chinese mining related companies seek to get its hands on Arctic mining resources. Are the Canadian Arctic Greenland or the Northern Quebec priority investment areas for those Chinese actors? What are the overriding factors driving Chinese mining investments in the Arctic? In the frame of this research, thirty-six Chinese actors either firms or government-based organizations were surveyed. The results of the survey highlight that the Arctic area is not a priority in Chinese Mining company’s strategies. However, these mining jurisdictions attract Chinese investments because of the political stability and competitive business affairs environment in both Canada and Greenland, and the quality of proven mineral deposits resources in the region. The survey also highlights important challenges faced by Chinese respondents such as the lack of infrastructure in the Arctic, the lack of information on business opportunities in this part of the world, weak experience on International Business, high costs and the perceived lack of available experienced manpower. While it appears that the Arctic region is not a priority investment area for Chinese Mining companies, these investors seek to diversify supply partners while ensuring a steady and secured flow of raw materials. In this regard, our survey shows that most Chinese companies are thinking on a market-based logic to ensure the profitability of their business and achievement gains. However, despite the price fluctuations on world markets which affect global mining operations, the remoteness and the extreme weather conditions in the Arctic, as well as the lack of infrastructure are among those factors that affect and increase the cost of doing business in the north. It points out that Arctic mining remains a niche market.
|
17 |
Étude exploratoire portant sur le paiement d'une prime à l'acquisition dans les marchés boursiers canadiens et américainsLéveillé, Simon January 2015 (has links)
Dans cette étude exploratoire, nous avons étudié les primes payées à l’acquisition
dans les marchés boursiers canadiens et américains. Afin de documenter l’application
d’un escompte pour manque de contrôle, l’expert en évaluation d’entreprises peut,
s’il compte se baser sur des transactions comparables, utiliser les données sur les
acquisitions d’entreprises dans les marchés boursiers. Le marché des acquisitions
étant plus développé aux États-Unis, l’expert en évaluation d’entreprises (en contexte
canadien) est souvent contraint d’utiliser les données américaines.
Nous nous sommes intéressés à la valeur moyenne des primes selon les trois critères
suivants : le pays de la cible, le motif de la transaction et la marge nette de la cible.
Les primes payées à l’acquisition d’une cible sont en moyennes 2,72 points de
pourcentage supérieures en contexte américain qu’en contexte canadien. Aussi, les
primes payées par les acheteurs stratégiques sont en moyennes 5,90 points de
pourcentages supérieures aux primes payées par les acheteurs financiers. Cette
différence semble refléter le fait que les acheteurs stratégiques attribuent une valeur
aux synergies contrairement aux acheteurs financiers. Les primes payées pour
acquérir des cibles non rentables sont en moyennes 13,71 points de pourcentages
supérieures aux primes payées par les cibles rentables.
Finalement, les primes payées à l’acquisition semblent varier en fonction des
rendements des prix des actions sur le marché. Nous observons une relation (linéaire)
inverse entre les rendements moyens au temps t-1 et les primes moyennes payées
sur le marché au temps t.
|
18 |
La stratégie syndicale dans le contexte institutionnel de la formation continue au Québec : l'étude du cas de la Fédération des travailleurs et travailleuses du QuébecGagné, Diane January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
19 |
La stratégie d'entreprise et la présence de rémunération variable dans le secteur syndiqué au QuébecGilbert, Guillaume January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
20 |
La préparation patronale à la négociation collective : ses attributs, ses déterminants et sa perspective stratégiqueTremblay, Jean-François January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
Page generated in 0.0475 seconds